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Questions fondamentales de l'intersubjectivité transcendantaleGodon, Martin 02 December 2021 (has links)
Dans un premier temps, nous abstenant de nous prononcer sur le statut ontologique du monde empirique, nous accédons au domaine transcendantal. Il s'agit alors de questionner l'évidence de l'ego-cogito et de thématiser l'intentionalité. Ce faisant, la méditation phénoménologique approfondit la thèse égologique du solipsisme transcendantal. Cependant le corps d'autrui fait toujours l'objet d'une expérience possible, Il est possible d'attribuer a cet autre le sens d'alter-ego puis d'en arriver à constituer une intersubjectivité transcendantale au moyen de l'apprésentation. Nous examinons ensuite les conséquences qu’entraine l'opération d'apprésentation, en nous attardant plus particulièrement à la constitution d'une nature objective et à la constitution d'une communauté intermonadique. Ce cheminement conduit à proposer la thématique de la culture comme problème phénoménologique.
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Place et impact de l’intersubjectivité et des résonances dans et sur le processus intégré de psychothérapie et de supervisionChavannes, Pascal January 2015 (has links)
L’être humain est un être de relation. Il naît et grandit en lien avec l’autre, et ce n’est que graduellement que s’établit un « je », un « tu » et, dans une spirale continue, à la fois le rapport à soi et à autrui. La relation se fonde donc sur le lien intersubjectif et la communication s’active au gré des résonances qui font écho au vécu des différentes personnes en contact les unes avec les autres. De la naissance à la mort, la personne sera constamment et immédiatement renvoyée à l’expérience du « nous », du soi, de l’autre et du lien qui les unit. L’expérience d’un « nous » englobe ce que chacun transporte dans l’instant de rencontre et révèle la singularité du moment. Ceci s’applique à toutes les situations, et en particulier au processus de psychothérapie et de supervision. L’objet de la présente recherche est précisément de démontrer l’existence et les contours de la réalité intersubjective et des résonances mutuelles qui prennent place au cours de séances de thérapie et de supervision. La présente étude explorera donc plus finement, en tenant compte du discours et des associations intérieures des protagonistes, les processus intersubjectifs et les résonances qui s’opèrent entre le client, le thérapeute et le superviseur. Bien que le savoir clinique reconnaisse aujourd’hui que l’intersubjectivité opère en thérapie et en supervision, les recherches empiriques sur les processus et les formes que prennent les mouvements d’intersubjectivité et de résonances qui se produisent à l’occasion de ces interactions, sont limitées. Car si la valeur intersubjective de la psychothérapie et de la supervision est aujourd’hui reconnue, l’explicitation de la nature des processus intersubjectifs en jeu reste à faire. Dans cette recherche exploratoire, l’auteur suit pas à pas, à l’aide du verbatim des séances et des impressions ou échos personnels subséquents des protagonistes, le fil des interactions intersubjectives et le jeu des résonances personnelles qui s’instaurent entre un client, un thérapeute et un superviseur au fil de dix rencontres de thérapie et de supervision. La méthodologie est qualitative et l’approche, phénoménologique et inductive. Les analyses sont séquentielles et portent sur deux niveau : un niveau macroscopique visant à faire ressortir les mouvements intersubjectifs et un niveau microscopique visant à faire émerger le sens et la nature des résonances. Il en ressort que le jeu des influences mutuelles et bidirectionnelles est présent tout au long du processus de thérapie et de supervision. À partir de ce constat, des commentaires sont émis au sujet des interinfluences qui prennent place tout au long des processus de thérapie et de supervision.
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Interprétation du texte symbolique : politique et esthétique dans l'oeuvre romanesque de Charles R. Johnson / Politics and aesthetics in charles Johnson's fiction : reading the subtextBayre, Aurélie 12 March 2011 (has links)
Les études consacrées à Charles Johnson soulignent la distance entre sa vision originale et le Black Arts Movement et le Black Aesthetic, mouvements politiquement engagés. Cependant, ses romans et nouvelles, indéniablement philosophiques, traduisent une réflexion qui interroge les fondements de la politique. Oxherding Tale et Middle Passage montrent des catastrophes politiques (i. e. la plantation nommée Leviathan ou le négrier appelé Republic) alors que les héros de ces romans explorent différentes esthétiques. Le désastre politique provient donc d’une incapacité esthétique. Inversement, les voyages métaphysiques des personnages principaux aboutissent à de nouvelles façons de percevoir le monde et les autres au travers d’une intersubjectivité esthétique. La comparaison des théories de Schiller et d’Adorno sur l’art et la politique avec la vision bouddhiste de l’auteur sur l’art et ses effets sur le monde, permet de faire émerger de l’ensemble de l’oeuvre de Charles Johnson sa quête esthétique et sa philosophie politique qui définissent l’action comme une co-création. En conclusion, si l’oeuvre de Charles Johnson, héritier de la fiction morale de John Gardner, est le lieu d’une libération esthétique et spirituelle, elle est aussi une contribution à la construction de ce qu’Arendt appelait le monde, et sa définition de l’art correspond à l’enracinement de Simone Weil. / Those who have commented on Charles Johnson’s fiction often find a distance between his work and Black Aesthetic or the Black Arts Movement, and indeed his fiction is not committed to any racial politics. Nevertheless, it does reflect on the bases of politics and bring them into question. Since Oxherding Tale and Middle Passage have political catastrophes as backgrounds (i.e. Flo Hatfield’s Leviathan or Falcon’s Republic) on which the heroes explore different aesthetic systems, it can be argued that political failure stems from aesthetic impairment. Conversely, as the metaphysical journeys of Charles Johnson’s characters end in new ways of perceiving the world, the relationship between self and other is re-evaluated in aesthetic intersubjectivity. Moreover, an examination of Schiller’s and Adorno’s ideas regarding the link between art and politics serves as a comparison with the novelist’s Buddhist understanding of art and its effect upon the world. Consequently, an analysis of the subtext highlights Johnson's aesthetic quest and its relation to a philosophical inquiry into politics. Thus, political action is defined as a co-creative work. In conclusion, while for Charles Johnson fiction is the space for aesthetic and spiritual liberation, it also starts an ethical rebuilding of what Hannah Arendt called the world, and Johnson's definition of art is an answer to what Simone Weil termed as the need for root.
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Intersubjectivité et réalité effective chez HusserlLeclerc, Christian January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La question du sujet dans l'oeuvre de Paul Ricoeur : le projet d'une herméneutique du soiVallée, Marc-Antoine January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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« On est semblant ! » : symbolisation et intersubjectivité dans des groupes thérapeutiques de jeunes enfants autistes, psychotiques et instables pathologiques / “On est semblant!” : symbolization and intersubjectivity in therapeutic groups for young autistic, psychotic, and pathologically unstable childrenJacquet, Eric 13 March 2009 (has links)
Le processus de symbolisation, en tant qu’il a pris forme dans les liens intersubjectifs, est étudié à partir d’une clinique issue d’un dispositif de soin groupal de très jeunes enfants, souffrant de pathologies « aux limites » de la symbolisation et des capacités intersubjectives. Ces groupes constituent un terrain privilégié d’observation des premières modalités d’auto-saisissement, dans les liens interpersonnels, des processus de pensée et de leurs avatars. Il ressort de l’analyse du dispositif et du processus, la nécessité d’un repositionnement théorico-clinique par rapport à des modèles apparaissant le plus souvent mal articulés ou insuffisamment instruits d’une clinique du proto-représentatif et de l’intersensoriel. Il convient, en outre, de tendre vers une complexification, dans l’approche de la dialectique du cadre et du processus, qui envisage la limite comme une construction interne à partir des boucles intersubjectives. C’est dans cette perspective que sont repérés divers niveaux d’« épreuve du cadre » et du « co-éprouvé» en groupe, apparaissant comme autant de tentatives d’organisation des représentations de choses, en référence donc à la symbolisation primaire. Sont envisagés quatre axes organisateurs du processus thérapeutique groupal : la disposition du cadre à la potentialité de sens ; la mise en représentation différenciée des éléments humains et non humains du cadre grâce à l’avènement de la pensée animique ; la transitionnalisation du surmoi préoedipien à travers le « bon usage » de l’interdit du toucher ; le travail du double au sein duquel la fonction des imitations est essentielle. Ils conduisent à appréhender des manières prélatentes de symboliser, intelligibles aux charnières des théories de la symbolisation, de l’intersubjectivité, de l’intersensorialité et de la sensori-motricité. La question des différents états du signe et celle du statut métapsychologique des imitations sont notamment au centre de ces articulations. / The process of symbolization, as it takes shape through intersubjective bonds, is observed in a clinical study using a group setting of young children suffering with pathologies «at the limits» of symbolization and the capacity to be in intersubjective relationships. These groups are a privileged field of observation of primary modes of self-reflexion, in interpersonal relationships, of thought processes and the eventual mishaps. Analysis of setting and process show the necessity of repositioning clinical theory concerning current models, which are often poorly defined or insufficiently linked with clinical evidence of representative prototype and intersensoriality. It would be interesting as well to move towards a more complex approach of setting and process, which would consider the limit as an internal construction emanating from intersubjective feedback. From this viewpoint, different levels of “setting tests” and “shared experiences” in the group can be identified, appearing as attempts to organize representations of things, in reference to primary symbolization. Four axes are presented to describe the organization of process in therapeutic groups : the disposition of the setting towards a potential for meaning ; the organisation of representation as being differenciated from human and non-human elements of the setting as a result of the onset of animic thought ; the transitionnalization of the pre-oedipal superego through the “good utilization” of the interdiction of touch ; the intervention of the “double” with which the imitation function is essential. These lead to the apprehension of prelatent possibilities of symbolizing, yet intelligible at the junction of theories of symbolization, intersubjectivity, intersensoriality, and sensori-motricity. The question of different conditions of the “sign” and of the metapsychological status of imitations is especially important to these articulations.
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Transferts discursifs et intersubjectivité chez Blutch : une recherche esthétique et critique en bande dessinéePépin-Nadeau, Jonathan January 2009 (has links) (PDF)
Notre mémoire vise à étudier l'oeuvre du bédéiste français Blutch en ayant comme point d'appui les portées esthétiques et critiques des jeux interdiscursifs qui s'y manifestent. Ainsi, une réflexion originale sur les spécificités et les potentiels narratifs de la bande dessinée semble se déployer, chez Blutch, au sein d'un ensemble diversifié d'emprunts, de citations et de collages qui puisent dans la bande dessinée, mais aussi dans la littérature, le cinéma, la musique (le jazz, principalement), la danse, le théâtre et les arts visuels.
À travers Waldo 's Bar (1993), Sunnymoon tu es malade (1994) et Mitchum (1996-1999), nos objectifs d'études sont de repérer ce que le discours de la bande dessinée fait des autres discours pour ensuite analyser les problématiques d'auteurs que ces transferts alimentent. L'hypothèse, au coeur de notre mémoire, tend donc à faire de l'interdiscursivité, chez Blutch, le moteur des enjeux singuliers de son oeuvre comme, de manière secondaire, l'occasion d'une légitimation de son médium dans le champ culturel et artistique. Le repérage des divers transferts discursifs au sein des albums ciblés de l'auteur nous a permis, en ce sens, de mettre en lumière un questionnement polysémique, entre originalité et dérivation, autour des problématiques centrales suivantes: une recherche d'abstraction de l'action en bande dessinée, une représentation de l'opacité et du mystère de l'intersubjectivité comme des modalités, des jeux d'influences et des codes de la création. Présent partout mais visible nulle part, Blutch privilégie ultimement la création d'ambiances, le mystère de l'émotion et l'implication subjective sur l'intrigue et le réalisme caractéristique de la production classique en bande dessinée. Nos conclusions soutiennent par ailleurs que son approche transactionnelle et interdisciplinaire est un travail d'innovations qui exploite la perméabilité de son médium et met au jour le statut ambivalent d'auteur de bande dessinée dans la sphère institutionnelle mouvante de la légitimité culturelle et artistique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Bande dessinée, Sémiotique de la bande dessinée, Interdiscursivité, Esthétique, Représentation du sujet.
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Ça ne dure jamais plus d'une heure, le ciel ; suivi de, Donner sensBrault, Vincent 02 1900 (has links) (PDF)
La première partie de ce mémoire de maîtrise présente un recueil qui compte huit nouvelles et quatre récits. « Ça ne dure jamais plus d'une heure, le ciel » regroupe des textes à première vue hétéroclites, mais qui sont tous mus par une idée, celle de la rencontre, ou plutôt celle de l'impossibilité de la rencontre. Les nouvelles deviennent des récits et les récits, des fictions. Les personnages, qu'ils aient réellement existé ou non, partagent les mêmes lieux (Canada, Grande-Bretagne, Afrique du Sud, Népal, Chine, etc.) et les mêmes préoccupations philosophiques, ces dernières étant regroupées autour du thème de la solitude. Peut-on se quitter soi-même pour aller vers l'autre? Tous les textes de ce recueil enferment cette question dans un cercle vicieux qui, dans un effet boomerang, résout et ne résout pas le problème. S'ensuit une construction presque toujours circulaire où la fin du texte renvoie à son commencement et vice versa. La deuxième partie de ce mémoire est un essai des plus personnels sur ma démarche d'écrivain. En vingt-cinq fragments réunis sous le signe du problème de l'intersubjectivité, « Donner sens » explore le problème du partage des expériences -qui est au cœur de la partie création de ce mémoire-, mais aussi celui de la mort, où se cristallisent paradoxalement les questions du sens de la vie. Peut-on réellement sortir de soi et toucher l'autre en n'utilisant que des mots? La réponse ne peut être qu'antinomique, évidemment, puisqu'elle ne peut s'articuler qu'en mots, justement. Le corpus de références qui a permis d'écrire cet essai est essentiellement issu de la tradition phénoménologique (Husserl, Heidegger, Merleau-Ponty), mais se nourrit aussi de la pensée d'auteurs littéraires latino-américains tels Jorge Luis Borges et Julio Cortázar.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : nouvelle, récit, solitude, sens, intersubjectivité.
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Justice et solidarité : pour une refondation philosophique de l'action sociale / Justice and solidarity : towards a Philosophical Foundation of Social ActionBuisson, Corinne 06 January 2009 (has links)
L’action sociale, comme ensemble des prestations et interventions mises en œuvre dans le cadre de l’Etat-Providence, traverse une crise qui, depuis trois décennies, met à mal les pratiques sociales. Cette crise n’est autre qu’une crise de légitimité, c’est à dire une crise des valeurs sur lesquelles s’appuie l’action sociale pour intervenir au sein de la société civile. La fin du dix-neuvième siècle a vu, avec la naissance de la sociologie, consacrer la valeur de solidarité comme la valeur de référence de l’action sociale. Les modèles théoriques proposés pour la compréhension et l’interprétation de la question sociale procèdent, pour une grande partie d’entre eux, par opposition de concepts. Ainsi se retrouvent opposés justice et solidarité, autonomie et intégration sociale, individu et société, mettant les travailleurs sociaux dont la mission essentielle consiste à restaurer l’autonomie des personnes en difficulté sociale, dans une situation paradoxale intenable puisqu’ils ne peuvent penser ensemble comme les deux volets de leur mission. Le nécessaire rééquilibrage des valeurs de justice et de solidarité, d’autonomie et d’intégration, réclame un nouvel humanisme débarrassé des scories métaphysiques. Deux philosophes contemporains se sont attelés à cette tâche, Alain Renaut avec une critique de l’individualisme moderne et Jurgen Habermas avec sa théorie de l’agir communicationnel. / Social work wich can be understood as a set of benefin and service implemented into the welfare state is going through a crisis from about three decades that makes more difficult for social workers to reach their achievements. This social crisis is nothing but a legitimacy crisis that is to say a crisis of the values wich social work is based on to interfere with civil society. The end of the ninetiinth century and the emergency of sociology as a social science have established solidarity as the exclusive reference value in social work. The theorical patterns proposed to understand and interpret what can be called the social issue are proceeding, for the most part of them, by putting concepts the ones angain the others, justice against solidarity, self sufficiency angainst social intégration, individual against society. These oppositions are putting social worker whose main role is to work to achieve disavantaged people’s self-sufficiency and social integration, in a paradoxical situation as they can’t think together these two concept as for justice and solidarity. To restore the balance between justice and solidarity, self-suffiency and social integration, it is necessary to conceive a new idea of humanism in getting rid of metaphysical dross. Two contemporary philosophers buckle down this task, Alain Renaut in carrying out a modern individualism criticism that leaves some place to subjectivity, and Jürgen Habermas in conceiving a theory action based on communication.
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Le rapport à l’Autre dans Entre les eaux, L’Écart et L’Autre face du royaume de Valentin Yves MudimbeKavaka, Noel 18 January 2022 (has links)
La présente thèse analyse deux romans et un essai de Mudimbe, dont l’œuvre exploite les enjeux de l’héritage colonial sur la conscience de l’intellectuel africain. Composé de romans sous la forme d’un monologue, notre corpus présente un « Je » (ancien colonisé) qui met en procès un « Autre ». Si cet « Autre » peut prendre plusieurs formes (le colonisateur, l’Occident, la femme occidentale, le missionnaire, et même l’Afrique), il reste que les rapports que le sujet postcolonial entretient avec ces différentes formes d’altérité ont en commun d’être marqués négativement.
Le travail consiste à déterminer ce qui préside à ces rapports négatifs à l’Autre, rendant toute relation intersubjective presque impossible. L’hypothèse principale est que l’expérience coloniale serait à l’origine du déséquilibre du « je », lequel impacte sur la relation à l’Autre. Cependant, l’analyse montre qu’il est plus approprié de dire que le rapport à l’Autre est biaisé par deux déterminismes : l’histoire coloniale et le déterminisme social. Entre les eaux représente l’Autre par le christianisme ou le marxisme et L’Écart par l’histoire ou la psychanalyse, L’Autre face du royaume (essai) le représente par l’ethnologie, science coloniale. Toutefois, après avoir essayé de prendre ses distances avec ce qui représente l’Occident, sans vraiment y parvenir, le sujet postcolonial déroute le lecteur en refusant d’embrasser son Afrique. Au final, le sujet postcolonial, loin d’idéaliser l’Afrique ou d’en faire un paradis à retrouver, ou de se confondre au maître occidental, ne renie ni l’un ni l’autre. Il ouvre ainsi la voie à une identité hybride.
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