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La signification du travail des travailleurs handicapés embauchés dans les entreprises adaptées de la Capitale-Nationale

Corriveau, Marie-Ève 24 April 2018 (has links)
Nous vivons dans une société fondée sur le travail. Modelé par elle, l'individu est incité à remplir un rôle utile et reconnu et ce, par le travail. Mais qu'arrive-t-il lorsqu'un individu ne répond pas aux normes sociétales valorisant l'homme productif ? L'absence de travail peut créer un sentiment d'exclusion sociale. Ce sentiment s'explique par le fait que le travail occupe une place très importante dans notre société. Dans le cadre de ce mémoire, nous nous sommes intéressés aux personnes handicapées qui sont, souvent, dans une situation de non-emploi. Par contre, depuis les années 1970, le Québec tente d'intégrer socialement ces personnes qui sont davantage en situation d'exclusion. La société s'adapte et tente de répondre aux besoins de ce groupe. Ainsi, nous nous sommes intéressés aux entreprises adaptées puisqu'elles permettent à des gens en situation de handicap d'occuper un emploi à long terme. Nous avons cherché à comprendre ce qui incitait les personnes handicapées à travailler. Pour mener à bien ce projet, nous avons effectué des groupes de discussion pour étudier l'ethos du travail auprès des travailleurs handicapés embauchés dans les entreprises adaptées de la Capitale-Nationale. L'objectif général était de saisir l'ethos du travail selon la tradition sociologique héritée par Max Weber. Ainsi, nous voulions saisir la centralité, la finalité et l'attitude à l'égard des normes sociétales auprès de ces travailleurs. Concrètement, nous avons cherché à savoir si les ethos développés par Mercure et Vultur (2010) s'appliquaient aux travailleurs handicapés.
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Étude de la normativité sexuelle contemporaine : le cas d'une communauté de pratiques BDSM

Déry, Caroline 24 April 2018 (has links)
Afin de cerner la teneur de la normativité sexuelle en contexte contemporain, cette étude prend pour objet les discours de praticien-ne-s de BDSM (bondage, discipline, domination, soumission, sadomasochisme) et la manière dont ces derniers font l'expérience du regard des autres sur leurs pratiques. L'étude montre que le type de rapport au jeu des praticien-ne-s influence leur rapport à la norme. Selon que les praticien-ne-s cherchent ou non à gommer la distance entre leur rôle dans le cadre du jeu et leur identité sociale, ils sont susceptibles de se positionner en rupture ou en continuité vis-à-vis de la normalité sexuelle. Tandis que ceux qui cherchent à quotidianiser leur pratique adoptent une attitude de distinction et conçoivent la sexualité normale comme étant ennuyeuse, les autres qui conçoivent le BDSM comme un jeu circonscrit dans des moments spécifiques sont portés à normaliser leurs pratiques et à les situer dans le prolongement de la normalité sexuelle. Les distinctions entre les deux types de rapport au BDSM (celui des tenant-e-s de la vieille école et des joueurs) portent essentiellement sur leur rapport aux coulisses du jeu et à la distance vis-à-vis des rôles. Les praticien-ne-s ne ressentent que très peu de stigmatisation auprès d'autrui. Les traces de l'épreuve d'un stigmate n'apparaissent que via le prisme de complexes et questionnements personnels chez les répondant-e-s qui s'interrogent parfois à savoir si leur intérêt pour certaines pratiques est sain. Les pratiques BDSM sont de l'ordre de la sphère privée et constituent un stigmate invisible. Les praticien-ne-s choisissent à qui et de quelle manière révéler qu'ils s'adonnent au BDSM en se basant sur la compréhension qu'ils ont de la normativité. Le niveau d'intimité partagé ainsi que la séparation entre la sphère privée et publique font office de critères pour départager à qui révéler son intérêt pour le BDSM et comment.
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Parler politique : potentiel et limites des pratiques encadrant le partage de la parole à l'Association pour une solidarité syndicale étudiante

Leclerc, Typhaine 24 April 2018 (has links)
Malgré leurs bonnes intentions, les groupes progressistes reproduisent des inégalités sociales dans leur structure interne. Même dans les groupes qui ont intégré des pratiques (pro)féministes à leur fonctionnement, on observe une inégalité parfois flagrante dans les prises de parole des hommes et des femmes et en fonction d’autres facteurs socioéconomiques. L’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) utilise plusieurs mesures visant à rééquilibrer le partage de la parole, notamment l’alternance homme-femme, la garde du senti, les caucus non mixtes et les instances non mixtes. J’ai réalisé douze entretiens semi-directifs avec des personnes ayant milité à l’ASSÉ afin de mieux comprendre comment elles jugent la pertinence et l’efficacité de ces pratiques. Si toutes estiment qu’elles facilitent la prise de parole des femmes sur le plan individuel, hommes et femmes ont toutefois des opinions divergentes par rapport à leur potentiel transformateur et émancipateur. Les hommes tendent à souligner les effets de resocialisation ou de contre-socialisation de ces mesures alors que les femmes abordent davantage leurs limites. Elles estiment que les mesures utilisées à l’ASSÉ ne suffisent pas à remettre en question la division genrée du travail militant qui y prévaut. À partir des données recueillies, il est possible d’affirmer que les coûts et les bénéfices liés à ces pratiques sont différenciés selon le genre. Bien qu’elles soient conçues pour favoriser la prise de parole des femmes, elles offrent des bénéfices symboliques et matériels aux hommes. Les femmes, responsables du travail de justification de ces pratiques, de leur application et, plus largement, des revendications et analyses féministes dans l’organisation, déplorent que ce travail invisibilisé et sous-valorisé les empêche de se concentrer sur des tâches « politiques ». J’explore le potentiel des pratiques encadrant le partage de la parole pour éclairer la nature politique du travail d’écoute, de care et d’organisation accompli par les femmes, à l’ASSÉ et ailleurs. / Despite their best intentions, progressive groups contribute to the reproduction of social inequalities within their internal structure. Even in groups using pro-feminist practices intended to manage how speech is shared among participants, there sometimes are blatant inequalities in the voices being heard – or not – depending on gender and other socioeconomic factors. ASSÉ (Association for Solidarity among Student Unions) implements a number of measures to rebalance how speech and power are being shared, including alternating speaking rights between men and women, using a “moodwatcher” during meetings, allowing for non-mixed caucuses, and holding Women’s congresses. I have conducted twelve semi-structured interviews with people who are or have been involved in ASSÉ to better understand how they judge the relevance and effectiveness of these practices. While all of them believe that these measures help amplify women’s voices on an individual level, men and women have different opinions about the transformative and emancipatory potential of these practices. Men tend to highlight these measures’ re-socialization or counter-socialization effects, while women are more likely to point out their limitations. They argue that these measures fail question the gendered division of activist labor that prevails in ASSÉ. Furthermore, the interview data suggest that the costs and benefits associated with these practices are gender differentiated. Although they are designed to promote women's voices, they tend to symbolically and materially benefit to men. Meanwhile, women are responsible for the labor involved in justifying and applying these practices, and, more broadly, for providing feminist analyses within the organization. Women participants lament the fact that this invisible and undervalued work prevents them from concentrating on "political" tasks. I sketch the potential of (pro)feminist speech-sharing practices to demonstrate how conversation is indeed "political" and to hightlight the political nature of the gendered labor of listening, caring and organizing.

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