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Pejorative bedeutungsentwicklung im französischen mit berücksichtigung allgemeiner fragen der semasiologie ...

Jaberg, K. January 1901 (has links)
Inuag.-diss.--Bern. / Lebenslauf. "Vorliegende arbeit wurde in der 'Zeitschrift für romanische philologie, ' bd. XXV, gedruckt. Die forsetzung wird ebendort, bd. XXVI, erscheinen." Bibliography: p. 2-6.
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Si et même si concessifs

Redknap, David Owen 05 1900 (has links)
Nous avons étudié les deux structures concessives en français moderne si p, q et même si p, q. Dans le premier chapitre, nous avons résumé certaines études antérieures sur divers sujets. La section sur la concession montre qu'il y a sous-entendue a une phrase telle que même si Jacques est la, je vais partir un rapport du genre si Jacques est Id, je ne vais pas partir; autrement dit, même si p, q implique si p,~ q (Moeschler & de Spengler, Martin, Ducrot). Par contre, une phrase telle que s'il est intelligent, il est brouillon se glose mieux par la paraphrase de Nguyen certes p, mais q: certes il est intelligent, mais il est brouillon. Dans la section sur la valeur de base des phrases en si p, q (concessives ou non concessives), on voit que si est le marqueur d'une supposition, et cette supposition sert comme cadre pour l'énonciation de q qui suit. La section sur même montre que ce mot est le marqueur d'une échelle argumentative (Ducrot), et qu'il est limite par le contexte et« ce à quoi on s'attendrait» (Lycan). Dans le deuxième chapitre, nous avons décrit notre corpus, et nous avons déterminé si les diverses structures proposées au chapitre précédent étaient présentes dans les exemples du corpus. La section sur si concessif montre que la paraphrase certes p, mais q peut toujours paraphraser les phrases concessives de la structure si p, q. Cependant, la structure si p,~ q est aussi présente, mais indirectement. Finalement, nous avons fait certaines observations sur le temps des verbes dans les deux propositions/? et q, et nous avons étudié les combinaisons présent/présent, imparfait/imparfait, passé composé/présent, et plus-que-parfait/imparfait. Les deux premières combinaisons montrent une opposition—par rapport aux si non concessifs— au niveau des temps verbaux, les deux dernières au niveau de l'aspect. La section sur les cas de même si révèle d'une part que toutes les phrases de cette structure possèdent la structure sous-entendue si p, ~ q, et d'autre part que certains exemples acceptent aussi la paraphrase de Nguyen. Ceci correspond à la distinction qu'Eriksson fait des phrases en même si portant sur des faits réels et non réels (virtuels).
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Si et même si concessifs

Redknap, David Owen 05 1900 (has links)
Nous avons étudié les deux structures concessives en français moderne si p, q et même si p, q. Dans le premier chapitre, nous avons résumé certaines études antérieures sur divers sujets. La section sur la concession montre qu'il y a sous-entendue a une phrase telle que même si Jacques est la, je vais partir un rapport du genre si Jacques est Id, je ne vais pas partir; autrement dit, même si p, q implique si p,~ q (Moeschler & de Spengler, Martin, Ducrot). Par contre, une phrase telle que s'il est intelligent, il est brouillon se glose mieux par la paraphrase de Nguyen certes p, mais q: certes il est intelligent, mais il est brouillon. Dans la section sur la valeur de base des phrases en si p, q (concessives ou non concessives), on voit que si est le marqueur d'une supposition, et cette supposition sert comme cadre pour l'énonciation de q qui suit. La section sur même montre que ce mot est le marqueur d'une échelle argumentative (Ducrot), et qu'il est limite par le contexte et« ce à quoi on s'attendrait» (Lycan). Dans le deuxième chapitre, nous avons décrit notre corpus, et nous avons déterminé si les diverses structures proposées au chapitre précédent étaient présentes dans les exemples du corpus. La section sur si concessif montre que la paraphrase certes p, mais q peut toujours paraphraser les phrases concessives de la structure si p, q. Cependant, la structure si p,~ q est aussi présente, mais indirectement. Finalement, nous avons fait certaines observations sur le temps des verbes dans les deux propositions/? et q, et nous avons étudié les combinaisons présent/présent, imparfait/imparfait, passé composé/présent, et plus-que-parfait/imparfait. Les deux premières combinaisons montrent une opposition—par rapport aux si non concessifs— au niveau des temps verbaux, les deux dernières au niveau de l'aspect. La section sur les cas de même si révèle d'une part que toutes les phrases de cette structure possèdent la structure sous-entendue si p, ~ q, et d'autre part que certains exemples acceptent aussi la paraphrase de Nguyen. Ceci correspond à la distinction qu'Eriksson fait des phrases en même si portant sur des faits réels et non réels (virtuels). / Arts, Faculty of / French, Hispanic, and Italian Studies, Department of / Graduate
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Une analyse des quantificateurs flous divers, différents, plusieurs, certain(s) et quelque(s) dans l’idiolecte de Claude Lévi-Strauss

Savvas, Sophia 11 1900 (has links)
Cette etude a une envergure bipartite: outre qu'elle se consacre aux quantificateurs flous avec une forte concentration sur certain(s), diver(s), differents(s), plusieurs et quelque(s), elle compare leurs emplois avec ceux du Dictionnaire des frequences. Avant tout, elle se veut descriptive et synchronique. Dans cette optique, elle se base sur un corpus clos, celui de l'idiolecte de l'anthropologue francais Claude Levi-Strauss. Ce corpus numerise compte dix sous-corpus d'inegale longueur, couvrant cinq decennies de la deuxieme partie du XX[sup e] siecle et totalisant 1 251 792 mots. Par ailleurs, il englobe 3872 occurrences des cinq quantificateurs flous en question. Dans un premier temps, il s'agit d'une analyse distributionnelle a laquelle s'ajoute une analyse componentielle. Nous mettrons en evidence les contextes d'apparition de chacun des cinq quantificateurs flous dans le corpus en plus de leur appliquer une batterie de tests semantiques et syntaxiques pour deceler leur fonctionnement dans la langue francaise. Pour ce qui concerne le semantisme, nous presenterons ce que d'autres linguistes tels Arrive, Gadet & Galmiche, Chevalier, Curat, Damourette & Pichon, Gondret, Grevisse, Gross, Mitterand, Riegel, Pellat & Rioul et Wilmet ont a dire a propos1 de ces cinq quantificateurs flous. Ce chemin parcouru, nous pourrons tester l'hypothese que divers, differents et plusieurs forment un sous-systeme au sein de la classe de quantificateurs flous alors que certains(s) et quelque(s) en forment un autre. La seconde partie de cette etude consiste en une analyse statistique. II s'agit d'une comparaison des frequences relatives des cinq quantificateurs flous dans le corpus de Levi-Strauss avec celles du Dictionnaire des frequences qui livre l'equivalent d'une norme de la langue: il totalise 70 317 234 mots, dont 37 653 685 relevent du XX[sup e] siecle.
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Une analyse des quantificateurs flous divers, différents, plusieurs, certain(s) et quelque(s) dans l’idiolecte de Claude Lévi-Strauss

Savvas, Sophia 11 1900 (has links)
Cette etude a une envergure bipartite: outre qu'elle se consacre aux quantificateurs flous avec une forte concentration sur certain(s), diver(s), differents(s), plusieurs et quelque(s), elle compare leurs emplois avec ceux du Dictionnaire des frequences. Avant tout, elle se veut descriptive et synchronique. Dans cette optique, elle se base sur un corpus clos, celui de l'idiolecte de l'anthropologue francais Claude Levi-Strauss. Ce corpus numerise compte dix sous-corpus d'inegale longueur, couvrant cinq decennies de la deuxieme partie du XX[sup e] siecle et totalisant 1 251 792 mots. Par ailleurs, il englobe 3872 occurrences des cinq quantificateurs flous en question. Dans un premier temps, il s'agit d'une analyse distributionnelle a laquelle s'ajoute une analyse componentielle. Nous mettrons en evidence les contextes d'apparition de chacun des cinq quantificateurs flous dans le corpus en plus de leur appliquer une batterie de tests semantiques et syntaxiques pour deceler leur fonctionnement dans la langue francaise. Pour ce qui concerne le semantisme, nous presenterons ce que d'autres linguistes tels Arrive, Gadet & Galmiche, Chevalier, Curat, Damourette & Pichon, Gondret, Grevisse, Gross, Mitterand, Riegel, Pellat & Rioul et Wilmet ont a dire a propos1 de ces cinq quantificateurs flous. Ce chemin parcouru, nous pourrons tester l'hypothese que divers, differents et plusieurs forment un sous-systeme au sein de la classe de quantificateurs flous alors que certains(s) et quelque(s) en forment un autre. La seconde partie de cette etude consiste en une analyse statistique. II s'agit d'une comparaison des frequences relatives des cinq quantificateurs flous dans le corpus de Levi-Strauss avec celles du Dictionnaire des frequences qui livre l'equivalent d'une norme de la langue: il totalise 70 317 234 mots, dont 37 653 685 relevent du XX[sup e] siecle. / Arts, Faculty of / French, Hispanic, and Italian Studies, Department of / Graduate
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Le système de CAR: étude grammaticale, sémantique et pragmatique

Bracops, Martine January 1995 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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The spatial expressions containing French 'travers' and Italian 'traverso': a functional semantic description from diachronic perspective / Expressions spatiales contenant le mot français 'travers' et le mot italien 'traverso': une description fonctionnelle sémantique d'un point de vue diachronique.

Hoelbeek, Thomas 28 April 2014 (has links)
This thesis belongs to the research tradition of Romance historical semantics, and combines diachronic methods with cognitive hypotheses. Analysing complex adpositions in French and Italian, its originality resides in the fact that, both for literal and metaphorical uses, it applies a functional approach to a diachronic problematic, carrying out a corpus analysis.<p>The period covered consists of four hundred years (from the 16th until the end of the 19th Century). The constructions under analysis conform to the pattern [PREP1 (+ article) + travers(o) (+ PREP2)], viz. the French expressions 'à travers (de)', 'au travers (de)', 'en travers (de)', 'de travers' and their Italian formal equivalents 'a traverso/at(t)raverso (a, di, per)', 'al traverso (di)', 'in traverso (di)' and 'di traverso (a)' ('traverso (a)', without PREP1, is included too). These expressions, and especially their prepositional uses, are assumed to be intrinsically dynamic. However, they are no pure prepositions, in that all of them can be used in at least two different syntactic roles. More specifically, some are principally found as a preposition, and secondarily as an adverb; others behave mostly as an adverb, but also as an adjective; finally, certain expressions exhibit all three types of uses.<p>The results can be structured around four axes. Firstly, a complete diachronic-semantic description of all uses is given of this set of hardly explored expressions, in order to contribute to a better comprehension of their semantic structure. The study bears on morphological, syntactic, but most of all semantic aspects of the evolutions observed. Secondly, functional concepts such as Guidance, proposed in synchronic research (in particular by Stosic (2002b; 2007; 2009)), and notions we elaborate on the basis of research on Modern French (cf. Somers 1988; and Plungian 2002), in particular Contrast and Deviation, are put to the test. By adopting a diachronic perspective, we assess to what extent these notions are able to describe the semantics conveyed in the past by the expressions under study. Thirdly, this thesis determines in what measure the expressions analysed were subjected to a grammaticalisation process, and why some of them (in particular 'à travers', and, to a lesser extent, 'a traverso/at(t)raverso (a, di, per)') became significantly more frequent from the 18th Century onwards. We provide elements that point to a more advanced grammaticalisation for certain expressions. Moreover, we determine to what extent the evolutionary trends observed corroborate or, on the contrary, disconfirm various mechanisms considered to be part of the process of grammaticalisation. Finally, a comparison between the evolutions in the two languages under study helps to distinguish between more general and language-specific mechanisms of semantic and grammatical evolution, given that every natural language has a specific way of organising its own modelling of space.<p>The results of this study enrich our knowledge of the phrases studied and their functioning in the past, but also in present-day French and Italian, providing diachronic observations regarding the functional notions put to the test. Further, it contributes to a better understanding of the grammaticalisation mechanisms of complex constructions. Finally, it shows that typologically related languages may evolve differently in their ways of representing space, and in particular in their semantic distribution of various functional concepts within a group of close constructions./Cette thèse s’inscrit dans le domaine de la sémantique historique romane, et combine des méthodes diachroniques avec des hypothèses cognitives. En analysant des adpositions complexes en français et en italien, son originalité réside dans le fait que, à la fois pour des usages littéraux et métaphoriques, elle applique une approche fonctionnelle à une problématique diachronique, en réalisant une analyse de corpus.<p>La période traitée est constituée de quatre cents ans (à partir du XVIe jusqu’à la fin du XIXe siècle). Les constructions analysées sont conformes au modèle [PREP1 (+ article) + travers(o) (+ PREP2)], à savoir les expressions françaises 'à travers (de)', 'au travers (de)', 'en travers (de)', 'de travers' et leurs équivalentes formelles italiennes 'a traverso/at(t)raverso (a, di, per)', 'al traverso (di)', 'in traverso (di)' et 'di traverso (a)' ('traverso (a)', sans PREP1, est aussi incluse). Ces expressions, et surtout leurs usages prépositionnels, sont supposées être intrinsèquement dynamiques. Cependant, elles ne sont pas de pures prépositions, en ce que chacune d’elles peut être utilisée dans au moins deux rôles syntaxiques différentes. Plus précisément, certaines se rencontrent principalement comme préposition, et accessoirement comme adverbe ;d’autres se comportent la plupart du temps comme adverbe, mais aussi comme adjectif ;enfin, certaines expressions présentent les trois types d’usages.<p>Les résultats s’articulent autour de quatre axes. Tout d’abord, une description diachronique et sémantique complète est donnée de tous les usages de l’ensemble de ces expressions qui sont à peine explorées, afin de contribuer à une meilleure compréhension de leur structure sémantique. L’étude porte sur des aspects morphologiques, syntaxiques, mais surtout sémantiques des évolutions observées. Deuxièmement, des concepts fonctionnels tels que celui de Guidage, proposé dans des travaux en synchronie (en particulier par Stosic (2002b; 2007; 2009)), et des notions que nous élaborons sur la base d’analyses du français moderne (cf. Somers 1988; et Plungian 2002), en particulier celles de Contraste et Déviation, sont mises à l’épreuve. En adoptant une perspective diachronique, nous évaluons dans quelle mesure ces notions sont en mesure de décrire la sémantique véhiculée dans le passé par les expressions étudiées. Troisièmement, cette thèse détermine dans quelle mesure les expressions analysées ont été soumises à un processus de grammaticalisation, et pourquoi certaines d’entre elles (en particulier 'à travers' et, dans une moindre mesure, 'a traverso/at(t)raverso (a, di, per)') sont devenues beaucoup plus fréquentes à partir du XVIIIe siècle. Nous fournissons des éléments qui indiquent une grammaticalisation plus avancée de certaines expressions. De plus, nous déterminons dans quelle mesure les tendances évolutives observées corroborent ou, au contraire, infirment différents mécanismes considérés comme faisant partie du processus de grammaticalisation. Enfin, une comparaison entre les évolutions dans les deux langues étudiées permet de distinguer des tendances sémantiques et grammaticales plus générales de ceux qui sont plus spécifiques à une langue, étant donné que chaque langue naturelle a une façon spécifique d’organiser sa représentation de l’espace.<p>En fournissant des observations diachroniques sur les notions fonctionnelles mises à l’épreuve, cette thèse enrichit notre connaissance des constructions étudiées et leur fonctionnement dans le passé, ce qui aide aussi à mieux comprendre leur usage contemporain. De plus, elle contribue à une meilleure compréhension des mécanismes de grammaticalisation des constructions complexes. Enfin, elle montre que des langues typologiquement proches peuvent évoluer différemment dans leurs modes de représentation de l’espace, et en particulier dans la distribution sémantique de différents concepts fonctionnels dans un groupe de constructions proches.<p><p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les structures corrélatives isomorphes: étude des propriétés sémantiques, morphologiques et (micro-/macro-) syntaxiques des corrélatives isomorphes en "autant", "ni", "plus", "soit", "tantôt" et "tel" / Isomorphic correlative structures: study of semantic, morphologic and (micro-/macro-) syntactic properties of French isomorphic correlatives in "autant", "ni", "plus", "soit", "tantôt" et "tel"

Roig, Audrey 23 October 2013 (has links)
Français :<br /><p><br /><p>Cette étude porte sur les structures françaises dites "corrélatives", construites en "autant.autant", "ni.ni", "soit.soit", "plus.plus", "tantôt.tantôt" et "tel.tel", soit des corrélatives "isomorphes". Si ces structures mettent toutes en relation deux termes ou structures, nous montrons ici, par le biais de descriptions sémantique, morphologique et syntaxique, que chacune de ces constructions est également très différente. À partir d’exemples tirés de corpus (français oral et écrit), ce travail ambitionne donc de mettre en évidence les propriétés des structures corrélatives isomorphes, de dresser le bilan des caractéristiques qui les unissent et les distinguent les unes des autres. Il a pour second objectif de questionner la place de la corrélation dans la typologie des modes de liaisons de prédications – c’est-à-dire la possibilité ou non d’assimiler les corrélatives françaises à de la subordination, de la coordination ou encore de la juxtaposition. Une tierce finalité, davantage méthodologico-épistémologique, a trait à l’examen de la façon dont les structures corrélatives isomorphes sont prises en compte respectivement en syntaxe traditionnelle, dans les approches graduelles et en macrosyntaxe (aixoise et fribourgeoise) ;il poursuit consécutivement un objectif plus général, celui de trouver une porte de sortie à l’impasse actuelle en syntaxe, née de l’apparente inconciliabilité des trois approches. <br /><p><br /><p>La réponse à ces trois objectifs nécessite une étude en deux étapes. Dans un premier temps, ce travail s'attarde ainsi sur chacune des six structures corrélatives, mettant en évidence leurs ressemblances et dissemblances tant sémantiques que formelles. Cette première étape offre alors la possibilité d’inscrire le phénomène de la corrélation isomorphe dans le cadre général des liaisons de prédications et de confronter plus spécifiquement les propriétés des structures dites "corrélatives" avec celles de ces autres modes de liaisons dans une les modèles 1) binaires ou ternaires des modes de jonctions propositionnelles (approche traditionnelle), 2) graduels (Foley & Van Valin, Rebuschi, Lehmann) et 3) macrosyntaxiques (écoles d'Aix et de Fribourg).<p><p><br /><p><br /><p><br /><p><p>English :<br /><p><br /><p>This project focuses on the study of so-called “correlative” structures in French that use "autant.autant", "ni.ni", "soit.soit", "plus.plus", "tantôt.tantôt" et "tel.tel", that is to say "isomorphic" correlatives. While all these constructions serve to connect two terms or structures, we shall show, through morphological, syntactic and semantic descriptions, that they each possess distinctive features. Using examples drawn from a corpus (French, oral and written), this project thus aims to establish the properties of isomorphic correlative structures, and to identify the characteristics they share and those that distinguish them from one another. The second aim of this project consists in (re-)examining the place of correlation in the typology of predication linking structures in an effort to determine whether or not French correlatives may be considered as a type of subordination, coordination or even juxtaposition. The third objective, which is methodological and epistemological in nature, will consist in studying how traditional syntax, gradual models and macrosyntax have respectively accounted for isomorphic correlative structures. In this way, we shall attempt to break the current deadlock resulting from the apparent incompatibility of the three approaches.<br /><p><br /><p>To reach these three goals, the study will be organized in two phases. First, the various correlative structures will be scrutinized in order to highlight semantic and formal similarities and dissimilarities. This will allow us to position the phenomenon of isomorphic correlation within the general framework of predication linking, and thereby compare the properties of so-called “correlative” structures with those of other linking structures. In the second phase, we will re-examine the place of correlative structures in the models advanced by traditional syntax, by gradual approaches (Foley & Van Valin, Rebuschi, Lehmann) and macrosyntax (Aix and Fribourg).<p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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