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Realism, not relativism : a critique of Gilbert Harman

Rawlings, Adam D.H. 05 1900 (has links)
This thesis will critique Gilbert Harman's moral relativism. Harman argues for a form of moral relativism he calls a "conventionalist" account of morality. He supports this by defending a view of explanations, a view of simplicity, and a view of the moral "ought." However, the anthropological literature contains strong evidence against his drawing of this relativist conclusion — and in support of a contrary one. According to anthropologists, there is a universal belief in the moral wrongness of incest, the "incest taboo": its existence suggests that Harman may have better supported a form of moral realism than the relativism he endorses. Thus, at the very least, Harman's argument does not prove that relativism is true; more strongly, it may prove that relativism is false, and realism true.
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Realism, not relativism : a critique of Gilbert Harman

Rawlings, Adam D.H. 05 1900 (has links)
This thesis will critique Gilbert Harman's moral relativism. Harman argues for a form of moral relativism he calls a "conventionalist" account of morality. He supports this by defending a view of explanations, a view of simplicity, and a view of the moral "ought." However, the anthropological literature contains strong evidence against his drawing of this relativist conclusion — and in support of a contrary one. According to anthropologists, there is a universal belief in the moral wrongness of incest, the "incest taboo": its existence suggests that Harman may have better supported a form of moral realism than the relativism he endorses. Thus, at the very least, Harman's argument does not prove that relativism is true; more strongly, it may prove that relativism is false, and realism true. / Arts, Faculty of / Philosophy, Department of / Graduate
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Le raisonnement selon Anscombe, Harman et Broome

Brunet, Josée January 2007 (has links) (PDF)
Cette étude porte sur la notion de raisonnement. L'hypothèse principale que je défends est que ce que l'on appelle communément un raisonnement comporte un aspect processuel et un aspect inférentiel. L'aspect processuel consiste dans le fait qu'un raisonnement est un enchaînement causal d'actes ou d'états mentaux, et l'aspect inférentiel consiste dans le fait que les états mentaux en question ont des contenus propositionnels qui peuvent entretenir entre eux des relations logiques. Lorsqu'on accepte cette distinction, il apparaît qu'une théorie adéquate du raisonnement doit expliquer comment ces deux aspects sont reliés. L'objectif de cette étude est d'examiner de quelle manière différentes approches du raisonnement traitent de la relation entre ces deux aspects. Cette thèse est divisée en quatre chapitres. Le premier chapitre, à caractère introductif, présente le contexte philosophique général dans lequel s'est posée la réflexion sur le raisonnement (pratique) au cours des dernières décennies. Le deuxième chapitre s'amorce par une analyse critique de la thèse d'Anscombe (1957) selon laquelle l'action est la conclusion de l'inférence pratique. J'y montre comment cette suggestion l'oblige à rendre compte du caractère processuel du raisonnement en termes inférentiels et qu'une telle solution conduit à une compréhension inadéquate de la relation entre les aspects processuel et inférentiel de ce type de raisonnement. Dans la section qui suit, je présente l'hypothèse qui est au coeur de cette étude: j'y explique ce qui distingue les aspects processuel et inférentiel du raisonnement en indiquant quelques conséquences qu'entraîne cette distinction dans l'étude du raisonnement. J'examine ensuite comment il serait plausible, à la lumière de la distinction introduite, de rendre justice à l'intuition d'Anscombe. Le troisième chapitre porte sur la conception du raisonnement de Harman (1986). Après avoir présenté sommairement l'esprit de sa théorie et les principes de révision qu'il identifie comme étant ceux que suivent ou doivent suivre les agents lorsqu'ils raisonnent (section 1), je tente ensuite de déterminer comment Harman conçoit cet aspect processuel, et si sa théorie permet d'expliquer de manière adéquate la relation entre les aspects processuel et inférentiel du raisonnement. J'examine d'abord quelle fonction il reconnaît aux notions d'implication et d'inconsistance, et montre ensuite que si le processus dans lequel s'engage celui qui raisonne peut être conçu à la manière de Harman, c'est-à-dire à la 3ème personne, il doit aussi être conçu du point de vue de l'agent qui raisonne, c'est-à-dire à la 1ère personne. Après avoir discuté des limites inhérentes au fait de concevoir l'aspect processuel du raisonnement d'un point de vue essentiellement externe, à la 3ème personne; j'identifie quelques conséquences que fait apparaître la perspective de la 1ère personne, dans le but de montrer pourquoi une théorie adéquate du raisonnement ne peut en faire l'économie. En dernière section, j'explore quelques conséquences de la distinction proposée, notamment quant à la question de savoir quelles notions pourraient être mises en parallèle à celles de prémisse, conclusion et validité lorsqu'il est question du raisonnement. Le quatrième chapitre porte sur la conception du raisonnement de John Broome. Après avoir exposé sommairement les thèses que défend Broome (1999, 2002) sur le terrain de la normativité puisqu'elles sont déterminantes dans sa théorie du raisonnement, je montre que la distinction qu'il établit entre un raisonnement de croyance et un raisonnement d'intention s'accorde (au moins en partie) avec la distinction raisonnement/argument suggérée (section 1). Je propose ensuite une analyse critique de la position qu'il défend dans Broome (2006b) en m'opposant à l'exigence de double expression qui est nécessaire, selon lui, pour pouvoir raisonner avec des attitudes autres que des croyances. Je montre qu'une telle conception du raisonnement est beaucoup trop exigeante, et qu'elle a le désavantage principal de faire en sorte que pour pouvoir raisonner avec des attitudes autres que des croyances, vous devez vous mettre en position de 3ème personne (section 2). Dans le cadre de la dernière section, je montre que la divergence entre nos conceptions respectives du raisonnement a son origine dans les thèses qu'il défend concernant la normativité de la rationalité et la normativité des raisons. J'identifie quelques-unes des conséquences de ces thèses pour une théorie du raisonnement. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Raisonnement, Argument, Inférence, Raisons, Rationalité, Normativité.

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