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Banques, marchés et financement des entreprises en Tunisie / Banks, markets and corporate finance in Tunisia

Ben Fredj, Imène 18 December 2009 (has links)
Cette thèse analyse l’incidence de la libéralisation financière, opérée progressivement depuis 1986, sur le financement des entreprises tunisiennes. Pour mener au mieux nos analyses, nous avons combiné les deux approches macroéconomique et microéconomique. C’est dans ce sens que nous avons d’abord évalué l’impact de la libéralisation financière sur l’environnement macroéconomique de la Tunisie en terme de croissance à travers le calcul des corrélations et l’estimation d’un B-Var. Ensuite, nous nous sommes interrogés sur les répercussions microéconomiques de cette politique libérale, d’une part, sur la performance des banques à la suite de l’émergence de la nouvelle intermédiation financière en procédant à une étude en données de panel et d’autre part, sur le comportement des entreprises tunisiennes en matière de financement. Les entreprises tunisiennes n'ont développé malgré les incitations des pouvoir publics que très lentement leur recours au crédit bancaire et qu'elles demeurent à la fois pour des raisons de taille et de gouvernance interne réticentes à l'entrée sur les marchés boursiers. Cette analyse qui présente les théories des choix financiers des entreprises difficilement applicables à la Tunisie, repose sur l'interprétation d'un questionnaire portant sur un échantillon significatif d'entreprises et vérifiant la réticence des entreprises tunisiennes majoritairement familiales à la transparence de l'information sur leur situation financière. / This thesis analyzes the impact of financial liberalization, implemented gradually since 1986, on the financing of Tunisian companies. Leading to better our analysis, we combined both macroeconomic and microeconomic approaches. In that sense, we first assessed the impact of financial liberalization on the macroeconomic environment of Tunisia in terms of growth through the calculation of correlations and estimation of a B-Var. Then, we wondered about the microeconomic effects of this liberal policy, in one hand, on the performance of banks following the emergence of a new financial intermediation while making a study with panel data and in an other hand, on the behavior of Tunisian companies as regards financing. The Tunisian companies have developed despite authorities incentives very slowly using their credit and remain at the same time for reasons of size and internal governance reluctant to enter the stock markets. This analysis which presents the theories of the financial choices of firms difficult to apply to Tunisia, is based on the interpretation of a questionnaire on a significant sample of companies and checking the reluctance of Tunisian companies mainly family in the transparency of information about their financial situation.
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La culture nationale, déterminant fondamental des décisions de gestion conduisant au surinvestissement en immobilisations / National culture as a fundamental determinant of management’s decisions leading to overinvestment in capital expenditures

Horvath, Zoltan 02 October 2015 (has links)
Deux types de motivations ont été identifié liées au comportement de surinvestissement : le conflit d’agence (Jensen, 1986) et la surconfiance (Heaton, 2002). Si la littérature sur le lien entre surconfiance et surinvestissement examine une de ces motivations, au sujet de surinvestissement liées au problème d’agence, la littérature existante se concentre sur les caractéristiques financières des entreprises et mécanismes de contrôle pour expliquer le phénomène. Cependant, ces facteurs n’influencent l’acte de surinvestir qu’indirectement, via l’opportunité de surinvestir. En nous appuyant sur la littérature, nous pouvons établir que la culture influence l’opportunité de surinvestir selon l’environnement institutionnel dans lequel s’inscrit l’entreprise et certaines techniques utilisées pour atténuer le surinvestissement au niveau de l’entreprise. Nous avançons que la culture exerce une influence plus directe sur le surinvestissement, en affectant les décisions des gestionnaires de passer de l’opportunité à l’acte de surinvestir. Pour empiriquement vérifier notre proposition nous avons construit un échantillon de 1 550 sociétés surinvestisseur potentielles, qui sont cotées et ne sont pas engagé dans le secteur financier, de 36 pays pour la période comprise entre 2001 et 2011. Nous trouvons qu’un haut niveau de Masculinité et l’Évitement-Incertitude conduisent à un surinvestissement exacerbé. Nous considérons que nos résultats accroissent notre compréhension des facteurs comportementales de surinvestissement, et soutiennent dans une certaine mesure la vue que la théorie de l’agence n’est pas entièrement transférable entre les cultures. / Two behavioral motivations have been identified for overinvestment: agency conflict (Jensen, 1986) and overconfidence (Heaton, 2002). While the literature on overconfidence and overinvestment studies one of these motivations, with regards to agency related overinvestment, extant literature tends to focus on financial characteristics and control mechanisms to explain the phenomenon. However, such factors influence the act of overinvestment only indirectly through affecting the opportunity to overinvest. Based on literature we can establish that culture influences the opportunity to overinvest through the institutional environment in which the company operates, and the cultural influence on some of the techniques used to mitigate overinvestment at the company level. We posit that culture exerts a more direct influence on overinvestment in affecting management’s decisions to move from the opportunity to the act of overinvestment in capital expenditures. To empirically verify our assertion we construct a sample of 1,550 quoted, non-financial, potential overinvestor firms from 36 countries for the period between 2001 and 2011. We find that higher masculinity and uncertainty avoidance in a culture leads to more overinvestment. We believe that our findings, besides advancing understanding of the behavioral drivers of overinvestment, lend support to those who question the cross-cultural transferability of agency theory.

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