• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 14
  • 1
  • Tagged with
  • 15
  • 15
  • 11
  • 8
  • 6
  • 6
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

La signification salvifique de la mort du Christ

Bigaouette, Francine 19 November 2021 (has links)
Dans ce mémoire, nous avons voulu répondre, en nous référant à K. Rahner, F.-X. Durrwell et H. U. von Balthasar, à la question suivante: Pourquoi le Christ devait-il faire l'expérience de la mort pour accomplir notre salut? L'analyse ainsi que la synthèse des interprétations de chacun de ces auteurs, ont été élaborées en trois étapes: 1- La mort du Christ considérée dans sa réalité existentielle; 2- La mort du Christ, traduction humaine ultime de son être filial divin; 3- La signification salvifique de la mort du Christ. Cette étude nous a permis d'élaborer la synthèse suivante: En assumant, dans son obéissance filiale, l'expérience de la mort entendue non seulement comme accomplissement de la vie humaine dans l'expérience du vide de la fin corporelle, mais aussi comme solidarité psychique avec le destin eschatologique des pécheurs non rachetés, le Christ a accompli pour nous en sa personne le jugement divin sur le péché du monde, qu'impliquait notre réconciliation avec Dieu. Désormais ressuscité d'entre les morts, il peut, dans l'acte d'amour absolu que fut sa mort - et en lequel il est fixé éternellement -, se communiquer à tous les êtres humains pour qu'ils puissent, en lui, échapper au jugement et avoir de nouveau accès à la vie de Dieu.
12

The Interpretation of to einai isa theo in Phil 2:6 : "Equality with God"?

Karleen, Benjamin 22 April 2021 (has links)
Phil 2.6-11 figure parmi les passages bibliques les plus étudiés. Les exégètes ne cessent pas d'examiner l'extrait du point de vue de son origine, sa structure, son arrière-plan conceptuel, sa doctrine christologique, et son vocabulaire. La majorité des traductions anglaises rendent la phrase grecque τὸ εἶναι ἴσα θεῷ dans Phil 2.6b « to be equal with God » ou « equality with God » comme commentaire sur la nature de la relation de Jésus Christ avec Dieu le Père. Toutefois, bon nombre de facteurs suggère que cette interprétation n'est pas conforme au sens du discours. La littérature secondaire avant les années 70 démontre une tendance de lire τὸ εἶναι ἴσα θεῷ comme commentaire sur les circonstances du Christ plutôt que sur son essence ontologique. Toutefois, dans la littérature plus récente, la phrase est moins traitée, et le sens présumé est souvent celui d'égalité d'essence plutôt que circonstance. Cette thèse se veut un nouveau regard sur le sens de τὸ εἶναι ἴσα θεῷ dans son contexte et vise à avancer l'étude scientifique par une approche interdisciplinaire. Pour bien entamer l'étude de Phil 2.6, nous considérons tout d'abord le grec néotestamentaire dans le contexte de la littérature grecque générale de l'époque. Ensuite vient un survol des questions d'arrière-plan majeures nécessaire pour une compréhension juste de l'Épître aux Philippiens. Le troisième chapitre introductif décrit l'état de la recherche et de la traduction de τὸ εἶναι ἴσα θεῷ dans Phil 2.6b. Ces chapitres introductifs sont suivis d'un examen de la manière avec laquelle les Pères grecs de l'Église emploient τὸ εἶναι ἴσα θεῷ jusqu'au cinquième siècle de notre ère. Ensuite le mot grec ἴσα est étudié du point de vue morphologique, syntaxique, et sémantique avec exemples tirés de la littérature grecque. Troisièmement, nous nous penchons sur un bon nombre d'exemples de la phrase comme expression courante dans la littérature grecque à partir d'Homère jusqu'à la période byzantine. En dernier, nous considérons la manière avec laquelle ces données peuvent influencer la lecture de Phil 2.6-11 dans le contexte de la lettre. Notre conclusion affirme en bonne partie ce que disait la littéraire secondaire concernant τὸ εἶναι ἴσα θεῷ avant les années 1970, tout en offrant une gamme de données patristiques et linguistiques beaucoup plus considérable qu'auparavant. / The interpretation of Phil 2:6-11 has occupied exegetes as much as any other passage in the New Testament. Scholars continue to study the passage's origin, strophic structure, conceptual background, Christology, and vocabulary. The majority of modern translations render the Greek phrase τὸ εἶναι ἴσα θεῷ in Phil 2:6b as "to be equal with God" or more commonly "equality with God" as a comment on the nature of Jesus Christ's relationship to God the Father. A number of factors, however, would suggest that this interpretation misses the meaning of the Greek phrase. The secondary literature from before the 1970s shows a more frequent tendency to read τὸ εἶναι ἴσα θεῷ as a comment on Christ's circumstances rather than his ontological being. In the more recent literature, the phrase is treated less extensively, and the assumption is often for τὸ εἶναι ἴσα θεῷ as equality. This dissertation revisits the question of the meaning of τὸ εἶναι ἴσα θεῷ in its context and casts new light on the scholarly discussion. To set the stage for the study of Phil 2:6, we consider the nature of the Greek of the New Testament in relation to wider Greek literature. Then we survey the major background questions necessary to an accurate understanding of the letter to the Philippians in its context. Third, we survey the state of research and English translation of τὸ εἶναι ἴσα θεῷ in Phil 2:6b. These introductory chapters are followed first by an examination of the way that the Greek Fathers employed τὸ εἶναι ἴσα θεῷ during the second through fifth centuries. Second, the Greek word ἴσα is considered from morphological, syntactic, and semantic points of view with examples from the wider literature. Third, we examine an extenstive set of occurrences of ἴσα θεῷ/θεοῖς as a common collocation in Greek literature from Homer on down. Lastly, we apply the data of these areas to Phil 2:6-11 in the context of the letter. Our conclusions confirm much of what was offered in the older secondary literature, while presenting a wider range of patristic and linguistic data than had been previously brought to bear on the question of the meaning of τὸ εἶναι ἴσα θεῷ.
13

La participation à l'exercice de la charge pastorale de la paroisse : évaluation théologique du c. 517, 2 - CIC 1983

Moog, François 13 April 2018 (has links)
La part spécifique prise par certains fidèles laïcs dans la vie et la mission de l'Église requiert l'élaboration d'outils conceptuels permettant d'en rendre compte. Parmi ceux -ci, la notion de participation est souvent mise en oeuvre, notamment dans l'expression "participation à l'exercice de la charge pastorale". Le faible investissement de la théologie dans 1 analyse de la notion de participation et le contexte de crise dans lequel elle est utilisée entraînent un flou institutionnel qui invite à un travail théologique d'analyse et d'évaluation. Le point de départ de cette recherche est constituée par le c. 517 ʹ 2, seule source disponible par sa proposition de confier une "participation à l'exercice de la charge pastorale de la paroisse" à certains fidèles. L'évaluation théologique de cette participation appelle un travail généalogique à trois niveaux. Elle passe par l'histoire de la rédaction du c. 517 ʹ 2 afin de comprendre la volonté du Législateur. Elle nécessite une recherche lexicologique dans le Code de 1983 et dans les Actes de Vatican II afin de poser les bases d'une définition de la notion de participation. Elle demande une enquête historique sur l'usage de la notion de participation dans l'Église au XXe s. : dans le cadre du Mouvement liturgique ("participation des fidèles à la liturgie") et de l'Action catholique ("participation du laïcat à l'apostolat de la Hiérarchie"). Au terme, deux valeurs de la notion de participation peuvent être mises à jour: une participation mystérique à la vie et à la mission que l'Église reçoit du Christ et une participation partitive de quelques fidèles à la mission des pasteurs. Ces deux valeurs appartiennent à deux perspectives ecclésiologiques différentes, charismatique et sociétaire. Ce résultat permet une évaluation des équilibres théologiques du c.517ʹ2 et met en évidence ses limites ecclésiologiques. Il permet également des propositions concrètes pour reconnaître aux communautés chrétiennes leur statut de sujets d'action, d'initiative et de droit.
14

Le cri de déréliction de Jésus en croix : sa densité existentielle et salvifique

Bigaouette, Francine 09 July 2021 (has links)
L'objectif fondamental de cette thèse consiste à scruter le sens du cri de déréliction de Jésus en croix:« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné?» (Mc 15:34) en tant qu'expression, d'une part, de la manière dont Jésus a vécu sa mort et, d'autre part, de la puissance salvifique de cette mort. Cet objectif en inclut un autre plus spécifique, à savoir proposer une solution à la question litigieuse, telle qu'elle se présente dans la théologie contemporaine, d'une éventuelle assomption substitutive du jugement de la colère divine par Jésus dont son cri serait l'expression. Ces objectifs sont poursuivis essentiellement à partir d'une démarche d'écoute du cri de Jésus selon la tonalité de chacun des motifs du récit de la Croix dans l'évangile de Marc. Cette démarche conduit à interpréter la déréliction de Jésus non pas comme l'expression de son assomption substitutive du jugement de la colère divine, mais plutôt comme l'effet le plus éprouvant pour lui, bien qu'assumé volontairement, de l'affrontement que Dieu, conformément à la logique de son Royaume qui est celle de l'amour, a mené contre la perversité des humains en leur livrant son Fils. En cet affrontement, le jugement définitif de Dieu sur le péché a été accompli, mais en tant que procédant de son seul amour et non de sacolère.
15

Le rôle des familles dans l'expansion du christianisme au cours des deux premiers siècles : une étude socio-historique

Chamberland, Luc 03 March 2021 (has links)
À l’aide de l’approche socio-historique, cette recherche identifie la contribution des familles chrétiennes à l’expansion du christianisme au cours des deux premiers siècles. Après une première partie consacrée à l’explication du contexte social de l’époque à partir des vecteurs de la famille et des relations de patronage, ce mémoire décrit trois rôles importants joués par les familles chrétiennes : leur conversion en bloc, l’hospitalité offerte aux fidèles de passage, et la tenue d’assemblées communautaires chez elles. Ces trois rôles s’inscrivent dans une stratégie missionnaire faisant appel au patronage individuel et collectif : convertir des familles bien nanties pouvant assurer l’hébergement des chrétiens itinérants et le parrainage d’une cellule chrétienne domestique, appelée maison-église. Les fouilles archéologiques et les sources littéraires disponibles révèlent que cette structure communautaire familiale a prédominé jusqu’à la fin du IIe siècle. Enfin, une analyse attentive des sources néotestamentaires et extra-bibliques démontre que l’autorité sociale des patrons de ces maisons-églises était en tension avec l’autorité spirituelle des ministres chrétiens.

Page generated in 0.4358 seconds