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La croissance en Afrique et les investissements directs étrangers / Economic growth in Africa and foreign direct investment

Koné, Famaria Djibril 15 December 2014 (has links)
Partant du premier constat selon lequel, le continent africain a été et reste encore aujourd’hui, celui dont les habitants sont les plus pauvres du monde, nous nous sommes assigné comme objectif d’essayer d’en identifier les tenants et les aboutissants. A la lumière des avancées en matière de théorie de la croissance, nous avons énumérés les deux principaux mécanismes convoyeurs de croissance économique, à savoir l’accumulation des facteurs de production et le progrès technique. Ensuite comme second constat, nous avons remarqué qu’à la fois le taux d’investissement et le niveau de progrès technique était plus faible sur le continent africain, qu’ailleurs. Conscient également de cet état des choses, les instances dirigeantes de ces pays, ont entrepris d’attirer le plus d’investissements étrangers possible, considérés d’une part comme un moyen de contourner le déficit d’investissements productifs et d’autre part comme un mode d’adoption de nouvelles technologies. C’est pourquoi, l’impact des investissements directs étrangers sur la croissance économique des pays en voie de développement et africains en particuliers, a constitué l’objet de notre étude. Nous avons décelé dans notre étude, comme dans la littérature sur le sujet, un impact des IDE sur l’investissement local en Afrique neutre, soutenant l’hypothèse que ces investissements augmentent au moins le stock de capital physique par tête des pays africains de notre échantillon. Ce faisant, les IDE vont influer sur le revenu par tête des pays de notre échantillon, dans des proportions différentes mais selon le même principe que les investissements dits nationaux. On a constaté que les investissements directs étrangers, ont eu un impact moyen positif supérieur sur le niveau de revenu par tête de long terme (22% de hausse quinquennale moyenne), à celui des investissements domestiques (0,5% de hausse quinquennale moyenne). Cependant, nous n’avons pas enregistré d’effets d’externalités de productivités positives au sein de ces pays, liées à la présence d’entreprise étrangères. Au sein d’un échantillon plus large cette fois-ci, comprenant aussi bien des pays développés, en voie de développement et africains, nous avons trouvé que les IDE deviennent significatifs pour le processus de rattrapage technologique, via des externalités de productivité, quand le ratio de productivité totale des facteurs du pays hôte par rapport à celui des Etats-Unis, est supérieur ou égal à 0,47. Donc, pour bénéficier au maximum de la présence de multinationales sur leur territoire, les pays africains doivent mettre au préalable en place, de bonnes conditions politiques, économiques et sociales, leur permettant d’améliorer leurs capacités d’absorption (écart raisonnable de productivité vis-à-vis des Etats-Unis). / Starting with the first observation that the African continent has been and still is, one whose inhabitants are the poorest in the world, we have assigned a target to try to identify the ins and outs. In light of advances in growth theory, we have listed the two main mechanisms conveyors of economic growth, namely the accumulation of factors of production and technical progress. As second observation, we noticed that both the investment rate and the level of technical progress was lower on the African continent than elsewhere. Also aware of this situation, the governments of these countries have begun to attract more foreign investment as possible, on the one hand considered as a way to circumvent the lack of productive investment and secondly as a mode of adoption of new technologies. Therefore, the impact of FDI on economic growth in developing countries and in Africa in particular, has been the object of our study. We found in our study, as in the literature on the subject, that the impact of FDI on domestic investment in Africa is neutral, supporting the assumption that these investments increase at least the stock of physical capital per head of our African sample. In doing so, the FDI will affect the per capita income of countries in our sample, in different proportions but according to the same principle as the national investments. We found that foreign direct investment, had an average positive upper impact on the long-term level of per capita income (22% average increase every five-year) than domestic investment (0.5% average increase every five-year) . However, we have not registered positives productivity externalities in these countries, due to the presence of foreign business. Within a larger sample this time, including as well developed countries, developing countries and African countries, we found that FDI becomes significant for the process of technological catching-up, by productivity externalities when the ratio of total factor productivity in the host country compared to the United States is greater than or equal to 0.47. So to get the most from the presence of multinationals in their territory, African countries must first establish, good political, economic and social conditions, enabling them to improve their absorptive capacity (reasonable productivity gap vis -à-vis the United States).
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Investissements étrangers et arbitrage entre États et ressortissants d'autres États : trente années d'activité du CIRDI /

Manciaux, Sébastien. January 2004 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Droit public--Dijon, 1998. / Bibliogr. p. 670-696. Index.
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Géographie des capitaux en Afrique tropicale d'influence française /

Suret-Canale, Jean, January 1984 (has links)
Thèse--Lettres--Paris 7, 1984. / Bibliogr. p. 957-966.
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Towards a better understanding of foreign direct investment (FDI) impact on host African countries

Karangwa, Aristide 13 December 2023 (has links)
Cette thèse s'intéresse à l'évaluation de l'effet à long terme de l'Investissement Direct Etranger (IDE) sur le développement des pays africains pour la période allant de 1990 à 2018. L'IDE peut influencer développement à long terme des pays en développement en élargissant différents horizons d'investissement. Selon les modèles de croissance endogène, l'effet de l'IDE se répand d'une manière assez large à toutes les dimensions de développement, soit en accroissant et en diversifiant le capital, soit en influençant le bien-être social ou l'environnement et la sphère politique des pays d'accueil. Cependant, les études empiriques précédentes dans les pays en développement se sont principalement focalisées sur l'effet de l'IDE sur la dimension économique ou sur un sous-ensemble de dimensions développement et ont donc, et sans surprise, abouties aux résultats mitigés. Ainsi, il est impératif de réévaluer l'effet à long terme de l'IDE sur les pays en développement en utilisant un cadre empirique qui intègre simultanément les effets multidimensionnels de l'IDE ; tout en contournant les problèmes potentiels de multicolinéarité. Ceci pourra fournirait un réel et claire effet à long terme de l'IDE. Cette thèse est motivée par une évidente absence de littérature empirique sur l'effet à long terme de l'IDE sur les économies africaines ; l'effet qui est en fait la principale motivation derrière l'attraction d'IDE par les pays en développement. Pour atteindre son objectif global, cette thèse est divisée en trois principaux chapitres : Le premier chapitre offre une perspective de synthèse de travaux issus d'une revue systématique de la littérature empirique sur l'impact de l'IDE dans les pays d'accueil en développement pour la période allant de 1985 à 2018 afin d'élucider pourquoi les résultats empiriques sont mitigés et moins concluants. Ainsi, les résultats mettent en évidence quatre principaux problèmes méthodologiques dont : (1) le manque d'un cadre empirique inclusif et dynamique, (2) les modèles d'évaluation inappropriés qui ne tiennent pas compte des effets multidimensionnels de l'IDE sur le développement des pays d'accueil en développement, (3) des méthodes d'estimation inappropriées qui ne tiennent pas compte du dynamisme du processus de la croissance et de développement ainsi que le problème d' endogénéité et enfin (4) une unité inexacte de mesure de l'effet de l'IDE. Tous ces problèmes pourraient avoir biaisé le coefficient estimé de l'effet de l'IDE. A cet effet, nous avons proposé un modèle conceptuel qui aiderait à évaluer de manière exhaustive l'effet de l'IDE dans les pays en développement et mener ainsi aux résultats fiables. Dans le deuxième chapitre, il a été question de vérifier si les IDE contribuent ou pas au développement à long terme des pays africains tout en contournant les problèmes méthodologiques soulevés dans le chapitre précédent. Pour y arriver, nous avons opté pour un modèle d'évaluation multidimensionnel qui rassemble les deux visions opposées (Théories néo-classiques et endogènes versus théories de la dépendance). En effet, l'IDE entraîne à la fois des bénéfices et coûts sur les économies d'accueil. Ainsi, le gain net de l'effet de l'IDE proviendrait de la différence entre ses bénéfices et coûts engendrés. Notre étude a utilisé des données panel de 35 pays africains et l'approche PMG/ARDL, pour examiner l'effet des IDE entre 1990-2018 sur le continent. Le résultat confirme que l'effet à long terme de l'IDE sur le PIB réel par habitant est statistiquement minuscule pour l'ensemble des pays en échantillon. Le troisième et dernier chapitre visait à explorer empiriquement et à comparer séparément les effets de développement à long terme des fusions et acquisitions et des investissements de création (greenfield investment) sur les pays africains en échantillon pour la période de 1990 à 2018. En effet, se concentrer sur l'effet à long terme agrégé de l'IDE dans les pays en développement brouillerait le scénario factuel concernant l'effet de développement de l'IDE qui peut produire deux effets conflictuels. En utilisant une méthodologie similaire à celle utilisée dans le chapitre 2, les résultats empiriques sont en contradiction totale de la préférence (greenfield investment) des partenaires au développement et des décideurs politiques des pays en développement. Les résultats montrent spécifiquement que les deux principaux modes d'entrée d'IDE ont exercé des effets bénéfiques à long terme dans les pays pris en échantillon. Cependant, l'effet des fusions et acquisitions est relativement positif que celui de greenfield investment et ceci, que les variables de contrôle soient prises ou pas en compte / This thesis has attempted to evaluate the long-term developmental effect of FDI on the development of host African countries over the period spanning from 1990 to 2018. FDI can affect the long-term development of host developing countries through its effects in expanding investment frontier in host developing countries. According to endogenous growth models, FDI effect spreads to larger development agenda, that is widening and deepening capital, and influencing social, environmental, and political wellbeing of the people of host developing countries. However, past empirical studies focused mainly on the effect of FDI on one dimension of development (mostly economic), or on a subset of FDI effect on development in host developing countries, which, unsurprisingly led to mixed and inconclusive outcomes. For this reason, there was a need to reassess the welfare effect of FDI on host developing countries by using an empirical framework that simultaneously integrates multifold effects of FDI on development of host developing economies, while circumventing potential multicollinearity issues. This would provide clear-cut evidence of FDI effect on the development of developing countries. This study is motivated by an obvious lack of empirical literature concerning the long-term developmental effect of FDI on African economies which effect is the primarily motivation behind the attraction of FDI by developing countries. To achieve the overall objective of this thesis, the latter was divided into the following three main chapters. The first chapter provides an extensive systematic empirical literature review on FDI impact on different measures of welfare in host developing countries over the 1985 to 2018 period to answer methodologically why findings are mixed and inconclusive and therefore suggest the way forward. The evidence from this review highlights four important methodological issues that could have led to mixed and inconclusive outcomes. These issues include (1) lack of a comprehensive and balanced empirical framework, (2) inappropriate model specification that did not account for the multifaceted effects of FDI on development of host developing countries, (3) inappropriate estimation methods, and finally inaccurate measure of FDI impact. All these issues could have biased the estimated coefficient of FDI effect in host developing countries. Therefore, we propose an analytical model that would comprehensively evaluate the welfare effect of FDI in host developing countries and, thus, leading to reliable outcomes. Based on these outcomes, the second chapter of this thesis sought to evaluate whether FDI contributes to long-term development of host developing countries in general and in African countries in particular, while circumventing methodological issues raised in first chapter. To achieve this, we opted for a multidimensional model that brings together the two opposing (liberalism and radical) views. This is because, FDI brings both costs and benefits to host developing countries. Thus, the net welfare gain of FDI hinges on the balance between welfare increasing (benefits) and decreasing (costs) of it. We applied a panel data of 35 African countries to probe FDI effect from 1990 to 2018 and PMG/ARDL approach. The result confirms that, the overall estimated long-term effect of FDI on real GDP per capita is statistically minuscule for the entire sample. The third and last chapter sought to empirically explore and compare separately long-term developmental effects of mergers and acquisitions sales (M&As), and green-field investment on real GDP per capita in the sampled African countries from 1990 to 2018. This is because, scholars view is that, concentrating on the aggregated effect of FDI on development in developing countries would blur the factual scenario regarding the welfare effect of FDI as it may reflect the two opposing effects. Applying similar methodology to the one used in chapter two, our empirical evidence contrasts development partners' first choice and views of policy makers on greenfield investment. The findings specifically show that both M&As and greenfield investment exert similar beneficial long-term developmental effects in the sampled countries. Nevertheless, effect of M&As outstripped that of greenfield investment on real GDP per capita. More specifically, one percent increase in green-field investment has, on average, less long-term developmental effect on real GDP per capita than one per cent invested in M&As irrespective of whether controllable variables were counted in or out.
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L'équilibre des intérêts en droit international des investissements : principe général de droit applicable aux rapports entre investissement et environnement

Mekpo, Cosme Gosshé 21 November 2023 (has links)
Avec la résurgence des problèmes environnementaux, le droit international des investissements se retrouve aujourd'hui face à l'urgence de sa propre réadaptation. Et, comme réponse unique à un impératif catégorique, l'équilibre des intérêts émerge en tant qu'un principe général de droit (PGD), de nature souple et autonome, à qui ses diverses fonctions (logique, axiologique, unificatrice et correctrice) confèrent une utilité opérationnelle au sein de l'ordre juridique international, et dont la mise en œuvre en droit international des investissements est l'expression de la dimension évolutive. En tant que principe référentiel, il est consubstantiel au droit international des investissements et vise à faire prévaloir un idéal normatif (le droit de l'équilibre) sur un autre (le droit de la protection). Toutefois, l'aporie de l'équilibre des intérêts est d'être, à la fois, une affirmation du principe de la souveraineté réglementaire et une limitation de celui-ci. Dans un premier temps, sa mise en œuvre se traduit par la prise en compte de l'intérêt général dans le balancier état-investisseur et, dans un second temps, cette exigence ne se concrétise qu'au bout d'un double test de la proportionnalité et du raisonnable. Alors que sa source de régénération par rapport au reste du système est la protection internationale des valeurs fondamentales et socio-environnementales, sa structure de base demeure le couple droit-obligation et s'apparente à une transversalité normative qui combine à la fois la lex lata et la lex ferenda d'une part, la soft law et la hard law d'autre part. Malgré sa fécondité croissante, il est possible de le décrire comme étant la source d'un droit poly-normatif et « open-textured » qui possède à la fois un noyau d'applicabilité, une teneur variable et une juridicité foisonnante. Le profil abrégé de cette construction normative pourrait alors se matérialiser en droit international des investissements par: la prise en compte de l'intérêt général, la responsabilité sociale des entreprises multinationales, la réciprocité par équivalence des droits et obligations des parties, la flexibilité réglementaire et la compatibilité d'avec les autres normes de protection internationales. / With the resurgence of environmental problems, international investment law today finds itself faced with the urgency of its own rehabilitation. And, as a unique response to a categorical imperative, the balance of interests emerges as a general principle of law (GDP), of a flexible and autonomous nature, to which its various functions (logical, axiological, unifying and corrective) confer an operational usefulness within the international legal order, and whose implementation in international investment law is the expression of the evolutionary dimension. As a referential principle, it is consubstantial with international investment law and aims to make one normative ideal (the law of balance) prevail over another (the law of protection). However, the aporia of the balance of interests is to be both an affirmation of the principle of regulatory sovereignty and a limitation of it. Initially, its implementation results in the considering of the general interest in the state-investor balance and, secondly, this requirement only materializes after a double test of the proportionality and reasonableness. While its source of regeneration in relation to the rest of the system is the international protection of fundamental and socio-environmental values, its basic structure remains the right-obligation couple and is like a normative transversality that combines both the lex lata and lex ferenda on the one hand, soft law, and hard law on the other. Despite its growing fecundity, it can be described as the source of a poly-normative and "open-textured" law that has both a core of applicability, a variable content, and an abundant legality. The abbreviated profile of this normative construction could then materialize in international investment law by: taking into account the general interest, the social responsibility of multinational companies, reciprocity by equivalence of the parties rights and obligations, regulatory flexibility and compatibility with other international protection standards.
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Essais sur la taxation des transactions de change / Essays on currency transaction tax

Damette, Olivier 07 September 2007 (has links)
L'objectif de cette thèse est de proposer une analyse théorique des effets d'une taxe sur les transactions de change, encore appelée taxe Tobin. Plusieurs essais sont ainsi proposés. Dans le premier, on présente les fondements et les limites de cette mesure controversée. Dans le second, un modèle de simulation stochastique est construit afin d'étudier les effets de cette mesure sur les investissements productifs et le lien entre la charge de taxation et le type d'anticipations. On montre que si le bien-être de tous les investisseurs diminue, les investisseurs de long terme sont de loin les moins pénalisés. Dans le troisième, on revisite, au carrefour des modèles macro-monétaires et de la théorie microstructurelle, l'intérêt d'une telle taxe en matière de variabilité des taux de change. Lorsque le taux est faible, la taxe est susceptible de réduire la variabilité des changes tout en préservant l'efficience du marché des changes. Dans le quatrième, une analyse économétrique est proposée. Sur la base de données réelles, une première quantification de la sensibilité du volume des opérations à la taxe est proposée. Une analyse en cointégration sur données de panels nous permet en effet d'estimer ce qu'on appelle l'élasticité du marché à la taxation. On montre que cette dernière est égale à -0,45 toutes parités confondues. Sur cette base, une estimation des recettes que générerait la taxe est proposée dans le cinquième et dernier volet de la thèse. / The purpose of this dissertation is to expose a theoretical analysis of the effects that a currency transaction tax, usually called Tobin Tax, could entail. Five essays are outlined. The first one highlights the bases and limitations of this debated proposition. In the second one, a stochastic simulation model is built in order to study the effects of such a measure on real investments and the link between tax weight and expectations. Our result is the following one : the welfare of all agents decreases whereas long term investors are the least penalized. In the third one, by using macro-monetary models and microstructure theory, we analyse the interest of such a tax in terms of exchange market efficiency. The fourth essay proposes an econometrical analysis. With a real data set, we suggest to measure for the first time the sensibility of the transactions volume to the tax. Through a cointegration analysis using panel data, an estimation of the so-called foreign transactions elasticity to taxation is presented. The obtained value is - 0.45 for any currency parity. Following this idea, we set out an estimation of the revenues that such a tax would yield in the last fifth part of the dissertation.
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Impact of media investments on brands’ market shares : a compositional data analysis approach / Impact des investissements media sur les parts de marché des marques : une approche par analyse des données de composition

Morais, Joanna 20 October 2017 (has links)
L’objectif de cette thèse CIFRE, réalisée avec la société d’études de marché BVA en collaboration avec le constructeur automobile Renault, est de mesurer l’impact des investissements media pour différents canaux (télévision, affichage, etc.) sur les parts de marché de différentes marques, en prenant en compte la concurrence et les potentiels effets croisés et synergies entre ces marques, ainsi qu’en tenant compte du prix des véhicules, du contexte réglementaire (i.e. prime à la casse), et des effets retard de la publicité.Nous avons puisé dans les littératures marketing et statistique pour développer, comparer et interpréter plusieurs modèles qui respectent la contrainte de somme unitaire des parts de marché. Une application concrète au marché automobile français est présentée, pour laquelle nous montrons que les parts de marché des marques sont plus ou moins sensibles aux investissements publicitaires consentis dans chaque canal, et qu’il existe de synergies entre certaines marques. / The aim of this CIFRE thesis, realized with the market research institute BVA in collaboration with the automobile manufacturer Renault, is to build a model in order to measure the impact of media investments of several channels (television, outdoor, etc.) on the brands’ market shares, taking into account the competition and the potential cross effects and synergies between brands, as well as accounting for the price, the regulatory context (scrapping incentive), and the lagged effects of advertising. We have drawn from marketing and statistical literatures to develop, compare and interpret several models which respect the unit sum constraint of market shares. A practical application to the French automobile market is presented, for which it is shown that brands’ market shares are more or less sensitive to advertising investments made in each channel, and that synergies between brands exist.
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An arranged marriage under institutional duality : the local integration process between two globally merging MNCs' subsidaries /

Schweizer, Roger, January 1900 (has links)
Dissertation--Göteborgs universitet, 2005. / MNCs = multinational companies. Bibliogr. p. 333-350.
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La divergence économique États-Unis-Europe /

Villemeur, Alain. January 2004 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Sci. écon.--Paris 9, 2002. Titre de soutenance : Nouveau modèle de croissance : une explication des disparités de croissance États-Unis-Europe sur la période 1980-2000. / Bibliogr. p. 331-341.
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Les organisations intermédiaires d'investisseurs : contribution à l'étude de la dimension collective du capitalisme en France /

Dumoulin-Mauduit, Lisa. January 2002 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Droit privé--Clermond-Ferrand, 2000. / Bibliogr. p. 437-466. Index.

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