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L'adaptation orthographique des anglicismes lexématiques au Québec, perspective historique

Guay, Thérèse January 2000 (has links) (PDF)
No description available.
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Le fonctionnement des anglicismes lexématiques dans le magazine humoristique québécois Croc

Kramar, Nataliya 19 April 2018 (has links)
Cette thèse touche à la problématique de l’anglicisme en français québécois. Elle étudie d’une manière approfondie deux aspects, dénotatif et connotatif, du fonctionnement de quinze anglicismes lexématiques québécois (bingo, cheap, chum, coke, fun, gang, hamburger, hot-dog, job, joke, party, pinotte, pot, smatte, waiter/waitress). Nous avons postulé que rendre compte de ce double fonctionnement permettrait d’expliquer à quoi tient la vitalité des anglicismes québécois, de saisir leur lien avec l’identité québécoise, et de mieux comprendre les causes internes du phénomène de l’anglicisme. Le corpus tiré du magazine humoristique québécois Croc (1979-1995), riche du point de vue de l’usage des anglicismes, et significatif eu égard à l’identité québécoise, s’est avéré pertinent pour atteindre nos objectifs. Suite au dépouillement de Croc, nous avons constitué une base de données des anglicismes ; les quinze mots les plus fréquents de cette base ont fait l’objet d’un examen approfondi. Pour analyser leurs dénotations, nous nous sommes appuyée, pour l’essentiel, sur la méthode élaborée par Mel’čuk, Clas et Polguère dans l’Introduction à la lexicologie explicative et combinatoire (1995). Pour examiner leurs connotations, nous avons repris, en l’ayant adaptée à nos besoins, la typologie établie par Kerbrat-Orecchioni dans La connotation (1977), et nous avons développé, à partir de diverses sources, quelques techniques permettant de décoder les connotations des anglicismes à partir de textes écrits. Deux constats principaux se dégagent de notre analyse. L’étude des dénotations des anglicismes démontre leur polysémie, témoin de leur vitalité comprise comme « productivité sémantique » (sens linguistique du terme vitalité). L’analyse des connotations permet d’expliquer la vitalité des anglicismes, comprise dans le sens large du terme, celui de « dynamisme, énergie, spontanéité ». En effet, la nature « glissante » – parce que très diversifiée, ludique, liée à un espace-temps et à une vision du monde spécifiques – des connotations révèle leur texture, à proprement parler, vivante et leur lien étroit avec une identité particulière (québécoise en l’occurrence). Bien que résistantes à toute forme de fixité, les connotations n’en sont pas moins susceptibles d’une certaine codification et d’une certaine description, comme essaie de le démontrer cette étude. / This thesis deals with the problem of lexical borrowing from English into French. More precisely, we analyse the way English loanwords function in Quebec French (QF), after having assumed that a better understanding of this functionning can provide an explanation as to the vitality of these anglicisms in QF, as well as help to grasp the relation between these anglicisms and Quebec identity, and shed some more light on the causes of the loanword phenomenon. Our corpus has been extracted from the Croc humor magazine, rich in English loanwords and revealing, as it appeared to us, in terms of Quebec identity. Thirty issues of this magazine were looked through in order to establish our database of lexical anglicisms. The fifteen most frequent words of this list (bingo, cheap, chum, coke, fun, gang, hamburger, hot dog, job, joke, party, pinotte, pot smatte, waiter/waitress) were then analyzed according to two aspects. First, to describe denotations, we partly applied models supplied by the Explanatory and Combinatorial Lexicology Framework developped by Mel’čuk, Clas and Polguère (1995). Then, to identify the connotations of anglicisms in the texts of Croc, we used an adaptation of the classification of connotative facts established by Kerbrat-Orecchioni in The Connotation (1977). Our analysis of lexical anglicisms in QF led to two main conclusions. First, the study of denotations has revealed their polysemy, i.e. “ semantic productivity ”, which proves their vitality in the linguistic, limited, sense of the word. The study of connotations seems to help to explain their vitality in the broad sense of the word, i.e. “ dynamism, energy, spontaneity ”. The “ slippery ” essence of connotations – diverse, playful, related to a given space and time and to a certain “ worldview ” – has indeed confirmed their vital texture and revealed their close relation to a specific (namely Quebec) identity. Our thesis tries to show that codification of connotations, however difficult, is possible to some extent.
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Sens influencés de l'anglais en français au Québec : utilisation, perception et intégration

Paquet-Gauthier, Myriam 23 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2015-2016 / Cette recherche porte sur le phénomène de l'influence sémantique de l'anglais sur le français au Québec. Nous nous intéressons en particulier à la relation entre la perception qu'ont les locuteurs québécois de sens influencés de l'anglais et les conditions d'utilisation et d'intégration de ces sens à la signification lexicale en français. Cette question est abordée à travers l'étude de 19 unités lexicales traditionnellement considérées comme des emprunts sémantiques à l'anglais. Suivant une double analyse menée sur un corpus lexicographique composé de 61 ouvrages et sur un corpus de productions authentiques appartenant à différents types de discours d'un volume total de 427,5 millions d'occurrences-mots, il apparaît que le facteur principal permettant à un sens « étranger » d'être utilisé en français n'est pas lié exclusivement à la ressemblance formelle entre les unités lexicales en français et en anglais, mais est plutôt d'ordre sémantique. Le degré d'intégration de ce sens « étranger » à la signification lexicale dépend de la perception, par les locuteurs, d'une communauté de sens entre celui-ci et les autres acceptions de l'unité lexicale.
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Nativisation phonologique et importations dans les emprunts anglais nord-américains en italien calabrais : données statistiques et implications théoriques

Savard, Mélanie 12 April 2018 (has links)
Notre thèse porte sur les adaptations phonologiques et les non-adaptations (N-A) dans les emprunts anglais nord-américains (ANA) en italien calabrais (IC). Notre corpus comporte 9 620 malformations segmentales et syllabiques relevées dans 2 161 emprunts lexicaux. L'analyse phonologique de ces malformations a été effectuée dans le cadre de la Théorie des contraintes et des stratégies de réparation (TCSR) de Paradis (1988a, b, 1990, 1993, entre autres), laquelle nous permet de montrer que les adaptations d'emprunts se font généralement de façon régulière et prévisible. Nous avons également analysé le traitement des patrons accentuels dans les emprunts ANA en IC, deux langues à accent libre et non prévisible. Il en ressort que les italophones réussissent à transposer l'accent anglais en italien avec ses caractéristiques phonologiques (c'est-à-dire que la langue receveuse (Ll) ne change généralement pas la position accentuelle dans les emprunts) malgré le fait qu'il existe des différences phonétiques importantes à propos de l'accent entre ces deux langues. Nous montrons que ceci tend à appuyer l'hypothèse selon laquelle les emprunts sont adaptés de façon catégorielle, c'est-à-dire phonologique, plutôt que l'hypothèse phonétique. Toutefois, l'aspect particulièrement novateur de notre thèse est de montrer que certaines non-adaptations (N-A) sont plus fréquentes que d'autres. En effet, il appert que les N-A syllabiques sont plus fréquentes que les N-A segmentales et que, parmi les N-A segmentales, les consonnes sont plus nombreuses à être non adaptées que les voyelles. Puis, dans les corpus d'emprunts du Projet CoPho pour lesquels les voyelles nasales ont été étudiées en tant que malformations segmentales, nos résultats révèlent que, parmi les malformations vocaliques, les N-A de voyelles nasales sont plus fréquentes que les N-A de voyelles orales. C'est la première fois que de telles prédictions quant aux N-A dans les emprunts sont formulées. Nous expliquons une première partie de nos résultats, soit un taux de N-A syllabiques supérieur au taux de N-A segmentales, à partir de la hiérarchie des niveaux phonologiques selon laquelle le palier syllabique est plus organisationnel (parce qu'il est situé plus haut dans la hiérarchie) que le palier segmental. Nous montrons que les structures syllabiques, parce qu'elles sont plus organisationnelles, sont plus facilement repérables que les segments. Nous expliquons la seconde partie de nos résultats, soit un taux de N-A consonantiques supérieur au taux de N-A vocaliques, par le fait que les consonnes, plus stables et plus catégorielles que les voyelles, sont plus facilement repérables que ces dernières. Cela explique également pourquoi, parmi les N-A vocaliques, les voyelles nasales, lesquelles contiennent en forme sous-jacente une consonne (nasale) en plus d'une voyelle (orale), sont plus souvent non adaptées que les voyelles orales, lesquelles sont monophonémiques, c'est-à-dire composées d'une simple voyelle.
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L'emprunt lexical à l'anglais dans le français oral des locuteurs bilingues de Sudbury : contrainte ou enrichissement pour une langue minoritaire

Raymond, Valérie 17 April 2018 (has links)
La présente étude porte sur les emprunts linguistiques de nature lexicale fait par un groupe de Franco-Ontariens. L'objectif de l'étude consiste à décrire l'état de la langue française minoritaire en Ontario et d'évaluer les emprunts à l'anglais dans le domaine lexical. En particulier, nous examinons les emprunts relevant de quelques domaines d'activités spécialisés, de même que ceux relevant de la langue générale. Nous évaluons les catégories grammaticales des mots en cause, l'attribution du genre grammatical aux emprunts et l'influence que peuvent avoir certains facteurs sociaux et linguistiques sur ce phénomène. L'étude est menée dans un cadre sociolinguistique où deux langues sont en contact permanent. L'échantillon reflète l'usage spontané de trente adultes francophones de Sudbury, Ontario. Ces derniers ont rempli un questionnaire sociolinguistique et ils ont été sollicités pour un entretien enregistré portant sur quatre thèmes préétablis, en plus de la langue générale. Le dépouillement du corpus a consisté à repérer tous les emprunts à l'anglais qu'ont fait les locuteurs et à les classer selon leur domaine d'emploi, leur catégorie grammaticale et, pour ce qui est des substantifs, leur genre. Subséquemment, une analyse des données en fonction des renseignements fournis dans les questionnaires a permis de répondre aux questions d'ordre sociolinguistique qui faisaient l'objet de la recherche.
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L'emprunt de « fuckin' » en français québécois parlé à Montréal : un cas d'infixation / Emprunt de fucking en français québécois parlé à Montréal

Tremblay, Alice 29 April 2020 (has links)
Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi / Cette étude établit le statut d’infixe de l’emprunt fuckin’ en français québécois parlé à Montréal. L’infixation de fuckin’ est un phénomène bien connu en anglais, mais qui n’a fait l’objet d’aucune étude approfondie en français du Québec jusqu’à maintenant. Une analyse de 1200 tweets du français parlé à Montréal et de près de 1000 tweets de l’anglais a permis de décrire et de quantifier les usages de fuckin’ pour la zone géographique à l’étude. Cette analyse révèle que la grammaticalisation de fuckin’ est en cours en français parlé à Montréal et que les usages morphologiques de fuckin’ ont bel et bien intégré cette variété de français. Pour mieux explorer le phénomène en question en synchronie, cette contribution compare les usages de fuckin’ en français avec ses usages en anglais. La comparaison des deux corpus de tweets indique que l’infixation n’est pas plus ancrée dans l’usage en anglais qu’en français et que le statut de l’infixation est similaire dans les deux langues, du moins à Montréal. Il semble cependant que le processus d’infixation diffère, entre autres en raison de la structure accentuelle différente de l’anglais et du français.

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