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La structuration de la phénoménalité : temporalité, trace, événement (Heidegger, Derrida, Nancy) / The Structuration of Phenomenality : temporality, Trace, Event (with Heidegger, Derrida, Nancy)

Zangeneh, Hakhamanesh 10 March 2009 (has links)
En lisant la deuxième partie (peu commentée) d’Etre et Temps de Heidegger comme une nouvelle philosophie transcendantale au sens étroit, nous y décelons une multiplicité de temporalités comportant plusieurs instances de la présence. L’instance la plus originaire contient pourtant, selon nous, un noyau relationnel et a-phénoménal, ce qui implique l’affirmation d’une structuration à même le phénomène. Nous poursuivons ce thème comme fil conducteur établissant un chemin de continuité entre Heidegger et Derrida, notamment dans les textes de Derrida dédiés à la phénoménologie où il est question de la métaphysique de la présence. Loin d’y voir une critique de Heidegger nous lisons ces textes comme une extension de notre problématique : le vocabulaire derridien de la trace et de la différance nous permet d’approfondir la description de ladite structuration archaïque. En insistant sur la référence analogique au domaine langagier, nous nous servirons de l’analyse grammatologique afin de répondre aux questions laissées ouvertes dans Etre et Temps, et notamment afin de caractériser la temporalisation immanente. En même temps, nous suggérons de voir une distinction dans la trace, une distinction qui traverse l’oeuvre ultérieure de Derrida. Le versant grammatologique de la déconstruction est une réponse à la question de la temporalité. Enfin, la question, récemment très discutée, de l’événementialité, se laisse rattacher à notre problématique à travers des travaux de Jean-Luc Nancy. La notion d’événement distensif, lorsque enrichi par une série de gloses historiques, est une pensée de la singularité qui ne sacrifie pas les acquis grammatologiques de la détermination d’une structuration de la phénoménalité / This thesis begins with Heidegger’s theory of temporality in part II of Sein und Zeit. While reading it as a novel form of transcendental philosophy in the strict sense, we show, contrary to commentators, that it describes multiple temporalisations and thus multiple notions of presence. The most original notion of presence, however, contains an a-phenomenal and relational core, and this amounts to describing a structuration of phenomenality. In a next step, we examine early texts of Jacques Derrida where, in analyzing Husserl and Heidegger, the author first sets out the idea of a metaphysics of presence. Rather than reading these texts as a critique of Heidegger we show how they can be understood as an extension of our Heideggerian problematic: the notion of différance and of the written trace supply us with a particularly linguistic and writerly description of the archaic structuration. This also allows us both to respond in a novel fashion to open questions immanent to Sein und Zeit, and to suggest a previously unseen distinction running through Derridean deconstruction. The grammatological moment in deconstruction is a response to the question of temporality. Finally, we show how the recently popular discussion of the event can also be read as a thematisation of phenomenality, and specifically in the theory of Jean-Luc Nancy, how such a theory can avoid the facile metaphysical concepts of presence. By supplementing Nancy’s distensive event with a series of explicit historical glosses we show how it sketches out an original event-conception quite compatible with our interest in the structuring of phenomenality
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« Diverse escriture d’un mesme nom » : translittérer les écritures orientales en alphabet latin dans la France de l’humanisme / “Diverse escriture d’un mesme nom” : transliteration of Oriental Scripts into Latin Alphabet in the France of Humanism

Torrens, Antoine 05 February 2018 (has links)
La translittération est la transcription, signe par signe, d’un système d’écriture vers un autre. Relevant à la fois de l’histoire, de la linguistique et de la science des écritures – ou grammatologie –, ce travail vise à dégager les enjeux de la notion récente de translittération, appliquée à une période où elle n’était pas encore formulée ainsi, la Renaissance française. Il délimite les domaines respectifs de la translittération, de la transcription, de la traduction et du saut de code. Cette thèse prend pour point de départ les découvertes récentes sur l’hébreu dans l’humanisme français et met à profit les avancées en archéologie et en sciences cognitives concernant l’histoire de l’alphabet latin et son appréhension par ses utilisateurs. Elle s’appuie sur un corpus d’alphabets, de grammaires et de bibles du XVIe siècle pour mettre en relation les dimensions diachronique et diatopique des systèmes d’écriture. Elle montre que la pratique de la conversion d’écriture s’appuie moins sur les caractéristiques de l’écriture d’origine que sur une extension considérable de l’écriture d’arrivée. / Transliteration is the transcription sign by sign from a writing system to another. Being a matter of history, linguistics and study of writing systems – or grammatology – this work aims at identifying the issues of the quite recent notion of transliteration, as applied to a period when it was not formulated in this way, the French Renaissance. It delineates the respective fields of transliteration, transcription, translation and code-switching. This thesis takes as a starting point the recent findings on Hebrew in the French humanism and makes use of the advances in archeology and in cognitive science regarding the history of the Latin alphabet and its understanding by its users. It relies on a corpus of alphabets, grammars and bibles of the 16th century to link the diachronic and diatopic dimensions of writing systems. It shows that conversion of scripts as a practice relies less on the specific features of the source script than on a considerable extension of the target script.
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Bonus est vir scribendi peritus : Les scholia comme outils d'enseignement du latin à Rome

Turcotte-Richard, Christophe 08 1900 (has links)
C’est au IVe siècle que le grammairien romain Maurus Servius Honoratus compose son commentaire sur l’Énéide de Virgile. Ce recueil de commentaires, ou scholia, a notamment comme objectif l’enseignement d’une langue normative guidé par les principes de la latinitas : le latin conforme aux principes grammaticaux. Malgré la place centrale qu’occupe depuis longtemps l’Énéide dans l’éducation et la culture latine, Servius voue une grande partie de son commentaire à l’explication des tournures de langue irrégulières que présente le texte de Virgile. S’il excuse ces irrégularités en raison du langage poétique ou de l’antiquité du texte, le grammairien en proscrit toutefois l’usage à ses étudiants. La reconnaissance de l’autorité du texte entretient alors une tension constante avec les règles synthétiques qu’a établies la discipline grammaticale. Cette recherche se propose d’explorer d’abord cette tension sous deux aspects précis : le traitement de la syntaxe des prépositions et le déploiement du langage technique définissant les différentes expressions jugées irrégulières. Pour comprendre de quelle manière langage constitue aux yeux du grammairien le socle du savoir objectif sur le monde antique, un troisième chapitre est consacré à l’apport notionnel et pédagogique des étymologies savantes pour le commentaire. Servius est héritier d’une longue tradition intellectuelle, ce qu’il ne rend pas toujours apparent dans ses notices. Cette recherche s’est fait un souci de déterminer l’origine de principes sur lesquels s’appuie la composition des scholies serviennes. / In the 4th century, Roman grammarian Maurus Servius Honoratus composed his commentary on Virgil's Aeneid. One of the aims of this collection of commentaries, or scholia, was to teach a normative language guided by the principles of latinitas: Latin in accordance with grammatical principles. Despite the Aeneid's long-standing centrality in Latin education and culture, Servius devotes much of his commentary to explaining the irregular turns of language in Virgil's text. Although he excuses these irregularities on the grounds of poetic language or the antiquity of the text, the grammarian nonetheless forbids their use by his students. Recognition of the text's authority thus maintains a constant tension with the synthetic rules established by the discipline of grammar. This research will explore this tension from two specific angles: the syntactic treatment of prepositions and the deployment of technical language to define various expressions deemed irregular. To understand how the grammarian sees language as the foundation of objective knowledge about the ancient world, a third chapter is devoted to the notional and pedagogical contribution of learned etymologies to commentary. Servius is heir to a long intellectual tradition, which he does not always make apparent in his notes. The aim of this research is to determine the origin of some principles underlying the composition of Servian scholia.
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La lecture derridienne de Heidegger

Ouellette, Régis. 18 February 2021 (has links)
Notre question est la suivante : à partir du programme philosophique inauguré et élaboré par Derrida autour de la question du signe dans De la grammatoloqie (1967), est-il possible de déceler et de juger de la cohérence de sa démarche et par là de comprendre son «interprétation» innovatrice de la pensée de Heidegger dont l'un des aboutissements théoriques se trouve, selon nous, dans son livre intitulé Heidegger et la question (1987)? Le programme philosophique inaugural de De la grammatologie démontre que le concept derridien d'écriture excède le phonocentrisme de la tradition métaphysique occidentale et qu'il est le fondement sans cesse différé de l'expérience de la vérité. Tout cela se reproduit-il dans les lectures derridiennes de Heidegger ?

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