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French military intelligence and Nazi Germany, 1936-1939

Jackson, Peter Darron January 1995 (has links)
No description available.
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The great asymmetry : America's closest allies in times of war

Von Hlatky Udvarhelyi, Stéfanie 03 1900 (has links)
Cette thèse étudie la dynamique entre les États-Unis et ses alliés privilégiés lorsque la coopération militaire est en jeu. Nous y proposons que les attentes de l’allié principal déterminent le niveau de coopération des autres pays mais que deux variables intermédiaires - la cohésion du gouvernement et la capacité militaire de l’allié - en déterminent l’exécution. Cette analyse porte aussi sur les stratégies utilisées par les états secondaires pour accroître leur pouvoir dans cette relation asymétrique : initier des négociations bilatérales dans le but d’obtenir des concessions stratégiques, faire valoir leur point de vue par le biais d’organisations internationales ou, encore, évoquer des principes d’ordre éthique et moral. Même si les alliés secondaires peuvent rarement influencer l’allié dominant, ils ont néanmoins la capacité d’agir de façon autonome et de résister aux pressions du plus fort. L’argument de la thèse repose sur trois propositions : dans une alliance asymétrique, les pays ne partagent pas nécessairement la même perception des menaces au niveau international; en cas de désaccord, le résultat des négociations entre alliés ne favorise pas toujours le partenaire dominant ; au moment de la prise de décision en matière de politique étrangère, l’allié secondaire doit protéger sa réputation en tant qu’allié fiable face à l’allié dominant, mais il doit en peser l’impact politique au niveau national. L’analyse théorique de ces alliances asymétrique s’inspire du réalisme néoclassique ce qui nous permet de mieux comprendre la relation entre les variables systémiques et étatiques. L’apport de cette recherche se situe au niveau de l’étude théorique des alliances militaires et de la prise de décision en politique étrangère et de défense. La recherche porte sur le comportement des alliés secondaires qui doivent réagir aux décisions prises par les États-Unis en temps de menace, en étudiant l’interaction entre variables étatiques et contraintes systémiques. Afin de préciser le lien causal entre la perception des menaces, les attentes de l’alliance et les contraintes du pays secondaire nous avons appliqué une méthode comparative en étudiant trois cas : La Grande Bretagne, le Canada, et l’Australie, et la réponse de chacun à l’appel de participer à la guerre en Afghanistan et en Iraq de 2001 à 2003. L’étude cible la prise de décision devant le choix de participer ou de ne pas participer dans une mobilisation conjointe avec les États-Unis. Le processus décisionnel est observé du point de vue de l’allié secondaire et nous permet de mesurer les facteurs explicatifs qui ont motivé la décision en vue d’une coopération militaire. / This dissertation focuses on military cooperation between the United States and its special allies. It argues that alliance expectations determine the level of military cooperation, while two intervening variables - the level of government cohesion and military capabilities - determine its implementation. This study also shows how secondary states deploy strategies to overcome power asymmetries through bilateral concessions, international organizations and by appealing to principle. The focus of the research is on special allies, as they have the most to gain or lose by going along with American plans. My contention is that secondary allies can rarely influence the dominant ally decisively, but they can act autonomously and resist to pressures exerted by the stronger alliance partner. The argument builds on three central claims. First, power asymmetries between allies translate into different assessments of international threats. Second, when disagreements over threats arise, the outcome of intra-alliance bargaining is not necessarily dictated by the preferences of the stronger power. Third, secondary states, as opposed to the dominant partner, face unique constraints when facing major foreign policy decisions, i.e. they face a trade-off between establishing a credible reputation as an alliance partner in a politically feasible way while minimizing domestic audience costs. To examine the theoretical puzzle presented by asymmetric military cooperation, I introduce a causal explanation that builds on neoclassical realism, to zone in on the interaction between systemic and domestic variables. My research makes a contribution to alliance theory and foreign policy decision-making by studying how special allies respond to American decisions in times of threat and how systemic constraints are channeled through state-level variables. To investigate the causal link between threat perception, alliance expectations and domestic constraints, this study relies on the method of structured focused comparison with three detailed case studies. The focus is on the initial decision made by special allies regarding whether or not to participle in joint mobilization with the United States. The decision-making process is presented from the perspective of secondary allied states and measures the explanatory factors that motivated the decision on military cooperation. The case studies are the UK, Canada and Australia’s response to the war in Afghanistan and the war in Iraq during the period of 2001 to 2003.
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The great asymmetry : America's closest allies in times of war

Von Hlatky Udvarhelyi, Stéfanie 03 1900 (has links)
Cette thèse étudie la dynamique entre les États-Unis et ses alliés privilégiés lorsque la coopération militaire est en jeu. Nous y proposons que les attentes de l’allié principal déterminent le niveau de coopération des autres pays mais que deux variables intermédiaires - la cohésion du gouvernement et la capacité militaire de l’allié - en déterminent l’exécution. Cette analyse porte aussi sur les stratégies utilisées par les états secondaires pour accroître leur pouvoir dans cette relation asymétrique : initier des négociations bilatérales dans le but d’obtenir des concessions stratégiques, faire valoir leur point de vue par le biais d’organisations internationales ou, encore, évoquer des principes d’ordre éthique et moral. Même si les alliés secondaires peuvent rarement influencer l’allié dominant, ils ont néanmoins la capacité d’agir de façon autonome et de résister aux pressions du plus fort. L’argument de la thèse repose sur trois propositions : dans une alliance asymétrique, les pays ne partagent pas nécessairement la même perception des menaces au niveau international; en cas de désaccord, le résultat des négociations entre alliés ne favorise pas toujours le partenaire dominant ; au moment de la prise de décision en matière de politique étrangère, l’allié secondaire doit protéger sa réputation en tant qu’allié fiable face à l’allié dominant, mais il doit en peser l’impact politique au niveau national. L’analyse théorique de ces alliances asymétrique s’inspire du réalisme néoclassique ce qui nous permet de mieux comprendre la relation entre les variables systémiques et étatiques. L’apport de cette recherche se situe au niveau de l’étude théorique des alliances militaires et de la prise de décision en politique étrangère et de défense. La recherche porte sur le comportement des alliés secondaires qui doivent réagir aux décisions prises par les États-Unis en temps de menace, en étudiant l’interaction entre variables étatiques et contraintes systémiques. Afin de préciser le lien causal entre la perception des menaces, les attentes de l’alliance et les contraintes du pays secondaire nous avons appliqué une méthode comparative en étudiant trois cas : La Grande Bretagne, le Canada, et l’Australie, et la réponse de chacun à l’appel de participer à la guerre en Afghanistan et en Iraq de 2001 à 2003. L’étude cible la prise de décision devant le choix de participer ou de ne pas participer dans une mobilisation conjointe avec les États-Unis. Le processus décisionnel est observé du point de vue de l’allié secondaire et nous permet de mesurer les facteurs explicatifs qui ont motivé la décision en vue d’une coopération militaire. / This dissertation focuses on military cooperation between the United States and its special allies. It argues that alliance expectations determine the level of military cooperation, while two intervening variables - the level of government cohesion and military capabilities - determine its implementation. This study also shows how secondary states deploy strategies to overcome power asymmetries through bilateral concessions, international organizations and by appealing to principle. The focus of the research is on special allies, as they have the most to gain or lose by going along with American plans. My contention is that secondary allies can rarely influence the dominant ally decisively, but they can act autonomously and resist to pressures exerted by the stronger alliance partner. The argument builds on three central claims. First, power asymmetries between allies translate into different assessments of international threats. Second, when disagreements over threats arise, the outcome of intra-alliance bargaining is not necessarily dictated by the preferences of the stronger power. Third, secondary states, as opposed to the dominant partner, face unique constraints when facing major foreign policy decisions, i.e. they face a trade-off between establishing a credible reputation as an alliance partner in a politically feasible way while minimizing domestic audience costs. To examine the theoretical puzzle presented by asymmetric military cooperation, I introduce a causal explanation that builds on neoclassical realism, to zone in on the interaction between systemic and domestic variables. My research makes a contribution to alliance theory and foreign policy decision-making by studying how special allies respond to American decisions in times of threat and how systemic constraints are channeled through state-level variables. To investigate the causal link between threat perception, alliance expectations and domestic constraints, this study relies on the method of structured focused comparison with three detailed case studies. The focus is on the initial decision made by special allies regarding whether or not to participle in joint mobilization with the United States. The decision-making process is presented from the perspective of secondary allied states and measures the explanatory factors that motivated the decision on military cooperation. The case studies are the UK, Canada and Australia’s response to the war in Afghanistan and the war in Iraq during the period of 2001 to 2003.

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