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Généalogie d’une matrice intellectuelle et culturelle de la différenciation des sexes et des idées sur les femmes sous le Troisième Reich : les échos d’une modernité inégalitaire et antiféministe (XIXe-XXe siècles).

Malenfant, Emilie January 2014 (has links)
La nature extraordinaire du régime national-socialiste a longtemps paralysé les tentatives d’en expliquer les causes, les mécanismes et les assises idéologiques. Pourtant, depuis les années 1960 et de manière toujours croissante par la suite, il s’avère que ce qu’il y a de plus significatif sur le Troisième Reich semble être révélé grâce à son inscription dans une trame sociohistorique qui le dépasse. En ce sens, la tendance misogyne du régime nazi ne peut être comprise que par un exercice généalogique. Caractéristique fondamentale souvent négligée, l’antiféminisme nazi s’inscrit dans une tendance paternaliste occidentale qui, bien qu’elle n’explique pas à elle seule les politiques et mesures nazies concernant les femmes, permet de saisir la nature idéologique de leurs motivations. Plongeant au cœur d’un XIXe siècle post-Lumières aux contradictions nombreuses, aux revendications sociales certaines et aux maintes redéfinitions épistémologiques provoquées, entre autres, par le mouvement « anti-Lumières », notre mémoire propose d’observer les échos du discours allemand sur la différenciation des sexes et les femmes sous le Troisième Reich. Les idées nazies sur les femmes ne naissent ainsi pas ex nihilo ; elles s’inscrivent dans une récupération idéologique et une continuité philosophique. Tant les philosophes Arthur Schopenhauer, Friedrich Nietzsche et Otto Weininger que le médecin Paul Möbius et le sociologue Georg Simmel s’expriment abondamment sur la « question féminine ». Représentants du discours allemand de la seconde moitié du XIXe siècle et du premier tiers du XXe siècle, ils s’inscrivent évidemment dans la tendance européenne, voire occidentale, d’une remise en question des acquis des Lumières et des revendications féministes. Se prononçant tant sur le corps féminin que sur les capacités intellectuelles et morales des femmes, ces penseurs discréditent le mouvement d’émancipation féminine et mettent de l’avant des valeurs inégalitaires et déterministes qui caractériseront également l’Allemagne d’Hitler.
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Délinquance des filles et délinquance des garçons : différence dans les comportements ou différence dans la gestion des comportements? Une étude du point de vue des intervenants

Lafrenière, Catherine 04 1900 (has links)
La délinquance juvénile a été souvent dépeinte de façon globale sans distinction de genre, ou encore, elle fut décrite principalement chez les garçons. Constater la faible représentation des adolescentes prises en charge en vertu de la Loi sur le système de justice pénale pour adolescents, comparativement aux garçons, conduit vers diverses explications. Certaines mettent l’accent sur la personne, arguant que la délinquance des filles est différente de celle des garçons, moins fréquente et surtout moins violente. D’autres mettent l’accent sur le traitement des instances judiciaires qu’on dit protectionniste vis-à-vis des filles, ce qui fait qu’on les dirige plutôt vers le système de Protection de la jeunesse pour troubles de comportement. Devant cette divergence d’explication, nous avons cherché à comprendre si la faible représentation des filles dans le système de justice pénale pour adolescent est due aux comportements des adolescents en tant que tels, ou à la manière dont leurs comportements sont perçus et gérés par les intervenants oeuvrant auprès de ces jeunes impliqués dans des situations-problèmes, lesquelles sont susceptibles ou non, d’être judiciarisées. Notre étude pose un regard sur l’enclenchement du processus judiciaire auquel des adolescents se trouvent confrontés, c’est-à-dire leur arrestation ou leur signalement à une instance officielle, sous l’angle de la représentation sociale des jeunes par les intervenants. Pour ce faire, nous avons rencontré des intervenants du milieu scolaire, puisque l’école se situe au deuxième rang des signalants vers le système de prise en charge des adolescents en difficulté, après les parents. Nous leur avons présenté des cas-types, sous forme de vignettes, visant à saisir leurs perceptions et réactions vis-à-vis des situations-problèmes impliquant des adolescentes et des adolescents, en souhaitant déterminer si celles-ci varient en fonction du genre. Bien qu’en théorie la vision des interviewés quant à la délinquance juvénile soit assez uniforme, et ce, peu importe le sexe du délinquant, nos résultats montrent qu’en pratique, il y a un double standard. Ainsi, si les règles sont conçues pour tous et les conséquences de leur non-respect doivent en principe s’appliquer également sans distinction, lorsqu’il s’agit d’intervenir, les interviewés conviennent que leur approche diffère selon qu’ils aient affaire à une fille ou à un garçon. Par ailleurs, ils déplorent le manque criant de ressources et questionnent la volonté de certains parents de contribuer à la réussite scolaire de leur enfant. Ultimement, ils remettent en cause, dans une large mesure, le système éducatif québécois. En tant qu’acteurs sociaux, les intervenants ont le pouvoir de faire valoir leur point de vue. L’analyse de ce point de vue, dans le cadre de notre mémoire, montre l’importance de leur rôle dans le parcours des adolescents, garçons et filles, plus spécialement lorsque ceux-ci se trouvent impliqués dans des situations-problèmes. / Juvenile delinquency has often been described in a global way, without any distinction regarding the gender, or it has been described mainly regarding teenage boys. The fact that there is a low representation of teenage girls taken in charge according to the Youth Criminal Justice Act, compared to teenage boys, leads to several explanations. Some, focusing on the individual aspects, point out that girl delinquency is different, less frequent and especially less violent. Others are pointing out how protectionist the judicial proceedings are towards girls, which leads them to be referred mostly to child protection for behaviour disorders. Considering this difference in the explanations, we wanted to understand if the low representation of girls in the youth criminal justice system was due to teenage behaviour itself, or to the way behaviours were perceived and dealt with by the interveners working with these teenagers involved in problemsituations, which could possibly be subject, or not, to judicial control. Our study looks at the start of the judicial process which teenagers must face, meaning their arrest or their reporting to an official organization, from the point of view of the interveners and how they perceive the teenagers. In order to do this, we have met school interveners, because schools are ranked second after the parents for referring teenagers to the system that will take charge of them. We have presented them with test cases in order to have their perceptions and reactions concerning problematic situations involving teenage girls and boys, aiming to determine if it would vary according to the gender. Even if in theory the vision of the interviewed persons concerning juvenile delinquency is somewhat uniform, regardless of the offender’s sex, our results show that in practice, there is a double standard. Therefore, if the rules are made for all and the consequences of not obeying them are equal without gender distinction, when it comes to the way they act on it, interveners agree that their approach is different if they are dealing with a girl or a boy. Incidentally, they are concerned about the critical lack of resources and question the will of some parents to assist their kids towards school success. Ultimately, they are substantially questioning Quebec’s educational system. As social stakeholders, interveners have some power to promote their point of view. The analysis of this point of view in the framework of our thesis, shows the importance of their role in the path of the teenagers, boys and girls, especially when they are involved in problematic situations.
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Délinquance des filles et délinquance des garçons : différence dans les comportements ou différence dans la gestion des comportements? Une étude du point de vue des intervenants

Lafrenière, Catherine 04 1900 (has links)
La délinquance juvénile a été souvent dépeinte de façon globale sans distinction de genre, ou encore, elle fut décrite principalement chez les garçons. Constater la faible représentation des adolescentes prises en charge en vertu de la Loi sur le système de justice pénale pour adolescents, comparativement aux garçons, conduit vers diverses explications. Certaines mettent l’accent sur la personne, arguant que la délinquance des filles est différente de celle des garçons, moins fréquente et surtout moins violente. D’autres mettent l’accent sur le traitement des instances judiciaires qu’on dit protectionniste vis-à-vis des filles, ce qui fait qu’on les dirige plutôt vers le système de Protection de la jeunesse pour troubles de comportement. Devant cette divergence d’explication, nous avons cherché à comprendre si la faible représentation des filles dans le système de justice pénale pour adolescent est due aux comportements des adolescents en tant que tels, ou à la manière dont leurs comportements sont perçus et gérés par les intervenants oeuvrant auprès de ces jeunes impliqués dans des situations-problèmes, lesquelles sont susceptibles ou non, d’être judiciarisées. Notre étude pose un regard sur l’enclenchement du processus judiciaire auquel des adolescents se trouvent confrontés, c’est-à-dire leur arrestation ou leur signalement à une instance officielle, sous l’angle de la représentation sociale des jeunes par les intervenants. Pour ce faire, nous avons rencontré des intervenants du milieu scolaire, puisque l’école se situe au deuxième rang des signalants vers le système de prise en charge des adolescents en difficulté, après les parents. Nous leur avons présenté des cas-types, sous forme de vignettes, visant à saisir leurs perceptions et réactions vis-à-vis des situations-problèmes impliquant des adolescentes et des adolescents, en souhaitant déterminer si celles-ci varient en fonction du genre. Bien qu’en théorie la vision des interviewés quant à la délinquance juvénile soit assez uniforme, et ce, peu importe le sexe du délinquant, nos résultats montrent qu’en pratique, il y a un double standard. Ainsi, si les règles sont conçues pour tous et les conséquences de leur non-respect doivent en principe s’appliquer également sans distinction, lorsqu’il s’agit d’intervenir, les interviewés conviennent que leur approche diffère selon qu’ils aient affaire à une fille ou à un garçon. Par ailleurs, ils déplorent le manque criant de ressources et questionnent la volonté de certains parents de contribuer à la réussite scolaire de leur enfant. Ultimement, ils remettent en cause, dans une large mesure, le système éducatif québécois. En tant qu’acteurs sociaux, les intervenants ont le pouvoir de faire valoir leur point de vue. L’analyse de ce point de vue, dans le cadre de notre mémoire, montre l’importance de leur rôle dans le parcours des adolescents, garçons et filles, plus spécialement lorsque ceux-ci se trouvent impliqués dans des situations-problèmes. / Juvenile delinquency has often been described in a global way, without any distinction regarding the gender, or it has been described mainly regarding teenage boys. The fact that there is a low representation of teenage girls taken in charge according to the Youth Criminal Justice Act, compared to teenage boys, leads to several explanations. Some, focusing on the individual aspects, point out that girl delinquency is different, less frequent and especially less violent. Others are pointing out how protectionist the judicial proceedings are towards girls, which leads them to be referred mostly to child protection for behaviour disorders. Considering this difference in the explanations, we wanted to understand if the low representation of girls in the youth criminal justice system was due to teenage behaviour itself, or to the way behaviours were perceived and dealt with by the interveners working with these teenagers involved in problemsituations, which could possibly be subject, or not, to judicial control. Our study looks at the start of the judicial process which teenagers must face, meaning their arrest or their reporting to an official organization, from the point of view of the interveners and how they perceive the teenagers. In order to do this, we have met school interveners, because schools are ranked second after the parents for referring teenagers to the system that will take charge of them. We have presented them with test cases in order to have their perceptions and reactions concerning problematic situations involving teenage girls and boys, aiming to determine if it would vary according to the gender. Even if in theory the vision of the interviewed persons concerning juvenile delinquency is somewhat uniform, regardless of the offender’s sex, our results show that in practice, there is a double standard. Therefore, if the rules are made for all and the consequences of not obeying them are equal without gender distinction, when it comes to the way they act on it, interveners agree that their approach is different if they are dealing with a girl or a boy. Incidentally, they are concerned about the critical lack of resources and question the will of some parents to assist their kids towards school success. Ultimately, they are substantially questioning Quebec’s educational system. As social stakeholders, interveners have some power to promote their point of view. The analysis of this point of view in the framework of our thesis, shows the importance of their role in the path of the teenagers, boys and girls, especially when they are involved in problematic situations.

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