Spelling suggestions: "subject:"discursive approaches"" "subject:"iscursive approaches""
1 |
Uplatnění vědeckých metod při identifikaci a analýze problémů ve veřejné politice / The application of scientific methods in identifying and analyzing problems in public policyŽemlička, Josef January 2013 (has links)
The purpose of this thesis is to test the Q method applied in discursive analysis in public policy. The author will carry out research using available scientific literature dealing with the method and prepare a case study whose purpose will be to test the reliability of the method Q in a practical case. Promoters of the Q method argue that the uniqueness of the method rests in its resistance to the subjective influence of the researcher. The purpose of this work is therefore a practical verification of to what extent may the researcher's subjective stance at the selection of the default set of statements reflect on the overall result of the analysis.
|
2 |
Contextes, institution, intersubjectivité dans le processus de conversion à un groupe religieux minoritaire : l'exemple du bouddhisme dzogchen / Contexts, institution, intersubjectivity in the conversion processes to a minority religious group : the case of dzogchen buddhismBianchi, Maria Alessandra 27 January 2016 (has links)
Comment se fait le processus de conversion de certains acteurs sociaux occidentaux au bouddhisme dzogchen ? Afin de répondre à ce questionnement, cette étude, qui repose sur une méthodologie qualitative, a été menée auprès des groupes français et italiens de deux réseaux associatifs : la communauté dzogchen Internationale et Rigpa. Elle s’inscrit dans le courant de la sociologie compréhensive et cherche à rompre avec l’idée selon laquelle la conversion est une affaire exclusivement individuelle ou une expérience soudaine. En effet, cette recherche met en lumière les dynamiques relationnelles et processuelles qui permettent d’appréhender ce fait de conversion. Dans un contexte marqué par l’occidentalisation du bouddhisme et par les transformations du paysage religieux contemporain, la conversion au dzogchen s’opère, tout d’abord, par l’action « missionnaire » de certains agents, représentants d’une institution née de la routinisation du charisme du « maître ». Mais la conversion de l’acteur résulte également d’une adéquation aux propositions institutionnelles, qui entraîne l’acquisition d’un nouveau récit, d’une nouvelle manière de gérer ses émotions et prévoit la mobilisation de certains dispositifs rituels. Ce processus d’apprentissage a notamment lieu lors d’interactions intersubjectives entre les pratiquants dzogchen eux-mêmes et, entre les pratiquants dzogchen et les représentants de l’institution tibétaine. Ainsi, l’exemple des groupements dzogchen nous permet de mettre en valeur la dimension relationnelle de cette forme de religiosité, qui offre à l’individu qui se convertit des espaces de socialisation propres à une communitas / How does the conversion processes of certain western social actors to Dzogchen Buddhism work ? In order to answer such question, this study, carried out using qualitative research method, was conducted among French and Italian groups of two association networks: the International Dzogchen Community and Rigpa. This research is in line with the field of comprehensive sociology and tries to break away from the idea according to which conversion is solely an individual matter or a sudden experience. In fact, this research highlights the relational and procedural dynamics that allow the understanding of this type of conversion. In a context characterized by the westernization of Buddhism and by the transformations of the contemporary religious landscape, Dzogchen conversion results from two factors. First of all, conversion is an outcome of the “missionary” action of certain agents, representatives of an institution born from the routinization of the “master’s” charisma. The second less observed factor is how the conversion of a social actor results also from the adoption of institutional proposals, which leads to the acquisition of a new narrative, a new way of managing emotions and takes into account the involvement of certain rituals. This process of learning happens especially during intersubjective interactions between Dzogchen practitioners amongst themselves as well as between Dzogchen practitioners and representatives of the Tibetan institution. Therefore, through the example of such Dzogchen group we are able to highlight the relational dimension of this kind of religion, which provides the individual who converts with some socialization spaces proper to a communitas
|
3 |
Discuter, politiser, imposer une solution d'action publique : l'exemple du tramway. / Arguments, Politicisation and Legitimisation of a Policy Solution : the Case of Light RailDemongeot, Benoît 30 March 2011 (has links)
Cette thèse s'intéresse à la spectaculaire diffusion du tramway dans les villes françaises et européennes. Pour comprendre le phénomène du point de vue des processus décisionnels à l'oeuvre, l'objet est envisagé sous trois états successifs : solution, projet, produit final. L'analyse porte dans un premier temps sur la "réinvention" de la solution dans les années 1970 en France. Puis, le regard se déplace sur trois villes ayant fini par s'équiper d'un tramway : Marseille, Dublin et Grenoble. Pour comprendre l'appropriation comme les nombreuses oppositions, la focale est positionnée sur les arguments justificatifs/critiques échangés au sein des trois systèmes d'acteurs correspondants. Il apparaît que dans un premier temps, le tramway est essentiellement envisagé comme une solution de transport, objectivée et rationnelle. Or, à partir des années 1990, l'argumentaire justificatif connaît une évolution très notable à Grenoble et Marseille. La solution parvient à agréger un ensemble croissant de vertus, que celles-ci touchent à l'urbanisme, au partage de l'espace public, aux polarisations socio-spatiales ou encore au vote des citoyens-électeurs. À travers cette mutation, le tramway se politise, et convainc plus largement. Ce processus n'est pas étranger à la multiplication des projets en France. Au contraire, le détour par Dublin permet de comprendre quelles difficultés rencontrent les promoteurs d'un tramway cantonné à sa dimension "transport", et comment ces difficultés sont plus ou moins surmontées. / This thesis deals with the success of light rail schemes in French and European cities. It considers successively light rail as a generic policy solution, a spatialised project and a policy output. In such way it questions the "reinvention" of the solution in 1970s France. Then the analysis dwells on three cities : Marseille, Dublin and Grenoble. It focuses on arguments that are exchanged within the corresponding systems of actors. It appears that during a first period, light rail is essentially promoted as a transport solution, framed as rationale and comparable to other public transport modes. However, from the 1990's, supporting discourses evolve dramatically in Grenoble and Marseille. The solution happens to agregate a wider range of « virtues », that is to say admitted qualities concerning new fields of interest : urbanism, the distribution of public realm, socio-spatial polarizations or local elections results. Such an evolution can be interpreted as a form of politicisation. It seems to foster the emergence of new projects in France. On the contrary, the case of Dublin helps to understand the difficulties that are faced by a light rail that remains justified mainly by its "transport" dimension, and how these difficulties are more or less overcome.
|
Page generated in 0.0919 seconds