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Far Eastern tour, the experiences of the Canadian Infantry in Korea, 1950-1953Watson, Brent Byron January 1999 (has links) (PDF)
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La presse anglo-américaine et le traitement de la guerre de Corée : étude de cas du New York Times et du Times de Londres, 1950-1953Gosselin, Dominique January 2014 (has links)
La guerre de Corée éclate dans un contexte de tensions grandissantes entre les mondes dits « capitaliste » et « communiste », qui caractérise la guerre froide entre 1945 et 1950. Les États-Unis et leurs proches alliés – dont la Grande-Bretagne – réagissent très vivement à l’invasion de la Corée du Sud par celle du Nord, notamment en s’impliquant directement dans cette guerre qui durera trois ans. Cette réaction rapide s’explique entre autres par la perception qu’ont les dirigeants en Amérique et en Europe de l’Ouest du camp communiste et de son apparente volonté d’hégémonie sur le monde. Ces perceptions sont également présentes dans la presse écrite, qui traite de l’implication des États-Unis et de la Grande-Bretagne (qui fournit le second plus gros contingent) dans la guerre de Corée, de la nature de celle-ci, etc. L’objectif de ce mémoire est donc de cerner ces perceptions dans le traitement du conflit dans le New York Times et le Times de Londres.
Les deux quotidiens, de tendance conservatrice, soutiendront unanimement l’intervention américaine puis internationale en Corée ainsi que la mise en place de programmes de réarmement aux États-Unis et en Grande-Bretagne, mais également ailleurs en Europe. Pareillement, la tentative de réunification de la Corée par l’invasion du territoire nord-coréen en octobre 1950 par les troupes onusiennes sera bien accueillie par la presse, du moins jusqu’à l’entrée en guerre de la Chine communiste en novembre. Ici les quotidiens se questionneront sur la personnalité du commandant en chef, Douglas MacArthur, et salueront éventuellement son limogeage. Enfin, la nécessité de mettre fin au conflit transparaîtra dans les quotidiens, qui seront favorables à l’ouverture des négociations de paix en juillet 1951. Ils divergeront cependant sur les éventuelles concessions territoriales et sur la question des prisonniers de guerre refusant d’être rapatriés.
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La participation des Canadiens français du Québec à la guerre de Corée (1950-1953) et sa couverture médiatiqueCoderre, Jean-François January 2006 (has links) (PDF)
À la suite de l'expérience éprouvante de la Seconde Guerre mondiale, renforcée par la crainte de l'arme atomique, un nouveau conflit d'importance entre les grandes puissances n'était pas de nature à rassurer l'humanité sur son avenir. La guerre de Corée fut un épisode intense de la guerre froide. Le Canada participa à ce conflit à titre de membre de l'ONU et y dépêcha notamment une brigade d'infanterie. Tout au long de ce mémoire, nous allons, à l'aide de la couverture médiatique reliée à ce conflit, étudier le contexte politique qui prévalait dans le Québec du début des années 1950. Cette étude nous permettra de comprendre quels furent les arguments utilisés pour favoriser le recrutement de francophones du Québec au sein de l'armée canadienne lors du conflit coréen. Nous concentrerons la grande majorité de notre analyse sur la première année du conflit, car c'est au cours de celle-ci que fut effectué l'effort de recrutement le plus significatif en ce qui a trait à la guerre de Corée. Nous procéderons notamment à l'analyse de quotidiens francophones montréalais comme Le Canada, Le Devoir et La Presse. Cette analyse de la couverture médiatique nous permettra de comprendre la nature des arguments invoqués dans le débat, mais aussi de voir quelle fut la nature de la propagande fédérale pour inciter les gens à joindre les rangs de l'armée canadienne afin d'aller combattre en Corée. Nous verrons à quel point l'anticommunisme de la société québécoise a été le principal sujet d'argumentation lors de ce débat et ce beaucoup plus que les questions reliées par exemple à l'économie. Devant la force d'une telle crainte face au communisme, les opposants au conflit se verront taxés de sympathies communistes par ceux qui souhaitent appuyer le gouvernement du Canada dans sa décision d'envoyer des troupes en Corée. Les régimes communistes étaient accusés de s'en prendre à la religion, aux libertés individuelles et à la démocratie. Avec le succès remporté par la campagne de recrutement de l'armée canadienne, notamment au Québec, nous en sommes venus à la conclusion que ce courant anticommuniste était dominant à cette époque. Bref, si la participation des Canadiens français a pu être aussi importante, il faut en attribuer la cause au fait que l'anticommunisme obligeait à appuyer l'effort de guerre en Corée. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Anticommunisme, Corée, guerre de, 1950-1953, Québec, Canada, Médias, Armée canadienne, Histoire.
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Le corps des volontaires pour la Corée: participation belge à la guerre de Corée, 1950-1955Gahide, Jean-Pierre Y.G. January 1985 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le Congrès américain et l'ONU : une étude de perception, 1945-1960Gaudreault, Mélanie 12 April 2018 (has links)
Vers latin de la Seconde Guerre mondiale, il y a consensus au sein du Congrès sur la participation américaine à l'Organisation des Nations Unies dans l'espoir qu'elle puisse préserver une paix mondiale. Cependant, dès 1946, les rivalités de la guerre froide concourent à l'échec de la formule de sécurité collective et amènent des parlementaires à introduire différentes résolutions afin de réviser sa Charte. L'équilibre de la terreur empêche toutefois la conclusion d'une entente pour amender celle-ci. Durant la décennie 1950, la guerre de Corée vient démontrer que l'effort militaire onusien n'est pas assuré même en l'absence de veto au sein du Conseil de sécurité. De plus, l'envoi de forces armées par le président Harry S. Truman sans l'aval du législatif et l'impuissance de l'Organisation internationale suscitent la frustration des républicains envers l'administration démocrate. Ainsi, le sentiment anti-ONU se cristallise autour de l'Amendement Bricker de 1954 et les détracteurs s'en prennent à ses diverses agences. Les législateurs, enfin, ne manquent pas de s'opposer à l'admission de la Chine communiste à l'ONU.
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La mémoire en mouvanceKruggel, Björn 12 1900 (has links)
Dans ce mémoire, il s’agit de développer et d’appliquer une méthode qui peut saisir le
manuel scolaire comme objet de l’analyse historique et de l’analyse du discours. La méthode cible le livre seulement et combine des outils littéraires et historiques, quantitatifs et qualitatifs, en essayant de tenir compte de l’expérience du livre.
L’analyse porte sur la narration de la guerre de Corée dans les manuels de six pays
(Allemagne RDA et RFA, la Chine RPC, les États-Unis, le Chili et l’Argentine) de deux
moments différents (1962 et 1992). La guerre de Corée a été un événement majeur de
la Guerre froide entre les mondes capitalistes et communistes et a contribué à la course aux armements nucléaires. Elle a installé le modèle de la guerre par procuration comme solution de conflits entre les deux idéologies.
Une comparaison large d’un événement précis peut nous donner des indications sur
le fonctionnement des différents niveaux de la mémoire d’une société et expliquer des
éléments du fonctionnement des cycles historiographiques. / This master’s thesis develops and tests a methodology that tries to understand the
textbook as an object of historical and discourse analysis. The method centers primarily on the textbook and combines tools of literary criticism and historical research, using quantitative and qualitative analysis, while trying to capture the reader’s experience of the narrated history.
We analyze the narration of the Korean war in the textbooks from six different coun-
tries (East and West Germany, mainland China, the United States, Chile and Argentina) at two different times (1962 and 1992). The Korean war has been a major event of the cold war between capitalist and communist world and lead to the nuclear arms race. It introduced the model of the proxy war as a means of conflict resolution between the two ideologies.
A larger comparison of a precise event can yield indications about how the different
levels of social memory work and can explain elements of of the cycles of historiograph-
ical paradigms.
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La mémoire en mouvanceKruggel, Björn 12 1900 (has links)
Dans ce mémoire, il s’agit de développer et d’appliquer une méthode qui peut saisir le
manuel scolaire comme objet de l’analyse historique et de l’analyse du discours. La méthode cible le livre seulement et combine des outils littéraires et historiques, quantitatifs et qualitatifs, en essayant de tenir compte de l’expérience du livre.
L’analyse porte sur la narration de la guerre de Corée dans les manuels de six pays
(Allemagne RDA et RFA, la Chine RPC, les États-Unis, le Chili et l’Argentine) de deux
moments différents (1962 et 1992). La guerre de Corée a été un événement majeur de
la Guerre froide entre les mondes capitalistes et communistes et a contribué à la course aux armements nucléaires. Elle a installé le modèle de la guerre par procuration comme solution de conflits entre les deux idéologies.
Une comparaison large d’un événement précis peut nous donner des indications sur
le fonctionnement des différents niveaux de la mémoire d’une société et expliquer des
éléments du fonctionnement des cycles historiographiques. / This master’s thesis develops and tests a methodology that tries to understand the
textbook as an object of historical and discourse analysis. The method centers primarily on the textbook and combines tools of literary criticism and historical research, using quantitative and qualitative analysis, while trying to capture the reader’s experience of the narrated history.
We analyze the narration of the Korean war in the textbooks from six different coun-
tries (East and West Germany, mainland China, the United States, Chile and Argentina) at two different times (1962 and 1992). The Korean war has been a major event of the cold war between capitalist and communist world and lead to the nuclear arms race. It introduced the model of the proxy war as a means of conflict resolution between the two ideologies.
A larger comparison of a precise event can yield indications about how the different
levels of social memory work and can explain elements of of the cycles of historiograph-
ical paradigms.
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Les États-Unis dans les relations sino-françaises de 1949 à 1964 / The Role of United States in the Sino-french Relations from 1949 to 1964Xu, Yue 04 July 2017 (has links)
La République Populaire de Chine a été établie le 1er Octobre 1949, cela met fin au régime de Chiang Kaï-shek en Chine continentale. À ce moment-là, le gouvernement français commence à négocier officiellement pour reconnaître la République populaire de Chine. Vivant dans deux camps hostiles, pourquoi la France est-elle prête à reconnaître le régime de Mao Tse-tung en 1949 ? Le 27 janvier 1964, la Chine populaire et la France ont publié simultanément un communiqué diplomatique à Pékin et à Paris. La France est devenue le premier pays occidental majeur à établir des relations diplomatiques au niveau des ambassadeurs avec la République populaire de Chine en 1964. Que se passe-t-il au cours de ces 15 ans? Pendant cette période, les États-Unis jouent un rôle très important à la Guerre de l’Indochine, la Guerre de Corée, la Conférence de Genève, la question de Taïwan et la représentation des peuples chinois à l’ONU, et influence la politique européenne avec le plan Marshall. Après son retour en 1958, De Gaulle a la volonté de sauvegarder la souveraineté nationale, les intérêts nationaux et l’indépendance, et s’engage sur une route de décolonisation. À partir de 1962, la politique extérieure française devient plus active en Chine, et les deux pays commencent à négocier sur l’établissement des relations diplomatique après être parvenus à un consensus sur Taïwan, Algérie et États-Unis. L’établissement des relations diplomatiques sino-françaises n’est pas accidentelle, cela répond aux besoins politiques et diplomatiques et aussi à la tendance inévitable du développement historique dans la Guerre Froide. / The People’s Republic of China was established on 1 October 1949, which ended the regime of Chiang Kaï-shek in Chinese mainland. At that time, the French government began to negotiate officially la recoginization of the People's Republic of China. Living in two hostile camps, why France had the plan to recognize the regime of Mao Tse-tung in 1949? On January 27, 1964, People’s Republic of China and France simultaneously issued a diplomatic announcement in Beijing and Paris. France became the first major western country to establish diplomatic relations at ambassadorial level with the People’s Republic of China in 1964. Why France waited 15 years for recognizing PRC? What had happened during this 15 years? During this period, the United States played a very important role in the Indochina War, the Korean War, the Geneva Conference, the Taiwan question and the representation of China in the United Nations with launching the policy Marshall Plan. After the return of De Gaulle in 1958, he resolved to safeguard national sovereignty, national interests, and embarked on a road to decolonization. From 1962, French foreign policy became more active in China, and the two countries began to negotiate on the establishment of diplomatic relations after reaching a consensus on Taiwan, Algeria and the United States. The establishment of Sino-French diplomatic relations is not accidental, which responds to political and diplomatic needs, and to the inevitable trend of historical development in the Cold War.
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Les États-Unis face à l'intervention de la Chine communiste en Corée de novembre 1950 : l'attitude du CongrèsLejeune, Vanessa 12 April 2018 (has links)
Si l'accueil réservé à la conduite initialement déployée par le gouvernement Truman en Corée à la suite de l'invasion de la Corée du Sud par les forces nord-coréennes en juin 1950 se veut largement favorable, il en va tout autrement lorsque le leader communiste chinois Mao Tse-tung dépêche, à la fin novembre, ses troupes au-delà du fleuve Yalou. Les États-Unis subissent dès lors l'une des pires défaites militaires de leur histoire. Face à une telle situation, les membres du Congrès américain ne tardent pas à réagir. Le présent mémoire cherche principalement à comprendre l'attitude adoptée, consécutivement à cette attaque, par les législateurs, républicains et démocrates, siégeant entre la fin novembre 1950 et le 1er mars 1951. Une consultation attentive du Congressional Record nous a permis de constater que parmi les membres du Congrès qui s'expriment au lendemain de la riposte communiste, la plupart se révèlent insatisfaits et mécontents de l'implication du président Truman, du Département d'État et du secrétaire Acheson. Plusieurs parlementaires, en outre, ne manquent alors pas de critiquer l'Organisation des Nations unies.
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“I didn’t have time to find the English words”: The Korean War’s Role in the Evolution of Bilingualism in the Canadian Armed ForcesLabrosse, Julien January 2016 (has links)
This thesis explores the impact of the Korean War on the evolution of the role of the French language in the Canadian military between 1946 and 1954. It explains how the Korean War acted as both a catalyst for a more accommodating stance towards the French language in the Canadian Armed Forces, and an immediate impediment to the implementation of such changes.
Particularly, this thesis explores the conflict that emerged between various officials in the Department of National Defence concerning the place that should be made for the French language, and how best to recruit more French Canadians. It shows that there was serious disagreement between the Minister of National Defence, Brooke Claxton, who wanted more bilingualism in the Canadian military, and the Chief of General Staff, General Guy G. Simonds, who resisted further concessions to francophones.
Moreover, this thesis reveals the extent to which there was goodwill within the Canadian Armed Forces on the part of both anglophones and francophones on the frontline in Korea. This constituted the basis on which the Department of National Defence was able to begin the process of implementing a more bilingual system. In this respect, this thesis shows the Canadian military to have been ahead of the federal Civil Service.
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