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Kvinnorna som blev över : ensamstående stadskvinnor under 1800-talets första hälft - fallet Västerås /

Artæus, Iréne. January 1992 (has links)
Doktorsavhandling--Department of History--Uppsala University--Uppsala, 1992. / Résumé en anglais.
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Impact de la prime au travail sur l'offre de travail : une évaluation ex-ante /

Parisé, Hélène. January 2007 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 2007. / Bibliogr.: f. [37]-39. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Histoire de quatre solitudes ordinaires

Brière, Marthe 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2016
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Femmes, solitude et société à Manosque au XIVe siècle (1314-1358)

Guénette, Maryse 25 April 2018 (has links)
L'utilisation en détail d'archives judiciaires conservées pour la ville de Manosque de la première moitié du XIV siècle n'a pas servi ici à une étude sur la justice canne technique de répression. Bien sûr, le but premier de cette documentation est de retracer et de mémoriser les comportements criminels en les rendant publics, permettant ainsi de déceler et de quantifier plus ou moins facilement les valeurs et variables délictuelles. Mais au-delà de cette lecture classique, les archives criminelles offrent la possibilité de cerner certains phénomènes particuliers. La solitude féminine en est un; à travers la diversité des situations où elle se vit, elle fournit une approche problématique éclairante à" l'étude d'une société en relation avec les conditions qu'elle génère. Si certains principes sont globalement acceptés par la collectivité manosquine, celui de la solitude au féminin est pour sa part dénoncé et rejeté. Il ne peut être admis, car vivant seules, ces femmes n'entrent pas dans les normes reconnues; non seulement elles ne sont pas mariées, mais elles ne présentent pas cette nécessaire référence masculine. Elles n'ont d'autre garantie à offrir que leur solitude. Cette dernière devient alors le pôle central de leur existence, l'élément autour duquel s'articulent et s'expliquent les différentes attitudes adoptées par la collectivité à leur égard. Puisqu'elles ne se conforment pas aux modèles établis, les femmes seules sont marginalisées; les mécanismes et les conditions de cette marginalisation apparaissent au fil des documents. La collectivité met en place un processus de désignation, basé essentiellement sur des critères négatifs; corme ces femmes ne peuvent fournir de référence officielle, c'est leur solitude qui servira à les désigner. En les identifiant comme "femmes sans homme", non seulement on publicise leur état, mais on rend également officielle leur non intégration au réseau habituel des solidarités, ce qui a pour conséquence de les exposer plus facilement à la violence puisqu'elles ne sont pas protégées. Par leur mode de vie, les femmes seules se sont exclues des mécanismes fonctionnels de la communauté, justifiant par là-même les attitudes d'exclusion adoptées par la collectivité. Leur sociabilité apparait vécue à deux niveaux: tout d’abord, celui de la collectivité où elles vivent, mais aussi et surtout du fait de leur état; c’est leur solitude qui explique les conditions dans lesquelles se déroule leur vie. Bien sûr, la question de l’honneur sexuel est importante, mais elle n’apparait pas fondamentale. Plus que de défendre leur réputation il est important pour les femmes seules d’assurer leur subsistance et leur protection. La solitude explique ici encore leur délinquance; en les confinant à la pauvreté, elle fait des délits économiques la principale composante de cette délinquance. Elle les oblige également à assurer seules leur défense, et le nombre d’accusations d'agressions, tant physiques que verbales, portées centre ces femmes montre bien le besoin qu’elles ont de se protéger, d’autant plus qu’elles sont très souvent la cible de violences physiques plus ou moins graves. Les conditions de vie auxquelles font face les femmes seules les poussent souvent à changer de lieu de résidence, et de fait une population flottante assez importante, constituée d’étrangères, de vagabondes et de prostituées, est présente à Manosque dans les années retenues. L’errance apparait alors comme un mode de vie consécutif à la Solitude et à la pauvreté; il n’est pas choisi par les femmes seules, mais généralement imposé par les attitudes collectives adoptées à l’égard de ces déméres. Ces femmes éveillent d’autant plus la méfiance qu’elles mêlent l’embauche temporaire et la prostitution au vagabondage, au gré des circonstances; elles ne sont pas enracinées dans un milieu fixe. L’espace urbain dans lequel s'insèrent les femmes seules génère une sociabilité à la mesure de ses habitants; ce sont les habitudes de vie qu’ils se créent, les valeurs qu’ils se reconnaissent et les structures collectives qu’ils se donnent qui déterminent les conditions de leur existence sociale. Plus encore que de leur propre perception, l’existence des femmes seules dépend des attitudes pratiques et mentales de leur entourage. Se plaçant à l’extérieur de l’espace social normatif admis par le groupe, les femmes seules rompent le "contrat implicite" qui les lie à la communauté et sont ainsi reconnues isolées par leur différence. Elles sont acceptées au sein de la collectivité, à condition toutefois qu’elles ne réclament pas une reconnaissance morale et qu’elles acceptent de voir leur différence publicisée. En ce qui les concerne, il ne saurait être question d’une quelconque égalité sociale. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Impact de la prime au travail sur l'offre de travail : une évaluation ex-ante

Parisé, Hélène 12 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / En janvier 2005, le gouvernement du Québec a instauré la Prime au travail en remplacement du programme APPORT. Cette mesure vise d'une part, à soutenir et valoriser l'effort de travail et d'autre part, à encourager les individus à quitter l'aide sociale et intégrer le marché du travail. Ce travail s'intéresse à l'impact de cette réforme sur la participation et les heures travaillées des femmes seules avec et sans enfant. À cet égard, nous avons développé un modèle structurel où l'ensemble de choix en matière d'offre de travail des femmes est constitué de trois alternatives : la non participation au marché du travail, le travail à temps partiel ou le travail à temps plein. Nous avons fixé le taux de participation au programme APPORT à 50% en raison des règles complexes d'application de ce dernier et des coûts fixes que doivent supporter les individus désirant adhérer à ce programme. De plus, certaines études empiriques semblent confirmer un tel niveau de participation. Afin de déterminer dans quelle mesure cette hypothèse domine nos résultats, nous avons effectué divers scénarios qui considèrent un taux de participation à APPORT différent de 50%. Pour notre cas de base, nos simulations révèlent que la participation au marché du travail a haussé de 0,6 unités de pourcentage et que 0,8% des femmes travaillant à temps plein choisissent maintenant le travail à temps partiel. Ces effets sont plus importants lorsque notre analyse se limite aux femmes monoparentales uniquement. Pour ce groupe, l'augmentation de la participation au marché du travail se chiffre à 1,9 unités de pourcentage. Enfin, le coût direct moyen du changement de programme passe de 23 $ à 133 $ suite à la réforme, soit une augmentation de près de 500%.
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Vers la conscience critique à travers l'investigation de l'univers thématique : une expérience de développement de la conscience critique avec des groupes de "femmes seules" du comte de Lotbinière

Arriola-Socol, Merardo 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2015
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Effet sur l'offre de travail et le bien-être de la réforme fiscale de 2008 au Québec

Clavet, Nicholas-James 16 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2009-2010 / Ce mémoire présente les résultats d'estimation de l'effet d'une réforme fiscale sur l'offre de travail et le bien-être des femmes célibataires. La réforme consiste en l'augmentation des seuils de la table d'imposition au Québec (Canada). Le comportement des femmes est modélisé à l'aide d'un modèle structurel d'offre de travail à choix discret (fonction d'utilité translog) qui inclut des coûts fixes. Le modèle est estimé à l'aide d'un logit mixte. Les résultats indiquent une faible augmentation globale du nombre d'heures travaillées à la suite de la réforme simulée. Celle-ci a un effet hétérogène selon la présence ou non d'enfants dans le ménage. Suite à l'estimation de la réaction d'offre de travail, le calcul des fonctions de dépenses permet l'évaluation de la variation équivalente dans un contexte de choix discret. Ainsi, il est possible d'affirmer que la réforme améliore l'efficience du marché du travail de manière générale. Une analyse distributive est effectuée à partir des mêmes fonctions de dépenses dans le but d'évaluer les variations dans la répartition du bien-être. Le coefficient de Gini et l'indice d'Atkinson révèlent un accroissement des inégalités.
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La pilule en débat au Québec : médecins, catholiques, féministes et utilisatrices (1961-1979)

Nadeau-Mercier, Thomas 19 July 2024 (has links)
Entre 1961 et 1979, la prescription et l'utilisation de la pilule contraceptive au Québec connaissent une évolution en fonction de l'âge et du statut matrimonial/familial. Peu de gens savent en effet que le contraceptif est d'abord réservé dans les années 1960 aux femmes adultes, qu'elles soient mères ou épouses, et qu'il ne commence à être prescrit aux jeunes femmes célibataires qu'à partir de la fin des années 1960 et au cours des années 1970. Si cette évolution semble due à la libéralisation des pratiques contraceptives, l'étude des débats publics entre médecins, catholiques, féministes et utilisatrices révèle des discours très variés sur la pilule. Entre 1961 et 1968, des clercs catholiques se positionnent en faveur de l'utilisation de la pilule par les couples mariés pour freiner la désaffection religieuse des Québécois.e.s. Également animés par des préoccupations morales et religieuses, les médecins se distinguent en proposant une vision de la régulation des naissances qui s'apparente au contrôle des populations. Les utilisatrices adultes, épouses ou mères, insistent plutôt sur des préoccupations féminines pour légitimer le recours à la pilule. Entre 1967 et 1979, la pilule est progressivement associée aux jeunes femmes célibataires. Si des étudiantes universitaires souhaitent obtenir la pilule avant le mariage pour avoir des relations sexuelles librement, les médecins affichent plutôt des préoccupations par rapport à ses effets secondaires pour les femmes adultes. Quant aux féministes, elles élaborent un discours ambivalent au sujet du contraceptif. Bien qu'elles se positionnent en faveur d'un accès généralisé à la pilule, elles dénoncent l'autorité des médecins qui la prescrivent. Par notre recherche, nous souhaitons ainsi mettre en évidence que l'évolution de la prescription et de l'utilisation de la pilule se déroule dans un environnement en tension, où s'affrontent des visions adverses, non seulement de la régulation des naissances, mais aussi des âges de vie.
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"Paroisses de femmes" : expériences des femmes lors des migrations saisonnières masculines dans la région de Charlevoix, 1940-1980

Bouchard, Marie-Pier 24 April 2018 (has links)
La région de Charlevoix, à la géographie aussi pittoresque que contraignante, est rapidement devenue un terroir saturé, où les habitants durent user de multiples stratégies pour subsister : certains se résignèrent à partir définitivement, mais d'autres parvinrent à rester dans la région, du moins de façon discontinue. C'est ce qui donna lieu aux migrations périodiques masculines, où les hommes, pour quelques mois ou presque toute l'année, quittent leur village natal pour travailler au loin, que ce soit en mer, en forêt ou dans d'autres villes. Dans ce mémoire, il est question non pas des hommes qui partent, mais des femmes qui restent. Nous avons voulu comprendre comment se déclinaient les expériences féminines de l'absence maritale et nous avons ainsi interviewé dix-sept femmes ayant vécu, pour la majorité, les migrations du mari et, dans quelques cas, celles du père, dans une période qui s'échelonne de 1940 à 1980. Pour appréhender cette réalité, trois niveaux ont été privilégiés : l'espace économique, pour bien définir le contexte dans lequel ces migrations ont eu lieu; l'espace familial, qui nous permet de mieux comprendre comment les femmes gèrent ce rythme d'absence et de présence maritales; et l'espace communautaire, qui nous informe de la façon dont les femmes interagissent avec ce milieu marqué par l'absence. Territoire à la nature capricieuse, Charlevoix est un espace marqué par les allers retours de ceux qui doivent quitter mais souhaitent revenir. Pourtant, à l'inverse du nomadisme des hommes, il y a aussi l'ancrage des femmes, qui restent malgré les misères de l'absence maritale. Fortes d'une autonomie qu'elles affermissent et affirment, alors qu'elles doivent savoir se débrouiller seules, et soutenues par des réseaux de sociabilité très forts, où la famille occupe une place prépondérante, les femmes s'enracinent dans ce territoire de solitude, mais aussi de solidarité.

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