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Ceux qui "font" le journal : journalistes secrétaires de rédaction et ouvriers typographes à l'interface de la matérialité de l'information en presse quotidienne régionale / The newspaper “makers” : sub-editors and typographers at the of crossroads of information materiality in regional daily press

Langonné, Joël 14 December 2016 (has links)
Cette recherche pose une question simple : Qui fait quoi dans le journal ? Nous y répondons partiellement en nous focalisant sur un domaine spécifique du continuum de fabrication de l’information : le prépresse. Il s’agit du moment où l’information fournie par les journalistes rédacteurs est matérialisée, dessinée par les journalistes secrétaires de rédaction (SR) dans les pages du quotidien. Cet espace nous permet de mettre en avant un collectif singulier dans le journal. Car jusqu’à la fin des années 1990 et la numérisation totale de la chaine de fabrication des quotidiens, les SR ne sont pas seuls responsables du prépresse, ils coopèrent quotidiennement avec des ouvriers : les typographes. Ainsi, SR et typographes « font » le journal ensemble. Or, nous considérons que ces gens sont à ce qu’ils font de manière distincte, et par conséquent nous nous attachons à décrire qui fait quoi comment. C’est-à-dire que nous observons ce qui est à faire – le journal – en étant attentif à la manière dont journalistes et ouvriers se lient ou non pour y parvenir. Cette étude de qui fait quoi comment dans le journal se décline en trois temps. Nous tentons tout d’abord de comprendre De quoi est fait le monde des typographes (1) : Quels sont leurs appuis pour composer leur goût pour être à ce qu’ils font ? Dans quoi peuvent-ils puiser pour être typographes comme ils l’entendent ? Nous nous demandons ensuite, de la même manière, De quoi est fait le monde des SR (2) ? Quel est l’équipement des SR pour composer leur monde ? Dans quels scripts peuvent-ils puiser pour être SR au mieux des possibles ? Ce parallèle entre ces journalistes particuliers et ces ouvriers pas comme les autres nous amène à élaborer le troisième volet de ce travail : SR et typographes composent-ils un monde commun (3) ? Il s’agit de déterminer si les frottements continus de ces deux manières d’être au monde partagent certains attachements. Nous présentons quelques exemples qui suggèrent qu’un monde commun a pu exister à certaines époques et de manière non linéaire, entre SR et typographes. À partir de notre terrain, nous débusquons des parcelles de ce monde commun grâce à un médiateur spécifique : la maquette du journal.Finalement, en décrivant qui fait quoi comment dans le journal via ce qui se passe à l’interface de sa matérialité, nous découvrons un objet collectif travaillé par un grand nombre de gens et de choses. Chaque jour, le journal est suffisamment flexible pour que s’y expriment différentes présences au monde, et suffisamment solide pour (con)tenir l’expression de son énonciation collective. / To the simple question Who does what in a newspaper? this study – partially – answers by focusing on a particular aspect of the continuum of information production: the prepress – where the information provided by journalists is laid out and designed by sub-editors. This approach enables us to shed light on a unique collective of the newspaper. Indeed, until the end of the 90’s and the generalization of digitalization in the production lines of daily newspapers, sub-editors share their responsibilities and collaborate on a daily basis with a particular type of blue-collar workers: the typographers. In our opinion, sub-editors and typographers make the newspaper together, and in their own respective ways. How? What is there to do to make a newspaper, and how do – or don’t – journalists and blue-collars bind themselves to achieve their common goal?Our analysis of Who does what and how in a newspaper is divided into three parts. In a first part we describe The world of typographers (1). What supports do they lean on to work with their taste? What resources do they draw on to display their skills? In a similar way, in a second part we analyze The world of sub-editors (2). What is it made out of? What scripts do sub-editors turn to to perform at their best? A third part is dedicated to establishing parallels between these two distinctive worlds, wondering Do sub-editors and typographers form a common world (3)? Do these two ever-connected worlds share common bonds? The examples we present suggest that common worlds have existed at certain times and in non-linear ways. Our fieldwork provides us with fragments of this common world within a specific mediator: the layout.The description of who does what and how in a newspaper via what takes place at the crossroads of its material form enables us to reveal a collective object elaborated by a number of different people and things. Every day, newspapers are flexible enough to allow different perceptions to express themselves, and rigid enough to carry a collective formulation.
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Essais en microéconomie financière et appliquée / Essays in financial and applied microeconomics

Demarquette, Maximilien 17 February 2016 (has links)
Cette thèse est composée de trois articles indépendants qui ont pour trait commun d’analyser le comportement d’investisseurs et de firmes en situation de concurrence imparfaite. Nous considérons d’abord un modèle de marché financier à la Kyle (1985) où les investisseurs peuvent produire soit un signal (fondamental) sur la valeur d’un actif risqué, soit un signal (non-fondamental) sur la demande aléatoire des noise traders. Nous montrons que réduire le coût du signal non-fondamental détériore l’efficience informationnelle du prix du titre et,sous certaines conditions, le bien-être des noise traders. Nous étendons ensuite le modèle au cas où les investisseurs non-fondamentalistes soumettent des ordres à cours limité. Leur activité s’apparente alors à du “front running”. Par ce biais, nous enrichissons nos résultats et montrons que l’effet potentiellement néfaste de l’accès à l’information non-fondamentale persiste.Nous considérons ensuite un marché à la Kyle (1985) où des agents non informés échangent pour un motif de partage de risque avec des investisseurs répartis sur un réseau.Ces derniers partagent leurs signaux avec leurs contacts, ce qui formalise une meilleure diffusion de l’information. Nous évaluons alors l’effet de cette hypothèse sur deux critères: le profit spéculatif et l’espérance d’utilité des agents non informés qui mesure l’efficacité du partage de risque sur le marché. Nous montrons que l’ajout du réseau peut simultanément améliorer ces deux critères ainsi que l’efficience informationnelle du prix. Un résultat original qui ne peut pas être obtenu sans l’ajout du réseau. Enfin, nous caractérisons la coopération graduelle entre deux firmes concurrentes de tailles différentes incapables de contracter et dont les contributions sont irréversibles. Nous montrons que l’asymétrie entre les deux firmes ralentit fortement le processus de collaboration,ce qui souligne l’importance des arrangements contractuels dans certaines situations. Nous montrons aussi qu’un renforcement de la concurrence entre les deux firmes peut nuire au bien-être social en réduisant leur capacité à collaborer. / This thesis contains three distinct papers related to the behavior of investors or firms acting under imperfect competition. First, we consider a Kyle’s (1985) model where investors can produce either a (fundamental) signal on the value of the risky asset, or a (non fundamental)signal on the forth coming demand from noise traders. We show that reducing the cost of the non-fundamental signal worsens price informativeness as well as the welfare of noise traders under some conditions. Then, we extend the model by allowing non fundamental traders to submit limit orders. Their activity is then analogous to front running. By this mean, we enrich our results and show that the potentially detrimental effect of non-fundamental information still pertains. Then, we consider a market à la Kyle (1985) where uninformed hedgers trade for risk sharing purposes with investors located on a network, who share their signal with their“contacts”. This hypothesis formalizes a better diffusion of information. We evaluate its effect on speculative gains and hedgers’ expected utility which depends on the risk sharing role of the market. We show that the introduction of the network might simultaneously improve these two welfare measures as well as price informativeness. An original result that cannot be obtained otherwise. Finally, we consider a contribution game between two competitors of different sizes. We obtain the value of their (irreversible) contributions during each period of the game. We show that the asymmetry between the two firms strongly slowers the collaboration process,high lighting the importance of contractual arrangements in some circumstances. Also, we obtain that increasing competition might be detrimental to social welfare, because it harms the ability of the two firms to set up a mutually beneficial process of collaboration.
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Internet democracy : the political science and computer science of direct democracy at the large scale / La démocratie par internet : la science politique et l'informatique au service d'une démocratie directe à grande échelle

Boufoy-Bastick, Zacharyas Amaury 05 December 2014 (has links)
La démocratie représentative souffre de nombreuses lacunes qui remettent en question la légitimité même des gouvernements démocratiques modernes. Tandis que la représentation directe pourrait théoriquement éliminer ces incongruités, elle a jusqu'à présent été considérée comme irréalisable en raison de limitations spatio-temporelles. Cette thèse adresse ces problèmes en introduisant le concept de Démocratie Internet - distinct de l’e-démocratie et de l’e-gouvernement existant. La Démocratie Internet consiste à cerner la représentation démocratique de telle manière qu’elle puisse être opérationnalisée par le biais de l’informatique. Pour ce faire, cette thèse remonte d'abord aux problèmes de la démocratie et de la représentation indirecte dans ses principes premiers, et propose une nouvelle approche (structurelle symbiotique) à l'application de l'Internet pour la démocratie. Ensuite, elle montre que la Démocratie Internet peut fonctionner grâce à l'analyse des données collectées passivement sur l'accès et la production de l’information. Enfin, elle offre de nombreuses contributions à l’informatique, qui jusqu’alors était limitée dans la précision de l'analyse des sentiments. La thèse développe une Proposition d’Opinion Asymétrique (AOP) et l’applique à un nouveau concept de ‘Espace des Sentiments’; elle développe également la première base de données assez nuancée pour l'analyse des sentiments; et elle utilise l'Espace de Sentiment afin de développer la méthode de calcul originale «Split-Fit » qui accroît la précision de l’apprentissage automatique. / Representative democracy suffers from numerous shortcomings that are so significant they bring into question the very legitimacy of modern democratic governments. While direct representation might theoretically eliminate these multiple defects, it has until now been considered unworkable due to limitations of space and of time. This thesis addresses these deficiencies by introducing Internet Democracy, which is distinct from existing e-democracy and e-government. Internet Democracy is an operational, computational formulation of democratic representation. To support this contribution, this thesis first derives the problems of democracy and indirect representation from first principles. It then proposes a new approach (the symbiotic structural approach) which applies the Internet to democracy. It then supports the proposition that Internet Democracy can operate through the analysis of passively collected data on information access and on information production (for instance, using sentiment analysis). Finally, it makes numerous topical contributions to computer science based on the observation that sentiment analysis hits a ceiling of accuracy which cannot currently be transcended. These contributions range from suggesting an Asymmetric Opinion Proposition (AOP) and applying this to a Sentiment Space describing the computational structure of sentiment; developing the first extremely fine-grained dataset for sentiment analysis; and applying Sentiment Space to develop the original ‘Split-Fit’ computing method which increases the accuracy of machine learning based Sentiment Analysis.

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