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Abdication in an artistic democracy : meaning in the work of Barnett Newman and Donald Judd, 1950-1970 (and thereafter)Lawrence, James Alexander 24 June 2011 (has links)
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La représentation de l'objet chez Francis Ponge : une pratique transparente du sens spécifiqueCharron, Philippe January 2007 (has links) (PDF)
L'étude du rapport entre les choses et le langage constitue probablement un lieu commun de la critique de l'oeuvre de Francis Ponge, mais il appert que des lieux communs se retrouvent aussi dans les manières qu'ont les critiques de traiter cette question, et ainsi de polariser les lectures. À cet égard, les analyses philosophiques démontrent une tendance à catégoriser les textes de Ponge selon deux principales approches: la phénoménologie et le structuralisme. Tandis que la première voit dans le rapport entre le langage et les choses une quête essentialiste basée sur les affects, l'autre tend à faire du texte poétique un objet autoréférentiel. Ces deux tendances suggèrent ainsi une interprétation idéaliste qui situe le langage comme fondement du monde. La pensée de Ludwig Wittgenstein permet d'effectuer un changement de paradigme et de souligner les apories des deux positions précédentes. Bien que la pratique de Ponge et celle de Wittgenstein n'aient jamais été rapprochées, elles possèdent toutefois des affinités, car tous deux cultivent une méfiance envers les lieux communs, les modèles absolus et la ressemblance comme critères de formation d'ensembles génériques. À cette recherche d'unité, Ponge et Wittgenstein opposent la variété des choses qui permet une attention particulière à la différence et à la singularité. Cette critique de l'idéalisme et de l'unité comme fondements du sens permet aussi de s'objecter à une théorie du langage qui établit des liens strictes entre les mots et les objets et de réorienter la poésie de Ponge dans une dynamique plurielle de la signification basée sur l'indétermination référentielle où l'écriture devient une pragmatique qui énonce des règles spécifiques propres à chaque objet-textuel. L'approche poétique de Ponge a fortement été influencée par la peinture cubiste, notamment par ses innovations techniques et par la problématisation des rapports à la référence qu'elle propose. Le rapprochement de ces deux esthétiques permet donc de brouiller les limites strictes entre les disciplines et de rapprocher l'oeuvre de Ponge de celle de Donald Judd qui, par ses « specific objects », voulait transgresser l'autonomisation des champs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Francis Ponge, Objet, Référence, Signification spécifique, Ludwig Wittgenstein, Donald Judd, Cubisme, Poésie, Philosophie.
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Heightened perception: Donald Judd, John Chamberlain, Robert Irwin, and Larry Bell, 1960-1975Kohn, Adrian Michael 01 February 2010 (has links)
This dissertation explains how and why some American artists investigated visual phenomena and heightened perception during the 1960s and 1970s. As an analytical account grounded in the perceptual experience of artworks and in archival research of the claims artists made for their creations, this study is centered around the themes of re-sensitizing one’s body and perceptual faculties, the process of empirical discovery, and the ultimate inability of language to satisfactorily describe sensory phenomena. In Chapter 1, I establish a brief intellectual history of research concerning the sensory faculties from fields in the humanities, including psychology, philosophy, and art history. In Chapter 2, I analyze Judd’s art-critical concept of optical phenomena and consider the art about which he wrote, including his own, on the basis of this tentative classification. In Chapter 3, I evaluate John Chamberlain’s lacquer paintings in terms of the visual phenomena generated by his innovative paint mixtures and application techniques, then consider his provisional separation of intuition and intellect. In Chapter 4, I examine Robert Irwin’s efforts to refine his visual attentiveness and, in the course of doing so, I also test the accompanying artworks he made that demand such unusually acute observation. In Chapter 5, I argue that distinguishing physical, pictorial, and reflected visual phenomena in Larry Bell’s pieces proves to be an exceptional challenge, a problem compounded by the inefficacy of trying to communicate visual discoveries using language. In the Conclusion, I demonstrate that by restoring the role of heightened perception and sensory discovery to the history of art of the 1960s and 1970s, this dissertation helps to preserve the complexity and variety of works made during that time. / text
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Le questionnement de la rationalité dans l'art minimal et le déplacement de l'esthétique au politique à partir de Deleuze et AdornoLefebvre, Luce January 2005 (has links) (PDF)
Donald Judd, Dan Flavin, Carl Andre et Sol LeWitt sont parmi les principaux représentants de l'art minimal aux Etats-Unis. Les oeuvres analysées dans cette thèse sont majoritairement tirées de leur pratique des années soixante et soixante-dix, et se rattachent à la sculpture. À partir de ces oeuvres, notre recherche se propose de montrer les rapports entre l'esthétique et le politique, en regard d'un questionnement sur la rationalité que ces oeuvres induisent. Dans les premier et second chapitres, nous présentons une analyse initiale des oeuvres en exergue, et une mise en situation contextuelle. Celle-ci s'établit en regard d'un corpus critique et d'un commentaire sur le climat épistémologique de l'époque étudiée. Le troisième chapitre renvoie aux sources formelles et théoriques, en maintenant l'idée de filiation -et d'infléchissement de ces mêmes filiations -qui se dégagent des chapitres précédents. Les deux derniers chapitres reprennent les principaux éléments théoriques que nous avons retenus pour les besoins de notre analyse. Nous y étudions, à l'aune des pensées de Deleuze et d'Adorno, l'articulation particulière de l'esthétique et du politique dans l'art minimal. Le politique s'y appuie sur une interrogation de la rationalité qui travaille l'idée de totalité et d'immédiateté de la perception. Avec la prémisse de la reconduction dans l'oeuvre d'instances paradoxales basées sur une synthèse connective ou une répétition profonde qui sous-tend la répétition sérielle première. En somme, il s'agit dans le commentaire critique des oeuvres et des artistes choisis, d'étudier des notions qui se posent comme paradigmes de l'ambiguïté de l'oeuvre minimale. L'ancrage théorique privilégié en découle. L'investigation de concepts prégnants dans l'oeuvre minimale, tels la différence et la répétition, le matériau et les rapports forme/contenu, et la mimésis qui renvoie aux problématiques du simulacre ou du reflet, qualifient la représentation dans l'oeuvre minimale. Une analyse renouvelée de ces termes récurrents demandait un champ théorique inusité. Ce dernier ouvre à une qualification de l'oeuvre minimale basée, non pas uniquement sur les certitudes de ce que l'on voit, mais également sur ce qui échappe à la perception immédiate. Cette conjonction spécifique reconduit une oeuvre déterminée par ce qui l'indétermine. Et une interrogation de l'esthétique et du politique à travers celle d'une rationalité où perce le sensible. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Art minimal, Esthétique, Politique, Rationalité, Éléments.
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