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La Diphtongaison dans le Français de Waterville, Maine: Une Étude Sociolinguistique des Voyelles OralesDupuy, Brooke January 2007 (has links) (PDF)
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An experimental study of two methods of teaching oral FrenchBrighouse, Thomas Joseph January 1963 (has links)
This study is an examination of the effectiveness of a method of teaching French phonics at the junior high school level and its effect in reducing the dangers of using the printed word from the beginning of language study.
Fifty-two grade IX students with no previous experience of French were taught a specially written ten week course using the mimicry-memorization method of learning sentence patterns in French. One group, the "two impression" group, studied this material with only oral-auditory stimuli, seeing only the English equivalent of the French they were expected to know. The other group, the "four impression" group, learned the same material by the oral, auditory, visual and kinesthetic stimuli since from the first lesson they saw and copied the French spelling after doing oral auditory drill. Special care was taken in drilling the latter group in the French orthographic system and in its phonetic basis. Students were expected in this way to "overlearn" the unit on French phonics in an attempt to reduce the English-type mispronunciation that could be expected.
From the two groups were selected matched pairs using the following criteria for purposes of matching: first, I.Q.; secondly, the current year's grades on the June examinations in English language, Science, Mathematics and Social Studies; and lastly musical aptitude. Groups had equal number of boys and girls. Tests were administered in auditory comprehension, in oral translation from English into French, and in pronunciation of French.
A comparison of the means at the end of the ten week course showed a slight difference in favour of the two impression group in auditory comprehension and in favour of the four impression group in oral translation and pronunciation. None of these differences was significant at the 5% level. The analysis of type and number of errors in the pronunciation test showed that those who saw the French had slightly more errors of pronunciation which seemed to be caused by interference from the English orthographic system. There were twice as many errors of this type in the four impression group as in the two impression group. These mistakes represented only six per cent of the total number of mistakes made. It was noted that those who had seen no French spelling still tended to mispronounce some French words in an English way.
It is concluded that the overlearning of French phonics appeared to have overcome what disadvantage might be expected to accrue from the teaching of French using the written word from the beginning. / Education, Faculty of / Graduate
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Histoire des termes d'architecture empruntés par le français à l'italien au XVIe siécle : leur introduction et leur évolutionLiew, Julian January 1990 (has links)
L'influence italianisante de la Renaissance sur la culture frangaise est telle qu'elle a laissé ses traces non seulement sur le vocabulaire de l'architecture du XVIe s. mais aussi sur celui de 1'architecture moderne et voire, plus généralement, sur le lexique français. Et pourtant, malgré 1'influence incontestable de l'italien sur le vocabulaire français de 1'architecture, il ne reste au XXe s. qu'une trentaine--au maximum—de termes d'architecture empruntés à l'italien au XVIe siècle.
Les spécialistes de la langue ont déjà examiné de près 1'influence du lexique italien sur le français à l'époque de la Renaissance: Ferdinand Brunot, Bartina Wind et T. E. Hope—entre autres—ont publié d'excellentes études dans ce domaine.
Tout en nous appuyant sur les études de ces éminents linguistes, nous avons souhaité éviter une simple répétition; par conséquent, nous avons poursuivi une étude approfondie sur un vocabulaire particulier: le vocabulaire de 1'architecture.
Nous avons d'abord dépouillé les textes de Brunot et de Hope pour établir une liste de termes d'architecture empruntés par le français àl'italien au XVIe siècle. Ensuite, nous avons vérifié dans les ouvrages lexicographiques modernes — ici, le .T.L.F. et le .Robert—pour déterminer si ces emprunts ont survécu jusqu'à nos jours. Nous pouvions être certain que ces termes font partie du lexique français du XXe siècle. Contrôlant la classification de Hope par 11exament de la section étymologique de chaque entrée du T..LF, nous avons aussi pu établir le fait que les mots dans notre liste étaient introduits en français comme termes d'architecture.
En même temps, notre consultation du TLF et du Robert nous a fourni un aperçue général de 1'évolution sémantique des emprunts. Ensuite, nous avons consulté les ouvrages lexicographiques les plus importants depuis le XVIIe s. pour tracer 1'évolution sémantique de chaque mot.
A partir du résultat de nos recherches, nous avons établi la répartition suivante: (i) quatre emprunts qui ont eu une expansion sémantique (viz., ARCHITECTS, ARCHITECTURE, ISOLE et FAÇADE); (ii) quatre autres emprunts qui ont évolué mais seulement à l'intérieur du vocabulaire de 1'architecture (viz., BALDAQUIN, APPARTEMENT, BALCON et ARCADE); et (iii) tous les mots qui n'ont pas changé de sens ou qui ont subi très peu d'évolution sémantique depuis leur introduction en français (Appendice A-2). Nous avons réservé une étude détaillée à chaque mot dans les deux prèmieres sections--retraçant l'origine et 1'évolution sémantiques du mot et, dans la mesure du possible, les circonstances historiques ou culturelles où le mot se trouvait.
Nos études nous ont conduit à la conclusion que la langue n'accepte pas de façon égale les emprunts faits dans un certain domaine ou pendant une certaine époque. Certains des emprunts s'intègrent totalement au lexique, en acquérant d'autres acceptions et en sortant du domaine qui les aintroduits: ils acquièrent finalement un sens figuré; ce groupe est très petit. Le deuxième groupe consiste en des emprunts qui ont garde leur emploi principal de terme d'architecture mais que l'usager moyen de la langue reconnaitra et employera. A la différence du premier groupe, cependant, les mots du deuxième groupe ne possèdent pas d'acception au figuré. Le dernier groupe est composé d'emprunts qui restent strictement des termes techniques; l'usager moyen ne les employerait pas et, sans doute, n'en connaitraît même pas le sens. A en croire le résultat de notre travail, ce dernier groupe constitue la majorité des emprunts.
Finalement, nous nous sommes apergu que l'histoire et la culture d'un peuple laissent souvent leurs traces sur 1'évolution sémantique d'un mot. Dans les études consacrées à ARCHITECTE et ARCHITECTURE, nous avons inclu pour chaque siècle les changements culturels, historiques ou politiques les plus importants dans l'histoire de la France et de 1'Europe et lés avons lies de façon logique aux changements sémantiques. Donc, nous avons pu suivre de près l'histoire parallèle de la langue française et du peuple français. / Arts, Faculty of / French, Hispanic, and Italian Studies, Department of / Graduate
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Anglicismes, canadianismes et mots folkloriques dans les dictionnaires Bélise (1979) et Plus (1988) : un aperçu du cheminement du lexique français québécoisSabouné, Samar January 1990 (has links)
Our study deals mainly with two Quebec dictionaries: Dictionnaire nord-américain de la langue française which will be given the name the Bélisle (1979) and the Dictionnaire du français plus designated by the Plus (1988). We have concentrated on the words that the Bélisle (1979) accompanies with: 1- "X" designating the "anglicismes"; 2- "C" designating the "canadianismes"; 3- the "Fleur de Lys" designating the "mots folkloriques". Our goal is to see the changes that the Quebec dialect has undergone from the Bélisle (1979) to the Plus (1988) with regard to the three above categories: whether theses words still exist in the latter dictionary or not, and if so, under which of these categories, if any, they fall.
In addition, we have consulted other Quebec dictionaries dating from 1880 to present. These consultations helped us determine, to a certain degree, the year an "anglicisme", a "canadianisme" or a "mot folklorique" was recorded in these dictionaries, signaling therefore their usage for the first time in the Quebec dialect.
Our thesis is divided into three chapters: the first one deals with the "anglicismes", the second one with the "canadianismes" and the third one with the "mots folkloriques". Each chapter contains data of each three categories obtained from our consultations of the Bélisle (1979), the Plus (1988) and other Quebec dictionaries. / Arts, Faculty of / French, Hispanic, and Italian Studies, Department of / Graduate
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Si et même si concessifsRedknap, David Owen 05 1900 (has links)
Nous avons étudié les deux structures concessives en français moderne si p, q et même
si p, q. Dans le premier chapitre, nous avons résumé certaines études antérieures sur divers
sujets. La section sur la concession montre qu'il y a sous-entendue a une phrase telle que
même si Jacques est la, je vais partir un rapport du genre si Jacques est Id, je ne vais pas
partir; autrement dit, même si p, q implique si p,~ q (Moeschler & de Spengler, Martin,
Ducrot). Par contre, une phrase telle que s'il est intelligent, il est brouillon se glose mieux
par la paraphrase de Nguyen certes p, mais q: certes il est intelligent, mais il est brouillon.
Dans la section sur la valeur de base des phrases en si p, q (concessives ou non concessives),
on voit que si est le marqueur d'une supposition, et cette supposition sert comme cadre pour
l'énonciation de q qui suit. La section sur même montre que ce mot est le marqueur d'une
échelle argumentative (Ducrot), et qu'il est limite par le contexte et« ce à quoi on
s'attendrait» (Lycan).
Dans le deuxième chapitre, nous avons décrit notre corpus, et nous avons déterminé si
les diverses structures proposées au chapitre précédent étaient présentes dans les exemples du
corpus. La section sur si concessif montre que la paraphrase certes p, mais q peut toujours
paraphraser les phrases concessives de la structure si p, q. Cependant, la structure si p,~ q
est aussi présente, mais indirectement. Finalement, nous avons fait certaines observations sur
le temps des verbes dans les deux propositions/? et q, et nous avons étudié les combinaisons
présent/présent, imparfait/imparfait, passé composé/présent, et plus-que-parfait/imparfait. Les
deux premières combinaisons montrent une opposition—par rapport aux si non concessifs—
au niveau des temps verbaux, les deux dernières au niveau de l'aspect. La section sur les cas
de même si révèle d'une part que toutes les phrases de cette structure possèdent la structure
sous-entendue si p, ~ q, et d'autre part que certains exemples acceptent aussi la paraphrase
de Nguyen. Ceci correspond à la distinction qu'Eriksson fait des phrases en même si portant
sur des faits réels et non réels (virtuels). / Arts, Faculty of / French, Hispanic, and Italian Studies, Department of / Graduate
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Topics in the phonology of PicardCardoso, Walcir January 2003 (has links)
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The distribution of clitics in French causative constructions /Picard, Albert. January 1984 (has links)
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La synthèse par ordinateur du français montréalais /Bernardi, Dave A. W. January 1985 (has links)
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Les pronoms personnels sujets et l’impersonnel, il, en ancien françaisLukaszewicz, Elisabeth T. January 1979 (has links)
Note:
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Franska talas inte bara i Frankrike : - en studie i hur läroböcker i franska behandlar la francophonieJansson, Kristina January 2007 (has links)
<p>Uppsatsen behandlar om och på vilket sätt det faktum att franska talas i fler länder än Frankrike är uppmärksammat i kursplaner och textböcker i franska för gymnasiet. Jag har i detta sammanhang använt termen la francophonie för att beteckna franska talad utanför Frankrike, trots att Frankrike egentligen ingår i detta begrepp.</p><p>Vad det gäller kursplaner kan jag konstatera att de är mycket vagt formulerade, men att det är tydligt att man vill att eleverna skall lära sig om de kulturer och länder i vilka franskan förekommer. Eftersom läroböcker kan ses som en form av konkretisering av kursmålen har jag studerat tolv av dem för att se hur la francophonie behandlas i dem. Jag studerade hur många texter i läroböckerna som behandlar la francophonie, men även på vilket sätt texterna är formulerade. Det visade sig att de flesta böckerna innehöll texter som direkt eller indirekt behandlar franskan som ett globalt fenomen. Det var också tydligt att de flesta texterna gick bortom nationella klichéer för att istället fokusera på individers erfarenheter, något som är nödvändigt eftersom nationella identiteter bara är sociala konstruktioner. Det framkom även att de äldre läroböckerna hade ett mer eurocentriskt perspektiv, medan de nyare lät personer från till exempel le Maghreb komma till tals direkt. Många texter behandlade även de problem och möjligheter som skapas av det faktum att fler och fler personer befinner sig mellan flera kulturer.</p>
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