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Une littérature qui ne passe pas récits de captivité des prisonniers de guerre français de la Seconde Guerre mondiale (1940-1953) /Quinton, Laurent Touret, Michèle. January 2007 (has links)
Thèse de doctorat : Littérature française : Rennes 2 : 2007. / Bibliogr. p. 581-600. Index.
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The myth of war in British and Polish poetry, 1939-1945 /Sokołowska-Paryż, Marzena. January 2002 (has links)
Diss.--Lett.--Warsaw--Univ., [2002]. / Bibliogr. p. 299-307. Notes bibliogr. Index.
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Analyse de la puissance combative de l'armée italienne durant la guerra parallèle, juin 1940-marsCarrier, Richard 25 April 2018 (has links)
Cette thèse traite de la performance militaire de l'armée italienne entre le 10 juin 1940 et avril 1941. Durant cette période, appelée la Guerre parallèle, l'armée italienne a mené quatre campagnes militaires sur quatre fronts différents. Contre la France dans les Alpes (juin 1940), contre l'empire britannique en Afrique du Nord et de l'Est (septembre 1940-février 1941 et juillet 1940-avril 1941) puis contre la Grèce en Grèce et en Albanie (octobre 1940-fin mars 1941), l'armée essuie quatre cuisants revers, n n'en fallait pas plus pour relancer les quolibets sur l'efficacité militaire de l'armée italienne. Depuis la Seconde Guerre mondiale, l'historiographie militaire a fait un sérieux travail de recherches sur les causes des déboires. Les tentatives d'explications sont multiples: leadership politique et militaire inadéquat, impréparation et faiblesse économique, infériorité technique, piètre qualité des combattants, etc. Malgré cela, des questions demeurent auxquelles aucune des explications prises séparément n'arrive à répondre. Cette thèse propose un modèle explicatif socio-historique général qui englobe les meilleures réponses offertes depuis cinquante ans et en apporte d'autres. À l'aide d'un modèle théorique simple et complet, celui du fighting power (puissance de combat ou puissance combative), ce travail scrute les manifestations de la puissance de combat de l'armée italienne à travers une série d'éléments d'analyse. Le résultat est clair: l'armée italienne ne pouvait faire mieux parce que des manifestations de la puissance de combat étaient à un très faible niveau (initiative, cohésion, ténacité, désir de se battre et acceptation de la mort) et d'autres à un niveau très inégal (moral et discipline). Le passé de Tesercito italiano, ses défauts structurels, ses carences organisationnelles et administratives expliquent beaucoup de choses. En ajoutant l'amateurisme de Mussolini, l'incompétence des chefs militaires et l'indifférence des Italiens pour cette autre guerre mondiale, on obtient une recette parfaite pour un désastre. Si beaucoup de soldats et d'officiers en sont sortis vivants en se rendant à l'ennemi, d'autres ont payé de leur vie cette éclatante démonstration d'inefficacité militaire. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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The Grand Alliance and Ukrainian refugees /Dyczok, Marta, January 2000 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Faculty of modern history--University of Oxford, 1995. / Bibliogr. p. 243-260. Index.
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De Napoléon Bonaparte à Erwin Rommel la guerre de mouvement de 1792 à 1945 /Lemire, Dany. January 2008 (has links)
Thèse (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2008. / Titre de l'écran-titre (visionné le 24 avril 2009). In ProQuest dissertations and theses. Publié aussi en version papier.
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Isolationnisme ou internationalisme : analyse comparative de la couverture médiatique de la résistance et de la collaboration en Europe occupée réalisée par le Chicago Tribune et le New York Times lors de la Deuxième Guerre mondialeMartin, Philippe 06 March 2024 (has links)
Ce mémoire compare la couverture médiatique de la résistance et de la collaboration en Europe occupée réalisée par le Chicago Tribune et le New York Times lors de la Deuxième Guerre mondiale. Notre analyse s’inscrit dans une période voyant une métamorphose profonde du rôle des États-Unis sur la scène internationale; l’isolationnisme traditionnel étant écarté au moment de l’intervention militaire américaine dans le conflit en décembre 1941 et abandonné, au terme de la guerre, avec le rôle clé du pays dans la fondation d’une nouvelle organisation internationale. Les deux quotidiens retenus pour cette étude, en plus de se démarquer par leur importance nationale, présentent des perspectives opposées au sujet de cet enjeu majeur. Le Chicago Tribune, proche idéologiquement du parti républicain et critique acharné du président Roosevelt, est catégoriquement opposé à la participation des États-Unis au conflit avant l’attaque sur Pearl Harbor et milite pour un retour à l’isolationnisme traditionnel une fois la victoire acquise. De son côté, le New York Times, appuyant généralement le parti démocrate et les politiques de Roosevelt, apparaît en faveur d’une neutralité orientée dès le début du conflit et présente la fondation d’une nouvelle organisation internationale comme un objectif de guerre essentiel. Dans le contexte particulier de l’activité de la presse en temps de guerre, la censure et le patriotisme limitant les critiques au sujet de la position officielle du gouvernement, les relations du gouvernement américain avec les mouvements de résistance et les collaborateurs représentent des éléments notables sur lesquels les quotidiens étudiés présentent des perspectives souvent opposées. Notre mémoire montre donc en quoi les positions très différentes du Chicago Tribune et du New York Times au sujet de la participation américaine au conflit et, surtout, du rôle des États-Unis dans le monde ont influencé leur couverture médiatique des résistants et des collaborateurs en Europe occupée. / This thesis compare and contrast the Chicago Tribune’s and New York Times’ coverage of resistance and collaboration in German-occupied Europe during World War II. Our study concerns a period which saw a profound transformation of the United States’ role on the international scene. Indeed, the United States’ military intervention in the conflict in December 1941 and, especially, its key role in establishing a new intergovernmental organisation marked the end of American isolationism. Both selected newspaper, besides their national readership, present opposite perspectives about this important debate. The Chicago Tribune, ideologically close to the Republican Party and unrelenting critic of president Roosevelt, is adamantly opposed to American involvement in the war until the attack on Pearl Harbor and advocate for a return to isolationism after victory. For its part, the New York Times, generally supportive of the Democratic Party and of Roosevelt’s policies, is in favor of helping the Allies from the start of the conflict and presents the establishment of a new intergovernmental organisation as a crucial war aim. In the specific context of journalism in wartime, when censorship and patriotism minimize criticisms of the government’s official position, the American government’s relationships with resistance movements and collaborators are significant subjects about which the studied newspapers often present contrasting point of views. Our thesis present how the Chicago Tribune’s and New York Times’ very different stances about American involvement in World War II and, especially, the United States’ role in the world influenced their coverage of resistance and collaboration in German-occupied Europe.
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La Société canadienne de la Croix-Rouge et les prisonniers de guerre provenant du Commonwealth, durant la Seconde Guerre mondialePomerleau, Daniel January 2007 (has links) (PDF)
Durant la Seconde Guerre mondiale, la Société canadienne de la Croix-Rouge est venue en aide aux prisonniers de guerre provenant du Commonwealth. Comment cette aide fut-elle entreprise et quels furent ses principaux acteurs? L'étude des archives et publications de l'institution ainsi que de journaux quotidiens permet de répondre à ces questions et de corriger les erreurs et les vides de l'historiographie. La Croix-Rouge a fait parvenir aux prisonniers différents colis contenant notamment de la nourriture, des vêtements et des médicaments, et a également facilité la communication entre ces captifs et leurs parents. Malgré certains obstacles importants, cette aide fut bénéfique pour la santé et le moral de chacun. Cette oeuvre n'aurait pu exister sans le dévouement de la population canadienne. Des spécialistes organisèrent les activités de l'institution, alors que des bénévoles -surtout des femmes -confectionnèrent et empaquetèrent les articles envoyés aux prisonniers. Quant à la population en général, elle fournit les sommes nécessaires à la poursuite de ces activités. L'ampleur de la participation populaire peut être attribuée en partie aux médias et aux publications de l'institution, qui diffusèrent une image positive de cette dernière et combattirent les rumeurs à son sujet. Le gouvernement fut l'instigateur de certaines activités, et s'assura que les ressources utilisées par la Croix-Rouge fussent utilisées adéquatement. Il exerça un contrôle sur l'institution, et en tira également certains avantages politiques et sociaux. Finalement, les Croix-Rouges étrangères firent à la Croix-Rouge canadienne des demandes, et lui proposèrent des idées, des expertises et des solutions. En somme, l'aide fournie durant la Seconde Guerre mondiale par la Société canadienne de la Croix-Rouge aux prisonniers de guerre provenant du Commonwealth a, de loin, dépassé les quelques événements recensés dans l'historiographie. Un plus grand crédit devrait être donné à la population, mais le travail des médias, du gouvernement canadien et des autres Croix-Rouges nationales doit également être reconnu. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Organisation non gouvernementale, Humanitaire, Bénévolat, Campagnes de financement, Colis de vivres, Médias, Gouvernement, Services nationaux de guerre.
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La propagande française pendant la drôle de guerre : l'échec du Commissariat général à l'Information (1939-1940)Marceau, Guillaume 06 1900 (has links) (PDF)
Notre analyse vise à démontrer l'échec de la France de la fin de la Troisième République dans sa tentative de s'adapter à la propagande moderne, plus particulièrement lors de la drôle de guerre (1939-1940). À travers l'étude du Commissariat général à l'Information (CGI), l'organisme de propagande chargé de mener la guerre psychologique de la France au début de la Deuxième Guerre mondiale, nous avons relevé certaines caractéristiques profondes de la faillite de l'effort français dans ce domaine. Nous avons traité notre sujet dans la perspective du renouvellement de l'historiographie concernant la fin de la Troisième République, qui oppose depuis plus de 50 ans l'école de la Décadence à celle des révisionnistes. Afin de bien cerner notre sujet, nous avons effectué un parcours archivistique à Paris, notamment dans les fonds des Archives Nationales et du SHAT. Dans le but de mieux évaluer l'importance de la propagande au vingtième siècle, nous avons procédé à une analyse succincte de la théorie et de l'utilisation de celle-ci. Notre position insiste sur le fait que l'étude de la propagande est une approche pertinente dans une évaluation de l'adaptation de l'État face au monde moderne. Plus particulièrement, nous avons utilisé une approche institutionnelle afin de démontrer, à travers l'étude du CGI, que la France de la fin de la Troisième République a été incapable de s'adapter à la propagande moderne, tout en ne faisant jamais vraiment preuve de « leadership » en la matière. Grâce à notre travail de fond dans les archives, nous avons pu évaluer la perception des dirigeants français face à la propagande, mais aussi l'aspect administratif du CGI. Ainsi, nous avons passé en revue les directives, les lois, les budgets, les nominations, et même les locaux qui abritaient, en 1939-1940, l'organisme de propagande de la France en guerre. De plus, nous avons effectué une évaluation du rôle du chef du CGI, Jean Giraudoux, ainsi que quelques exemples concrets qui nous ont permis de tirer les conclusions qui s'imposent face à l'action de la France en matière de propagande étatique lors de la drôle de guerre. Sans vision d'ensemble, jamais le Commissariat n'a eu une attitude offensive dans la conduite de la guerre psychologique en 1939-1940. Notre analyse ne portait pas sur le travail de base de la propagande française, mais bien sur la conduite administrative, financière et politique du CGI qui nous a permis de bien comprendre pourquoi celui-ci a été un échec. C'était avant tout la faillite de l'élite à accorder à la question de la propagande moderne la place qui lui revenait dans l'arsenal de guerre de la France.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : France, Propagande, Deuxième Guerre mondiale, Commissariat général à l'Information, Jean Giraudoux
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ÜberLeben und Sterben von Zwangsarbeitern im Ruhrbergbau /Urban, Thomas, January 2002 (has links)
Magisterarbeit--Fakultät für Geschichtswissenschaft--Bochum--Ruhr-Universität, 2000. / Bibliogr. p. 165-175. Index.
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"Un havre de paix" : die kriegsgefangenen französischen Offiziere an der Preussischen Staatsbibliothek in Berlin 1941-1945 /Hollender, Ulrike, Jammers, Antonius, January 2002 (has links)
Texte remanié de: Examenarbeit für den höheren Bibliotheksdienst--Köln--Fachhochschule, 2001. / Notes bibliogr. Index.
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