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Pour un développement local selon le genre : le cas des groupements de femmes de la SNV du Sud Bénin /

Acacha, Hortensia Vicentia, January 2002 (has links)
Thèse (D.D.R.) -- Université du Québec à Chicoutimi, conjointement avec l'Université du Québec à Rimouski, 2003. / Bibliogr.: f. [519]-547. Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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Local knowledge and gender in Ghana /

Müller, Christine, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Doctoral thesis--Bielefeld--Sociology of development research centre. Titre de soutenance : Coming out of our shells : local knowledge and gender in Ghana. / Bibliogr. p. 189-205.
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La représentation sociale de l'empowerment de groupes québécois du mouvement des femmes : "C'est quelque chose qui nous a été enlevé et qu'on ré-acquiert"

Fortin-Pellerin, Laurence 17 April 2018 (has links)
Le mouvement des femmes, incontournable au Québec, vise le changement social dans une visée d'amélioration des conditions de vie des femmes, ce qui suppose l'idée de l'empowerment des femmes. Alors que certaines pratiques d'empowerment se seraient avérées efficaces sur le plan d'un changement social significatif, d'autres auraient déçu par leurs effets limités. De nombreux débats jalonnent les écrits scientifiques sur cette notion, soulevant des questions parfois laissées sans réponses pour comprendre la forme que prendrait l'empowerment dans une perspective de changement social. Les positions des groupes du mouvement des femmes, qui oeuvrent sur le terrain, contribueraient à l'élaboration de repères en ce sens. Cette étude se propose d'examiner la représentation sociale de l'empowerment de groupes québécois du mouvement des femmes en relevant les enjeux qui les interpellent et leurs prises de position à ces sujets. L'étude vise aussi à explorer l'ancrage des prises de position des groupes en lien avec leur courant de pensée et leur type de groupe. Huit groupes ont pris part à des groupes focalisés (focus group) sur I'empowerment. Les enjeux et prises de position relevées dans le discours des groupe ont été comparés selon les courants de pensée et types de groupes : communautaires (imputables à leurs bailleurs de fonds) et autonomes (indépendants des bailleurs de fonds). Il ressort de l'étude que pour ces groupes, l'empowerment est un processus circulaire de reprise de pouvoir individuelle et collective où les femmes prennent du pouvoir et agissent. Ce pouvoir prend trois formes : le "pouvoir intérieur" (force psychologique et bien-être), le "pouvoir de" (accès aux ressources et possibilités de les utiliser) et le "pouvoir avec" (solidarité, influence et rapports égalitaires). Ces formes de pouvoir résultent des pratiques d'empowerment et les facilitent. Le "pouvoir sur" (domination d'une personne ou d'un groupe sur une autre personne ou un autre groupe) nuit à ces pratiques et entraîne donc la nécessité pour les femmes de s'engager dans un processus d'empowerment. Le "pouvoir sur" se traduit par la formulation de prescriptions, la discrimination, la violence faite aux femmes et l'oppression. Des pratiques d'empowerment s'adressant à autrui (pratiques d'intervention) servent d'appui aux pratiques que les femmes mettent en oeuvre pour elles-mêmes (pratiques d'affranchissement). Il s'agit de s'adapter à ces femmes, de leur laisser la place et d'entrer avec elles en relation d'aide. Les autres pratiques d'intervention (outiller et s'outiller, se regrouper et regrouper et faire pression en vue d'un changement) sont communes aux pratiques d'affranchissement. Les groupes partagent les mêmes prises de position au sujet des mêmes enjeux peu importe leur courant de pensée et types de groupe. Les résultats de recherche donnent lieu à des apprentissages qui contrastent avec les écrits scientifiques et qui sont pertinents au changement social. On y apprend que la représentation sociale de l'empowerment de groupes communautaires et autonomes, adhérant à différents courants de pensée, est relativement homogène. Cette homogénéité révèle une constance, favorable à leur influence sociale, dans le discours et les pratiques d'empowerment des groupes du mouvement des femmes. Les groupes proposent que l'empowerment soit un processus de reprise de pouvoir dû à un pouvoir exercé sur les femmes. Cette conception facilite l'appréhension du changement et la prise en compte du pouvoir exercé sur les femmes. Les groupes semblent remettre en question la frontière, généralement admise dans les écrits scientifiques, entre les intervenantes et les femmes auprès desquelles elles interviennent. Ces dernières, contrairement aux intervenantes, vivraient les conséquences du changement visé. Or, le changement visé par les groupes étant l'amélioration des conditions de vie des femmes, l'ensemble des femmes serait concerné. Avoir intérêt au changement visé par leurs pratiques diminuerait le risque pour les intervenantes d'exercer un pouvoir sur les femmes auxquelles s'adressent leurs pratiques, ce qui contribuerait à leur succès. Ce dernier favoriserait l'empowerment de toutes les femmes et, par le fait même, participerait au changement social.
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La contribution du modèle coopératif au développement durable axé sur le genre : le cas des coopératives féminines d'extraction et de commercialisation d'huile d'arganier au Maroc

Drainville, Isabelle. January 2001 (has links)
Thèses (M.Sc.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2001. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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La contribution des centres ressources à la réduction de la pauvreté des femmes monoparentales de la ville de Québec /

Gahongayire, Odette. January 2007 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 2007. / Bibliogr.: f. 95-104. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Empowerment et Économie sociale et solidaire (ÉSS) pour une transformation sociale en milieu rural malien : cas des centres d'autopromotion des femmes (CAFE) de Kita, Toubacoro et Dioïla

Yattara, Maïmounatou Altini 20 April 2022 (has links)
L'empowerment est considéré comme un processus qui favorise le développement de pouvoirs par des personnes qui en sont dépourvues. Il constitue aussi un levier intéressant de réduction des inégalités entre les groupes sociaux. Il passe par une multitude de moyens et stratégies qui dépendent des réalités de vie des personnes concernées. Diverses recherches ont montré que l'économie sociale et solidaire (ÉSS) est un puissant levier par lequel les actions d'empowerment se concrétisent de manière durable puisqu'elle permet aux personnes en situation de vulnérabilité d'unir leurs forces et de faire les changements profonds nécessaires pour une justice sociale. Au Mali, les inégalités entre les hommes et les femmes sont importantes et elles s'amplifient depuis quelques années avec la pauvreté qui sévit dans les milieux de vie des populations. Pour réduire ces inégalités, le gouvernement appuyé par ses partenaires internationaux opte pour un empowerment des femmes, centré sur leur autonomisation économique. Pour ce faire, de nombreuses actions sont développées avec des organisations de femmes. Les centres d'autopromotion des femmes (CAFE) sont les moyens par lesquels l'empowerment des femmes des milieux ruraux maliens est soutenu, et ce, à travers leur autonomisation économique. Les CAFE réunissent les organisations des femmes qui relèvent du domaine de l'ÉSS notamment les associations et les coopératives et leur gestion est assuré par les regroupements que les responsables de ces organisations forment. Une recherche réalisée en 2017 a montré que les CAFE favorisent bien cette autonomisation économique et permettent aux femmes qui en sont membres de construire une certaine force collective. En revanche, les CAFE ne permettent pas aux femmes de développer des capacités de transformation des normes sociales qui donnent le pouvoir aux hommes et fait d'eux les dominants dans les sphères sociale, économique et politique. Notre thèse s'intéresse à cet apparent paradoxe en cherchant à répondre à la question suivante : empowerment des femmes rurales et économie sociale et solidaire : quels enjeux pour le développement de la capacité de transformation sociale au travers de centres d'autopromotion des femmes au Mali ? Pour aborder cette question, nous nous intéressons plus particulièrement à l'une des dimensions de l'empowerment : le « pouvoir intérieur ». Notre recherche s'est déroulée auprès des femmes de trois CAFE situés en milieu rural malien : Kita, Toubacoro et Dioïla. Elle prend appui sur une posture féministe postcoloniale qui met les femmes concernées et leurs points de vue au cœur de la recherche. Elle reconnait que les femmes ne sont pas une population homogène et que divers rapports de pouvoir existent entre elles. Par conséquent, elle utilise une approche intersectionnelle non seulement pour tenir compte de cette diversité de pouvoirs mais aussi pour rendre compte de l'interconnexion du sexisme et de l'âgisme dans les sphères sociale, économique et politique. En plus de la forte internalisation de la domination masculine par les femmes des CAFE, les résultats montrent qu'elles sont des actrices importantes de la perpétuation de la domination masculine. Les résultats montrent aussi que si le développement du « pouvoir intérieur » est indispensable pour l'empowerment des femmes, il ne demeure pas une priorité pour les CAFE et leurs organisations. / Empowerment is seen as a process that promotes the development of power by people who lack it. It is also an interesting lever for reducing inequalities between social strata. It goes through a multitude of means and strategies which depend on the realities of life of the people concerned. Various research has shown that the social and solidarity economy (SSE) is a powerful lever through which empowerment actions take shape in a sustainable manner since it allows people in vulnerable situations to join forces and make changes. profoundly necessary for social justice. In Mali, the inequalities between men and women are significant and they have been amplified in recent years with the poverty that has raged in the living environments of the populations. To reduce these inequalities, the government, supported by its international partners, opts for the empowerment of women, centered on their economic empowerment. To do this, many actions have been developed with women's organizations. Women's Self-Promotion Centers (CAFE) are the means by which the empowerment of rural Malian women is supported, through their economic empowerment. CAFE bring together women's organizations in the field of SSE, particularly associations and cooperatives, and their management is carried out by the groups formed by the heads of these organizations. Research carried out in 2017 showed that CAFE do well to promote this economic empowerment and allow women who are members to build a certain collective strength. In contrast, CAFE do not allow women to develop the capacity to transform social norms that empower men and make them dominant in the social, economic and political spheres. Our thesis focuses on this apparent paradox by seeking to answer the following question: empowerment of rural women and the social and solidarity economy: what are the challenges for the development of the capacity for social transformation through women's self-promotion centers in Mali? ? To address this question, we are particularly interested in one of the dimensions of empowerment: "power within". Our research was carried out with the women of three CAFE located in rural Mali: Kita, Toubacoro and Dioïla. It is based on a postcolonial feminist posture which places the women concerned and their points of view at the heart of research. She recognizes that women are not a homogeneous population and that various power relationships exist between them. Therefore, she uses an intersectional approach not only to account for this diversity of powers but also to account for the interconnectedness of sexism and ageism in the social, economic and political spheres. In addition to the strong internalization of male domination by CAFE women, the results show that they are important actors in the perpetuation of male domination. The results also show that while the development of "power within" is essential for the empowerment of women, it does not remain a priority for CAFE and their organizations.
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Violence des femmes : représentation sociale des travailleuses de centres de femmes ayant animé le programme d'intervention "Violente, moi? Explorer, décider, agir autrement"

Pronovost, Kate 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire s'intéresse à la représentation sociale de la violence des femmes des travailleuses de centres de femmes ayant animé le programme Violente, moi? Explorer, décider, agir autrement (Relais-femmes, Damant & Roy, 2015). Soulevant de nombreux débats au sein de la population et de la communauté scientifique, la violence des femmes demeure une problématique peu reconnue et documentée. À l'aide du cadre théorique des représentations sociales et d'entretiens auprès de douze intervenantes provenant de divers centres de femmes du Québec, ce mémoire a pour but de saisir la manière dont leur représentation sociale façonne les défis qu'elles perçoivent dans l'intervention. L'analyse du contenu de leur représentation, des défis d'intervention perçus et des explications données quant à ces défis suggère que certains éléments de leur représentation ont façonné les défis d'intervention qu'elles ont perçus. Les liens entre leur représentation, leurs perceptions des défis et leurs explications demeurent toutefois complexes, et ce, en raison d'autres facteurs ayant pu influencés leur intervention et des limites méthodologiques de ce mémoire. Les résultats de cette recherche amènent à formuler des recommandations notamment quant à la formation des intervenantes, la sensibilisation des organismes partenaires et l'exploration des pratiques pour favoriser l'engagement des participantes du groupe.
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L'éducation continue des femmes en réseau : l'exemple de l'Association féminine d'éducation et d'action sociale (Aféas) / Exemple de l'Association féminine d'éducation et d'action sociale (Aféas)

Lambert-Pellerin, Cassandre 19 April 2018 (has links)
Lieux d’expression féminine à l’extérieur du cadre familial, plusieurs associations ont contribué, chacune à leur façon, à l’émancipation des femmes. Si certaines sont demeurées sur des positions plutôt conservatrices, d’autres ont revendiqué des changements sociaux. L’Association féminine d’éducation et d’action sociale (Afeas) se situe à la jonction de ces deux courants de pensées. Sans vouloir renier le rôle traditionnel de la femme, l’Afeas se prononce sur la place publique et milite depuis 45 ans pour faire bouger les choses. Le dossier des femmes collaboratrices et celui de la reconnaissance des travailleuses au foyer sont le cheval de bataille de l’Association. L’Afeas place au coeur de ses actions la parole des femmes. La parole des femmes a traditionnellement été informelle, liée à la transmission orale des savoirs et savoir-faire. L’appropriation d’un discours public par les femmes est donc au coeur du mouvement féminin parce qu’il est une manière de s’approprier le monde et de poursuivre une révolution inachevée. Si l’expérience des femmes engagées dans différents groupes féminins a déjà été abordée sous divers aspects, la notion d’éducation y a peu été examinée. Au sein de l’Afeas, cette thématique est centrale parce qu’elle fait partie de la mission principale de l’Association. Des activités de formation organisées par le regroupement sont mises en place pour atteindre les objectifs d’éducation populaire des femmes adultes. Au-delà de la structure officielle, des réseaux d’échanges se développent, favorisant la transmission notamment de connaissances. Ces réseaux ont des effets notables sur le quotidien des femmes impliquées à l’Afeas. Dans ce mémoire, nous cherchons à comprendre comment l’expérience des femmes au sein de l’Afeas favorise la formation de réseaux de communication, d’affinités, de mobilisation et de soutien, qui transmettent de l’information utile au mieux-être des membres de l’Association. De surcroît, les effets bénéfiques de ces dynamiques s’étendent au-delà de l’enceinte des Afeas locales et touchent les femmes en général et la société dans laquelle elles s’inscrivent. Notre recherche en ethnologie s’appuie sur la collecte de témoignages oraux de 11 membres de l'Afeas du Centre-du-Québec rencontrées dans le cadre d’une démarche d’enquête de terrain s’étant déroulée en mai et juin 2011. La notion de transmission, abordée en filigrane du discours des participantes sur l'éducation continue au sein de l'Afeas, est également traitée dans ses dimensions intergénérationnelles et intragénérationnelles, la transmission étant nécessaire à la pérennité de l’association.
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En quête d'égalité(s). La cause des agricultrices en Bretagne entre statu quo conjugal et ajustement catégoriel / Looking for equality(es). The cause of women farmers in Brittany, between matrimonial status quo and sectorial negotiations.

Comer, Clémentine 06 December 2017 (has links)
Cette recherche interroge les conditions de structuration et de perduration d’un engagement séparé pour les femmes dans les organisations et au sein de mobilisations agricoles bretonnes. Majoritairement composés d’exploitantes installées en couple et situés à la frontière entre associations de défense de l’égalité, cercles de sociabilités professionnelles et groupes de parole, les espaces d’encadrement agricole féminins offrent une occasion idoine de questionner non seulement l’imbrication des identités professionnelles et conjugales dans l’engagement mais également la labilité des usages rhétoriques de l'égalité et du féminisme dans des espaces professionnels non-mixtes. L’analyse de leur position dans l’espace de la représentation agricole questionne le degré d’autonomie des revendications portées au nom des agricultrices, leur influence sur les agendas organisationnels et leur effet sur la construction des carrières militantes. L’enquête s’appuie sur un dispositif cumulant une observation de quatre années des activités formelles et informelles des groupes féminins, une étude de leur documentation professionnelle, un recensement de leurs tribunes dans la presse agricole, auxquels s’ajoutent la réalisation d’entretiens avec les actrices qui y sont engagées et la constitution de données statistiques relatives aux mandats féminins dans les organisations agricoles bretonnes depuis 1990. Sur la base d’une analyse croisant les études de genre, la sociologie du militantisme et celle de la représentation professionnelle agricole, notre thèse consiste à démontrer que les groupes et mobilisations d’agricultrices forgent les contours d’une « cause de femmes » agricole mise sous tutelle des intérêts catégoriels et chevillée à l’idéal normatif de la complémentarité des sexes. En tant que réceptacles de positions professionnelles, organisationnelles et conjugales entrecroisées, les espaces de l’engagement féminin produisent des politisations ambivalentes de ces appartenances multiples, à la fois porteuses de contestation comme de reproduction des hiérarchies sexuées et de l’ordre social et politique. / This research looks into the conditions for the structuring and continuation of a separate female activism within Breton organisations and farmers mobilisations. Mainly made up of professionals living in couples and situated at the intersection between gender equality advocacy groups, professional networks and support groups, farming self-help groups are a case in point to question not only the intertwining of professional and marital identities within activism but also the lability of rhetorical uses of equality and feminism within women-only professional spaces. The analysis of their position within the farmers’ representation spaces makes it compelling to question the degree of autonomy of the claims made in the name of women farmers, their influence upon the setting of professional agendas and their impact on the development of activist careers.Evidence was collected through an apparatus which consisted in the addition of a four-year-long observation of female groups’ formal and informal activities, an analysis of their professional literature, an inventory of their opinion columns inside the farm press, to which can be added semi-structured interviews with women farmers engaged in this activism and the setting up of statistical data about female mandates within Breton farm organisations since the 1990s. Drawing on an analysis which mixes gender studies, sociology of militancy and studies of farming professional representation, this PhD aims to demonstrate that women farmers groups and mobilisations shape the features of a farming “women cause” although it is subordinated to corporatist interests and seen through the lenses of the normative ideal of complementarity between the sexes. Being a repository of interlinked professional, organisational and matrimonial standpoints, female activism spaces lead to the ambivalent politicisation of plural belongings. These multiple affiliations can be a catalyst for protest as well as a way to reproduce sexual hierarchies and social and political order.
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La citoyenneté sociale des femmes au Guatemala

Carrier, Alain January 2000 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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