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Bonapartisme et néocorporatisme sous la Vème République le bonapartisme gaulliste.

Cambadélis, Jean-Christophe, January 1987 (has links)
Th. 3e cycle--Sociol.--Paris 7, 1985.
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I nationens intresse? : Gaullismens partiideologi 1947-1990 /

Demker, Marie, January 1900 (has links)
Thesis--Political Sciences--Göteborg, 1993. / Résumé en anglais.
3

Der Mythos des Gaullismus : Heldenkult, Geschichtspolitik und Ideologie 1940 bis1958 /

Waechter, Matthias, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Frankreich-Zentrum--Universität Freiburg, 2003. / Bibliogr. p. 483-502.
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La pensée politique et constitutionnelle de Michel Debré /

Aromatario, Silvano, Robert, Jacques, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Science politique--Lille 2, 2002. / En appendice, liste des discours et documents parlementaires de Michel Debré. Bibliogr. p. 616-638.
5

Literatur und Politik : der Gaullismus im Werk und Wirken von Maurice Druon /

Drissen, Klaus D. January 1900 (has links)
Diss.--Wuppertal--Universität, 1991.
6

Génération gaulliste : l'Union des jeunes pour le progrès, une école de formation politique, 1965-1975 /

Audigier, François, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire--Paris 10, 1999. / Bibliogr. p. 453-479. Index.
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Das " Centre national des républicains sociaux " : eine gaullistische Partei unter der IV. Republik /

Tümmers, Hans J., January 1980 (has links)
Inaug.-Diss. : Philosophische Fakultät : Augsburg : 1980. - Bibliogr. p. 321. -
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L'enjeu de l'Europe Centrale-Orientale pour la diplomatie française sous François Mitterand, dans le contexte de la question allemande / The stake of East Central Europe for the French diplomacy under Francois Mitterrand in the context of the German question

Mitrache, Marius-Mircea 30 October 2013 (has links)
François Mitterrand aimait l'Histoire, et décidemment l'Histoire avait aimé Mitterrand, car peut-être ce n'est pas par hasard que c'était lui le gouverneur du destin de la France au moment d'un si grand tournant dans l'histoire européenne. Si l'historien allemand Tilo Schabert le nommait « le président-philosophe », alors quelle a été sa réponse devant le Sphynx de l'Histoire, en 1989 ? Pour ou contre la réunification de l'Allemagne ? A vrai dire, le statu quo de la Guerre froide et l'existence des deux Allemagne au cœur de l'Europe, convenaient à merveille à la France. L'écrivain François Mauriac disait : « J'aime l'Allemagne tellement, que je désire en avoir deux ». Une Allemagne divisée a permis à la France de prendre le leadership ouest-européen. Avec une participation active dans la construction européenne, une relation privilégie avec Moscou, sa popularité parmi les capitales est-européennes, et son indépendance dans le cadre de l'Otan, la France semblait avoir tous les atouts pour être la première puissance de l'Europe Occidentale. Pour comprendre la diplomatie de Mitterrand, celle-ci doit être vue dans la perspective d'un monde en changement, d'un statu quo en cours de modification : son tour dans les capitales de l'Est, le projet pour le traité de Maastricht (avec son enjeu historique – l'adoption d'une monnaie unique), la ratification des traités consentant à la réunification de l'Allemagne, le soutien envers Gorbatchev et finalement son projet pour une grande confédération pan-européenne sur le moule de la Conférence sur la Sécurité et Coopération en Europe, évoquant l'ambition de Charles de Gaulle de construire l'Europe de l'Atlantique à l'Oural. Dans ce labyrinthe d'événements il y a un fil d'Ariane, un raisonnement clair et un peu trop visionnaire de la part de Mitterrand. C'est la qualité (et en même temps le défaut) de résoudre le présent en pensant l'avenir. Ceux qui comprennent tout avant les autres seront toujours incompris par la majorité. Mitterrand savait que l'Allemagne était un pays à risques, surtout pour l'hégémonie française et ensuite pour la construction européenne, le grand projet de construction européenne entamé depuis 1945. C'est le but de notre recherche de montrer la source et la forme des manifestations de la politique étrangère de Mitterrand envers l'Europe Centrale-Orientale. La diplomatie de François Mitterrand envers l'Europe Centrale-Orientale, qui redeviendra une carte mentale géographique suite à la question de la réunification allemande, se trouve au carrefour, à la croisée de l'approche gaulliste, réaliste, et de celle poursuivie par Pompidou et Giscard d'Estaing, l'approche constructiviste. Seulement à travers la grille d'une analyse réaliste-constructiviste on peut comprendre les ressorts et les jalons de sa politique étrangère concernant la réunification allemande, la construction européenne (le congrès de Strasbourg de 1989) et finalement l'Europe Centrale-Orientale sortie du communisme et l'Union soviétique (le projet de confédération pan-européenne sera présenté le 31 décembre 1989). Le fil d'Ariane que nous avons évoqué au début est une tresse faite par l'entrelacement des deux fils différents, celui du réalisme et celui du constructivisme. Par cette voie on peut comprendre de la part de Mitterrand, le désir l'accéler l'intégration de la Communauté européenne, la nécessité de trouver un encadrement pour la réunification pacifique de l'Allemagne, et puis faire son ancrage dans les valeurs occidentales, d'éviter la désintégration d'une Europe Centrale-Orientale. / François Mitterrand loved history, and history definitely loved Mitterrand, and because of this maybe it is not by chance that he governed the destinies of France at a great turning point in European history. If the German historian Tilo Schabert called him ”le président-philoshophe”, then one might ask what has been the response in front of the Sphynx of History in 1989. Was he for or against the reunification of Germany? Indeed, the status quo of the Cold War and the existence of two Germanys in the heart of Europe suited perfectly for France. The writer François Mauriac famously once said:”I love Germany so much that I want to have two.” A divided Germany has enabled France to consolidate the leadership of West European. With active participation in European integration, a special relationship with Moscow, with its popularity among the Eastern European capitals, and its independence in NATO, France seemed to have everything it takes to be the first power of the Western Europe. To understand it, the diplomacy of Mitterrand must be seen in the context of a changing world, where the status quo was challenged. Starting from this premises we can understand his diplomatic tour in the capitals of the East, the project for the Maastricht Treaty ( with its historic stake - the adoption of a single currency), the ratification of 2+4 treaty consenting to the reunification of Germany, his support for Gorbachev and finally his project for a major pan- European confederation on the mold of the Conference on Security and Cooperation in Europe , echoing the ambition of Charles de Gaulle to build a Europe from the Atlantic to the Urals. In this maze of events the common thread was Mitterrand's a clear insight of the consequences the will follow the reunification. Those who understand everything before others will always be misunderstood by the majority. Mitterrand knew that Germany was a country at risk, especially for the French hegemony and then to European construction, the great European project started since 1945. It is the goal of our research to show the source and the form of Mitterrand's foreign policy toward East Central Europe in the context of the German question, towards a region that once again will become for France a geographic mental map. Mitterrand's diplomatic approach finds itself at a crossroads between a Gaullist approach, a realist one, and the one pursued by Pompidou and Giscard d'Estaing, a constructivist approach. Only through the grid of a realistic - constructivist analysis one can decipher the milestones of its foreign policy regarding the German reunification (2 +4 Treaty in September 1990), the European integration (the stake European Council in Strasbourg in1989) and finally East-Central Europe's post-communist architecture (through project of the pan European confederation he unveiled on 31 December 1989). Only in this way we can understand Mitterrand's desire to accelerate the integration of the European community, the need to find a framework for the peaceful reunification of Germany by anchoring it its Western commitments, and at the same time avoiding the disintegration of East-Central Europe.
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L'économie et l'État-nation : les gaullistes post-de Gaulle et l'intégration européenne (1976-1988)

Blanc, Valérie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Stanislas Fumet (1896-1983). Au service d’une génération intellectuelle / Stanislas Fumet (1896-1983), at the service of an intellectual generation

Manaranche, Louis 26 November 2018 (has links)
Stanislas Fumet (1896-1983) est un intellectuel catholique dont le rôle, crucial dans des domaines multiples et variés, est méconnu. Éditeur dans la prestigieuse collection du « Roseau d’Or », fondateur de la revue chrétienne Temps Présent, résistant, gaulliste, homme de radio sur France Culture : toutes ces facettes de Fumet ne l’ont pas conduit à être une figure intellectuelle engagée de premier plan. Plus que par une absence de notoriété, cette réalité s’explique largement par la fonction de service, « ancillaire » selon les termes de son filleul Pierre Manent, que Fumet a occupée auprès d’une génération intellectuelle marquée en premier lieu par la figure de Jacques Maritain. Serviteur de celle-ci, Fumet est aussi progressivement devenu au fil des années l’un de ses derniers représentants, assumant un « magistère spirituel dans le temporel » (Jean-Marie Lustiger) durant des années de mutation profonde de celui-ci. / Stanislas Fumet (1896-1983) was a Catholic intelllectual whose crucial role in many and varied domains is unrecognized. An editor of the prestigious series "Roseau d’Or", founder of the Christian journal Temps Présent, member of the Resistance, Gaullist, broadcaster for the radio station France Culture : none of these facets led to Fumet being in the foregroud of politically committed intellectuals. More than by an absence of fame, this reality can be explained by the supporting (or "ancillary" to use his godson Pierre Manent’s term) role that Fumet played to an intellectual generation marked by Jacques Maritain. Initially this generation’s servant, Fumet gradually became one of its last representatives, taking on a "spiritual magisterium in the temporal" (Jean-Marie Lustiger).

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