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Pierre II Mignard (1640-1725) : architecte au temps de Louis XIV / Pierre II Mignard (1640-1725) : architect of Louis XIV

Justamond, Lauriane 04 December 2012 (has links)
Pierre II Mignard naquit en Avignon, terre partagée entre papauté et royauté, dans une famille d’artistes. Il fit d’abord son apprentissage de dessinateur, de copiste et de peintre auprès de son père Nicolas, avant de suivre à Paris son oncle Pierre Mignard (dit le Romain). Ce fut dans la capitale que Pierre II fit évoluer son art pictural et architectural. Il partit dans le sud de la France puis en Italie pour lever les beaux monuments antiques avant de revenir en France. Enrichi de ce qu’il avait vu et fait, il devint, en 1671, membre fondateur et Professeur de l’Académie Royale d’Architecture, l’élevant à un art sans fioriture, avec ses propres codes, des lignes pures, simples et modernes. Après plusieurs années dans la capitale, il repartit dans sa ville natale. En Avignon, il fut un architecte et un peintre très prisé, un ingénieur, cartographe, expert,médiateur passionné par son travail. Dernier artiste de génie, il laissa dans cette ville son empreinte moulée d’un art nouveau. Il fit de son style une référence et de son expérience un art. Il bâtit de riches et magnifiques demeures bourgeoises, encore visibles aujourd’hui. Cette architecture épurée plaisait à ses contemporains notables et religieux qui le considéraient comme un créateur de génie. Couronné de gloire par des titres prestigieux tel qu’Architecte du Roi ou Chevalier de l’Ordre du Christ, il fut copié par les artistes de son temps et notamment par son filleul Pierre Thibault, l’architecte Jean Baptiste Franque ou encore le peintre Joseph Péru. Trois siècles plus tard, grâce au talent de Pierre II Mignard, le coeur de la ville d’Avignon, cerné par ses remparts ressemble à un joyau dans son écrin. / Pierre II Mignard born in Avignon, a land divided between papacy and kingdom, in an artist’s family. He was formed to the drawing and the painting in his father’s studio, before he followed his uncle, Pierre Mignard (as the Roman) in Paris. It was in the capital that Pierre II upgraded his pictorial and architectural art. He went to the south of France and in Italia to draw the most beautiful antic monument after to come back in France. Enriched by all he saw and he did, he became, in 1671, a founder member and Professor of the Royal Academy of Architecture, raising it to an art without embellishment, with its owncodes, pure simple and modern lines. After several years in the capital, he came back to his natal city. In Avignon, he was a very appreciated architect and painter, a civil engineer, cartographer, expert, mediator fascinated by its work. Last genius artist, he gave to the city his stamp mould on a new art. He did to his style a reference, and to his experience an art. He built big and gorgeous residence, still visible nowadays. This refined architecture was liked by his notable and religious contemporaries who considered him like a genius creative. Wreathed with glory by prestigious title like Architect of the King or Christ’s Knight, he was reproduced and imitated by artists and notably by his godson Pierre Thibault, the architectJean-Baptiste Franque or the painter Joseph Péru. Three century later, thanks to Pierre II Mignard’s talent, Avignon’s city’s heart, surrounded by its walls look like jewel in his case.
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Du sublime dans l’œuvre gravé de Rembrandt / The sublime in Rembrandt's etched work

Charrier, Claire 13 December 2016 (has links)
Très expérimentales, les gravures de Rembrandt ont suscité l’étonnement dès son époque. Les étudier à la lumière de la tradition du sublime aide à dégager la dynamique de la pensée du graveur, tout en offrant à cette tradition l’occasion de se renouveler. Ainsi notre étude confronte l’œuvre gravée de Rembrandt à trois conceptions du sublime. Le sublime poétique de Longin, qui incite le spectateur à cultiver ses dons à l’exemple des héros antiques. Le sublime chrétien comme lien entre l’abaissement du divin et l’élévation de l’homme. Et enfin le sublime du sentiment esthétique de Burke, qui explore l’expérience de la terreur provoquée par l’obscurité. Cette confrontation est utile pour comprendre la manière dont l’image réussit à communiquer la force des passions, en conquérant son autonomie par rapport au texte. Mais la quête spirituelle de Rembrandt, qui menace d’épuiser les possibilités de son médium, constitue une mise à l’épreuve de la notion de sublime. A l’image du divin qui s’est perdu dans le sensible, Rembrandt obscurcit extrêmement ses eaux-fortes, au risque de leur faire perdre toute force d’élévation, voire toute puissance d’évocation. Le sublime ne peut plus se penser que sur le mode du retrait, voire de la disparition. Le spectateur est incité à recueillir ses traces pour devenir témoin. / In his own day, Rembrandt’s etchings had aroused surprise in his contemporaries owing to their experimental quality. To study these works in the light of the philosophical tradition of the sublime helps to bring forth the dynamics of the artist’s thought while allowing this tradition to renew itself. Thus does our study confront Rembrandt’s etchings with three conceptions of the sublime: the poetic sublime of Longinus which urges one to cultivate one’s gifts, following the examples of the heroes of the ancient world; the Christian conception of the sublime, as a link between the descent of the divine and the spiritual elevation of man; and lastly, Burke’s aesthetic concept of the sublime, which explores the experience of terror produced by obscurity. This confrontation is useful in understanding the way in which a pictorial representation can succeed in communicating the force of passions and thereby in acquiring its autonomy from the written word. Yet Rembrandt’s spiritual quest, which threatens to exhaust the possibilities of his artistic medium, puts to the test the very notion of the sublime. Mirroring the loss of divinity that follows its descent into the flesh, Rembrandt darkens his etchings to the extreme, at the risk of them losing their uplifting and even their evocative power. As a result, the sublime can no more be perceived but in its very receding and at times total withdrawal. The viewer is moved to collecting its marks and becoming its witness.

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