• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 4
  • 4
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Origine de la variabilité de réponse à l'effet mâle / Origin of variability in response to the male effect

Chanvallon, Audrey 17 November 2009 (has links)
L’effet mâle est une technique naturelle provoquant des cycles estriens chez des brebis en anoestrus mais cette réponse est très variable. Deux facteurs sont susceptibles de contribuer à cette variabilité : le génotype et l’âge des brebis. Nous avons montré que l’effet mâle était efficace en fin d’anoestrus quelle que soit la race. En revanche, en début et milieu d’anoestrus, la réponse était variable en fonction de la race, de l’année et du site. Cette étude précise l’utilisation de l’effet bélier selon la race et remet en question la profondeur d’anoestrus comme prédicteur de la réponse. Le manque d’expérience sexuelle chez les jeunes peut être responsable de leur faible réponse à l’effet mâle, nous avons montré qu’un contact précoce avec le mâle et la sélection génétique d’un tempérament calme ne compensaient pas ce manque d’expérience. Une expérience précoce avec le mâle peut même être stressante et avoir des effets négatifs à long terme sur la fonction de reproduction. La réponse réduite à l’effet mâle chez les jeunes est corrélée avec une faible activation centrale, en effet nous n’avons mis en évidence qu’une activation partielle des systèmes olfactifs. / The ram effect is a natural technique for inducing oestrous cycles in anoestrous ewes, but the response is highly variable. Two factors are known to contribute to this variability: genotype and the age of the ewes. We have shown that the ram effect was effective at the end of anoestrus regardless of breed. However, at the start and the middle of anoestrus, the response was influenced by the breed, the year and the location. This study helps to define the best times to use the ram effect for several breeds of sheep and it also questions the effectiveness of depth of anoestrus as a predictor of responses to the ram effect. The lack of sexual experience in young animals contributes to their lower response to the ram effect, we have shown that early contact with sexually active rams or genetic selection for calm temperament did not compensate for this lack. Indeed, early sexual experience may even be stressful and had long term inhibitory effects on the reproductive function. The reduced response to the ram effect in young animals was correlated with a low central activation, indeed we showed that olfactory systems were only partially activated in response to the male or his odor in sexually naive ewes.
2

Les chevauchements, enregistrés automatiquement lors de la reproduction des ovins, sont indicateurs de la libido des béliers et de la valeur reproductive des brebis / Automatically recorded mountings of rams provide information on their libido and breeding value of ewes

Alhamada Alhamada, Moutaz 16 December 2016 (has links)
La demande en produits animaux pousse les éleveurs à réduire les intrants et supprimer les traitements hormonaux pour la maîtrise de la reproduction des ovins. Ces exigences ont relancé les études sur des méthodes qui s’appuient davantage sur les comportements spontanés des mâles et des femelles. Le détecteur électronique des chaleurs, développé par l’UMR Selmet, semblait prometteur et il fallait l’accompagner de validations expérimentales. Ces études ont été réalisées en race Mérinos d’Arles du Domaine du Merle qui sont élevées en système d’élevage extensif et se reproduisent à contre saison. Nous avons tout d’abord validé ce détecteur sur des brebis suivies par vidéo. Nous montrons que 93% des chevauchements sont effectivement enregistrés et comme les brebis en œstrus acceptent plusieurs chevauchements : toutes les brebis sont détectées. Dans une deuxième étape nous avons utilisés plusieurs béliers avec des effectifs plus importants (n=60). Ceci nous a confirmé, pour la brebis des fortes variabilités 1) de la réponse aux traitements hormonaux, 2) de la durée des chaleurs et 3) du nombre de chevauchements par brebis. Pour les béliers, nous avons mis en évidence une forte dispersion du nombre de chevauchements qui s’est répétée, avec les mêmes brebis, sur les cycles suivants. Nous avons ensuite étudié plus précisément le comportement sexuel des béliers en les plaçant en test visuel (méthode de référence) avec quelques brebis en chaleur. Pour cela nous avons évalué 6 béliers entiers Mérinos et 6 béliers vasectomisés Mourérous, à un an d’intervalle lors de la lutte de printemps et aussi à celle d’automne. Nous avons retrouvé les amplitudes classiques des variations saisonnières sur les activités des béliers aux trois saisons.Nous avons montré que la libido des mâles définie par la somme de leurs activités pré-copulatoires ou copulatoires était bien corrélée (r=+0,80, n=18) aux chevauchements mesurés avec le détecteur sur plusieurs centaines de brebis la libido peut être assimilée aux activités copulatoires que nous mesurons avec les chevauchements. De plus, nous obtenons une corrélation claire entre les activités copulatoires observées et collectées automatiquement en troupeaux. Le classement des béliers selon leur libido sont était très répétable intra-saison (de cycle a l’autre) et enter-saison (d’une saison à l’autre). A un an d’intervalle la répétabilité a été meilleur (94%) avec les chevauchements qu’avec les mesures des tests (80%). Sachant que la fertilité des brebis sous-alimentées est plus faible, nous avons étudié les comportements de brebis ayant subi 3 régimes alimentaires contrastés appliqués pendant 3 mois. Nous montrons que la réceptivité et la proceptivité de brebis ne changent pas selon leur état nutritionnel, par contre leur capacité à attirer les béliers (attractivité) est d’autant plus forte qu’elles sont plus lourdes et/ou qu’elles avaient des profils métaboliques favorables (métabolites et hormones). Ces données, obtenues en lot expérimental par des méthodes de référence, ont été validées en troupeau avec le détecteur électronique. Dans la discussion générale, nous reprenons nos résultats pour montrer qu’en système d’élevage extensif les brebis jouent un rôle central dans l’attraction, ou pas, des béliers. Ces béliers, bien que choisis pour la reproduction, ont des libidos très variables mais répétables. Le détecteur de chaleur, inclus dans un système d’élevage de précision, pourrait servir en élevage pour améliorer la reproduction des ovins en s’appuyant sur ces connaissances. / Automatically recorded mountings of rams provide information on their libido and breeding value of ewes.Abstract:The demand for livestock products pushes farmers to reduce inputs and remove hormonal treatments used to control ewe’s reproduction. These trends put forward research lines that are aimed to study sexual behaviours of both rams and ewes. The electronic oestrus detector, developed by UMR Selmet, looked promising but still had to be accompanied by further experimental validation. Our studies were conducted on Merino’s d’Arles sheep of Domaine de Merle, which are bred in an extensive farming system with a mating period occurring in spring as many other Mediterranean breeds. Our first step was to validate the electronic detector on sheep by comparison to video observation. We showed that 93% of mounts are registered, and as ewes in oestrus accept multiple mounts: all the ewes are detected with this device. In a second step we used several rams (n=6) with a larger number of ewes (n = 60). This confirmed that ewes express a strong variability 1) of the timed response to hormonal treatments, 2) of the oestrus duration and 3) the total number of mounts per ewe. We also demonstrated that the wide dispersion of the number of mounts done by rams was however repeated, with the same flock, in subsequent cycles.Then, we focussed on ram sexual behaviour by placing them with few oestrus ewes under visual test (the reference method). We evaluated 6 intact Merino rams and 6 vasectomized rams of the Mourerous breed, this test was done thrice: at spring one year apart and also at the autumn. We found conventional amplitude of seasonal variations on the activities of rams during the three seasons. We demonstrated that male libido, defined by the sum of their pre-copulatory and copulatory activity, was well correlated (r = + 0.80, n = 18) with the counted mounts by the detector of the same rams but with several hundreds of ewes. Therefore, the libido can be estimated by number of mounts. In addition, we get a clear correlation between the observed copulatory activities and automatically collected mounts within a flock of ewes. We found that ranked rams’ libido scores are repeated. This is very stable within-season (one cycle) and between-seasons (from one season to the next). A one year apart repeatability of mounts was better (94%) within the flock than when measured by mounts number during tests (80%). Given that fertility of undernourished ewes is lower, we studied the behavior of ewes that underwent three contrasting diets applied for 3 months. We observed that receptivity and proceptivity of ewes do not change according to their nutritional status, through against their ability to attract the rams (attractiveness) is much stronger if they are heavier and/or had favorable metabolic profiles (metabolites and hormones). These results were further confirmed within rams’ mating flock (when bodyweight are widespread). In the discussion, we resume our results that show that within extensive livestock system, ewe plays a central role in attracting or not the rams. These rams, although chosen for breeding, have very variable but repeated libido score. The electronic oestrus detector, included in a precision farming system, could be used to improve the breeding of sheep, based on this knowledge.Keywords: sexual behaviour, preferential mating, libido, attractiveness, receptiveness, proceptivity and precision farming.
3

La réduction du temps de contact entre mâles et femelles ne diminue pas les réponses ovulatoire et reproductive de chèvres à l'effet mâle pendant l'anoestrus / The reduction of daily contact between sexes does not decrease ovulatory and reproductive responses of goats exposed to males during the seasonal anoestrus

Bedos, Marie 19 March 2013 (has links)
La saisonnalité de la reproduction consiste en l’alternance entre des périodes d’activité et de repos sexuel. Ce phénomène s’observe chez les caprins de la région subtropicale du Mexique et rend impossible la reproduction à contre saison. La réintroduction d’un mâle dans un groupe de femelles peut rompre l’anoestrus saisonnier et rapidement stimuler leur activité ovarienne. Cependant, l’utilisation de boucs induits à un comportement sexuel intense pendant la période de repos sexuel au moyen d’un traitement lumineux –mâles photo-stimulés- est nécessaire afin d’assurer la qualité de la stimulation fournie par ceux-ci. Le temps de contact entre les sexes est un autre facteur pouvant moduler la réponse des femelles et il a longtemps été suggéré que ce contact devait être maintenu de manière continue (24h/24) pendant plusieurs jours afin que la majorité des femelles ovulent. L’objectif de cette thèse a été de déterminer si une réduction du temps de contact journalier entre les sexes diminue les réponses ovulatoire et reproductrice de chèvres en anoestrus saisonnier exposées aux mâles. / Seasonality of reproduction consists of alternations between periods of sexual activity and sexual rest (anoestrus). This seasonality is observed in goats from subtropical Mexico and makes impossible out-of-season reproduction. The reintroduction of a male in a group of females can break the seasonal anoestrus and quickly stimulate ovarian activity. However, the use of bucks induced to a high sexual activity during the sexual rest by a treatment of long days –photo-stimulated males- is necessary to ensure the quality of stimulation provided by them. The duration of contact between sexes is another factor that modulates the response of females and it has long been suggested that it should be maintained continuously (24h/24) for several days so that the majority of females ovulate. The purpose of this thesis was to determine whether a reduction of daily contact between sexes decrease ovulatory and reproductive responses of goats exposed to males during the seasonal anoestrus. The results indicate that duration of contact between sexes can be drastically reduced from 16 to 1 h per day without reducing the ovulatory and reproductive responses of females.
4

Caractérisation des ovulations silencieuses induites par effet mâle chez la brebis en anoestrus saisonnier / Characterization of silent ovulations induced by ram-effects in seasonal anestrus ewes

Adib-Lesaux, Achraf 15 December 2014 (has links)
La première ovulation induite par effet mâle chez la brebis anovulatoire en anoestrus saisonnier est souvent accompagnée d’un développement de cycles courts qui peuvent être contrecarrés par un traitement progestatif préalable. Nos travaux ont montré que la réponse au mâle est plus rapide en fin d’anoestrus en raison d’une sélection à J0 de follicules dont le stade de développement est plus avancé. En parallèle, ils apportent de nouvelles connaissances sur le mécanisme d’action par lequel la progestérone parvient à supprimer les cycles courts induits par effet mâle, en modulant certaines caractéristiques de la dynamique de croissance folliculaire et en améliorant l’activité stéroïdogénique des follicules préovulatoires. Cependant, d’autres études sont nécessaires pour étudier l’impact de ces effets sur la qualité ovocytaire et la fertilité de ces premières ovulations induites par effet mâle sur un plus grand nombre d’animaux. / The first ovulation induced by male effect in anestrous ewes during the non-breeding season usually result in the development of short cycles that can be avoided by progesterone priming. Our results show that ewes ovulate earlier in June due to selection at J0 of follicles in a more advanced stage of development. However, these observations seem to be unrelated to the luteal outcome after male effect. In parallel, we demonstrate the positive effect of progesterone on the completion of follicular growth and the improvement of the ability of these follicles to respond properly to LH surge and to synthesis ovarian steroids. However, further studies are required to understand whether these changes have functional consequences on the quality of oocytes induced by the male effect and in fertility after male effect on a large number of animals.

Page generated in 0.0495 seconds