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Invented Spelling in Arabic: What Do United Arab Emirates (U.A.E.) Sixth Grade Students Know about Arabic Spelling

Aljelajel Almazroui, Karima Matar January 2006 (has links)
This study explores invented spelling in Arabic. Since spelling in the United Arab Emirates (UAE) is taught through dictation and composition, this study explores and compares spelling inventions that occur in students' writing in each context. Samples of dictation and composition were collected from three sixth grade classrooms taught by UAE teachers. In addition, this study aimed to investigate what sixth grade students in the (UAE) know about Arabic spelling. A number of features were examined to explore the participants' knowledge and use of certain Arabic spelling rules. Spelling inventions were categorized into three linguistic levels for analysis: 1) phonological level, 2) grammatical level, and 3) orthographic level to answer three of the research question. The findings of student's spelling inventions in their compositions were compared to those found in dictation. Interviews were also conducted to supplement written samples, and to study what sixth grade students report that they do when Arabic standard spelling in unknown. In practice, this study will serve Arabic teachers in the Arabic world as a resource in teaching, evaluating, and understanding invented spelling. Students' invented spellings must be seen as opportunities to contribute actively to their own learning. By combining an understanding of invented spelling with formal spelling instruction, teachers will develop more effective spelling instructions. Findings included: sixth grade students' spelling inventions that occurred in dictations reflected the phonological level primarily; writing compositions drew students' attention to meaning making rather than writing every word accurately; students wrote spontaneously and used their knowledge of information, poems, Koran and Hadith in their compositions. When standard spelling in unknown, students reported that they have many strategies to overcome spelling difficulties such as sounding out, asking for help, visualization, etc. However, they do not advise other students who have spelling difficulties to use the same techniques they use in the same order.
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La syllabe dans l'écriture inventée en français / The syllable in the invented spelling in French

Bina, Dominique 18 November 2011 (has links)
L’objectif général de cette thèse est d’étudier le rôle de la syllabe dans l’entrée dans l’écrit des élèves de grande section de maternelle par le biais d’une tâche d’écriture inventée. Il s’agit tout d’abord d’examiner les pratiques didactiques des enseignants de grande section à l’aide d’un questionnaire portant les unités de langues les plus employées dans la découverte de la langue (lettre/son, syllabe et mot) et dans les domaines d’activités de la lecture, de l’écriture et de l’oral. Les résultats obtenus montrent que l’unité la plus employée en lecture et en écriture est le mot, alors que l’unité de l’oral est la syllabe. Partant de ce constat, nous avons cherché à connaître l’impact que pourrait avoir un travail oral basé sur la syllabe sur les productions écrites des élèves. L’ensemble des données obtenues est en faveur de l’hypothèse selon laquelle les élèves prennent en compte des éléments de l’oral (lettre, son, syllabe) pour coder des énoncés oraux à l’écrit. De plus, les résultats montrent l’usage de six traitements qui sous-tendent l’entrée dans l’écrit démontrant que ce n’est pas un processus unique et que de nombreux paramètres peuvent conduire l’élève à traiter un énoncé oral de diverses manières. Dans une dernière partie, nous avons mené une étude de didactique expérimentale basée sur la syllabe orale dans le but d’observer les effets d’un entraînement régulier à la syllabe orale sur les productions écrites des élèves. Les résultats ne permettent pas de valider l’hypothèse selon laquelle la syllabe serait l’unité pivot de l’entrée dans l’écrit en grande section de maternelle, mais montrent néanmoins certains effets de l’intervention.L’objectif général de cette thèse est d’étudier le rôle de la syllabe dans l’entrée dans l’écrit des élèves de grande section de maternelle par le biais d’une tâche d’écriture inventée. Il s’agit tout d’abord d’examiner les pratiques didactiques des enseignants de grande section à l’aide d’un questionnaire portant les unités de langues les plus employées dans la découverte de la langue (lettre/son, syllabe et mot) et dans les domaines d’activités de la lecture, de l’écriture et de l’oral. Les résultats obtenus montrent que l’unité la plus employée en lecture et en écriture est le mot, alors que l’unité de l’oral est la syllabe. Partant de ce constat, nous avons cherché à connaître l’impact que pourrait avoir un travail oral basé sur la syllabe sur les productions écrites des élèves. L’ensemble des données obtenues est en faveur de l’hypothèse selon laquelle les élèves prennent en compte des éléments de l’oral (lettre, son, syllabe) pour coder des énoncés oraux à l’écrit. De plus, les résultats montrent l’usage de six traitements qui sous-tendent l’entrée dans l’écrit démontrant que ce n’est pas un processus unique et que de nombreux paramètres peuvent conduire l’élève à traiter un énoncé oral de diverses manières. Dans une dernière partie, nous avons mené une étude de didactique expérimentale basée sur la syllabe orale dans le but d’observer les effets d’un entraînement régulier à la syllabe orale sur les productions écrites des élèves. Les résultats ne permettent pas de valider l’hypothèse selon laquelle la syllabe serait l’unité pivot de l’entrée dans l’écrit en grande section de maternelle, mais montrent néanmoins certains effets de l’intervention. / The aim of this thesis is to study the role of syllable at early learning of writing for kindergarten pupils by the means of an invented spelling task. First of all, in fields of activities such as reading, writing and oral examination, it is a matter of examining the didactic practices of kindergarten teachers thanks to a questionnaire carrying the most employed units used in the discovery of languages (letter/sound, syllable and word). The results show that the most employed unit in reading and writing activities is the word, whereas the unit of the oral examination is the syllable. On the basis of this report, we sought to know the impact of an oral work based on the syllable, upon pupils’ written productions. All obtained data is in favor of the assumption according to which, the pupils take into account elements of the oral examination (letter, sound, and syllable) to code oral statements in their writings. Moreover, results show the use of six treatments, which underlie the early learning of writing, and show that it is not a single process, and that many parameters can lead the pupil to treat an oral statement in various ways. Eventually, we conducted a study of experimental didactic work based on the oral syllable, aiming to observe the effects of a regular training for oral syllable upon the written productions of the pupils. The results do not make it possible to validate the assumption according to which, the syllable would be the pivot unit of the entrance in writing at kindergarten, but nevertheless show certain effects of the intervention.
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Facteurs cognitifs liés à l'acquisition du lexique orthographique

Stanké, Brigitte 08 1900 (has links)
La présente thèse a pour objectif d’étudier le rôle des facteurs cognitifs (traitement phonologique et visuoattentionnel et mémoire lexicale orthographique) dans l’acquisition des connaissances orthographiques implicites et explicites. Afin d’examiner les liens entre les différents facteurs cognitifs et les connaissances orthographiques, une étude longitudinale a été réalisée à l’aide d’un échantillon de 338 enfants suivis de la maternelle 5 ans à la fin de la deuxième année du primaire. À la fin de la maternelle, les enfants ont été évalués à l’aide d’une épreuve d’orthographe approchée et d’épreuves évaluant les facteurs cognitifs en jeu dans l’apprentissage du langage écrit (traitement phonologique, traitement visuoattentionnel et mémoire à court et à long terme). Les connaissances lexicales orthographiques explicites de ces mêmes enfants ont été évaluées en fin de première et de deuxième années. Le premier article de cette thèse rapporte les données d’une étude réalisée auprès des enfants scolarisés en maternelle 5 ans. Cette étude vise l’établissement d’un lien entre, d’une part, la capacité de traitement phonologique, visuoattentionnel et de mémoire lexicale orthographique et, d’autre part, les connaissances orthographiques implicites des enfants qui n’ont pas encore eu d’enseignement formel de l’écriture. Les résultats indiquent que, contrairement à ce qui a été longtemps avancé, la capacité de traitement phonologique n’est pas le seul facteur cognitif à intervenir, puisque la capacité de mémoire lexicale orthographique à long terme ainsi que la capacité visuoattentionnelle contribuent de façon importante et indépendante à l’acquisition des connaissances orthographiques implicites des enfants de la maternelle 5 ans. La mémoire lexicale orthographique est même le facteur qui apporte la plus forte contribution. La deuxième étude de cette thèse vise à déterminer, parmi les facteurs cognitifs évalués en maternelle, celui ou ceux qui permettent de prédire les connaissances orthographiques explicites ultérieures, c'est-à-dire celles de première et de deuxième années du primaire. Les résultats de cette deuxième étude indiquent que les préalables nécessaires à l’acquisition des connaissances orthographiques lexicales sont les capacités de traitement phonologique ainsi que les capacités de la mémoire à court et à long terme. La troisième étude de cette thèse a pour but de mettre en lumière le rôle prédictif que joue le niveau des connaissances orthographiques des enfants de maternelle quant au niveau ultérieur de leurs connaissances orthographiques en première et deuxième années, en lien avec les capacités cognitives qui sous-tendent l’apprentissage du langage écrit, en particulier le traitement phonologique, le traitement visuoattentionnel et la mémoire lexicale orthographique. Les résultats de cette dernière étude permettent de montrer que, parmi les facteurs évalués en maternelle, le niveau des connaissances orthographiques implicites apporte une contribution unique à l’ensemble du niveau des connaissances orthographiques ultérieures. L’influence des connaissances orthographiques précoces sur l’acquisition ultérieure n’est pas surprenante. En effet, la première étude avait montré que le niveau de ces connaissances est fonction non seulement de la capacité de mémoire orthographique lexicale mais également de la capacité de traitement phonologique et visuottentionnel. Les résultats issus de ces trois études présentent un intérêt non négligeable dans la compréhension de l’acquisition du langage écrit. En effet, ces recherches ont permis de montrer qu’avant même l’apprentissage formel de l’écrit, l’enfant témoigne de connaissances implicites non négligeables sur la langue écrite et que c’est à partir de ces connaissances que s’élaboreront ses connaissances explicites ultérieures. Ces connaissances sont tributaires de multiples facteurs parmi lesquels la capacité de mémoire lexicale orthographique, facteur cognitif dont la contribution n’avait pas été démontrée jusqu’à présent. Les résultats de cette recherche montrent qu’il est possible d’envisager des outils de dépistage précoce qui permettront d’identifier les enfants à risque de présenter des difficultés spécifiques d’apprentissage du langage écrit. Ce dépistage permettrait de mettre en place des interventions mieux ciblées et précoces, ce qui réduirait ainsi l’impact des difficultés sur les apprentissages scolaires. / The objective of the present thesis was to study the relation between cognitive factors (phonological treatment, visuo-attentional and lexical orthographic memory) and the acquisition of implicit and explicit orthographic knowledge. A longitudinal study was conducted on a sample of 338 children from the kindergarten to their second year of primary schooling. At the end of kindergarten, the tasks were an invented spelling test and tests assessing the cognitive factors at issue in the apprenticeship of written speech (phonological treatment, visuo-attentional treatment and short and long term memory). The lexical explicit orthographic knowledge of these same children was evaluated at the end of their first and second year of school. The objective of the first study was to establish a link between the phonological treatment, visuo-attentional and orthographic lexical memory abilities and implicit orthographic knowledge of the children, before their formal apprenticeship of written speech. The results showed that, contrary to what was long been advanced, the phonological treatment is not the only cognitive factor into play since the long term orthographic lexical memory ability as well as the visuo-attentional ability properly and independently contribute to the acquisition of orthographic knowledge. The orthographic lexical memory is the factor which provides the strongest contribution. The aim of the second study was to determine which cognitive factors assessed in kindergarten predict the subsequent explicit orthographic knowledge in first and second grades. The results showed that the necessary conditions to the acquisition of lexical orthographic knowledge are phonological treatment ability, as well as short and long term memory abilities. The goal of third article was to bring to light the predictive role played by the spelling knowledge of kindergarten children to their orthographical knowledge in first and second grades, in connection with the cognitive abilities which are at the root of the apprenticeship of the written spelling, more particularly the phonological treatment, the visuo-attentional treatment and orthographic lexical memory. The regressive analyses showed that, among the factors investigated in kindergarten, the implicit orthographical knowledge brings a unique contribution to the subsequent spelling knowledge evaluated by different orthographic tasks in first and second grades. The important impact of early orthographical knowledge on the subsequent acquisition is not surprising because the first study proved that this knowledge is not only depending on the capability of lexical orthographical memory but also on the capability of phonological treatment. The results coming from those three articles present a non-negligible interest in the understanding of the acquisition of the written speech. Indeed, these studies permitted to prove that, even before the formal apprenticeship of the writing, the child shows a genuine implicit knowledge of the written language. Moreover, and it is from this knowledge that the subsequent explicit knowledge will be built up. This knowledge is dependent upon multiple factors among which are the ability of orthographic lexical memory, a cognitive factor whose contribution was not yet proven. The results of this research showed that it is possible to consider early screening measures in order to identify children susceptible to present specific apprenticeship difficulties in the written language. This screening would allow an early and better targeted intervention, which would then reduce the impact of difficulties on the academic apprenticeships.
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Facteurs cognitifs liés à l'acquisition du lexique orthographique

Stanké, Brigitte 08 1900 (has links)
La présente thèse a pour objectif d’étudier le rôle des facteurs cognitifs (traitement phonologique et visuoattentionnel et mémoire lexicale orthographique) dans l’acquisition des connaissances orthographiques implicites et explicites. Afin d’examiner les liens entre les différents facteurs cognitifs et les connaissances orthographiques, une étude longitudinale a été réalisée à l’aide d’un échantillon de 338 enfants suivis de la maternelle 5 ans à la fin de la deuxième année du primaire. À la fin de la maternelle, les enfants ont été évalués à l’aide d’une épreuve d’orthographe approchée et d’épreuves évaluant les facteurs cognitifs en jeu dans l’apprentissage du langage écrit (traitement phonologique, traitement visuoattentionnel et mémoire à court et à long terme). Les connaissances lexicales orthographiques explicites de ces mêmes enfants ont été évaluées en fin de première et de deuxième années. Le premier article de cette thèse rapporte les données d’une étude réalisée auprès des enfants scolarisés en maternelle 5 ans. Cette étude vise l’établissement d’un lien entre, d’une part, la capacité de traitement phonologique, visuoattentionnel et de mémoire lexicale orthographique et, d’autre part, les connaissances orthographiques implicites des enfants qui n’ont pas encore eu d’enseignement formel de l’écriture. Les résultats indiquent que, contrairement à ce qui a été longtemps avancé, la capacité de traitement phonologique n’est pas le seul facteur cognitif à intervenir, puisque la capacité de mémoire lexicale orthographique à long terme ainsi que la capacité visuoattentionnelle contribuent de façon importante et indépendante à l’acquisition des connaissances orthographiques implicites des enfants de la maternelle 5 ans. La mémoire lexicale orthographique est même le facteur qui apporte la plus forte contribution. La deuxième étude de cette thèse vise à déterminer, parmi les facteurs cognitifs évalués en maternelle, celui ou ceux qui permettent de prédire les connaissances orthographiques explicites ultérieures, c'est-à-dire celles de première et de deuxième années du primaire. Les résultats de cette deuxième étude indiquent que les préalables nécessaires à l’acquisition des connaissances orthographiques lexicales sont les capacités de traitement phonologique ainsi que les capacités de la mémoire à court et à long terme. La troisième étude de cette thèse a pour but de mettre en lumière le rôle prédictif que joue le niveau des connaissances orthographiques des enfants de maternelle quant au niveau ultérieur de leurs connaissances orthographiques en première et deuxième années, en lien avec les capacités cognitives qui sous-tendent l’apprentissage du langage écrit, en particulier le traitement phonologique, le traitement visuoattentionnel et la mémoire lexicale orthographique. Les résultats de cette dernière étude permettent de montrer que, parmi les facteurs évalués en maternelle, le niveau des connaissances orthographiques implicites apporte une contribution unique à l’ensemble du niveau des connaissances orthographiques ultérieures. L’influence des connaissances orthographiques précoces sur l’acquisition ultérieure n’est pas surprenante. En effet, la première étude avait montré que le niveau de ces connaissances est fonction non seulement de la capacité de mémoire orthographique lexicale mais également de la capacité de traitement phonologique et visuottentionnel. Les résultats issus de ces trois études présentent un intérêt non négligeable dans la compréhension de l’acquisition du langage écrit. En effet, ces recherches ont permis de montrer qu’avant même l’apprentissage formel de l’écrit, l’enfant témoigne de connaissances implicites non négligeables sur la langue écrite et que c’est à partir de ces connaissances que s’élaboreront ses connaissances explicites ultérieures. Ces connaissances sont tributaires de multiples facteurs parmi lesquels la capacité de mémoire lexicale orthographique, facteur cognitif dont la contribution n’avait pas été démontrée jusqu’à présent. Les résultats de cette recherche montrent qu’il est possible d’envisager des outils de dépistage précoce qui permettront d’identifier les enfants à risque de présenter des difficultés spécifiques d’apprentissage du langage écrit. Ce dépistage permettrait de mettre en place des interventions mieux ciblées et précoces, ce qui réduirait ainsi l’impact des difficultés sur les apprentissages scolaires. / The objective of the present thesis was to study the relation between cognitive factors (phonological treatment, visuo-attentional and lexical orthographic memory) and the acquisition of implicit and explicit orthographic knowledge. A longitudinal study was conducted on a sample of 338 children from the kindergarten to their second year of primary schooling. At the end of kindergarten, the tasks were an invented spelling test and tests assessing the cognitive factors at issue in the apprenticeship of written speech (phonological treatment, visuo-attentional treatment and short and long term memory). The lexical explicit orthographic knowledge of these same children was evaluated at the end of their first and second year of school. The objective of the first study was to establish a link between the phonological treatment, visuo-attentional and orthographic lexical memory abilities and implicit orthographic knowledge of the children, before their formal apprenticeship of written speech. The results showed that, contrary to what was long been advanced, the phonological treatment is not the only cognitive factor into play since the long term orthographic lexical memory ability as well as the visuo-attentional ability properly and independently contribute to the acquisition of orthographic knowledge. The orthographic lexical memory is the factor which provides the strongest contribution. The aim of the second study was to determine which cognitive factors assessed in kindergarten predict the subsequent explicit orthographic knowledge in first and second grades. The results showed that the necessary conditions to the acquisition of lexical orthographic knowledge are phonological treatment ability, as well as short and long term memory abilities. The goal of third article was to bring to light the predictive role played by the spelling knowledge of kindergarten children to their orthographical knowledge in first and second grades, in connection with the cognitive abilities which are at the root of the apprenticeship of the written spelling, more particularly the phonological treatment, the visuo-attentional treatment and orthographic lexical memory. The regressive analyses showed that, among the factors investigated in kindergarten, the implicit orthographical knowledge brings a unique contribution to the subsequent spelling knowledge evaluated by different orthographic tasks in first and second grades. The important impact of early orthographical knowledge on the subsequent acquisition is not surprising because the first study proved that this knowledge is not only depending on the capability of lexical orthographical memory but also on the capability of phonological treatment. The results coming from those three articles present a non-negligible interest in the understanding of the acquisition of the written speech. Indeed, these studies permitted to prove that, even before the formal apprenticeship of the writing, the child shows a genuine implicit knowledge of the written language. Moreover, and it is from this knowledge that the subsequent explicit knowledge will be built up. This knowledge is dependent upon multiple factors among which are the ability of orthographic lexical memory, a cognitive factor whose contribution was not yet proven. The results of this research showed that it is possible to consider early screening measures in order to identify children susceptible to present specific apprenticeship difficulties in the written language. This screening would allow an early and better targeted intervention, which would then reduce the impact of difficulties on the academic apprenticeships.
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Étude de l’appropriation de l’orthographe française langue seconde/étrangère d’élèves arabophones du secondaire en Égypte

Ahmed, Doaa M. H. 01 1900 (has links)
La présente recherche vise à décrire le développement orthographique des élèves arabophones de 1re année du secondaire en Égypte au début de l’apprentissage du français langue étrangère. Les recherches égyptiennes qui concernent le français écrit se sont préoccupées des erreurs grammaticales commises par les élèves. À notre connaissance, il n’existe pas d’études relatives à l’appropriation de l’orthographe française menée auprès de ces élèves. Afin de combler ce vide, nous avons souhaité apporter un éclairage sur les compétences orthographiques des élèves en essayant d’éclairer la documentation de ces compétences en français écrit par la mise en relation avec celle de jeunes enfants arabophones qui apprennent le français L2 au préscolaire lors de leur séjour au Québec. Afin d’atteindre nos objectifs, nous avons soumis 30 élèves arabophones du secondaire à une épreuve d’orthographes approchées à quatre reprises. Celle-ci s’est déroulée dans le cadre d’un entretien semi-structuré individuel dans lequel les élèves ont été invités à produire des mots et une phrase. L’analyse descriptive et statistique de la production écrite des sujets a permis d’observer trois types de préoccupations écrites : visuographiques, phonologiques et orthographiques. D’autre part, leurs écrits ont témoigné d’un transfert langagier de l’arabe L1 et de l’anglais LE, qui était parfois positif, d’autres fois négatif. Les résultats ont, enfin, révélé que les élèves ont utilisé trois stratégies, lexicale, phonologique et analogique, lors de leurs productions. En outre, une étude de cas multiples exploratoire avec quatre enfants arabophones du préscolaire au Québec a été effectuée. Ces derniers ont été individuellement invités à produire des mots et une phrase en français et en arabe. De manière exploratoire, nous avons mis en relation l’appropriation de l’écrit des élèves du secondaire et celle des enfants du préscolaire en français et en arabe, ce qui nous a permis de vérifier l’effet de l’âge sur le développement orthographique et sur le transfert langagier chez les apprenants. Les résultats obtenus indiquent que la performance écrite des élèves du secondaire était significativement plus réussie que celle des enfants du préscolaire et que les premiers étaient les plus susceptibles de produire un transfert langagier. Ainsi, l’âge de l’apprenant peut avoir un impact sur l’appropriation de l’écrit ainsi que sur le transfert langagier en français langue seconde/étrangère. Finalement, au-delà de son apport scientifique et pratique, la présente recherche propose des pistes de recherches futures. / The aim of this research was to assess French language-spelling development for the first year Arabic language-speaking students of the Secondary Schools in Egypt. These students were studying “French” as a foreign language. Previous studies performed in Egypt addressed the grammatical errors committed by these students in the field of “written French language”. To date, and to the best of our knowledge, there are no available studies addressing the issue of “French language-spelling development”. To fill this gab in literature, we examined the spelling competence of the students. We evaluated the features of the French language - spelling development for the first year Arabic language - speaking students in Secondary schools in Egypt. Also, we examined the relationships between these features and corresponding features in French and Arabic language development for preschool Arabic language-speaking children in Quebec. To achieve our goals, 30 students of the first year Arabic language-speaking students in Secondary schools in Egypt underwent a test of invented spelling, through semi-structured interview. The test was repeated four times on different occasions. During the test, the students were asked (on individual basis) to produce some writings (French language). The results of these tests raised three writing features, namely: visuographic, phonological and orthographic concerns. Moreover, their writings showed a language transfer produced from both Arabic as a mother language and English as a foreign language. Our findings revealed that, during writing, students have employed three strategies: lexical, phonological and orthographic. In addition, a multiple case study exploratory was conducted with four Arabic language-speaking preschool children in Quebec. Each child was asked to produce some writings in French and in Arabic languages. The French language-spelling development of the students the Secondary Schools was made comparable to that of the preschool children in French. Such strategy allowed us to test the effect of age on the spelling development and on language transfer. We found that the written performance of the students from Secondary Schools was significantly more advanced as compared to that of the preschool children. Also the students from Secondary Schools were more able to produce language transfer. These findings indicated that the learner’s age had a significant impact not only on the French language - spelling development but also on the language transfer in second/foreign language. Finally, the scientific and practical ramifications open avenues for further investigations in these fields.
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Étude de l’appropriation de l’orthographe française langue seconde/étrangère d’élèves arabophones du secondaire en Égypte

Ahmed, Doaa M. H. 01 1900 (has links)
La présente recherche vise à décrire le développement orthographique des élèves arabophones de 1re année du secondaire en Égypte au début de l’apprentissage du français langue étrangère. Les recherches égyptiennes qui concernent le français écrit se sont préoccupées des erreurs grammaticales commises par les élèves. À notre connaissance, il n’existe pas d’études relatives à l’appropriation de l’orthographe française menée auprès de ces élèves. Afin de combler ce vide, nous avons souhaité apporter un éclairage sur les compétences orthographiques des élèves en essayant d’éclairer la documentation de ces compétences en français écrit par la mise en relation avec celle de jeunes enfants arabophones qui apprennent le français L2 au préscolaire lors de leur séjour au Québec. Afin d’atteindre nos objectifs, nous avons soumis 30 élèves arabophones du secondaire à une épreuve d’orthographes approchées à quatre reprises. Celle-ci s’est déroulée dans le cadre d’un entretien semi-structuré individuel dans lequel les élèves ont été invités à produire des mots et une phrase. L’analyse descriptive et statistique de la production écrite des sujets a permis d’observer trois types de préoccupations écrites : visuographiques, phonologiques et orthographiques. D’autre part, leurs écrits ont témoigné d’un transfert langagier de l’arabe L1 et de l’anglais LE, qui était parfois positif, d’autres fois négatif. Les résultats ont, enfin, révélé que les élèves ont utilisé trois stratégies, lexicale, phonologique et analogique, lors de leurs productions. En outre, une étude de cas multiples exploratoire avec quatre enfants arabophones du préscolaire au Québec a été effectuée. Ces derniers ont été individuellement invités à produire des mots et une phrase en français et en arabe. De manière exploratoire, nous avons mis en relation l’appropriation de l’écrit des élèves du secondaire et celle des enfants du préscolaire en français et en arabe, ce qui nous a permis de vérifier l’effet de l’âge sur le développement orthographique et sur le transfert langagier chez les apprenants. Les résultats obtenus indiquent que la performance écrite des élèves du secondaire était significativement plus réussie que celle des enfants du préscolaire et que les premiers étaient les plus susceptibles de produire un transfert langagier. Ainsi, l’âge de l’apprenant peut avoir un impact sur l’appropriation de l’écrit ainsi que sur le transfert langagier en français langue seconde/étrangère. Finalement, au-delà de son apport scientifique et pratique, la présente recherche propose des pistes de recherches futures. / The aim of this research was to assess French language-spelling development for the first year Arabic language-speaking students of the Secondary Schools in Egypt. These students were studying “French” as a foreign language. Previous studies performed in Egypt addressed the grammatical errors committed by these students in the field of “written French language”. To date, and to the best of our knowledge, there are no available studies addressing the issue of “French language-spelling development”. To fill this gab in literature, we examined the spelling competence of the students. We evaluated the features of the French language - spelling development for the first year Arabic language - speaking students in Secondary schools in Egypt. Also, we examined the relationships between these features and corresponding features in French and Arabic language development for preschool Arabic language-speaking children in Quebec. To achieve our goals, 30 students of the first year Arabic language-speaking students in Secondary schools in Egypt underwent a test of invented spelling, through semi-structured interview. The test was repeated four times on different occasions. During the test, the students were asked (on individual basis) to produce some writings (French language). The results of these tests raised three writing features, namely: visuographic, phonological and orthographic concerns. Moreover, their writings showed a language transfer produced from both Arabic as a mother language and English as a foreign language. Our findings revealed that, during writing, students have employed three strategies: lexical, phonological and orthographic. In addition, a multiple case study exploratory was conducted with four Arabic language-speaking preschool children in Quebec. Each child was asked to produce some writings in French and in Arabic languages. The French language-spelling development of the students the Secondary Schools was made comparable to that of the preschool children in French. Such strategy allowed us to test the effect of age on the spelling development and on language transfer. We found that the written performance of the students from Secondary Schools was significantly more advanced as compared to that of the preschool children. Also the students from Secondary Schools were more able to produce language transfer. These findings indicated that the learner’s age had a significant impact not only on the French language - spelling development but also on the language transfer in second/foreign language. Finally, the scientific and practical ramifications open avenues for further investigations in these fields.

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