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The acquisition of technological capabilities by large Chinese industrial companies : between catch-up and engagement in emerging technologies / L'acquisition de compétences technologiques par les grandes entreprises industrielles chinoises : entre rattrapage et investissement des technologies émergentes

Oulion, Marina 12 December 2016 (has links)
Parmi les 500 plus grandes entreprises mondiales, une sur cinq est chinoise. En 2014, 94 entreprises chinoises figuraient parmi les leaders mondiaux en R&D. La Chine est, depuis 2016, le premier acquéreur d’entreprises étrangères et vise désormais des entreprises de haute-technologie.Ces éléments nous questionnent sur le positionnement technologique des entreprises chinoises. Penser ce thème nous oblige à revenir sur leurs conditions d’émergence. A la lecture du modèle dominant du rattrapage technologique (Kim, 1997), la Chine est passée par trois grandes phases: une période d’acquisition des technologies étrangères suite à l’ouverture du pays en 1978, une période d’assimilation des technologies et d’assemblage et manufacture de produits de plus en plus complexes, et une période d’intégration qui leur permet de faire de nouvelles propositions de produits grâce à la reconfiguration et amélioration des technologies existantes.L’hypothèse qui guide notre recherche est que les entreprises sont désormais dans la dernière phase du rattrapage et sont entrées dans une période de transition vers le leadership technologique. Cela nous amène à poser deux questions. A quoi fait-on référence lorsqu’on parle d’innovation en Chine aujourd’hui ? Ce thème renvoie de manière plus globale à celui de l’innovation par les pays émergents. Quel chemin reste-t-il à parcourir pour atteindre la frontière technologique ?Nous observons cette transition dans la manière dont les grandes entreprises chinoises s’engagent dans la recherche. L’intégration des technologies émergentes au sein de leurs stratégies de recherche reflète des dynamiques d’apprentissage qui, si elles ne sont pas encore visibles sur le marché, indiquent une dynamique de transition. Nos résultats montrent que la tendance est significative, la moitié des grandes entreprises (48%) s’engage en nanotechnologie. Cela reflète l’arrivée à la frontière technologique des entreprises chinoises, ce qui, nous le soulignons, n’implique pas nécessairement le passage à la frontière sur d’autres dimensions, notamment organisationnelles. Nous montrons également que les trajectoires d’engagement dans la recherche sont variées. Si une partie des entreprises s’engagent dans la recherche sur la base d’un modèle similaire à celui des entreprises américaines ou européennes, d’autres dynamiques sont également à l’œuvre, qui traduisent notamment un héritage historique et une inscription dans le territoire.Pour obtenir ces résultats, nous avons construit une base de données exclusive de 325 larges entreprises industrielles, et observé leur prise de brevets en nanotechnologie, directement ou via leurs filiales, sur la base de sources en anglais et en chinois. / Among the world’s 500 largest firms, one out of five is Chinese. In 2014, 94 Chinese firms were among the world leaders in R&D. Since 2016, China is the first acquirer of foreign firms and is now targeting high-technology firms.These recent developments raise questions about the technological positioning of Chinese firms. Studying this topic requires looking at their conditions of emergence. We can look at China’s development from the perspective of the technological catch-up model (Kim, 1997). China has gone through three phases: a phase of acquisition of foreign technology following the country’s opening in 1978, a period of technological assimilation and production of increasingly complex products, and a period of technological integration characterized by technological improvement and the reconfiguration of existing technologies.The hypothesis we make is that firms are now in the last phase of catch-up, and have entered a period of transition to technology leadership. This leads to two questions. What is Chinese innovation today? This topic broadly refers to innovation in emerging countries. How far are Chinese firms from reaching the technological frontier?We observe the transition through the way major Chinese firms engage in research. The integration of emerging technologies into their research strategies reflect dynamics of technological learning which, if they are not yet visible in the market, indicate a transition. Our results show that the trend is significant, with half of large firms (48%) engaging in nanotechnology research. This proportion indicates that Chinese firms have reached the technological frontier. This, however, does not mean that Chinese firms have reached the frontier in other dimensions, such as the organizational dimension. We also show that there are several modalities of commitment to research. While some large Chine firms engage in research by adopting a model similar to that of American or European firms, other dynamics are at work, which reflect, in particular, their historical legacy, and the impact of their localization.To obtain these results, we have built a unique database of 325 large industrial enterprises, and have looked at their patenting activities in nanotechnology, directly or through their subsidiaries, based on the exploitation of sources in English and Chinese.
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L’avenir de la gouvernance d'entreprise en Chine. Une réflexion liée à l'internationalisation des entreprises chinoises / The Future of Corporate Governance in China. A Thought Related to the Internationalization of Chinese Companies

Felipe Fernandez, Emma 11 May 2012 (has links)
L’objectif de cette étude est de définir le mode de gouvernance d’entreprise (GE) le plus adapté pour accompagner les entreprises chinoises dans leur développement économique international. Dans la première partie, nous présentons une étude approfondie de la littérature existante sur la gouvernance d’entreprise. Dans un deuxième temps, la deuxième partie étudie la situation de la GE dans onze pays (États-Unis, Japon, Allemagne, France, Royaume-Uni, Italie, Brésil, Canada, Russie, Inde et Espagne) afin de mettre en évidence les éléments fondamentaux de ce type de problématique. Dans la troisième partie la situation de la Chine est analysé, du point de vue de son contexte général et de sa GE en particulier. Enfin, une analyse critique du concept de GE est proposé, ainsi qu’une étude comparative et synthétique des douze cas de GE sélectionnés (dont la Chine). Cette éude est complétée par trente entretiens de hauts dirigeants des différents pays concerné (principalement d’entreprises cotées) en vue de mieux comprendre le contexte opérationnel de la GE. L’éude met ainsi en relief la situation particulière de la Chine : Ses spécificités et ses limites sont établies et des recommandations pour l’adaptation et l’améioration de sa GE, conçue comme un mécanisme d’accompagnement de son internationalisation, sont proposés. / The aim of this study is to define the model of corporate governance (CG) best suited to assist hinese companies in their international economic development. In the first part, a comprehensive review of existing literature on corporate governance is presented. The second part examines the state of CG in eleven countries (USA, Japan, Germany, France, UK, Italy, Brazil, Canada, Russia, India and Spain) to extract the fundamental elements of this type of problem. Then, the situation of China is analyzed (in terms of context and CG). Finally, a critical analysis of the CG’s concept is proposed, and a comparative study of twelve cases and synthetic CG is selected (including China). This study is complemented by thirty interviews of senior executives from various countries (mainly listed companies) to better understand the operational context of the CG. This study also highlights the particular situation of China. Its specificities and limits are set and recommendations for adapting and improving CG in China are proposed.
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La gestion de la motivation dans les entreprises chinoises - Etat des lieux et déterminants des pratiques / The motivation management in the chinese companies - current situation and

Qi, Yue 06 December 2012 (has links)
Depuis une vingtaine d’années, une grande évolution socio-économique apporte dans les entreprises chinoises des changements profonds sur les pratiques de la gestion. Face aux défis successifs de la concurrence, comment motiver efficacement les employés afin d’obtenir plus de performance devient une question majeure. Néanmoins, la motivation au travail est un phénomène complexe. Notre recherche mobilise une démarche qualitative et une analyse quantitative sur les pratiques de gestion de la motivation dans trois types d’entreprises chinoises, étatique, privée, et sino-étrangères, dans la perspective d’identifier les facteurs qui influencent effectivement la motivation des employés chinois dans leur travail. Noussouhaitons que notre recherche puisse être utile pour les managers chinois et les managers étrangers en Chine qui cherchent à améliorer la gestion de la motivation de leurs employés. / Since last 20 years, with the ongoing social and economic development, Chinese companies have profoundly changed their management practices. Facing the enormous challenges of the competition, how to motivate employees in a productive way and realize more performance has become a crucial issue for each enterprise. However, the motivation of Chinese employees in the workplace is a complex phenomenon. Our research adopts both qualitative and quantitative approaches to study the motivation practices in three kinds of Chinese companies: state-owned, private and Sino-foreign companies. Our research goal is to find out the factors that can effectively influence Chinese employees’ motivation in their workplace. This research can be useful for either Chinese managers or foreign managers that are working in China to improve their efficiency in motivating their employees.
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Learning and knowledge transfer in Africa-China joint ventures : an exploratory study

Ado, Abdoulkadre 23 April 2018 (has links)
À l’heure des diverses controverses sur la présence de la Chine en Afrique, les études sur la nature et l’ampleur des relations qu’entretiennent ces deux régions continuent d’affluer. La Chine, puissance économique en émergence, continue d’accroître son internationalisation vers l’Afrique. En effet, la Chine est aujourd’hui le premier partenaire économique et commercial de l’Afrique. Le continent africain est aussi en émergence avec notamment plusieurs pays au plus haut taux de croissance économique au monde. Ces dynamiques se traduisent par des rapprochements croissants notamment entre les entreprises des deux régions. Cette thèse s’intéresse à cet émergent rapprochement. Elle apporte ainsi une contribution dans le débat sur les motivations et retombées de ce rapprochement. Le premier article aborde la controverse sur la présence chinoise en Afrique particulièrement en contrastant les regards occidentaux et du sud à travers une revue exhaustive et critique de la littérature relative aux discours dominants ou marginalisés. Les résultats indiquent que les études existantes restent discutables et nécessitent davantage de rigueur scientifique. Le deuxième article examine 29 coentreprises sino-africaines dans 12 pays d’Afrique sous l’angle d’apprentissage et du transfert de connaissances. Les résultats indiquent que les partenaires chinois emploient cinq stratégies majeures pour monopoliser leurs connaissances en fonction du pouvoir disponible et du type de connaissances. L’article propose un modèle dynamique de gestion de connaissances. Le troisième article aborde l’apprentissage et le transfert de connaissances selon la perspective du capital social et des informalités organisationnelles. Les résultats indiquent des Africains entreprenants, ayant souvent utilisé des mécanismes sociaux informels, voire même clandestins, pour acquérir des connaissances. Le quatrième article analyse les faiblesses des Africains en matière de transfert de connaissances. Il combine les perspectives stratégique et institutionnelle pour un meilleur transfert de connaissances. L’analyse souligne la nécessité de corriger ces faiblesses et d’adopter une démarche dichotomique pour développer un cadre intégrateur de formulation de politiques et stratégies de développement de connaissances. La conclusion présente les contributions théoriques et pratiques de l’étude et la portée des résultats. Elle souligne aussi les limites de l’étude et propose des perspectives futures de recherches. Mots-clés : Apprentissage organisationnel ; transfert de connaissances ; acquisition de connaissances ; partage de connaissances ; apprentissage ; Afrique ; Chine ; sino ; coentreprise ; alliance ; stratégie ; gestion de connaissances ; politique. / Amidst various controversies concerning China’s influence in Africa, studies on the nature and extent of the relationship between these two regions are increasing. China, an emerging economic power, continues internationalization into Africa. China is now the largest trading partner of Africa, a continent emerging with one of the highest economic growth rates in the world. These dynamics have resulted in increasing rapprochement between companies from the two regions. The current research focuses on the emerging debate on African and Chinese motivation for this rapprochement. The first paper in this dissertation discusses Chinese presence in Africa and contrasts the Western and Southern perspectives through a comprehensive and critical review of the literature. The results indicate that greater scientific rigor is required in existing studies that are considered controversial. The second paper examines learning and knowledge transfer in 29 Africa-China joint ventures in 12 African countries and proposes a dynamic model for knowledge control. Chinese partners employ five strategies to control their knowledge assets according to the available power and the type of knowledge. The third paper discusses learning and knowledge transfer from the perspective of social capital and organizational informalities. The results indicate that entrepreneurial Africans use informal or sometimes unconventional social mechanisms to acquire knowledge. The fourth paper analyzes Africans’ institutional and organizational weaknesses with respect to knowledge transfer. This paper combines strategic and institutional perspectives toward better transfer of knowledge. The results indicate major weaknesses and suggest an approach toward an integrative framework for strategy and public policy formulation for knowledge development. The conclusion presents the theoretical and practical contributions of this study, highlights its significance, underlines the limitations, and finally offers research avenues. Keywords: Organizational learning; knowledge transfer; knowledge acquisition; knowledge sharing; learning; Africa; China; Sino; joint venture; alliance; strategies; knowledge management; policy.

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