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Le concept de concurrence en droit / The concept of competition in lawZevounou, Lionel 08 December 2010 (has links)
La concurrence en droit est, de près ou de loin, associée au bien-être de la collectivité dans son ensemble. Ce mythe reste omniprésent dans le discours des interprètes chargés d’appliquer le droit de la concurrence. Or le monde des affaires tel qu’il fonctionne de manière ordinaire, reste totalement éloigné de cette image: monopoles, oligopoles, monopsones, constituent le quotidien des structures de marchés auxquelles sont confrontées les autorités de la concurrence et les juges. Pourtant, force est d’admettre que le fonctionnement imparfait de la concurrence ne peut se passer d’un mythe qui l’érige en institution politique et sociale. De ce point de vue, le dogme d’une concurrence utile à « l’intérêt public » reste incontournable pour justifier une réalité largement plus complexe et malaisée à appréhender dans son ensemble. Partant, si l’on aborde la concurrence dans sa dimension idéologique – laquelle présente aussi une grande part de complexité –, il va sans dire que le droit de la concurrence participe sans conteste à son institutionnalisation politique. Mais outre qu’il fonde la croyance dans les bienfaits naturels de la libre concurrence, le droit de la concurrence fournit aux acteurs économiques les ressources argumentatives nécessaires au développement de stratégies concurrentielles. Ainsi le droit de la concurrence engendre-t-il un discours qui n’a d’analyse économique, que la forme. S’il existe sans conteste un vocable emprunté à l’économie, ce dernier se traduit, dans le discours des interprètes, par la production de catégories juridiques et de moyens probatoires. Car si la concurrence était en tout point conforme au modèle de concurrence pure et parfaite, les acteurs économiques n’auraient nul besoin de se servir de la rhétorique du droit pour justifier leurs comportements sur le marché. Voilà pourquoi la production d’une telle rhétorique présente un intérêt majeur pour les acteurs économiques: d’elle dépend le cadre d’appréciation de pratiques anticoncurrentielles futures. Il en résulte inévitablement dans le champ dogmatique un affrontement entre écoles de pensées qui prescrivent aux interprètes différents modes d’évaluation des pratiques d’entreprises. Néanmoins, il convient de ne pas se méprendre sur les termes d’un débat qui, en dépit des apparences, relève du domaine de l’éthique. En effet, le droit de la concurrence ramène aux vieilles controverses quant à la définition d’un cadre adéquat de composition des intérêts. Les affects qui sont à la source du phénomène concurrentiel peuvent autant engendrer la prospérité que la détruire. La véritable question, reste de savoir, s’il est possible de parvenir à les gouverner, et de quelle manière. / Competition is associated to the well being of the whole community. That myth is very important in the mind of interprets responsible of implementing competition law. However the reality of the business world is very far from that myth: monopoly, oligopoly, monopsony, are usual market environment that the judge and competition authorities have to deal with. The imperfect reality of competition needs such a myth in order to be a political and social institution. The idea of a competition useful to public interest is necessary to justify a reality much more complex. Competition law allow us to believe that free competition triggers a lot of benefits, but also gives arguments to the economic actors in order to develop their competition strategies. Therefore, we can assess that the economic concepts used in competition law are not concepts of economic analysis. The economic vocabulary is transformed in legal categories and proving means. Indeed, if competition was as perfect and pure as the myth says, legal rhetoric wouldn’t be necessary to justify the behaviors of competitors on the market. . The frame of evaluation of the unlawful undertaking depends of the legal rhetoric. Therefore, each school of legal rhetoric gives its ones evaluation standards. Yet, the terms of the discussion are also on the ethical ground.
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La symbolisation du taureau à travers la ritualisation tauromachique carmaguaiseSchonbach, Annelise January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les représentations de la langue française chez des adultes dits "illettrés"Trannoy, Francine 07 March 2016 (has links)
L'objectif de cette thèse est de mieux comprendre les représentations linguistiques chez des adultes en situation d'illettrisme, dont des personnes ayant migré et vivant maintenant en France. Les parcours sociaux et scolaires, les langues maîtrisées ou connues, les cultures linguistiques et d'enseignement auxquelles ils ont été confrontés avant leur (ré) apprentissage du français sont donc diverses. Jusqu'à présent, à notre connaissance, peu d'études ont concerné ces deux publics. Toutes ces personnes apprennent le français dans un organisme de formation linguistique et professionnel qui véhicule une idéologie ayant comme référent, le référentiel linguistique de base, commun à tous les organismes de formation. Dans ce cadre, nous présenterons quelques résultats d'une recherche effectuée auprès de 18 adultes dits "illettrés" et adultes de diverses origines apprenant le français, sollicités dans des entretiens sur différents thèmes liés aux représentations linguistiques. Il est question d'examiner l'idéal linguistique que construisent les sujets. Comment évaluent-ils leurs compétences ? Quelle est leur norme de référence ? Les résultats de cette recherche montrent chez les locuteurs interrogés, une certaine intolérance à l'égard des écarts par rapport à la norme décrite dans les ouvrages de référence. Les conclusions des analyses effectuées dans cette étude révèlent que les locuteurs, majoritairement, manifestent une auto-évaluation négative de leur maîtrise de la langue française. Il s'avère que le risque encouru pour toute personne dans une interaction est plus réel pour certaines. L'insécurité linguistique, qui renvoie à la représentation que le locuteur se fait du risque interactionnel, est moins dépendante de la langue que du contexte, de la situation de communication, plus précisément du cadre / The objective of this thesis is to better understand the linguistic representations amongst adults with literacy problems, some of them having migrated and now living in France. The social and academic background, controlled or known languages, cultures and language teaching which they have faced before (re) learning French are so diverse. So far, to our knowledge, few studies have involved these two audiences. All these people are learning French in a linguistic and professional training organization that carries an ideology having as reference the basic language standard, common to all training organizations. In this context, we will present some results of a study conducted among 18 adults called "illiterate" and adults from diverse backgrounds learning French, asked in interviews on different topics related to linguistic representations. It is a question of examining linguistic ideal constructed by subjects. How do they rate their skills? What is their reference standard? The results of this research show among the speakers questioned a sort of intolerance for deviations from the standard described in reference books. The findings of the analyzes performed in this study reveal that speakers, mostly, show a negative self-assessment of their mastery of the French language. It turns out that the risk for anyone in an interaction is more real for some. Linguistic insecurity, which refers to representation that the speaker carries about his interactional risk, is less dependent on the language than on the context of the communication situation, specifically the frame
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Les relations turco-étatsunisiennes, constances et fluctuations sous le gouvernement de l'AKPFontaine, Hugo P January 2011 (has links)
Le mémoire vise l'étude des relations bilatérales entre deux pays : les États-Unis et la Turquie. La base de la réflexion que soutient ce mémoire est fondée sur l'idée que la religion influence l'idéologie d'un pays.Le vecteur idéologico-religieux résulte donc en une influence sur les politiques à la fois [sic] interne et externe d'un pays. Mis dans le contexte des relations bilatérales, dans ce cas-ci entre la Turquie et les États-Unis, le vecteur idéologico-religieux peut ainsi nous aider, c'est-à-dire mieux observer, comprendre et analyser les relations entre les deux pays. La question générale de recherche vise ainsi à comprendre comment le facteur idéologico-religieux s'immisce dans la nouvelle politique étrangère de la Turquie. La question spécifique de recherche est : L'arrivée du parti de l'AKP au pouvoir en Turquie, en 2002, a-t-elle été un facteur de consolidation des liens avec les États-Unis ou bien un facteur de divergence ? L'hypothèse de recherche s'articule comme suit : L'arrivée du parti de l'AKP au pouvoir en Turquie, en 2002, a fait en sorte d'introduire le facteur idéologico-religieux dans la nouvelle politique étrangère de la Turquie. Les principales conclusions du mémoire démontrent que l'arrivée de l'AKP au pouvoir a effectivement été un facteur de fluctuation dans les relations turco-étatsuniennes. L'AKP a mis de l'avant une nouvelle politique étrangère, que l'on appelle la profondeur stratégique, laquelle a brouillé les repères habituels des États-Unis.Le vote du 1er mars 2003 a certainement été le sommet de l'iceberg qui cachait la fois [sic] beaucoup d'éléments du passé, mais aussi des ambitions futures. Bien que le facteur religieux ou idéologico-religieux ne soit pas l'élément pragmatique sur lequel repose la politique étrangère de la Turquie sous l'AKP, il semble que ce soit un élément fondamental, c?est-à-dire à prendre en considération. La religion est et demeure un facteur identitaire majeur lorsqu'un peuple ou une nation tente de se définir.
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The construction of social reality in minority discourse : Polish immigrants in MontrealDomanski, Maciej January 2003 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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Discurso pedagógico sobre la interculturalidad en México : análisis crítico de textos de educación básicaBlanco Gomez, Rossana Amelia January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La langue de l'ouroboros : suivi de Extraordinaire et science-fictionArchetto, Maxime January 2006 (has links) (PDF)
Ce court roman de science-fiction met en contexte une île isolée, au coeur d'un monde inondé où se rencontrent des personnages issus d'univers différents. Dans ses cavernes naturelles habitent des autochtones, d'anciens montagnards devenus marins. Ces derniers sont dirigés par un idéaliste exilé de l'ancien monde. Avec eux, il tente de réaliser une société utopique. L'île est séparée en deux par un lac au bout duquel se trouve une tour aux origines obscures où vivent deux reclus du village, un fou et un délinquant. L'équilibre entre ces deux mondes est rompu lorsque débarque sur l'île une alchimiste généticienne en quête du Grand Oeuvre et prête à tout pour atteindre son but. Aidée de son équipage et de technologies futuristes, elle prend d'assaut la tour et y établit son trône. Chaque partie est racontée à partir du point de vue d'un des personnages principaux. Ce roman expérimente la multiplication des voix -qui est soutenue par un jeu de caractères où les italiques jouent un rôle majeur. La réflexion qui suit se penche sur la question de l'extraordinaire (ce qui est hors de l'ordre normal des choses de notre monde) dans la science-fiction. En analysant ce qui est propre à ce genre, cet essai vise à comprendre les avenues qu'offre l'extraordinaire à l'écrivain. L'hypothèse étant que les constructions d'univers fantaisistes de la science-fiction
remettent en perspective des réalités sociales et en permettent une réinterprétation. Ce genre offre à l'auteur la possibilité de critiquer la société à partir des constituants de ses univers fictifs parce que l'effet de distanciation créé par l'utilisation de l'ailleurs est porteur d'une vision du monde. Ainsi derrière la trame narrative se cache une intention idéologique que le lecteur ne voit pas nécessairement, puisque l'emphase mise sur les actions des personnages la voile. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Science-fiction, Extraordinaire, Engagement, Ailleurs, Utopie, Étrangeté.
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The construction of social reality in minority discourse : Polish immigrants in MontrealDomanski, Maciej January 2003 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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Discurso pedagógico sobre la interculturalidad en México : análisis crítico de textos de educación básicaBlanco Gomez, Rossana Amelia January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le problème de l’idéologie dans la pensée politique de Paul Ricœur :Contribution aux sociétés africaines en quête de développementTulume Kasau Sakasimba, Justin 07 February 2017 (has links)
Notre thèse se préoccupe d’abord de comprendre de manière générale la notion d’idéologie, ensuite faire une analyse approfondie de l’œuvre de Ricœur dans sa dimension idéologique et situer Ricœur par rapport à d’autres penseurs ou courants qui ont abordé le problème idéologique, enfin montrer la contribution de la pensée de Ricœur au développement des sociétés africaines. <p></p>Dans cette dissertation, Ricœur nous présente quelques approches du phénomène idéologique selon les penseurs qu’il a pu étudier. D’après Desttut, l’idéologie désignait l’étude des sciences des idées. Avec Marx, l’idéologie représente les intérêts de la classe dominante. Elle est un phénomène imaginaire, une représentation, un renversement de la réalité et de ce fait, elle s’oppose à la réalité. Pour Mannheim, l’idéologie est un phénomène pour identifier un groupe, un concept paradoxal et non congruent. Chez Althusser, elle se révèle dans l’opposition à la science et lui assigne une fonction politique. Weber la considère comme un moyen de légitimer ou de justifier le pouvoir. Chez Arendt, le totalitarisme comme idéologie avait pour rôle à l’époque du nazisme de nier la liberté humaine et la pluralité d’opinion. Sans doute, pour Habermas, l’idéologie se trouve dans la distorsion qui affecte la praxis ou l’activité de l’individu et dans la médiation symbolique d’action. Geertz pour sa part, voit dans l’idéologie l’intégration sociale et la rhétorique de la communication. Donc, l’on constate que le problème de l’idéologie est manifeste dans les idées, la domination, le paradoxe et la non congruence, la politique, l’intégration, la distorsion, etc. <p></p>Mais Ricœur a étudié l’idéologie pour résoudre un problème philosophique de l’imagination, pour l’enseignement ou l’éducation du monde et pour le développement.Toutefois, il ne manque pas, des approches déroutantes au cours desquelles le phénomène idéologique peut être désaltéré. En effet, selon notre auteur, le mot idéologie vient des philosophes français héritiers de Condillac pour qui l’idéologie est l’étude des idées formées par l’esprit humain. Depuis sa création par Desttut, il signifiait la théorie des idées. Il est à la fois le nom d’une école de pensée et celui d’un domaine théorique. C’est Napoléon qui a attribué un sens négatif à ce concept parce que les idéologues critiquaient son pouvoir. C’est Marx qui a employé ce concept pour désigner les idées des philosophes jeunes hégéliens et de tout ce qui résulte de la défection du système hégélien. De ce fait, le concept est élargi à toutes les formes de productions non économiques, comme le droit, l’Etat, l’art, la religion, l’éthique, la philosophie, etc. Mais déjà il semble que le sens péjoratif de l’idéologie se trouve déjà chez E. La Boétie et B. Spinoza dans la servitude et la sujétion d’un peuple. De plus, avec Ricœur, l’idéologie est une forme de rhétorique, de symboles, de croyances, de représentations assurant l’identité d’un groupe. Elle est une grille, un code pour se donner une vue d’ensemble de l’histoire, du monde. Elle véhicule les idées et les opinions. Elle joue la fonction d’intégration sociale et le rôle de médiation dans la société. <p></p>Lorsque nous considérons l’approche ricoeurienne du phénomène idéologique par rapport à celles de ses prédécesseurs, il se dégage l’idée que d’un côté, il y a la complémentarité et de l’autre côté non. En effet, le problème de développement de l’Afrique continue à se poser jusqu’à ce jour malgré quelques solutions précaires envisagées par-ci et par-là, la question de développement demeure. A la base, l’Afrique traverse une crise idéologique grave qui la déstabilise, la paralyse sur tous les plans ;crise provoquée par le refus de certaines personnes d’adhérer aux idéologies prêchant la paix, l’amour, le pardon, la réconciliation, la cohabitation ou le vivre-ensemble, la solidarité, la fraternité, etc. qui explique bien entendu la prédominance en Afrique des idéologies des guerres ethniques et tribales, des idéologies des rébellions, des idéologies des terrorismes, des idéologies dictatoriales, des idéologies monopartistes, des idéologies des viols des femmes, des idéologies de la pauvreté et de l’endettement, des idéologies des pillages des richesses naturelles ;crise encouragée par les idéologies préconisant l’opposition, l’affrontement, la poursuite des conflits, la recherche des intérêts égoïstes au détriment du bien commun.<p></p> En conséquence, on assiste à des conflits multiformes. Ces conflits caractérisent aujourd’hui toute l’Afrique en général mais en particulier l’Afrique noire. Les presses africaines et étrangères en font écho. En outre, il y a le problème de l’analphabétisme, de chômage et de manque de l’énergie, auquel l’Afrique est confrontée. Mais c’est face à cette situation, que nous avons tenté à la lumière de sa pensée, proposer des jalons de nouvelles approches idéologiques positives capables de soutenir les actions politiques et de développement des sociétés africaines ;pour cela nous avons préconisé l’effondrement des idéologies négatives maintenant l’Afrique dans le sous-développement, de même, nous avons sensibilisé les Africains de prendre conscience de leur situation, en particulier de leurs libertés et droits fondamentaux comme facteurs de développement de l’Afrique mais aussi aidé les Etats africains à prendre en compte le rôle important de ces jalons de nouvelles approches idéologiques positives pour favoriser la paix et la concorde, le dialogue et la cohésion nationale, la réconciliation, le développement multiforme de l’Afrique ;encore faudrait-il la démocratie ou la bonne gouvernance, la cohabitation ou le vivre-ensemble qui privilégieraient un Etat de droit, stable, pacifique avec des institutions justes, gérées par des dirigeants élus démocratiquement et ont de compte à rendre à leur peuple.Ricœur assigne à l’idéologie une fonction positive, c’est pour cette raison qu’elle peut contribuer aux actions politiques et de développement de l’Afrique dans la mesure où l’idéologie a une mission de l’éducation dans le monde entier en raison de son caractère constitutif pour le développement ;elle a un rôle intégrateur ;elle est un concept neutre puisque le terme n’a pas de connotations négatives ;elle englobe les distorsions et les représentations ;elle ne se définit ni en fonction de classe dominante ni en celle de justification ;elle ne s’oppose pas à la réalité, car la réalité n’est autre que l’ensemble des hommes, des êtres matériels et immatériels qui constituent le monde; le soupçon idéologique est remplacé par l’entretien car par ce dernier, on reconnaît les valeurs d’un groupe en les acceptant positivement ;la science peut devenir une idéologie si on prend en compte le raisonnement d’Aristote de l’existence d’un pluralisme scientifique; elle a un caractère paradoxal qui demande l’auto-implication de celui qui parle de l’idéologie ;elle est au service du pouvoir politique. Voilà un peu l’essentiel de notre étude. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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