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La psukhê et les phrenes sont malades. Représentations du délire à l'époque classique (VIe-IIIe)

Le Person, Gwenaëlle 18 September 2007 (has links) (PDF)
Les médecins et les biologistes de l'époque classique, qu'il s'agisse des Hippocratiques ou d'Aristote, décrivent et expliquent les altérations du raisonnement d'un point de vue physiologique et tentent d¤établir une typologie des troubles qui affectent la psukhè et les phrenes en distinguant diverses pathologies spécifiques telles que la mania, l'épilepsie et la mélancolie. Méthode et raisonnement tendent vers la rationalité, ils peuvent paraître en opposition avec le discours platonicien et les descriptions du théâtre tragique qui attribuent une origine divine aux troubles de la raison. Chez Platon, la mania, qu'elle soit érotique, poétique, mantique ou télestique est présentée comme un bienfait pour les personnes qui en sont atteintes, tandis que dans la tragédie, les troubles de la raison sont décrits comme une altération des phrenes et associés à la souffrance et à la destruction. Ces ensembles documentaires soulignent que la « folie » est polymorphe et qu'il n'existe pas de représentation unifiée du délire. Cependant, entre eux, des accords existent dans les domaines de la description des symptômes de certaines affections, notamment de la mania, comme du vocabulaire employé pour dire les troubles de la raison. Il semble que ces discours soient issus d¤une base de croyances communes dont ils développent un aspect spécifique, nous permettant ainsi de restituer une représentation de la « folie » ordinaire, représentation certes incomplète et imparfaite, mais qui tente d¤être la plus proche possible des réalités socioculturelles et des mentalités de cette l¤époque
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The Aesthetics of Madame de Staël and Mary Shelley

Mouratidis, Maria 12 1900 (has links)
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The Aesthetics of Madame de Staël and Mary Shelley

Mouratidis, Maria 12 1900 (has links)
L’esthétique de Madame de Staël and Mary Shelley discute l’art de l’improvisation et le concept de l’enthousiasme dans les écrits de ces deux auteurs. Dans ce projet, j’explore l’esthétique d’improvisation et d’enthousiasme de Madame de Staël dans Corinne, en me référant à son autre roman Delphine, à sa pièce de théâtre Sapho, et à ses nouvelles ainsi qu’à ses textes philosophiques comme De l’Allemagne, De l’influence des passions, et De la littérature. J’argumente que Madame de Staël représente à travers le caractère de Corinne une esthétique anti-utilitaire. J’explique qu’elle évoque des valeurs cosmopolites qui valorisent une culture indigène qui est en opposition avec l’impérialisme de Napoléon. De plus, j’examine comment les improvisations de Corinne dérivent d’un enthousiasme qui est associé à la définition que Platon offre du terme. Ceci est évident par la signification que Madame de Staël présente du terme dans De L’Allemagne. J’interprète la maladie de Corinne comme étant d’origine psychosomatique qui est manifesté par la perte de son génie et par un suicide lent qui est une expression de colère contre la patriarchie. Le caractère de Corinne permet à Madame de Staël d’explorer le conflit que les femmes artistes éprouvaient entre ayant une carrière artistique et adhérant à l’idéologie domestique. Chapitre deux se concentre sur l’intérêt que Shelley démontre sur l’art de l’improvisation comme elle l’exprime dans ses lettres à propos de l’improvisateur Tommaso Sgricci. Malgré sa fascination avec la poésie extemporanée, Shelley regrette que cette forme d’art soit évanescente. Aussi, j’examine son enthousiasme pour un autre artiste, Nicolò Paganini. Son enchantement avec se violoniste virtuose est lié à des discours concernant le talent surnaturel des improvisateurs. J’argumente qu’il y a un continuum d’improvisation entre les balades orales du peuple et les improvisations de culture sophistiqué des improvisateurs de haute société. J’estime que les Shelleys collaboraient à définir une théorie d’inspiration à travers leurs intérêts pour l’art de l’improvisation. Chapitre trois considère le lien entre cosmologie et esthétique d’inspiration à travers la fonction de la musique, spécialement La Création de Joseph Haydn, dans The Last Man de Shelley. J’examine la représentation du sublime des Alpes dans le roman à travers de discours qui associent les Alpes avec les forces primordiales de la création. Les rôles de la Nécessité, Prophétie, et du Temps peuvent être compris en considérant la musique des sphères. Chapitre quatre explore les différentes définitions de terme enthousiasme dans les écrits de Shelley, particulièrement Valperga et The Last Man. Je discute l’opinion de Shelley sur Madame de Staël comme suggéré dans Lives. J’analyse les caractères qui ressemblent à Corinne dans les écrits de Shelley. De plus, je considère les sens multiples du mot enthousiasme en relation avec la Guerre civil d’Angleterre et la Révolution française. Je présente comment le terme enthousiasme était lié au cours du dix-septième siècle avec des discours médicales concernant la mélancolie et comment ceci est reflété dans les caractères de Shelley. / The Aesthetics of Madame de Staël and Mary Shelley discusses the art of improvisation and the concept of enthusiasm in the writings of these two authors. In this project, I explore Madame de Staël’s aesthetics of improvisation and enthusiasm as represented in Corinne by drawing from her other novel Delphine, her play Sapho, and her short stories as well as her philosophical texts such as De l’Allemagne, De l’influence des passions, and De la littérature. I argue that Madame de Staël embraces through Corinne an anti-utilitarian aesthetic. I maintain that she represents a cosmopolitanism that values indigenous culture as opposed to Napoleon’s Imperialism. Furthermore, I examine how Corinne’s improvisations derive from an enthusiasm that can be associated to Plato’s elucidation of the term in Phaedrus and in Ion. This is evident by Madame de Staël’s own definition of enthusiasm as presented in the closing chapters of her De l’Allemagne. I interpret Corinne’s illness that is manifested in the loss of her genius as having psychosomatic origins and as being a slow suicide that is an expression of anger against patriarchy. The character of Corinne allows Madame de Staël to explore the conflict that women artists faced between having an artistic career and adhering to the domestic ideology. Chapter two focuses on the interest that Shelley takes in the art of improvisation as is manifested in her letters about the improvisator Tommaso Sgricci. Despite her fascination with extempore poetry, she regrets that this art form is evanescent. Moreover, I examine her enthusiastic response to another artist, Nicolò Paganini. Her fascination with this virtuoso violinist is linked to discourses about the unnatural talent of improvisatores. I argue there is a continuum of improvisation from the ballad form of the common people to the high-cultured improvisatore. I hold that the Shelleys were collaborating in defining the theory of inspiration through their interest in the art of improvisation. Chapter three considers the link between cosmology and aesthetics of inspiration through the function of music, especially Joseph Haydn’s The Creation, in Shelley’s The Last Man. I examine the representation of the sublimity of the Alps in the narrative through discourses that associate the Alps with the primordial forces of creation. The roles of Necessity, Prophecy, and Time can be understood in the novel by taking into account the notion of the music of the spheres. Chapter four explores the different meanings of the word enthusiasm in Shelley’s writings, primarily in Valperga and The Last Man. I discuss Shelley’s views on Madame de Staël as presented in Lives. I analyze Corinne-inspired characters in Shelley’s texts. In addition, I consider the meaning of enthusiasm in Shelley’s writings in relation to the English Civil War and the French Revolution. I present how enthusiasm was linked in the seventeenth-century to medical discourses about melancholia and how this is reflected in Shelley’s characters.
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Construire la parole des dieux : les rites mantiques et leurs agents dans les grands sanctuaires oraculaires du monde grec aux époques hellénistique et romaine

Lesgourgues, Manfred 10 1900 (has links)
Co-tutelle avec l'Université Paris-Nanterre / La pratique de la divination en Grèce ancienne est un phénomène bien connu du grand public, qui l’associe au personnage emblématique de la Pythie de Delphes. Inspirée par Apollon, cette prophétesse délivrait ses oracles en répondant aux questions que lui posaient les fidèles et l’on trouve dans de nombreux textes anciens le déroulement des consultations du dieu résumé sous la forme de deux affirmations complémentaires : « le fidèle a demandé » et « le dieu a répondu ». Pourtant, on ne saurait réduire la pratique divinatoire qui prenait place dans les sanctuaires oraculaires à un tête-à-tête entre deux personnes. Loin de se limiter à un agent inspiré, le personnel sacerdotal des sanctuaires oraculaires était nombreux et se trouvait mobilisé dans des rites complexes pour permettre de mettre en communication le monde des hommes avec celui des dieux. C’est à la diversité de ces agents et à la manière dont leurs interactions permettaient qu’advienne la parole divine qu’est consacré ce travail. Dans une première partie, sont étudiés les agents qui participaient aux rites mantiques des sept sanctuaires oraculaires les mieux attestés du monde grec aux époques hellénistique et romaine : celui de Zeus à Dodone, d’Apollon à Didymes, Claros et Delphes, celui de Trophonios à Lébadée, d’Amphiaraos à Oropos et de Glykon à Abonoteichos. Chaque sanctuaire est l’objet d’un chapitre dans lequel sont considérés, un à un, tous les agents, humains ou non, qui prenaient part au rituel afin de reconstituer les rites d’interrogation du dieu dans leur spécificité. Dans un second temps, cette pratique est pensée de manière transversale comme une pratique institutionnelle qui mobilisait des acteurs distincts à trois niveaux différents : celui de la cérémonie, du rituel et de l’échange verbal. / Divination in ancient Greece is a well-known phenomenon, often associated with the emblematic character of the delphic Pythia. Inspired by Apollo, this prophetess delivered her oracles by answering the questions asked to her, and in many ancient texts the oracular consultations are summarized in the form of two complementary statements: "a man asked" and "The god has answered". However, the practices that took place in the oracular sanctuaries can’t be reduced to a tête-à-tête. Far from being limited to an inspired agent, the priestly staff of the oracular sanctuaries was numerous and took part in complex rites to enable the world of men to be put in communication with the gods. This work studies the diversity of these agents and the way in which their interactions allowed the divine word to come out. In the first part, we study the agents who participated in the rites of the seven oracular sanctuaries best attested in the Greek world in the Hellenistic and Roman times: the shrine of Zeus in Dodona, Apollo in Didyma, Claros and Delphi, Trophonios in Lebadeia, Amphiaraos in Oropos and Glykon in Abonoteichos. Each sanctuary is the subject of a chapter in which all the agents, human or not, who took part in the ritual are taken into consideration, in order to reconstitute the rites of questioning the god in their specificity. In a second part, this practice is thought more broadly as an institutional process who associated distinct actors at three different levels: the ceremony, the rite and the verbal exchange.

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