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L'intelligence artificielle et la question du continu; Remarques sur le modèle de Turing

Lassègue, Jean 09 December 1994 (has links) (PDF)
La thèse vise deux buts : décrire la notion de machine de Turing en tant que concept et en tant que modèle. L'hypothèse épistémologique de départ est la suivante : pour que la notion de machine de Turing ait psychologiquement une signification, il faut qu'elle soit mise en rapport avec la notion de continu et ce, dans les deux directions envisagées, concept et modèle.<br /> On décrit la notion de machine de Turing en tant que concept dans la théorie de la calculabilité. On étudie le contexte épistémologique dans lequel le concept est né dans les années trente : philosophiquement, la “querelle des fondements en mathématique”; mathématiquement, l'apparition des différents formalismes permettant de rendre compte de la calculabilité des fonctions, dont le formalisme de la machine de Turing.<br /> On décrit dans la deuxième partie comment le concept de machine de Turing se transforme en modèle pour la théorie de la psychologie. La justification de cette transformation est étudiée à partir de l'expérience de pensée élaborée par Turing grâce au “jeu de l'imitation”. On interprète le sens de ce jeu d'un point de vue formaliste, probabiliste et psychologique. On finit par conclure à l'absence de “test de Turing” dans le jeu, contrairement à ce qui est cru généralement.<br /> La troisième partie étudie la façon dont la notion de machine de Turing a servi de fondement à l'intelligence artificielle. Le modèle de Turing tel qu'il a été utilisé jusqu'à présent engendre deux types de théories dualistes de l'esprit : une théorie platonicienne et une théorie fonctionnaliste. On justifie une interprétation non-dualiste en mettant l'accent sur le rôle joué par le langage dans la constitution du modèle. On replace enfin le modèle dans une tradition historique plus large, qui va de C. Babbage à R. Thom.
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Aux sources d'Internet : l'émergence d'ARPANET. <br /><br />Exploration du processus d'émergence d'une infrastructure informationnelle. Description des trajectoires des acteurs et actants, des filières et des réseaux constitutifs de la naissance d'ARPANET. Problèmes critiques et épistémologiques posés par l'histoire des innovations.

Serres, Alexandre 20 October 2000 (has links) (PDF)
L'émergence du réseau ARPANET à la fin des années 60 est le produit d'un long processus d'innovation d'une quinzaine d'années, mobilisant de très nombreux acteurs et actants du « complexe militaro-scientifique-industriel » américain et entremêlant différentes lignées historiques (cybernétique, hypertexte, informatique interactive, transmission par paquets, partage des ressources informatiques, guerre froide, etc). Après une étude critique de l'historiographie d'Internet et de la mise en récit des origines prétendument militaires d'ARPANET, la thèse cherche à mettre en exergue l'hétérogénéité et l'incertitude constitutives des processus d'innovation ainsi que la multiplicité des temporalités à l'oeuvre dans l'émergence de cette infrastructure informationnelle.<br />A partir d'une posture empiriste, inspirée d'une approche anthropologique des sciences et des techniques postulant l'imbrication du social et du technique, cette thèse s'articule autour des trois axes suivants : <br />- l'exploration de ce long processus d'émergence d'ARPANET par le suivi de ses multiples composants et des réseaux socio-techniques qu'ils constituent. Une large place est consacrée à la naissance de l'informatique interactive à la charnière des années 50-60, symbolisée par les ordinateurs en temps partagé à l'origine d'un nouveau modèle informatique : l'ordinateur en réseau ;<br />- l'utilisation critique des notions du modèle de la traduction, dont l'application à l'étude d'un processus d'innovation passée et de longue durée montre certaines limites ;<br />- une réflexion sur l'histoire des outils d'information et sur les difficultés d'écriture d'une histoire « processuelle ».<br />A travers cette description de l'émergence du premier réseau informatique sont posées en filigrane les questions de la pensée des innovations et notamment la question centrale du déterminisme
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Making citizens of the information age : a comparative study of the first computer literacy programs for children in the United States, France, and th / Façonner des citoyens à l'âge de l'information : une étude comparative des premiers programmes de formation en informatique pour enfants aux Etats-Unis, en France, et en Union Soviétique (1970-1990)

Boenig-Liptsin, Margarita 16 November 2015 (has links)
Cette thèse examine la formation des citoyens à l'Âge de l'information en comparant les visions et les pratiques d’alphabétisation et d’enseignement de la culture informatique aux enfants et au grand public aux États-Unis, en France, et en Union soviétique. Les programmes d'alphabétisation et d'acculturation informatique ont été lancés dans ces trois pays dans les années 1970 avec pour objectif l'adaptation des individus à la vie dans la société informatisée telle qu'elle était envisagée par les savants, penseurs et praticiens dans chaque contexte culturel et sociopolitique. La thèse porte sur les idées et influences de trois personnes qui ont joué des rôles importants dans la promotion des initiatives d'éducation en informatique dans chacun des pays étudiés : Seymour Papert aux États-Unis, Jean-Jacques Servan-Schreiber en France, et Andrei Ershov en Union Soviétique. Selon ces pionniers, devenir alphabétisé ou cultivé en informatique signifiait plus qu’acquérir des compétences vis-à-vis de l’ordinateur ou bien apprendre à être un utilisateur passif du micro-ordinateur. Chaque pionnier envisageait une façon distincte d’incorporer la machine dans la manière de penser et d'être des individus -- comme une augmentation cognitive aux États-Unis, comme une culture en France, ou bien comme un partenaire dans l'Union Soviétique. Les hybrides hommes ordinateurs en résultant exigeaient tous une relation ludique à l'ordinateur personnel conçu comme un espace libre, non structuré et propice à l’exploration créatrice. Dans cette étude, je trace la réalisation de ces hybrides hommes-ordinateurs à partir de leurs origines dans les visions des quelques pionniers, de leur incorporation dans le matériel, les logiciels, et les programmes éducatifs, de leur développement dans les expériences locales avec les enfants et les communautés, et, enfin dans leur mise en œuvre à l'échelle de la nation. Dans ce processus d'extension, les visions des pionniers se heurtent à de puissants imaginaires sociotechniques (sociotechnical imaginaries) de l’État. Je montre alors pour chaque cas, comment, suite à la confrontation avec ces imaginaires, les visions des pionniers ne sont pas pleinement réalisées. En conclusion, je propose une lecture de la manière dont les imaginaires du Vingtième siècle de citoyens alphabétisés ou cultivés en informatique s’étendent au-delà de leurs points d'origine et se connectent à des aspects contemporains de la constitution des humains dans un monde informatisé. / In this dissertation I trace the formation of citizens of the information age by comparing visions and practices to make children and the general public computer literate or cultured in the United States, France, and the Soviet Union. Computer literacy and computer culture programs in these three countries began in the early 1970s as efforts to adapt people to life in the information society as it was envisioned by scholars, thinkers, and practitioners in each cultural and sociopolitical context. The dissertation focuses on the ideas and influence of three individuals who played formative roles in propelling computer education initiatives in each country: Seymour Papert in the United States, Jean-Jacques Servan-Schreiber in France, and Andrei Ershov in the Soviet Union. According to these pioneers, to become computer literate or computer cultured meant more than developing computer skills or learning how to passively use the personal computer. Each envisioned a distinctive way of incorporating the machine into the individual human’s ways of thinking and being—as a cognitive enhancement in the United States, as a culture in France, and as a partner in the Soviet Union. The resulting human-computer hybrids all demanded what I call a playful relationship to the personal computer, that is, a domain of free and unstructured, exploratory creativity. I trace the realization of these human-computer hybrids from their origins in the visions of a few pioneers to their embedding in particular hardware, software, and educational curricula, through to their development in localized experiments with children and communities, and finally to their implementation at the scale of the nation. In that process of extension, pioneering visions bumped up against powerful sociotechnical imaginaries of the nation state in each country, and I show how, as a result of that clash, in each national case the visions of the pioneers failed to be fully realized. In conclusion, I suggest ways in which the twentieth-century imaginaries of the computer literate citizen extend beyond their points of origin and connect to aspects of the contemporary constitutions of humans in the computerized world.

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