• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 23
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 41
  • 41
  • 20
  • 14
  • 13
  • 9
  • 9
  • 8
  • 8
  • 8
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
31

« À quoi sert au Canadien-Français de gagner l'univers canadien s'il perd son âme de francophone? » Représentations identitaires et mémorielles dans la presse franco-ontarienne après la “rupture” du Canada français (1969-1986)

Miville, Serge 01 February 2012 (has links)
Cette étude de la presse en Ontario français cherche à revenir sur le débat quant à rupture du Canada français et sur l’immense fragmentation identitaire qui se serait opérée dans les communautés francophones du pays en analysant les prises de position de journaux régionaux. La thèse relève d’importants vestiges du Canada français dans la mise en sens par les journaux des revendications franco-ontariennes, notamment en ce qui a trait à la question scolaire, aux langues officielles et au statut des minorités francophones du pays. Elle effectue aussi une tâche inédite jusqu’à présent : mettre en relation cinq hebdomadaires et un quotidien afin de mieux saisir la complexité idéologique qui caractérise le débat public franco-ontarien. L’étude montre aussi l’existence d’un comportement « nationalitaire » dans la presse qui, nourrie de la mémoire du Canada français, sert de pierre angulaire pour les revendications des Franco-Ontariens.
32

« À quoi sert au Canadien-Français de gagner l'univers canadien s'il perd son âme de francophone? » Représentations identitaires et mémorielles dans la presse franco-ontarienne après la “rupture” du Canada français (1969-1986)

Miville, Serge 01 February 2012 (has links)
Cette étude de la presse en Ontario français cherche à revenir sur le débat quant à rupture du Canada français et sur l’immense fragmentation identitaire qui se serait opérée dans les communautés francophones du pays en analysant les prises de position de journaux régionaux. La thèse relève d’importants vestiges du Canada français dans la mise en sens par les journaux des revendications franco-ontariennes, notamment en ce qui a trait à la question scolaire, aux langues officielles et au statut des minorités francophones du pays. Elle effectue aussi une tâche inédite jusqu’à présent : mettre en relation cinq hebdomadaires et un quotidien afin de mieux saisir la complexité idéologique qui caractérise le débat public franco-ontarien. L’étude montre aussi l’existence d’un comportement « nationalitaire » dans la presse qui, nourrie de la mémoire du Canada français, sert de pierre angulaire pour les revendications des Franco-Ontariens.
33

« À quoi sert au Canadien-Français de gagner l'univers canadien s'il perd son âme de francophone? » Représentations identitaires et mémorielles dans la presse franco-ontarienne après la “rupture” du Canada français (1969-1986)

Miville, Serge 01 February 2012 (has links)
Cette étude de la presse en Ontario français cherche à revenir sur le débat quant à rupture du Canada français et sur l’immense fragmentation identitaire qui se serait opérée dans les communautés francophones du pays en analysant les prises de position de journaux régionaux. La thèse relève d’importants vestiges du Canada français dans la mise en sens par les journaux des revendications franco-ontariennes, notamment en ce qui a trait à la question scolaire, aux langues officielles et au statut des minorités francophones du pays. Elle effectue aussi une tâche inédite jusqu’à présent : mettre en relation cinq hebdomadaires et un quotidien afin de mieux saisir la complexité idéologique qui caractérise le débat public franco-ontarien. L’étude montre aussi l’existence d’un comportement « nationalitaire » dans la presse qui, nourrie de la mémoire du Canada français, sert de pierre angulaire pour les revendications des Franco-Ontariens.
34

« À quoi sert au Canadien-Français de gagner l'univers canadien s'il perd son âme de francophone? » Représentations identitaires et mémorielles dans la presse franco-ontarienne après la “rupture” du Canada français (1969-1986)

Miville, Serge January 2012 (has links)
Cette étude de la presse en Ontario français cherche à revenir sur le débat quant à rupture du Canada français et sur l’immense fragmentation identitaire qui se serait opérée dans les communautés francophones du pays en analysant les prises de position de journaux régionaux. La thèse relève d’importants vestiges du Canada français dans la mise en sens par les journaux des revendications franco-ontariennes, notamment en ce qui a trait à la question scolaire, aux langues officielles et au statut des minorités francophones du pays. Elle effectue aussi une tâche inédite jusqu’à présent : mettre en relation cinq hebdomadaires et un quotidien afin de mieux saisir la complexité idéologique qui caractérise le débat public franco-ontarien. L’étude montre aussi l’existence d’un comportement « nationalitaire » dans la presse qui, nourrie de la mémoire du Canada français, sert de pierre angulaire pour les revendications des Franco-Ontariens.
35

La profession de dessinateur de presse au Canada français au tournant du XXe siècle : le cas d’Edmond-Joseph Massicotte (1875-1929).

Beaulieu, Anne-Philippe 04 1900 (has links)
No description available.
36

“I didn’t have time to find the English words”: The Korean War’s Role in the Evolution of Bilingualism in the Canadian Armed Forces

Labrosse, Julien January 2016 (has links)
This thesis explores the impact of the Korean War on the evolution of the role of the French language in the Canadian military between 1946 and 1954. It explains how the Korean War acted as both a catalyst for a more accommodating stance towards the French language in the Canadian Armed Forces, and an immediate impediment to the implementation of such changes. Particularly, this thesis explores the conflict that emerged between various officials in the Department of National Defence concerning the place that should be made for the French language, and how best to recruit more French Canadians. It shows that there was serious disagreement between the Minister of National Defence, Brooke Claxton, who wanted more bilingualism in the Canadian military, and the Chief of General Staff, General Guy G. Simonds, who resisted further concessions to francophones. Moreover, this thesis reveals the extent to which there was goodwill within the Canadian Armed Forces on the part of both anglophones and francophones on the frontline in Korea. This constituted the basis on which the Department of National Defence was able to begin the process of implementing a more bilingual system. In this respect, this thesis shows the Canadian military to have been ahead of the federal Civil Service.
37

Les relations interethniques dans la Grande Guerre ; regards sur le mythe du soldat canadien-français opprimé

Lalime, Céleste 04 1900 (has links)
Au Québec, la mémoire de la Grande Guerre renvoie automatiquement à une vision douloureuse de l’événement. Créée et alimentée par des souvenirs à forte charge émotive tels la crise de la conscription, les émeutes de Pâques et l’inhospitalité de l’Armée canadienne envers les combattants canadiens-français, cette mémoire est non seulement négative, mais également victimisante. Dans leur récit du conflit, les Québécois ont pris pour vérité une version qui les dépeint comme boucs émissaires des Canadiens anglais. Acceptée et intégrée autant dans l’historiographie que dans la croyance collective, cette thèse du Canadien français opprimé n’a jamais été questionnée. Ce mémoire entend donc revisiter cette version en la confrontant aux sources laissées par les contemporains. En utilisant la presse anglophone et les témoignages de combattants, il lève le voile sur le regard anglo-saxon envers les Canadiens français et dans une plus large mesure, sur les relations interethniques pendant la guerre. Il témoigne de la réalité du front intérieur comme de celle du champ de bataille pour ainsi proposer une réinterprétation de cette victimisation si profondément ancrée dans le souvenir québécois. / The First World War inevitably brings back painful memories in the province of Quebec. Quebeckers have a negative recollection of the war, viewing themselves as victims. Events related to the Great War such as the conscription crisis, the Easter riots and the inhospitality expressed by the Canadian Forces towards French Canadians are emotionally-charged memories that have nurtured this conception. When writing about the war, Quebeckers depict themselves as the scapegoats of English Canadians and present this notion as a truth. Integrated in both the historiography and popular beliefs, the idea of the oppressed French Canadian has never been questioned. This thesis aims at re-examining this idea by surveying contemporary sources: the Anglophone press and testimonies from soldiers. Its objective is to reassess the attitude and perception of Canadian Anglophones towards French Canadians, and more broadly the nature of interethnic relationships in the army during World War I, both on the home front and on the battlefield. It presents a reinterpretation of the victimisation that is deeply ingrained in the remembrance Quebeckers have of the conflict.
38

Construire la guerre totale par l'image au Canada (1914-1918) : acceptation différenciée d'un discours de guerre « totalisé »

Dubé, Alexandre 04 1900 (has links)
Tant pour les contemporains que pour les observateurs des XXe et XXIe siècles, la Première Guerre mondiale représente un épisode de l'histoire de l'Humanité particulièrement difficile à se représenter, que plusieurs ont qualifié de « guerre totale ». Ce concept, souvent utilisé comme synonyme une guerre d'extrême intensité, est généralement compris sous l'angle matériel; on parle de la mobilisation totale des ressources humaines, financières et matérielles. J'explore plutôt, dans cette recherche, l'intention de chercher à détruire totalement un ennemi au risque d'être soi-même détruit dans le processus. Car, comment peut-on en venir à jongler avec l'autodestruction sans que la guerre n'acquiert un sens logique, parce que nécessaire à sa propre survie, voire même désirable pour créer un avenir meilleur? À cet effet, l'étude du cas canadien est particulièrement pertinente, car le dominion britannique, sans être objectivement menacé de destruction, a fourni un effort de guerre relativement comparable aux États européens occidentaux. Comprendre la « guerre totale » canadienne de 1914-1918 peut alors aider à comprendre celles d'autres pays et d'autres conflits. Je propose dans ce mémoire une analyse discursive basée sur l'image de guerre – dessins, caricatures et affiches – en deux temps. Tout d'abord, il se crée au niveau international un « vocabulaire » de la guerre totale partagé par les Alliés et constitué de mythes, images, et mots-clés qui permettent l'articulation d'un discours de guerre commun. Ensuite, le Canada intègre de manière différenciée ce discours pour des raisons politiques, ethnolinguistiques, culturelles, etc. La dynamique de création identitaire empruntée à l'international (« nous », les Alliés, contre « eux », les ennemis de la civilisation) se transpose au plan national, avec pour point d'orgue les élections de décembre 1917. En observant comment le Canada réagit au stress de la guerre totale des Alliés, il est possible d'observer d'une autre manière que ne le propose l'historiographie traditionnelle les luttes politiques et sociales du dominion en guerre. Je propose un portrait de la société canadienne où l'identité, les idées, le genre, et l'appartenance à la communauté canadienne ne dépendent pas de l'ethnicité, mais plutôt de l'adhésion ou non aux buts de guerre totale avancés par les Alliés. En bref, l'appartenance à une communauté internationale d'idées en guerre – les Alliés – sert, selon cette analyse, de moteur aux acteurs nationalistes canadiens. / Ranging from contemporaries to observers of the XX and XIX centuries, the First World War is a part of human history difficult to portray that many have described as a “total war”. This concept, which is often employed as a synonym for a war of extreme intensity, is generally perceived from a material angle. In other words, it involves an all-out mobilisation of human, financial, and material resources. As part of this research, I focus on the intention to completely destroy the enemy at the risk of destroying oneself in the process. After all, why would actors think it logical to risk self-destruction in the war? Above all, this struggle needs to be perceived as logical, which would make it necessary for their own survival; it could even be perceived as desirable because it presages a better future. For this reason, the study of the Canadian case is quite instructive because this British dominion, without objectively being threatened with destruction, has participated in a war effort in a way comparable to Western European states. Hence, understanding the concept of Canadian “total war” of 1914-1918 can enable us to better understand total war efforts of other countries and other conflicts. In this dissertation, I propose a twofold discursive analysis based on images of war—drawings, caricatures, and posters. In the first part, a new “vocabulary” of total war common to the Allies and comprised of myths, images and key words geared to the articulation of a common war language is created in the in the international arena. In the second part, Canada adopts this language, albeit in a differentiated form, for political, ethno-linguistic cultural, and many other reasons. The dynamic of identity creation is borrowed from abroad (“Us”, the Allies against “Them”, the enemies of civilisation) and is transposed to the national level, culminating during the elections of December 1917. By observing how Canada reacted to the resulting stress of the total war effort of the Allies, it is possible to develop an alternative observation of political and social struggles of the Dominion at war that runs counter to traditional historiographies. I propose a portrait of Canadian society where identity, ideas, gender, and a sense of belonging to the Canadian community do not depend on one’s ethnicity, but rather on whether or not one supports the objectives of the total war put forth by the Allies. In brief, the sense of belonging to an international community of ideas at war—the Allies—, according to this analysis, is the guiding principle for nationalist Canadian actors.
39

Terres de nos aïeux : la représentation du territoire historique dans l’historiographie canadienne-française

St-Pierre, Stéphanie C. 02 1900 (has links)
Les mouvements migratoires à partir du Québec du milieu du XIXe siècle jusqu’aux années 1930 mènent à l’implantation de communautés francophones dans diverses régions de l’Amérique du Nord, créant ainsi des contextes favorables à la formulation d’un discours sur le passé. Ce discours participe-t-il au grand récit historique de la nation canadienne-française, ou propose-t-il une mise en récit propre à la région ? L’analyse proposée étudie en parallèle l’historiographie produite au Québec et celles qui émergent en périphérie, soit en Ontario, dans l’Ouest canadien et en Nouvelle Angleterre, en examinant plus particulièrement les représentations du territoire historique et l’élaboration d’un discours d’enracinement. Cette étude croisée et comparative permet de mieux saisir la dynamique et les tensions entre « région » et « nation » qui influencent la mise en récit de l’histoire au Canada français. S’échelonnant sur plus d’un siècle, l’étude privilégie certains moments clés de la production historique au Québec et dans les régions à l’étude. La mise en parallèle de la production historique au Québec et en milieu minoritaire nous permet d’examiner les points de convergence et de divergences entre le travail historique en région et au « centre » québécois. La thèse s’interroge donc sur la place de la nation et de la région dans ce discours d’enracinement afin d’en saisir le rôle dans l’historiographie au Québec ainsi que dans la diaspora canadienne-française jusqu’aux années 1960 et à « l’éclatement » du Canada français. L’objectif ici est de faire ressortir les particularités régionales de même que les dissemblances ou contrastes qui, jusqu’alors, ont le plus souvent échappé aux chercheurs. / Migratory movements from Quebec between the mid-19th century and 1930 led to the establishment of Francophone communities in various regions of North America, thus creating contexts favourable to the formulation of historical discourse. In the course of this dissertation, we analyze whether this discourse contributed to the great historical narrative of the French-Canadian nation, or if it proposed a region-specific narrative. The dissertation compares the historiography produced in Quebec to that emerging in the periphery, in Ontario, Western Canada and New England, examining more specifically the representations of historical territory and the development of a discours d’enracinement (or a sense of rootedness). This comparative study provides a better understanding of the dynamics between regions and nation that influence historical narrative in French Canadian history. Spanning more than a century, the study focuses on certain key moments in historical production in Quebec and in the selected regions we study. By drawing parallels between historical production in Quebec and in various minority settings, we examine the points of convergence and divergences between historical work in the regions and in Quebec. This dissertation therefore examines the place of the nation and the region in historical discourse, through the analysis of the discours d’enracinement or sense of rootedness, in order to understand the role it plays in Quebec’s historiography and in historical work being produced in the French Canadian diaspora until the 1960s. The objective here is to highlight regional experiences and the similarities and contrasts that have generally escaped researchers.
40

Insubordination, criminalité et cohésion militaire. Le cas du 41e bataillon (canadien-français) du Corps expéditionnaire canadien, 1914-1916

Mailloux, Alex 08 1900 (has links)
Autorisé le 31 décembre 1914, le 41e bataillon (canadien-français) du Corps expéditionnaire canadien était voué à suivre les traces du désormais célèbre 22e bataillon et à combattre à ses côtés sur le théâtre européen. Sept mois après sa formation, cette unité composée d’un amalgame hétéroclite de francophones et de volontaires étrangers fut pourtant dissoute, succombant à une vague d’insubordination marquée par un nombre record d’infractions, des désertions par centaines, plusieurs délits de corruption, une épidémie d’ivrognerie et deux homicides. Aussitôt oublié, le dossier du 41e fut rouvert une première fois en 1974 par l’historien Desmond Morton, qui imputait l’échec de l’unité à l’incompétence de ses officiers. Nous jugeons cette interprétation recevable quoique limitée, car si Morton a prouvé de façon convaincante l’inaptitude des gradés du 41e, son approche traditionnelle à l’histoire militaire nous en dit peu sur les mécanismes qui permirent la propagation de l’insubordination parmi les hommes du rang. Ce mémoire, qui se réclame de l’approche microhistorique, vise à réorienter l’analyse du point de vue du simple soldat, en insistant sur les facteurs sociaux, culturels et circonstanciels qui provoquèrent la désintégration prématurée de l’unité. Reposant sur un corpus inédit composé, entre autres, des rapports de cour martiale et des dossiers de service du 41e bataillon, cet effort de réinterprétation révèle une absence généralisée de cohésion au sein de l’unité. Dans le cas insolite du 41e bataillon, la discipline apparaît ainsi comme étant fonction de la qualité des relations interpersonnelles de ses membres plutôt qu’uniquement liée aux qualités individuelles de leurs supérieurs. / Authorized on December 31, 1914, the 41st Battalion (French-Canadian) of the Canadian Expeditionary Force was destined to follow in the footsteps of the renowned 22nd Battalion and fight on the western front. However, only seven months after its formation, this multiethnic unit made up of French-Canadian and foreign volunteers was disbanded due to a wave of insubordination that included a record number of infractions, desertions by the hundreds, several corruption scandals, widespread drunkenness and the cold- blooded murder of two Canadian servicemen. Long forgotten, the case of the 41st Battalion was examined for the first time in 1974 by historian Desmond Morton, who attributed the unit’s failure to the shortcomings of its officers. We find this interpretation acceptable, albeit limited. While Morton convincingly demonstrated the incompetence of the Battalion’s officers, his traditional approach to military history fails to unveil the mechanisms by which indiscipline was allowed to spread among the rank and file. This thesis, grounded in the micro-historical approach, shifts the analysis from a top-down to a bottom-up perspective, emphasizing the social, cultural and circumstantial factors which played into the unit’s collapse. Drawing from unpublished sources including court-martial reports and personnel record files of the 41st Battalion, this study reveals a widespread lack of cohesion within the unit. In the strange case of the 41st Battalion, discipline thus depends not only on the individual qualities of the officers, but also on the quality of interpersonal relationships among the rank and file.

Page generated in 0.4584 seconds