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Édition critique de Bacqueville de la Potherie :, Histoire de l'Amérique septentrionale, lettre XII, tome IVBouchard, Emmanuel. January 1997 (has links) (PDF)
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Technologies of remembrance, literary criticism and Duncan Campbell Scott's Indian poemsChater, Nancy January 1999 (has links) (PDF)
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The common law basis of Aboriginal entitlements to land in Canada, the law's crooked pathDonovan, Brian January 2001 (has links) (PDF)
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The struggle to defend Indian authority in the Ohio Valley-Great Lakes region, 1763-1794Fierst, John Timothy January 2001 (has links) (PDF)
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Du projet d'études au projet de vie : une analyse des parcours universitaires chez les étudiants des Premières Nations du QuébecRatel, Jean-Luc 19 June 2019 (has links)
En lien avec le contexte historique de ségrégation sociale et la visée assimilatrice de l’éducation formelle qui leur fut imposée, les Autochtones du Québec ont longtemps été exclus de l’enseignement supérieur. De nos jours, ils connaissent des taux de diplomation en constante augmentation, mais maintiennent un écart persistant par rapport à la population non autochtone. Les données recueillies auprès de 23 étudiants et diplômés universitaires des Premières Nations du Québec et de 11 professionnels travaillant auprès d’eux nous ont permis de constater un motif commun aux différents parcours scolaires : étudier en vue de contribuer à l’amélioration du mieux-être chez les Autochtones, tant dans les communautés qu’à l’extérieur. Nos objectifs généraux sont de contribuer à une meilleure connaissance du phénomène des études universitaires chez les Premières Nations du Québec et comprendre le sens conféré par les étudiants des Premières Nations du Québec à leurs parcours universitaires. Plus spécifiquement, nos objectifs de recherche visent à : 1) Comprendre le rapport à l’identité et aux cultures autochtones chez les étudiants et diplômés des Premières Nations; 2) Comprendre les principaux facteurs expliquant le passage à l’université des étudiants des Premières Nations et comment se déroulent leurs parcours; 3) Connaître les projets et réalisations des étudiants des Premières Nations en lien avec leurs études universitaires; 4) Analyser l’environnement mis en place par les universités et les pouvoirs publics pour favoriser l’intégration des étudiants autochtones à la communauté universitaire. Notre thèse explique comment les parcours scolaires des étudiants universitaires des Premières Nations du Québec sont nettement influencés par leur rapport à l’identité et aux cultures autochtones et que cette influence donne lieu à des projets d’études qui prennent la forme de projets de vie en milieu autochtone (Blaser, 2004). Ces projets sont de nature collective et visent le mieux-être des Autochtones en général en plus des étudiants eux-mêmes, que ce soit dans les communautés ou à l’extérieur. Nous expliquons aussi comment les étudiants parviennent à combiner les apports de l’éducation autochtone à ceux de l’éducation occidentale, en lien avec la conception de la décolonisation de l’éducation telle que définie par Battiste (2013). Leur rapport à l’identité et aux cultures autochtones est analysé en tenant compte des rapports de pouvoir entre la culture majoritaire québécoise, elle-même en situation de minorité dans le contexte canadien (McAndrew, 2005). C’est donc en relevant les éléments caractéristiques des faces externe et interne de leurs cultures (Juteau, 1999) que nous saisissons cette influence dans leurs parcours scolaires et, plus généralement, dans leurs vies. Les étudiants et diplômés interviewés témoignent, chacun à sa façon, de l’ancrage de leurs parcours scolaires dans le modèle de l’université comme sphère publique démocratique (Giroux, 2002) en vue de développer le mieux-être chez les Autochtones. La plupart ont connu des expériences de travail et d’implication en milieu autochtone à différents moments de leurs parcours. On constate aussi que certains ne cherchent pas à ancrer leurs études dans le modèle des projets de vie, mais qu’ils vivent alors leurs cultures dans d’autres sphères d’activités. La plupart des participants sont des étudiants dont les parents n’ont pas fréquenté l’université (de première génération) et c’est dans la transmission d’un rapport favorable à l’institution scolaire que se trouve une partie de l’explication de leur passage à l’université, en lien avec la sociologie de Lahire (1995). Notre discussion poursuit la réflexion sur l’institution universitaire elle-même et sa métamorphose ayant permis à un nombre accru d’Autochtones de la fréquenter, dans l’optique de la multiversité (Kerr, 1967). Nous défendons un modèle de campus interculturel (Tanaka, 2003) conçu comme sphère publique démocratique dans le but de mieux répondre aux défis contemporains de la diversité ethnoculturelle dans les universités québécoises. / Quebec’s Indigenous peoples have long been excluded from higher education because of the historical context of social segregation and the assimilative aim of the formal education imposed on them. Today, that population is experiencing increasing graduation rates, but they are maintaining a persistent gap with the non-Indigenous population. The data collected from 23 Quebec First Nations university students and graduates, plus 11 professionals working with them, allowed us to see a common pattern in the different school pathways: study in order to improve the well-being of Aboriginal people within and outside the communities. Research general objectives are, first, to contribute to a better knowledge of the phenomenon of university studies among the First Nations of Quebec and, second, to understand the meaning conferred by Quebec First Nations students on their university studies. Research specific objectives are to: 1) Understand the relationship to Indigenous identity and culture among First Nations students and graduates; 2) Understand the main factors explaining the transition to university of First Nations students and how their pathways go; 3) Understand the projects and achievements of First Nations students in connection with their university studies; 4) Analyze the environment offer by universities and public authorities to help the integration of Indigenous students into the university community. This thesis explains how the educational pathways of First Nations university students in Quebec are clearly influenced by their relationship to Indigenous identity and culture, and how that influence gives birth to study projects in the form of life projects in an Indigenous environment (Blaser, 2004). These projects are of a collective nature and focus on the well-being of Indigenous peoples in general, in addition to the students themselves, whether in communities or outside. I also explain how students manage to combine the contributions of Indigenous education with those of Western education, in connection with the conception of the decolonization of education as defined by Battiste (2013). Their relationship to Indigenous identity and cultures is analyzed in relation to the power relationships between the majority culture in Quebec, which is, itself, a minority in the Canadian context (McAndrew, 2005). It is therefore by identifying the characteristic elements of the external and internal faces of their cultures (Juteau, 1999) that I capture this influence in their schooling and, more generally, in their lives. The students and graduates interviewed testify, each in their own way, the anchoring of their educational backgrounds in the university model as a democratic public sphere (Giroux, 2002) in order to develop the well-being of Indigenous peoples. Most have experienced work and involvement in Indigenous communities at different points in their lives. I also note that some do not seek to anchor their studies in the model of life projects, but they, then, live their cultures in other spheres of activity. Most of the participants are students whose parents have not attended university (so-called first generation) and it is in the transmission of a favourable relation to the school institution that is part of the explanation to their transition to university, in connection with the sociology of Lahire (1995). The discussion continues to reflect on the university institution itself and its metamorphosis, which has allowed an increasing number of Aboriginal people to attend it, in relation to the idea of multiversity (Kerr, 1967). I argue for an intercultural campus model (Tanaka, 2003) designed as a democratic public sphere in order to better respond to the contemporary challenges of ethnocultural diversity in Quebec universities.
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Stratégies missionnaires des jésuites français en Nouvelle-France et en Chine au XVIIe siècleLi, Shenwen January 1998 (has links) (PDF)
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Stratégies muséales à l'égard du patrimoine amérindien : genèse de la collection amérindienne du Musée de la civilisation de QuébecRenier, Marie 17 April 2018 (has links)
La collection amérindienne du Musée de la civilisation de Québec est le résultat d'un long cheminement historique et muséologique. Elle voit le jour dès la fin du XVe siècle mais ce n'est que depuis la fin des années 80 qu'elle a rejoint son musée attitré, tout juste fondé par le ministère des Affaires culturelles pour abriter les collections ethnographiques canadiennes-françaises, amérindiennes et inuites. Ce n'est que depuis cette époque qu'elle est mise en valeur au sein d'un espace qui lui est propre. Pourtant, elle fait partie de la plus ancienne collection en Amérique du Nord, initiée par les prêtres du Séminaire de Québec, il y a plus de trois siècles. Elle sera ensuite prise en charge par l'Université Laval à des fins éducatives. Un autre noyau de cette collection sera formé par les objets recueillis aux Archives et au Musée de la Province à partir des années 30. Cependant, cette nouvelle institution nationale a pour priorité la mise en valeur de l'art canadien-français. Ce n'est que depuis 1968, après l'achat de la collection Coverdale par le ministère des Affaires culturelles, que l'ethnologie entre dans le champ du Gouvernement du Québec. Un long débat sur la place et la vocation des collections ethnographiques débute alors. D'un concept d'un Musée de l'Homme d'ici en 1979, on aboutit en 1988 à la création du Musée de la civilisation. Cet itinéraire muséal et ce processus de collectionnement seront mutuellement retracés en première partie. La seconde partie se penchera sur les pratiques muséales instituées par le musée à l'égard de ces objets. La collection Picard, issue d'une famille huronne de Lorette, sera particulièrement détaillée car son parcours retrace les différentes étapes de la vie muséale de la ville de Québec ainsi que le processus complexe d'acquisition des objets. Enfin, une analyse de l'exposition permanente "Nous les Premières Nations" au Musée de la civilisation, tentera de montrer comment les objets et leur mise en exposition génèrent de nouvelles relations entre la communauté amérindienne et muséale.
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Les Sept Nations du Canada : traditions d'alliance dans le Nord-Est, XVIIIe-XIXe siècles / Traditions d'alliance dans le Nord-Est, XVIIIe-XIXe sièclesSawaya, Jean-Pierre 24 April 2018 (has links)
L'alliance formée par la fédération des Sept Feux du Canada au XVIIIème et XIXème siècle regroupe les Amérindiens chrétiens des villages d'Oswegatchie, de Kahnawake, d'Akwesasne, de Kanehsatake, de la Pointe-du-Lac, d'Odanak, de Wôlinak, de Wendaké et de Restigouche. Les nations membres occupent collectivement un vaste territoire. La fédération unit les gouvernements de chacun des villages alliés. Les Grands Conseils politiques se déroulent dans le village iroquois de Kahnawake. Les règles, les mécanismes et les rouages établis relèvent de leurs traditions politiques et diplomatiques ancestrales. Les Sept Nations du Canada pratiquent tous les rituels politiques et suivent les protocoles diplomatiques de la conférence internationale. La fédération entretient des relations avec les autres organisations politiques du Nord-Est, la confédération des Wabanakis, la Ligue des Six Nations iroquoises, et les diverses coalitions politiques des Grands Lacs. Elle s'allie aussi aux Français et aux Anglais. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Le corps amérindien dans les relations de voyage en Nouvelle-France au XVIIIe siècle / Le corps amérindien dans les relations de voyage en Nouvelle-France au dix-huitième siècleChaffray, Stéphanie 11 April 2018 (has links)
Pendant la première moitié du XVIIIe siècle, dans la lutte hégémonique qu'elle livre à la Grande-Bretagne en Amérique du Nord, la France cherche à contrôler et à étendre son empire, et à obtenir le soutien plus que jamais vital des nations amérindiennes. Dans ce contexte, des explorateurs, des missionnaires et des militaires parcourent le territoire de la Nouvelle-France et consignent dans des relations le déroulement de leur voyage et leurs impressions sur le continent, sur les ressources disponibles, sur la faune, sur la flore, et sur les populations indigènes. Dans ces textes et dans les gravures qui les accompagnent, les Amérindiens sont abondamment représentés tant dans leur apparence physique que dans les pratiques corporelles. En analysant les représentations du corps amérindien dans les relations de voyage, cette thèse s'interroge sur l'importance de ce corps et sur sa fonction dans la construction du projet colonial. L'approche méthodologique interdisciplinaire, qui repose sur une analyse quantitative et qualitative des données et sur la confrontation du texte et de l'image, vise à saisir la complexité des perceptions des voyageurs et à les replacer dans le contexte culturel, idéologique et politique de l'époque. L'analyse révèle que ces textes, dont le but est d'informer les autorités coloniales et de les encourager à investir dans les colonies, véhiculent des représentations du corps qui permettent de consolider le lien colonial, ce qui est fondamental à une époque où les relations militaires et commerciales avec les Amérindiens représentent un enjeu considérable. Par des descriptions et une iconographie percutantes, les relations de voyage servent à mettre l'autre à distance pour penser sa colonisation. Ces représentations permettent aussi aux Français de connaître certaines pratiques corporelles leur permettant de s'adapter et de faire progresser le processus de colonisation. Il en ressort une image du corps à la fois riche et complexe, utilisée dans un but pragmatique. Les représentations du corps amérindien sont donc bien plus que de simples images destinées à divertir un public avide d'exotisme, ou des instruments de propagande : elles sont nécessaires pour penser l'autre et pour construire des stratégies de développement du lien colonial. / Eighteenth-century travel accounts in New France describe the Native body abundantly. By analyzing these documents - mostly created for colonial or ecclesiastical authorities - this study shows that the textual and iconographic representations of the body play an active role in France's imperial project. Knowledge of the Amerindian body, made it possible to maintain French-Native alliances, which were essential to the empire, and to reinforce the colonial bond. These representations also aimed to position the 'Other' remotely, in order to contemplate the colonization process. It appears that the French images of Aboriginal bodies were rich and complex and were much more than simple metaphors, mirrors of oneself, or tools of propaganda; instead, they created the possibility to act out the French colonial reality.
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Histoire des amérindiens, du Saint-Maurice jusqu'au Labrador : de la préhistoire à 1760Parent, Raynald 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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