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Claude Henri Grignon, anarchiste de droite

Hotte, Ghyslain 18 September 2013 (has links)
Cette thèse propose une analyse de la pensée d’un idéologue relativement méconnu du Canada français, Claude-Henri Grignon. Si son nom évoque son œuvre littéraire, en particulier Un homme et son péché, on connaît moins bien, en revanche, son œuvre intellectuelle. La thèse soutient que Grignon était anarchiste de droite. À partir de la définition de l’anarcho-droitisme, la thèse montre que la pensée de Grignon se caractérisait par le « refus de la démocratie », la « haine des intellectuels », une « révolte constitutive », un «un moi au-dessus de tout », un « aristocratisme » et la « chasse à l’absolu ». Ces caractéristiques composent l’essentiel de la grille de lecture et servent à structurer les chapitres 2 à 4. Le premier chapitre retrace la formation intellectuelle de Grignon. Ainsi, Grignon nous apparaît comme un anarcho-droitiste à la pensée inégalitaire et opposée à toute forme de contrainte à l’expression de l’individualité, qu’elle provienne de la tyrannie des masses ou des dictateurs.
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Claude Henri Grignon, anarchiste de droite

Hotte, Ghyslain January 2013 (has links)
Cette thèse propose une analyse de la pensée d’un idéologue relativement méconnu du Canada français, Claude-Henri Grignon. Si son nom évoque son œuvre littéraire, en particulier Un homme et son péché, on connaît moins bien, en revanche, son œuvre intellectuelle. La thèse soutient que Grignon était anarchiste de droite. À partir de la définition de l’anarcho-droitisme, la thèse montre que la pensée de Grignon se caractérisait par le « refus de la démocratie », la « haine des intellectuels », une « révolte constitutive », un «un moi au-dessus de tout », un « aristocratisme » et la « chasse à l’absolu ». Ces caractéristiques composent l’essentiel de la grille de lecture et servent à structurer les chapitres 2 à 4. Le premier chapitre retrace la formation intellectuelle de Grignon. Ainsi, Grignon nous apparaît comme un anarcho-droitiste à la pensée inégalitaire et opposée à toute forme de contrainte à l’expression de l’individualité, qu’elle provienne de la tyrannie des masses ou des dictateurs.
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« Préférez-vous votre oeil droit ou votre oeil gauche? » : Langue et religion dans le débat sur la gestion scolaire en Ontario français (1969-1998)

Gourgon, Danika January 2016 (has links)
Cette étude fait l’examen de la place de la religion catholique dans le débat sur la création des conseils scolaires francophones et, plus largement, dans le débat public franco-ontarien entre 1969 et 1998. Elle tente d’apporter certaines nuances à la thèse de l’« éclatement » du Canada français et de l’écartement de la référence canadienne-française que la plupart des chercheurs ont soutenue jusqu’à présent. En analysant les discours formulés et les actions menées par les principales associations franco-ontariennes oeuvrant en éducation, l’Association française des conseils scolaires de l’Ontario (AFCSO), l’Association canadienne-française de l’Ontario (ACFO) et l’Association d’enseignement français en Ontario (AEFO), la thèse examine leurs prises de positions dans le débat sur la gestion scolaire. Elle fait ressortir le débat de société qui existe en Ontario français sur la question religieuse et sur la place qu'elle occupe dans le développement institutionnel et dans la construction identitaire des Franco-Ontariens.
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Une solidarité à (re)construire? L'Acadie vue par la presse québécoise (1930-1960)

Bourque, Stéphanie 06 June 2023 (has links)
La période des années 1930 à 1960 au Québec est marquée par de nombreuses mutations au sein du champ intellectuel. Les historiens, depuis les années 1990, ont étudié le projet national canadien-français en plus des efforts consentis par certaines figures et associations issues du courant nationaliste canadien-français traditionaliste pour agir auprès des minorités françaises du continent. Cependant, la place de l’Acadie dans la discussion historiographique est encore mal définie. Si, depuis le XIXe siècle, le clergé québécois et plusieurs associations canadiennes-françaises contribuent au développement institutionnel et associatif acadien dans les Maritimes, la question des relations entre le Québec et l’Acadie contient, parfois, une certaine ambiguïté, qu’on ne retrouve pas à la même hauteur chez les autres groupes minoritaires issus en, grande partie, de la migration « canadienne-française ». C’est à tenter de mieux comprendre cette ambiguïté qu’est consacrée cette thèse, en tenant compte de la diversité du champ intellectuel québécois. Le courant du nationalisme canadien-français traditionnel, à l’époque, prend une place significative dans l’espace public, mais n’est pas hégémonique. La période allant de 1930 à 1960 voit l’apparition ou le renforcement, dans certains cas, de courants idéologiques allant de l’extrême-droite à l’extrême-gauche. Compte tenu de la multiplication et de la diversité des courants idéologiques peuplant le champ intellectuel entre les années allant de la Grande Dépression jusqu’au déclenchement de la Révolution tranquille, il est possible d’examiner la représentation que se fait le Québec de l’Acadie, sans nécessairement se limiter au courant nationaliste canadien-français traditionaliste. La presse québécoise reflète les multiples courants qui s’expriment dans l’espace public. C’est donc à partir de l’étude d’un large échantillon de publications englobant la plus grosse part du champ intellectuel canadien-français, que cette thèse s’interroge sur la portée et les limites de la conscience « métropolitaine » du Québec. C’est dans ce contexte que la question acadienne, avec toute la complexité et l’ambiguïté qui l’entourent, agit comme un vecteur qui permet de pénétrer l’imaginaire québécois. Notre démarche permet de constater que la conscience métropolitaine du Québec ne fait pas l’unanimité dans la presse, tout en illustrant que les mutations que subit le champ intellectuel dans l’après-guerre se traduisent par un déclin relatif de l’intérêt envers l’Acadie à partir de cette période.
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Le réseau épistolaire d'Élisabeth Bruyère (1839-1862) : des identités individuelles et culturelles qui s'entrelacent

Murray, Brigitte 25 September 2023 (has links)
Ma thèse porte sur Élisabeth Bruyère, spécifiquement sur la construction de ses identités en tant que femme, épistolière, religieuse, supérieure et Canadienne française, et ce, au cours de son supériorat chez les Sœurs grises de Bytown/d'Ottawa. Élisabeth Bruyère, sœur de la charité de Montréal, s'est vu confier en 1845 – alors qu'elle était âgée de 26 ans - l'obédience de fondatrice-supérieure de la congrégation des Sœurs grises de Bytown. Elle occupera cette fonction jusqu'à son décès, survenu le 5 avril 1876, à l'âge de 58 ans. Pour effectuer l'analyse de la construction de ses différentes identités, j'ai eu recours aux trois volumes de sa correspondance, dont les lettres ont été colligées, transcrites et modernisées par sœur Jeanne d'Arc Lortie, sœur de la charité d'Ottawa, et qui couvrent les années s'échelonnant de 1839 à 1862. L'analyse des identités d'Élisabeth Bruyère, menée à partir de son réseau épistolaire, se fonde sur la notion d'ethos discursif afin de cerner la façon dont Élisabeth Bruyère parle d'elle-même dans ses lettres pour construire son identité. Ce travail montre l'entrelacement des différentes identités dont se réclame l'épistolière ainsi que leur mouvance, en fonction des liens qui l'unissent à ses correspondants et des contextes dans lesquels ont été écrites les lettres.
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L'idéologie de la pauvreté chez l'élite canadienne-française du XIXe siècle : (1850-1900)

Pomerleau, Colette January 2006 (has links) (PDF)
Notre travail de recherche s'inscrit dans une période très mouvementée de l'histoire du Québec, alors qu'entre 1850 et 1900, la société canadienne-française entrait dans une ère d'industrialisation et de grand développement économique qui la mettait sur les rails du progrès et du modernisme. La structure sociale elle-même connaissait une transformation radicale avec la fin du régime féodal, où les seigneurs et leurs censitaires laissaient la place aux bourgeois capitalistes avides de s'enrichir et à leur cohorte d'ouvriers à peine sortis de la paysannerie. Ce trépidant XIXe siècle, qui redéfinissait le monde aux sons des tambours de la liberté, voyait cependant se creuser un immense fossé entre les riches et les pauvres. Une bourgeoisie affairée et prospère s'alliait à un clergé animé d'une foi plus engagée sur le plan social, pour endiguer un paupérisme grandissant qui mettait en péril les objectifs sociaux et les valeurs chères à cette classe aisée qui privilégiait une société d'ordre, de paix, de moralité et de réussite. En nous rapprochant de l'élite québécoise et francophone du XIXe siècle, afin de mieux cerner l'opinion qu'elle entretenait sur la pauvreté et sur les pauvres, nous avons découvert, par le biais de ses discours, de ses conférences, de ses articles de journaux et de ses divers écrits, que nous étions en présence d'une classe dominante aux idées bien précises en matière de pauvreté. En effet, pour ces hommes occupés à bâtir un pays et un système économique où chacun pouvait, en principe, atteindre à la fortune par son travail, par son sens de l'économie, par sa bonne conduite et par son ambition à réussir, la pauvreté n'avait pas sa place et elle était, bien souvent, la malheureuse conséquence de l'irresponsabilité et du vice. Bien sûr, la charité envers les pauvres demeurait un geste des plus louables pour autant qu'il fût accompli librement et au bénéfice des vrais pauvres, c'est-à-dire de ceux inaptes à gagner leur vie, tels les orphelins, les malades, les vieillards et les infirmes. Malgré une certaine controverse au sujet de l'intervention de l'État dans l'aide à la pauvreté, la bourgeoisie québécoise préférait confier à l'Église et aux communautés religieuses la prise en charge de la misère. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : 19ème siècle, Pauvreté, Discours, Bourgeoisie, Clergé.
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Les récits de voyage de Jacques Hébert l'ambiguïté d'une écriture au Canada français d'après-guerre

Bolduc, Marie-Line January 2009 (has links)
Jacques Hébert a été journaliste, éditeur, instigateur de programmes pour la jeunesse, sénateur, mais il est également l'auteur de plusieurs récits de voyage, fruits de ses nombreux voyages autour du monde. Hébert voyage à partir de la fin des années 1940, alors que la période d'après-guerre entraîne son lot de changements. En effet, les mentalités des Canadiens français se transforment et évoluent en ce sens où l'ouverture sur le monde devient une valeur de plus en plus prisée. On s'intéresse davantage à ce qui se passe ailleurs dans le monde et on manifeste même le désir de s'y rendre afin de constater la différence. La perception du monde et la relation que les Canadiens français entretiennent avec lui sont revues et modifiées, mais perdurent également les valeurs traditionnelles canadiennes-françaises. Dans les récits de voyage de Jacques Hébert, la pensée conservatrice côtoie la pensée avant-gardiste, ce qui laisse croire à la présence d'une certaine forme d'ambiguïté dans le propos de l'auteur. C'est à travers le rapport à l'espace, le rapport à l'Autre et le rapport à soi que ce mémoire met en lumière l'ambivalence dont Hébert semble faire preuve.
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L'héritage colonial espagnol en Amérique : représentation canadienne-française de cette autre Amérique catholique, 1915-1965

Morin, Jean-Michel January 2015 (has links)
Dans ce mémoire de maîtrise, je m’intéresse au regard que les Canadiens français portent, avant la fin de la Révolution tranquille, sur les legs coloniaux espagnols en Amérique. Alors que l’État canadien établit timidement des relations majoritairement politiques et économiques avec l’Amérique latine, les Canadiens français ont su développer d’importants liens culturels avec cette région. En analysant les principaux écrits des auteurs, intellectuels et missionnaires canadiens-français publiés entre 1915 et 1965, je soutiens que les Canadiens français offrent un regard de l’Amérique coloniale espagnole influencé par le corporatisme chrétien où le rôle social et religieux de l’Église catholique est grandement mis de l’avant. À l’égard des indépendances latino-américaines, les Canadiens français prennent position en faveur des populations créoles pour dénoncer l’impérialisme de l’Espagne et des États-Unis, tout en défendant le rôle du clergé catholique latino-américain et en optant pour la conservation des institutions coloniales. Dans leurs écrits, les Canadiens français se dissocient des tenants des théories développementalistes qui accusent l’Église catholique, entre autres, d’être responsable d’un certain « retard » latino-américain.
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Providence, nationalisme et obligation sociale : l’histoire des scouts d’Ottawa, 1918-1948

Pigeon, Émilie 07 September 2011 (has links)
La présente thèse situe un groupe de francophones en position minoritaire et suit son ascension et son affirmation sociale et culturelle dans une arène dominée par une identité anglo-saxonne. Nous avançons que les scouts qui faisaient partie de la 41e Notre-Dame, sous le contrôle de la Boy Scouts Association of Canada depuis sa fondation en 1918, ont d'abord été pris en main par le clergé ottavien. C'est après la fondation de la Fédération des scouts de la province de Québec par le Cardinal Villeneuve que les troupes ottaviennes sont devenues, tout comme toutes les troupes scoutes du Canada français, sujettes au noyautage de l'Ordre de Jacques Cartier (OJC). Le lien intime qui s'est développé entre les membres de l'OJC et les scouts d'Ottawa est un exemple concret de « groulxisme appliqué », thème utilisé par l'historien Michel Bock.
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Providence, nationalisme et obligation sociale : l’histoire des scouts d’Ottawa, 1918-1948

Pigeon, Émilie 07 September 2011 (has links)
La présente thèse situe un groupe de francophones en position minoritaire et suit son ascension et son affirmation sociale et culturelle dans une arène dominée par une identité anglo-saxonne. Nous avançons que les scouts qui faisaient partie de la 41e Notre-Dame, sous le contrôle de la Boy Scouts Association of Canada depuis sa fondation en 1918, ont d'abord été pris en main par le clergé ottavien. C'est après la fondation de la Fédération des scouts de la province de Québec par le Cardinal Villeneuve que les troupes ottaviennes sont devenues, tout comme toutes les troupes scoutes du Canada français, sujettes au noyautage de l'Ordre de Jacques Cartier (OJC). Le lien intime qui s'est développé entre les membres de l'OJC et les scouts d'Ottawa est un exemple concret de « groulxisme appliqué », thème utilisé par l'historien Michel Bock.

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