Spelling suggestions: "subject:"traitement phonological"" "subject:"raitement phonological""
1 |
Impact de l'épilepsie partielle sur l'acquisition des processes de lecture chez l'enfant d'âge scolaireVanasse, Catherine-Marie January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
2 |
Traitement auditif, traitement phonologique et acquisition de la morphologie dans la dyslexie développementaleSt-Pierre, Marie-Catherine January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
3 |
Le rôle du système magnocellulaire dans la dyslexie développementaleLavoie, Karyne January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
4 |
Neural mechanisms of phonological processing / Mécanismes neuraux du traitement phonologiqueSun, Yue 10 December 2015 (has links)
Afin de comprendre la parole, les auditeurs ont besoin de transformer les signaux sensoriels en sens abstraits. Dans cette thèse, nous nous sommes concentrés sur les processus perceptifs liés au système des sons du langage - le traitement phonologique, et examiné les mécanismes neurobiologiques sous-jacents.Dans la première partie de la thèse, nous avons examiné l'organisation temporelle du traitement phonologique dans le cerveau humain. En utilisant des enregistrements électroencéphalographiques (EEG), nous avons étudié le décours temporel pour le traitement perceptif de règles phonologiques spécifiques à la langue maternelle des auditeurs. Les résultats montre que les connaissances des auditeurs sur les règles phonologiques complexes de leur langue maternelle sont mise en oeuvre à un stade précoce de la perception de son de la parole.Dans la deuxième partie de cette thèse, nous avons étudié l'organisation spatiale du traitement phonologique dans le cortex humain. Nous avons effectué deux études pour étudier le rôle de l'interaction sensorimotrice dans le décodage phonologique à la fois pendant la perception de la parole et la lecture. Les résultats de la première étude démontrent que le système moteur est impliqué dans la catégorisation perceptive des sons de la parole non-natifs, tantdis que ceux de la deuxième étude montrent que la réparation perceptive des séquences de lettres illégale dans la langue maternelle des auditeurs est dépendante de la disponibilité du système moteur chez les participants.L'ensemble de cette thèse fournit de nouvelles perspectives sur les aspects temporels et spatiaux de mécanismes neuronaux qui sous-tendent le traitement phonologique. / In order to understand spoken language, listeners need to transform sensory signals into abstract meanings. In this thesis, we focused on perceptual processes that deal with the sound system of spoken language – phonological processing, and examined its neurobiological underpinnings. In the first part of the thesis, we investigated the temporal organization of phonological processing in the human brain. Using electroencephalographic (EEG) recordings, we studied the time course for perceptual processing of language-specific phonological rules. Findings of this study demonstrate that listeners’ knowledge of complex phonological rules of their native language is assessed at an early stage of speech sound perception. In the second part of the thesis, we investigated the spatial organization of phonological processing in the human cortex. In particular, we conducted two studies to investigate the role of sensorimotor interaction in phonological decoding during both speech perception and reading. Results from the first study showed that the motor system is involved in the perceptual categorization of non-native speech sounds, while those from the second study demonstrated that perceptual repair of phonotactically illegal letter sequences in reader’s native language is dependent to the availability of the their motor system. Together, findings from this thesis provide new insights into temporal and spatial aspects of neural mechanisms that underlie phonological processing.
|
5 |
Hémisphères cérébraux et traitement phonologique et sémantique des mots isolésWalter, Nathalie January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
6 |
Étude de la dynamique hémisphérique pour le traitement des mots chez les gauchers et les droitiersTremblay, Tania January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
|
7 |
Étude de la dynamique hémisphérique pour le traitement des mots chez les gauchers et les droitiersTremblay, Tania January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
|
8 |
Facteurs cognitifs liés à l'acquisition du lexique orthographiqueStanké, Brigitte 08 1900 (has links)
La présente thèse a pour objectif d’étudier le rôle des facteurs cognitifs (traitement phonologique et visuoattentionnel et mémoire lexicale orthographique) dans l’acquisition des connaissances orthographiques implicites et explicites. Afin d’examiner les liens entre les différents facteurs cognitifs et les connaissances orthographiques, une étude longitudinale a été réalisée à l’aide d’un échantillon de 338 enfants suivis de la maternelle 5 ans à la fin de la deuxième année du primaire. À la fin de la maternelle, les enfants ont été évalués à l’aide d’une épreuve d’orthographe approchée et d’épreuves évaluant les facteurs cognitifs en jeu dans l’apprentissage du langage écrit (traitement phonologique, traitement visuoattentionnel et mémoire à court et à long terme). Les connaissances lexicales orthographiques explicites de ces mêmes enfants ont été évaluées en fin de première et de deuxième années.
Le premier article de cette thèse rapporte les données d’une étude réalisée auprès des enfants scolarisés en maternelle 5 ans. Cette étude vise l’établissement d’un lien entre, d’une part, la capacité de traitement phonologique, visuoattentionnel et de mémoire lexicale orthographique et, d’autre part, les connaissances orthographiques implicites des enfants qui n’ont pas encore eu d’enseignement formel de l’écriture. Les résultats indiquent que, contrairement à ce qui a été longtemps avancé, la capacité de traitement phonologique n’est pas le seul facteur cognitif à intervenir, puisque la capacité de mémoire lexicale orthographique à long terme ainsi que la capacité visuoattentionnelle contribuent de façon importante et indépendante à l’acquisition des connaissances orthographiques implicites des enfants de la maternelle 5 ans. La mémoire lexicale orthographique est même le facteur qui apporte la plus forte contribution.
La deuxième étude de cette thèse vise à déterminer, parmi les facteurs cognitifs évalués en maternelle, celui ou ceux qui permettent de prédire les connaissances orthographiques explicites ultérieures, c'est-à-dire celles de première et de deuxième années du primaire. Les résultats de cette deuxième étude indiquent que les préalables nécessaires à l’acquisition des connaissances orthographiques lexicales sont les capacités de traitement phonologique ainsi que les capacités de la mémoire à court et à long terme.
La troisième étude de cette thèse a pour but de mettre en lumière le rôle prédictif que joue le niveau des connaissances orthographiques des enfants de maternelle quant au niveau ultérieur de leurs connaissances orthographiques en première et deuxième années, en lien avec les capacités cognitives qui sous-tendent l’apprentissage du langage écrit, en particulier le traitement phonologique, le traitement visuoattentionnel et la mémoire lexicale orthographique. Les résultats de cette dernière étude permettent de montrer que, parmi les facteurs évalués en maternelle, le niveau des connaissances orthographiques implicites apporte une contribution unique à l’ensemble du niveau des connaissances orthographiques ultérieures. L’influence des connaissances orthographiques précoces sur l’acquisition ultérieure n’est pas surprenante. En effet, la première étude avait montré que le niveau de ces connaissances est fonction non seulement de la capacité de mémoire orthographique lexicale mais également de la capacité de traitement phonologique et visuottentionnel.
Les résultats issus de ces trois études présentent un intérêt non négligeable dans la compréhension de l’acquisition du langage écrit. En effet, ces recherches ont permis de montrer qu’avant même l’apprentissage formel de l’écrit, l’enfant témoigne de connaissances implicites non négligeables sur la langue écrite et que c’est à partir de ces connaissances que s’élaboreront ses connaissances explicites ultérieures. Ces connaissances sont tributaires de multiples facteurs parmi lesquels la capacité de mémoire lexicale orthographique, facteur cognitif dont la contribution n’avait pas été démontrée jusqu’à présent.
Les résultats de cette recherche montrent qu’il est possible d’envisager des outils de dépistage précoce qui permettront d’identifier les enfants à risque de présenter des difficultés spécifiques d’apprentissage du langage écrit. Ce dépistage permettrait de mettre en place des interventions mieux ciblées et précoces, ce qui réduirait ainsi l’impact des difficultés sur les apprentissages scolaires. / The objective of the present thesis was to study the relation between cognitive factors (phonological treatment, visuo-attentional and lexical orthographic memory) and the acquisition of implicit and explicit orthographic knowledge. A longitudinal study was conducted on a sample of 338 children from the kindergarten to their second year of primary schooling. At the end of kindergarten, the tasks were an invented spelling test and tests assessing the cognitive factors at issue in the apprenticeship of written speech (phonological treatment, visuo-attentional treatment and short and long term memory). The lexical explicit orthographic knowledge of these same children was evaluated at the end of their first and second year of school.
The objective of the first study was to establish a link between the phonological treatment, visuo-attentional and orthographic lexical memory abilities and implicit orthographic knowledge of the children, before their formal apprenticeship of written speech. The results showed that, contrary to what was long been advanced, the phonological treatment is not the only cognitive factor into play since the long term orthographic lexical memory ability as well as the visuo-attentional ability properly and independently contribute to the acquisition of orthographic knowledge. The orthographic lexical memory is the factor which provides the strongest contribution.
The aim of the second study was to determine which cognitive factors assessed in kindergarten predict the subsequent explicit orthographic knowledge in first and second grades. The results showed that the necessary conditions to the acquisition of lexical orthographic knowledge are phonological treatment ability, as well as short and long term memory abilities.
The goal of third article was to bring to light the predictive role played by the spelling knowledge of kindergarten children to their orthographical knowledge in first and second grades, in connection with the cognitive abilities which are at the root of the apprenticeship of the written spelling, more particularly the phonological treatment, the visuo-attentional treatment and orthographic lexical memory. The regressive analyses showed that, among the factors investigated in kindergarten, the implicit orthographical knowledge brings a unique contribution to the subsequent spelling knowledge evaluated by different orthographic tasks in first and second grades. The important impact of early orthographical knowledge on the subsequent acquisition is not surprising because the first study proved that this knowledge is not only depending on the capability of lexical orthographical memory but also on the capability of phonological treatment.
The results coming from those three articles present a non-negligible interest in the understanding of the acquisition of the written speech. Indeed, these studies permitted to prove that, even before the formal apprenticeship of the writing, the child shows a genuine implicit knowledge of the written language. Moreover, and it is from this knowledge that the subsequent explicit knowledge will be built up. This knowledge is dependent upon multiple factors among which are the ability of orthographic lexical memory, a cognitive factor whose contribution was not yet proven.
The results of this research showed that it is possible to consider early screening measures in order to identify children susceptible to present specific apprenticeship difficulties in the written language. This screening would allow an early and better targeted intervention, which would then reduce the impact of difficulties on the academic apprenticeships.
|
9 |
Facteurs cognitifs liés à l'acquisition du lexique orthographiqueStanké, Brigitte 08 1900 (has links)
La présente thèse a pour objectif d’étudier le rôle des facteurs cognitifs (traitement phonologique et visuoattentionnel et mémoire lexicale orthographique) dans l’acquisition des connaissances orthographiques implicites et explicites. Afin d’examiner les liens entre les différents facteurs cognitifs et les connaissances orthographiques, une étude longitudinale a été réalisée à l’aide d’un échantillon de 338 enfants suivis de la maternelle 5 ans à la fin de la deuxième année du primaire. À la fin de la maternelle, les enfants ont été évalués à l’aide d’une épreuve d’orthographe approchée et d’épreuves évaluant les facteurs cognitifs en jeu dans l’apprentissage du langage écrit (traitement phonologique, traitement visuoattentionnel et mémoire à court et à long terme). Les connaissances lexicales orthographiques explicites de ces mêmes enfants ont été évaluées en fin de première et de deuxième années.
Le premier article de cette thèse rapporte les données d’une étude réalisée auprès des enfants scolarisés en maternelle 5 ans. Cette étude vise l’établissement d’un lien entre, d’une part, la capacité de traitement phonologique, visuoattentionnel et de mémoire lexicale orthographique et, d’autre part, les connaissances orthographiques implicites des enfants qui n’ont pas encore eu d’enseignement formel de l’écriture. Les résultats indiquent que, contrairement à ce qui a été longtemps avancé, la capacité de traitement phonologique n’est pas le seul facteur cognitif à intervenir, puisque la capacité de mémoire lexicale orthographique à long terme ainsi que la capacité visuoattentionnelle contribuent de façon importante et indépendante à l’acquisition des connaissances orthographiques implicites des enfants de la maternelle 5 ans. La mémoire lexicale orthographique est même le facteur qui apporte la plus forte contribution.
La deuxième étude de cette thèse vise à déterminer, parmi les facteurs cognitifs évalués en maternelle, celui ou ceux qui permettent de prédire les connaissances orthographiques explicites ultérieures, c'est-à-dire celles de première et de deuxième années du primaire. Les résultats de cette deuxième étude indiquent que les préalables nécessaires à l’acquisition des connaissances orthographiques lexicales sont les capacités de traitement phonologique ainsi que les capacités de la mémoire à court et à long terme.
La troisième étude de cette thèse a pour but de mettre en lumière le rôle prédictif que joue le niveau des connaissances orthographiques des enfants de maternelle quant au niveau ultérieur de leurs connaissances orthographiques en première et deuxième années, en lien avec les capacités cognitives qui sous-tendent l’apprentissage du langage écrit, en particulier le traitement phonologique, le traitement visuoattentionnel et la mémoire lexicale orthographique. Les résultats de cette dernière étude permettent de montrer que, parmi les facteurs évalués en maternelle, le niveau des connaissances orthographiques implicites apporte une contribution unique à l’ensemble du niveau des connaissances orthographiques ultérieures. L’influence des connaissances orthographiques précoces sur l’acquisition ultérieure n’est pas surprenante. En effet, la première étude avait montré que le niveau de ces connaissances est fonction non seulement de la capacité de mémoire orthographique lexicale mais également de la capacité de traitement phonologique et visuottentionnel.
Les résultats issus de ces trois études présentent un intérêt non négligeable dans la compréhension de l’acquisition du langage écrit. En effet, ces recherches ont permis de montrer qu’avant même l’apprentissage formel de l’écrit, l’enfant témoigne de connaissances implicites non négligeables sur la langue écrite et que c’est à partir de ces connaissances que s’élaboreront ses connaissances explicites ultérieures. Ces connaissances sont tributaires de multiples facteurs parmi lesquels la capacité de mémoire lexicale orthographique, facteur cognitif dont la contribution n’avait pas été démontrée jusqu’à présent.
Les résultats de cette recherche montrent qu’il est possible d’envisager des outils de dépistage précoce qui permettront d’identifier les enfants à risque de présenter des difficultés spécifiques d’apprentissage du langage écrit. Ce dépistage permettrait de mettre en place des interventions mieux ciblées et précoces, ce qui réduirait ainsi l’impact des difficultés sur les apprentissages scolaires. / The objective of the present thesis was to study the relation between cognitive factors (phonological treatment, visuo-attentional and lexical orthographic memory) and the acquisition of implicit and explicit orthographic knowledge. A longitudinal study was conducted on a sample of 338 children from the kindergarten to their second year of primary schooling. At the end of kindergarten, the tasks were an invented spelling test and tests assessing the cognitive factors at issue in the apprenticeship of written speech (phonological treatment, visuo-attentional treatment and short and long term memory). The lexical explicit orthographic knowledge of these same children was evaluated at the end of their first and second year of school.
The objective of the first study was to establish a link between the phonological treatment, visuo-attentional and orthographic lexical memory abilities and implicit orthographic knowledge of the children, before their formal apprenticeship of written speech. The results showed that, contrary to what was long been advanced, the phonological treatment is not the only cognitive factor into play since the long term orthographic lexical memory ability as well as the visuo-attentional ability properly and independently contribute to the acquisition of orthographic knowledge. The orthographic lexical memory is the factor which provides the strongest contribution.
The aim of the second study was to determine which cognitive factors assessed in kindergarten predict the subsequent explicit orthographic knowledge in first and second grades. The results showed that the necessary conditions to the acquisition of lexical orthographic knowledge are phonological treatment ability, as well as short and long term memory abilities.
The goal of third article was to bring to light the predictive role played by the spelling knowledge of kindergarten children to their orthographical knowledge in first and second grades, in connection with the cognitive abilities which are at the root of the apprenticeship of the written spelling, more particularly the phonological treatment, the visuo-attentional treatment and orthographic lexical memory. The regressive analyses showed that, among the factors investigated in kindergarten, the implicit orthographical knowledge brings a unique contribution to the subsequent spelling knowledge evaluated by different orthographic tasks in first and second grades. The important impact of early orthographical knowledge on the subsequent acquisition is not surprising because the first study proved that this knowledge is not only depending on the capability of lexical orthographical memory but also on the capability of phonological treatment.
The results coming from those three articles present a non-negligible interest in the understanding of the acquisition of the written speech. Indeed, these studies permitted to prove that, even before the formal apprenticeship of the writing, the child shows a genuine implicit knowledge of the written language. Moreover, and it is from this knowledge that the subsequent explicit knowledge will be built up. This knowledge is dependent upon multiple factors among which are the ability of orthographic lexical memory, a cognitive factor whose contribution was not yet proven.
The results of this research showed that it is possible to consider early screening measures in order to identify children susceptible to present specific apprenticeship difficulties in the written language. This screening would allow an early and better targeted intervention, which would then reduce the impact of difficulties on the academic apprenticeships.
|
Page generated in 0.0964 seconds