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Vie et système chez G.W.F. Hegel

Chaput, Emmanuel 23 February 2022 (has links)
Cette thèse s’intéresse au traitement de la notion de vie au sein du système hégélien. Que ce soit comme vie logique, organique ou comme vie de l’esprit, cette notion représente un élément structurant dans le discours philosophique de Hegel. À un point tel que l’on peut, à partir de la systématicité dynamique de la vie et du vivant tel qu’ils sont thématisés chez Hegel, penser le caractère dynamique et vivant du système hégélien. Ce faisant, nous sommes en mesure de situer l’entreprise hégélienne dans le contexte de la philosophie postkantienne visant à un renouvellement de la pratique philosophique comme philosophie vivante capable d’articuler raison spéculative et vie pratique. Cela permet également de mieux situer l’entreprise hégélienne vis-à-vis des critiques tendant à faire de son système un système clos et ossifié. Partant du système hégélien tel qu’il se présente au cours de la période berlinoise au sein de l’Encyclopédie des sciences philosophiques, nous retraçons ainsi l’entreprise hégélienne dans sa volonté de penser à la fois la vie de la pensée et la rationalité du vivant.
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La kénose du Dieu Trinité dans la théologie de la Croix de Jürgen Moltmann

Daze, Louise January 2012 (has links)
Notre travail de recherche pose la question de la présence de Dieu au coeur de la souffrance humaine. Une réponse nous est donnée dans la théologie de la Croix de Jiirgen Moltmann, théologie qui présente un Dieu qui s'abaisse, s'humilie et souffre ; un Dieu trinitaire qui, de toute éternité, par amour, se donne tout entier, porte en lui toute misère, toute souffrance, les faisant siennes jusqu'à subir volontairement l'abandon et la mort infâme sur la Croix et qui, au plus profond de la déréliction, fait surgir la vie nouvelle. C'est donc sous l'aspect de la kénose et celui de la souffrance créatrices que Dieu se révèle à nous et nous invite, à son exemple, à assumer notre propre souffrance, à nous rendre solidaires des plus malheureux, à lutter sans cesse contre le mal, la misère et l'injustice.
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Bouddhisme et christianisme chez Masao Abe dans la perspective du pur amour / Buddhism and Christianism in Masao Abe from the angle of Pure Love

Galland, Alex 11 December 2013 (has links)
L’universitaire bouddhiste japonais Masao Abe attira l’attention dans les années 1980 par des écrits comparants le bouddhisme et le christianisme, notamment les notions de « kénose » du Christ dans le christianisme et de « vacuité » dans le bouddhisme. Dès lors que nous cherchons à évaluer la validité du rapprochement fait par Abe entre « kénose » et « vacuité », il est nécessaire de questionner préalablement la conception qu’il a du concept de « vacuité ». Nous montrons que la compréhension qu’il en a est en relation constante avec la pensée du philosophe bouddhiste indien Nâgârjuna. Cela nous conduit à conclure par la négative quant à cette validité du rapprochement fait par Abe entre « kénose » et « vacuité ». Dans une deuxième partie, nous tentons de relever le défi auquel se mesure Abe de trouver un lieu de rencontre entre christianisme et bouddhisme en continuant à discuter ses écrits sur la question du moi dans la perspective du « pur amour » / The Japanese academic and Buddhist Masao Abe drew the public attention in the 1980s by comparative studies of Buddhism and Christianism, in particular through the notions of "kenosis" of Christ in Christianism and "vacuity" in Buddhism. Since we try to estimate the validity of the link made by Abe between "kenosis" and "vacuity", it is necessary to question beforehand his understanding of the concept of "vacuity". We demonstrate that his understanding of this concept is in constant relation with the thought of the Indian Buddhist philosopher Nâgârjuna. It leads us to consider negatively the validity of the link made by Abe between "kenosis" and "vacuity". In a second part, we try to take up the challenge Abe confronts himself in order to find a meeting place between Christianism and Buddhism by discussing the way he conceives the question of the self from the angle of "pure love"
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Du sublime dans l’œuvre gravé de Rembrandt / The sublime in Rembrandt's etched work

Charrier, Claire 13 December 2016 (has links)
Très expérimentales, les gravures de Rembrandt ont suscité l’étonnement dès son époque. Les étudier à la lumière de la tradition du sublime aide à dégager la dynamique de la pensée du graveur, tout en offrant à cette tradition l’occasion de se renouveler. Ainsi notre étude confronte l’œuvre gravée de Rembrandt à trois conceptions du sublime. Le sublime poétique de Longin, qui incite le spectateur à cultiver ses dons à l’exemple des héros antiques. Le sublime chrétien comme lien entre l’abaissement du divin et l’élévation de l’homme. Et enfin le sublime du sentiment esthétique de Burke, qui explore l’expérience de la terreur provoquée par l’obscurité. Cette confrontation est utile pour comprendre la manière dont l’image réussit à communiquer la force des passions, en conquérant son autonomie par rapport au texte. Mais la quête spirituelle de Rembrandt, qui menace d’épuiser les possibilités de son médium, constitue une mise à l’épreuve de la notion de sublime. A l’image du divin qui s’est perdu dans le sensible, Rembrandt obscurcit extrêmement ses eaux-fortes, au risque de leur faire perdre toute force d’élévation, voire toute puissance d’évocation. Le sublime ne peut plus se penser que sur le mode du retrait, voire de la disparition. Le spectateur est incité à recueillir ses traces pour devenir témoin. / In his own day, Rembrandt’s etchings had aroused surprise in his contemporaries owing to their experimental quality. To study these works in the light of the philosophical tradition of the sublime helps to bring forth the dynamics of the artist’s thought while allowing this tradition to renew itself. Thus does our study confront Rembrandt’s etchings with three conceptions of the sublime: the poetic sublime of Longinus which urges one to cultivate one’s gifts, following the examples of the heroes of the ancient world; the Christian conception of the sublime, as a link between the descent of the divine and the spiritual elevation of man; and lastly, Burke’s aesthetic concept of the sublime, which explores the experience of terror produced by obscurity. This confrontation is useful in understanding the way in which a pictorial representation can succeed in communicating the force of passions and thereby in acquiring its autonomy from the written word. Yet Rembrandt’s spiritual quest, which threatens to exhaust the possibilities of his artistic medium, puts to the test the very notion of the sublime. Mirroring the loss of divinity that follows its descent into the flesh, Rembrandt darkens his etchings to the extreme, at the risk of them losing their uplifting and even their evocative power. As a result, the sublime can no more be perceived but in its very receding and at times total withdrawal. The viewer is moved to collecting its marks and becoming its witness.
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Le langage théologique du Mal et du Salut dans la trilogie de Hans Urs von Balthasar. Une base pour la réflexion sur le langage de la théologie

Planchon, Félicien 08 April 2003 (has links)
Le mystère du mal – faute et/ou malheur – est la limite la plus compacte à laquelle se heurte la réflexion humaine en général et la réflexion théologique en particulier. J'ai entrepris de lire sous cet angle la trilogie de Balthasar, qui est son œuvre centrale : il s'agit de voir comment un théologien contemporain du calibre de Balthasar affronte ce mystère, et en quels termes se présentent pour lui le désir humain et l'espoir chrétien de salut. L'approche de Balthasar est phénoménologique ; mais à ce propos deux précisions s'imposent. D'une part, cette phénoménologie est théologique : l'événement de Révélation est sans analogie ; on ne peut le ranger parmi les autres phénomènes. D'autre part, une telle phénoménologie se situe au pôle positif d'un « choix fondamental ». Ce choix, qui est un leitmotiv qu'on peut suivre à la trace dans toute la trilogie, décide de l'orientation de toute vie spirituelle : ou bien l'être humain, en présence de ce qui s'offre à sa conscience connaissante, tend à se développer, s'affirmer, s'approfondir, ou bien au contraire, il se laisse saisir et emporter par le mystère de ce qu'il lui est donné de percevoir. La réflexion théologique de Balthasar a comme axe principal la kénose divine : kénose intra-trinitaire (le dépouillement mutuel des personnes divines l'une envers l'autre) ; kénose de création (Dieu posant hors de lui des créatures capables de s'opposer à lui) ; kénose d'alliance (Dieu s'impliquant dans les aléas d'une alliance avec son peuple) ; kénose révélatrice (l'Incarnation, la Passion et la mort en Croix du Verbe divin). Le thème récurrent est celui de la « non-puissance » de Dieu, de la « non-figure » du Fils ensanglanté et mourant sur la Croix. La kénose du Fils incarné s'inscrit dans une logique visionnaire, répondant à un souci obsessif de Balthasar : le souci du « salut-pour-tous ». En effet, le Fils incarné subit l'abandon du Père, jusqu'à partager l'enfermement sans issue des réprouvés éventuels: la « Descente aux Enfers », c'est l'épreuve de la « non-puissance » extrême, seule capable de délivrer l'éventuel réprouvé sans faire violence au Libre Arbitre qui, selon la doctrine, définit la dignité de la personne humaine. La théologie négative, selon Balthasar, n'est pas l'arrêt de la raison humaine devant l'infini divin qui dépasse les limites de la conscience connaissante : pour Balthasar, c'est la contemplation du mystère inconcevable de la kénose divine, de l'inimaginable dépouillement divin dans la Passion du Fils et la Descente aux Enfers. La kénose du Fils incarné, ce n'est pas un acte distinct du Dieu tout-puissant, qui se séparerait de sa toute-puissance pour rejoindre le niveau de la condition humaine : le dépouillement, la non-puissance, c'est la définition même de Dieu dans la vie trinitaire. Selon Balthasar, la Passion, la mort, l'abandon du Christ jusque dans les ténèbres de la perdition révèlent Dieu tel qu'il est de toute éternité. Percevoir le divin dans la « non-figure » du Christ en croix, c'est recevoir le don du regard simple, c'est se tenir au pôle positif du « choix fondamental » : être emporté, ravi par le mystère qui se révèle. Ainsi se définit ce que Balthasar rappelle avec insistance : l'humilité de la théologie et de son langage: l'ouverture contemplative au mystère et le respect des failles de toute construction « théo-logique », failles par lesquelles se manifeste le mystère de l'indicible, qui bouscule nos habitudes et nos représentations.

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