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Le roman et la connaissance morale : éthique et littérature chez Jacques Bouveresse, Vincent Descombes et Sandra Laugier

de Montigny, François 03 October 2011 (has links)
Nous nous intéressons dans ce travail aux tentatives de Bouveresse, Descombes et Laugier de montrer que l’éthique et la connaissance morale peuvent être exprimées de façon peut-être plus juste par la littérature que par la philosophie. S’inspirant d’une conception wittgensteinienne de l’éthique comme indicible, les trois auteurs étudiés tentent de penser une relation entre éthique et littérature qui ne réduise ni la philosophie à la littérature, ni la littérature à la philosophie. Il s’agit ainsi pour nous d’évaluer les résultats de leurs travaux en voyant s’ils réussissent véritablement à penser un nouveau type de relation de la philosophie à l’un de ses autres, la littérature et donc l’art, qui dépasse les relations traditionnelles de réduction ou d’exclusion et qui tienne plus de la coopération ou de la complémentarité entre les types de discours. Ce faisant, nous nous intéressons aussi à l’impact de la philosophie analytique, et plus particulièrement de la pensée de Wittgenstein, dans le monde philosophique français, et à la signification du choix d’une pratique plus analytique de la philosophie chez les trois auteurs choisis.
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Le roman et la connaissance morale : éthique et littérature chez Jacques Bouveresse, Vincent Descombes et Sandra Laugier

de Montigny, François 03 October 2011 (has links)
Nous nous intéressons dans ce travail aux tentatives de Bouveresse, Descombes et Laugier de montrer que l’éthique et la connaissance morale peuvent être exprimées de façon peut-être plus juste par la littérature que par la philosophie. S’inspirant d’une conception wittgensteinienne de l’éthique comme indicible, les trois auteurs étudiés tentent de penser une relation entre éthique et littérature qui ne réduise ni la philosophie à la littérature, ni la littérature à la philosophie. Il s’agit ainsi pour nous d’évaluer les résultats de leurs travaux en voyant s’ils réussissent véritablement à penser un nouveau type de relation de la philosophie à l’un de ses autres, la littérature et donc l’art, qui dépasse les relations traditionnelles de réduction ou d’exclusion et qui tienne plus de la coopération ou de la complémentarité entre les types de discours. Ce faisant, nous nous intéressons aussi à l’impact de la philosophie analytique, et plus particulièrement de la pensée de Wittgenstein, dans le monde philosophique français, et à la signification du choix d’une pratique plus analytique de la philosophie chez les trois auteurs choisis.
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Le roman et la connaissance morale : éthique et littérature chez Jacques Bouveresse, Vincent Descombes et Sandra Laugier

de Montigny, François 03 October 2011 (has links)
Nous nous intéressons dans ce travail aux tentatives de Bouveresse, Descombes et Laugier de montrer que l’éthique et la connaissance morale peuvent être exprimées de façon peut-être plus juste par la littérature que par la philosophie. S’inspirant d’une conception wittgensteinienne de l’éthique comme indicible, les trois auteurs étudiés tentent de penser une relation entre éthique et littérature qui ne réduise ni la philosophie à la littérature, ni la littérature à la philosophie. Il s’agit ainsi pour nous d’évaluer les résultats de leurs travaux en voyant s’ils réussissent véritablement à penser un nouveau type de relation de la philosophie à l’un de ses autres, la littérature et donc l’art, qui dépasse les relations traditionnelles de réduction ou d’exclusion et qui tienne plus de la coopération ou de la complémentarité entre les types de discours. Ce faisant, nous nous intéressons aussi à l’impact de la philosophie analytique, et plus particulièrement de la pensée de Wittgenstein, dans le monde philosophique français, et à la signification du choix d’une pratique plus analytique de la philosophie chez les trois auteurs choisis.
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Le roman et la connaissance morale : éthique et littérature chez Jacques Bouveresse, Vincent Descombes et Sandra Laugier

de Montigny, François January 2011 (has links)
Nous nous intéressons dans ce travail aux tentatives de Bouveresse, Descombes et Laugier de montrer que l’éthique et la connaissance morale peuvent être exprimées de façon peut-être plus juste par la littérature que par la philosophie. S’inspirant d’une conception wittgensteinienne de l’éthique comme indicible, les trois auteurs étudiés tentent de penser une relation entre éthique et littérature qui ne réduise ni la philosophie à la littérature, ni la littérature à la philosophie. Il s’agit ainsi pour nous d’évaluer les résultats de leurs travaux en voyant s’ils réussissent véritablement à penser un nouveau type de relation de la philosophie à l’un de ses autres, la littérature et donc l’art, qui dépasse les relations traditionnelles de réduction ou d’exclusion et qui tienne plus de la coopération ou de la complémentarité entre les types de discours. Ce faisant, nous nous intéressons aussi à l’impact de la philosophie analytique, et plus particulièrement de la pensée de Wittgenstein, dans le monde philosophique français, et à la signification du choix d’une pratique plus analytique de la philosophie chez les trois auteurs choisis.
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A Critique of the Learning Brain

Olsson, Joakim January 2020 (has links)
The guiding question for this essay is: who is the learner? The aim is to examine and criticize one answer to this question, sometimes referred to as the theory of the learning brain, which suggests that the explanation of human learning can be reduced to the transmitting and storing of information in the brain’s formal and representational architecture, i.e., that the brain is the learner. This essay will argue that this answer is misleading, because it cannot account for the way people strive to learn in an attempt to lead a good life as it misrepresents the intentional life of the mind, which results in its counting ourselves out of the picture when it attempts to provide a scientific theory of the learning process. To criticize the theory of the learning brain, this essay will investigate its philosophical foundation, a theory of mind called cognitivism, which is the basis for the cognitive sciences. Cognitivism is itself built on three main tenets: mentalism, the mind-brain identity theory and the computer analogy. Each of these tenets will be criticized in turn, before the essay turns to criticize the theory of the learning brain itself. The focus of this essay is, in other words, mainly negative. The hope is that this criticism will lay the groundwork for an alternative view of mind, one that is better equipped to give meaningful answers to the important questions we have about what it means to learn, i.e., what we learn, how we do it and why. This alternative will emphasize the holistic and intentional character of the human mind, and consider the learning process as an intentional activity performed, not by isolated brains, but by people with minds that are extended, embodied, enacted and embedded in a sociocultural and physical context.

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