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Emergence et consolidation d'un parti nationaliste progressiste en Espagne : le cas de Chunta Aragonesista en Aragon (de 1986 à nos jours) / Appearance and consolidation of a nationalist and progressive party in Spain‎ : the case of Chunta Aragonesista in Aragon (from 1986 to 2012)

Martínez, Michel 28 September 2012 (has links)
Les recherches qui ont abouti à cette thèse de doctorat s’inscrivent dans la thématique des nationalismes ibériques contemporains qui ont animé (et animent toujours) les questions territoriales et nationales de l’Espagne. L’Aragon, souvent absent de ce débat, est pourtant un territoire charnière entre la France, la Catalogne, le Pays valencien, la Castille et le bloc basco-navarrais. D’un point de vue géopolitique, l’Aragon apparaît donc en territoire « tampon » entre l’Espagne centrale (exclusivement castillane, hispanophone et nationalement espagnole) et l’Espagne périphérique (bilingue et dont la conscience nationale est plus complexe). Du fait de ces spécificités, l’Aragon ne connaît pas le bipartisme PSOE/PP propre aux régions de l’intérieur de l’Espagne. Pour gouverner l’Aragon et ses communes, ces deux partis espagnols doivent s’allier à des forces aragonaises (une de centre-droit et une de centre-gauche). Chunta Aragonesista (CHA), créée en 1986 est ce parti aragonésiste de gauche ; il se dit « nationaliste ». Le « nationalisme aragonais » de CHA trouve sa légitimité dans l’existence d’une « nation aragonaise » justifiée par l’Histoire médiévale du Royaume d’Aragon et ses institutions politiques et juridiques. CHA défend ainsi « l’autodétermination de la nation aragonaise » au sein d’un État espagnol fédéral. Son membre le plus célèbre, a sans doute été José Antonio Labordeta, disparu en septembre 2010, qui a été député au Congreso de los Diputados de Madrid pendant deux législatures (2000-2004 et 2004-2008). / The research presented in this thesis deals with the study of the contemporary Iberian nationalism which has influenced the territorial and national questions of Spain. Aragon, despite being a crossroad territory between France, Catalonia, Valencia, Castile and the Basque-Navarrese region, is often missing from this discussion. From a geopolitical point of view, Aragon appears to be like a “buffer” territory between central Spain and its borders. Moreover, due to these characteristics, Aragon has no two-party system PSOE/PP as is the case in Spain’s interior regions, but it also doesn’t have the hegemonic role of a NSWP (Non State-wide Parties), which defends a non-Spanish nationalism. What we do find in Aragon are two NSWPs with which the two big Spanish SWPs (State-wide Parties) have to form an alliance with, in order to govern in the big cities and at the Autonomous Parliament. The main focus of this thesis is on the Chunta Aragonesista (CHA), the Aragonese left-wing political Party which was created in 1986. Its political tradition, its ideology, its position in comparison to other NSWPs will be studied along with the circumstances that have made it possible for them to obtain a deputy at the Spanish Parliament in 2000 and to become the third major political force of Aragon from 2003 to 2007. Then, the possible causes of the Chunta Aragonesista’s electoral failure since 2007 will be analyzed. Finally, this paper will examine the role that Aragon (and the Chunta Aragonesista) could play by putting forward a new configuration of the Spanish state on the basis of a federal republic.
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Entreprise de presse et journalisme économique en Espagne [1975-1990] [Étude de El País Negocios de 1985 à 1990] / The press industry and economic journalism in Spain [1975-1990] [El País Negocios from 1985 to 1990]

Chartier, Chantal 04 December 2010 (has links)
Cette étude aborde l’évolution de l’entreprise de presse en Espagne pendant la Transition démocratique et sous le pouvoir socialiste de Felipe González. Renouveau démocratique et continuité en lien avec la tradition culturelle libérale du début du XXe siècle marquent les changements qui s’opèrent au sein du journalisme espagnol. Le milieu des années 1980 voit l’émergence du marché très convoité de la presse économique. El País, fondé sur un projet régénérationniste, parangon de la presse écrite dite de qualité, diversifie ses publications et crée El País Negocios, supplément économique hebdomadaire. Ce périodique de l’organe d’influence qu’est devenu El País s’adresse en priorité aux nouvelles élites socio-économiques, un public d’entrepreneurs et de cadres en quête de modernité économique. Politiques économiques, relations salariales, représentations managériales illustrent les modifications vécues dans le monde de l’entreprise au sein d’une Espagne qui intègre pleinement l’environnement européen et adopte les modèles néolibéraux. L’analyse du discours politique et économique éclaire l’évolution idéologique du périodique, reflet d’une démarche consensuelle et d’une société civile en construction. / This study focuses upon the press industry and its evolution in Spain during the Democratic Transition and under the Socialist power of Felipe González. Democratic renewal and continuity with early 20th Century culturally liberal tradition illustrate the changes which marked Spanish journalism. Markets emerging in the mid-1980s were highly coveted by the economic press. Founded upon a regenerationist project and making a claim to quality, El País diversified its publications to create the weekly economic supplement El País Negocios. A periodical of this media organ of influence, El País Negocios targets in particular socio-economic elites, a public of young executives and entrepreneurs in quest of economic modernity. Economic policies, employment relations just as managerial representations portray the transformations underway in Spain’s business world, one which fully integrates the framework of Europe and appropriates neo-liberal models. Our analysis of political and economic discourse sheds light upon the periodical’s ideology, an approach which enhances consensus and reflects the difficult construction of civil society.
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Emergence et consolidation d'un parti nationaliste progressiste en Espagne : le cas de Chunta Aragonesista en Aragon (de 1986 à nos jours)

Martinez, Michel 28 September 2012 (has links) (PDF)
Les recherches qui ont abouti à cette thèse de doctorat s'inscrivent dans la thématique des nationalismes ibériques contemporains qui ont animé (et animent toujours) les questions territoriales et nationales de l'Espagne. L'Aragon, souvent absent de ce débat, est pourtant un territoire charnière entre la France, la Catalogne, le Pays valencien, la Castille et le bloc basco-navarrais. D'un point de vue géopolitique, l'Aragon apparaît donc en territoire " tampon " entre l'Espagne centrale (exclusivement castillane, hispanophone et nationalement espagnole) et l'Espagne périphérique (bilingue et dont la conscience nationale est plus complexe). Du fait de ces spécificités, l'Aragon ne connaît pas le bipartisme PSOE/PP propre aux régions de l'intérieur de l'Espagne. Pour gouverner l'Aragon et ses communes, ces deux partis espagnols doivent s'allier à des forces aragonaises (une de centre-droit et une de centre-gauche). Chunta Aragonesista (CHA), créée en 1986 est ce parti aragonésiste de gauche ; il se dit " nationaliste ". Le " nationalisme aragonais " de CHA trouve sa légitimité dans l'existence d'une " nation aragonaise " justifiée par l'Histoire médiévale du Royaume d'Aragon et ses institutions politiques et juridiques. CHA défend ainsi " l'autodétermination de la nation aragonaise " au sein d'un État espagnol fédéral. Son membre le plus célèbre, a sans doute été José Antonio Labordeta, disparu en septembre 2010, qui a été député au Congreso de los Diputados de Madrid pendant deux législatures (2000-2004 et 2004-2008).

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