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La modulation conditionnée de la douleur, la kinésiophobie et la dramatisation de la douleur comme facteurs pronostiques de chronicité chez des personnes atteintes de lombalgie aiguë : une étude prospective

Meilleur-Durand, Melody 28 March 2022 (has links)
INTRODUCTION : La douleur lombaire (Low Back Pain - LBP) est la principale cause d'invalidité mondiale, et ce, majoritairement en raison de son taux de récurrence et de chronicité élevé. Les facteurs psychologiques (dramatisation de la douleur, kinésiophobie, dépression) ainsi qu'une altération de la fonction sensorimotrice ont été associé au développement de douleur chronique. Il est suggéré qu'une diminution de la capacité du système nerveux centrale (SNC) à moduler la douleur pourrait contribuer à la chronicisation de la douleur. L'objectif de cette étude longitudinale prospective est d'évaluer la capacité de la modulation de la douleur conditionnée (MDC), des symptômes et des limitations fonctionnelles, de la kinésiophobie et de la dramatisation de la douleur à prédire le développement de douleur lombaire chronique (CLBP) chez des personnes souffrant de LBP en phase aiguë. MÉTHODOLOGIE : Cinquante participants présentant une lombalgie aiguë (< 6 semaines) ont participé à trois sessions d'évaluation (initiale, 3 et 6 mois). Au cours de l'évaluation initiale et à 3 mois, tous les participants ont rempli des questionnaires auto-administrés (indice d'invalidité d'Oswestry [ODI], Brief Pain Inventory [BPI], échelle de kinésiophobie de Tampa [TSK] et échelle de dramatisation face à la douleur [PCS]) et la MDC a été évalué. À 6 mois, les questionnaires ont été réadministrés et les participants ont été dichotomisés en fonction de leur niveau de chronicité (LBP non chronique ou CLBP). Ensuite, des tests univariés ont été utilisés pour comparer les variables initiales entre les participants qui étaient chroniques à 6 mois et les participants qui ne l'étaient pas. Les variables qui étaient significativement différentes ont été entrées dans une régression logistique afin de déterminer l'ensemble de variables le plus efficace pour prédire la chronicité. RÉSULTAT : Aucune différence significative n'a été trouvée entre ceux qui ont développé une CLBP à 6 mois et ceux qui ne l'ont pas fait, que ce soit sur les scores initiaux du TSK (p = 0,48), du PCS (p = 0,78) ou de la MDC (p = 0,82). En ce qui concerne les symptômes et les limitations fonctionnelles, il n'y avait pas non plus de différence significative entre les sous-groupes au départ pour l'ODI (p = 0,78) et le BPI (sévérité : p = 0,500 ; interférence (p = 0,54)). CONCLUSION : Cette étude exploratoire ne soutient pas l'hypothèse selon laquelle des mécanismes de MDC inefficaces et la présence de facteurs psychologiques prédisent la chronicité chez les personnes souffrant de lombalgie aiguë. / BACKGROUND: Low back pain (LBP) is a leading cause of disability mainly due to the significant activity limitations associated with it during its chronic phase. Psychosocial factors (pain catastrophizing, kinesiophobia, depression) and alteration of the somatosensory functions have both been associated with the persistence of LBP. It has been suggested that a decreased capacity of the central nervous system (CNS) to modulate pain could contribute to pain chronicisation. The aim of this exploratory prospective study was to investigate whether conditioned pain modulation (CPM), initial symptoms/functional disability, kinesiophobia and pain catastrophizing can predict the development of chronic pain in individuals with acute LBP. METHODS: Fifty participants presenting with acute LBP (< 6 weeks) took part in three evaluation sessions (baseline, 3- and 6-month). During the baseline session and at 3-month, all participants completed self-administered questionnaires (Oswestry disability index [ODI], Short form of Brief Pain Inventory [BPI], Tampa Scale for Kinesiophobia [TSK] and Pain Catastrophizing Scale [PCS]) and the CPM. CPM was assessed using immersion of the hand in cold water (10 °C; 120 s) as the conditioning stimulus and tonic heat pain applied to the contralateral forearm as the test stimulus (60 s). At 6-month, the questionnaires were re-administered and participants were dichotomized according to their level of chronicity (Non-chronic LBP or CLBP). Thereafter, univariate tests were used to compare baseline variables between participants who were chronic at 6-month and participants who were not. Variables that were significantly different were entered in a logistic regression to determine the most accurate set of variables for predicting chronicity. RESULTS: No significant difference was found between those who developed CLBP at 6 months and those who did not, on either the baseline scores for TSK (p = 0.48), PCS (p = 0.78) or CPM (p = 0.82). Concerning symptoms/functional disability, there was also no significant difference between the subgroups at baseline for ODI (p = 0.78), BPI severity (p = 0.500) and BPI interference (p = 0.54). CONCLUSION: This exploratory study does not support the hypothesis that inefficient CPM mechanisms and the presence of psychological factors predict chronicity in individuals with acute LBP.
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Étude de la fatigue des muscles cervicaux chez les travailleuses présentant une cervicalgie chronique

Laliberté, Maude January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Étude de la fatigue des muscles cervicaux chez les travailleuses présentant une cervicalgie chronique

Laliberté, Maude January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Efficacité thérapeutique de l’ajout de la stimulation transcrânienne par courant direct (tDCS) à l’imagerie motrice progressive (IMP) pour le traitement du syndrome douloureux régional complexe (SDRC) de type I

Lagueux, Émilie January 2015 (has links)
Introduction: Selon les plus récentes lignes directrices de pratiques exemplaires pour la gestion du syndrome douloureux régional complexe (SDRC), l’imagerie motrice progressive (IMP) est la modalité qui présente le niveau de preuve scientifique le plus élevé quoique son effet soit modeste. Une nouvelle technique de neurostimulation non invasive, la stimulation transcrânienne par courant direct (tDCS), lorsque combinée à une autre modalité thérapeutique, elle a le potentiel d’accroître l’efficacité analgésique de la modalité initiale. L’objectif principal était d’explorer l’efficacité de la combinaison des traitements par IMP et tDCS en comparaison à l’IMP et la tDCS placebo auprès de personnes atteintes d’un SDRC de type I. Méthode: Afin d’établir une preuve initiale d’efficacité, une étude randomisée de type preuve de concept, à l’insu du participant, comportant deux options de traitement (IMP + tDCS ; IMP + tDCS placebo) a été menée. L’IMP comprenait trois phases de deux semaines chacune combinées à 14 séances de tDCS. L'efficacité a été mesurée en comparant les résultats entre le T0 et après six semaines de traitement (T1) ainsi qu’entre le T1 et un mois après le traitement (T2) avec comme variable principale la sévérité de la douleur (BPI-sf). Résultats: Vingt-deux participants (n=11/groupe) ont complété l’étude. Au T1, 82 % des participants du groupe IMP + tDCS ont rapporté une différence minimale cliniquement importante (DMCI) de la sévérité de la douleur comparativement à 27 % des patients du groupe IMP + tDCS placebo (p=0,003). Une diminution de l’intensité de la douleur présente (BPI-sf) de 29,75 % a été observée pour le groupe intervention (p=0,046) comparativement à une augmentation non-significative de 1,48 % pour le groupe témoin. Les données issues du journal de bord ont permis de capter une réduction plus rapide de l’intensité de la douleur auprès des participants du groupe intervention. Également, nos résultats au T1 ont démontré une réduction significative de la kinésiophobie (TSK) (p=0,012), des pensées catastrophiques (PCS) (p=0,049) et de l’état anxieux (IASTA) (p=0,046). Toutefois, l’effet ne s’est pas maintenu au T2. Conclusion: L'efficacité démontrée pour réduire la sévérité de la douleur à court terme de cette combinaison IMP + tDCS est le premier jalon et des études subséquentes permettront d'en confirmer la pertinence.
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Quelles personnes sont susceptibles de développer une invalidité en raison de la douleur et comment intervenir en phase initiale? Les principes extraits des résultats de la recherche sur les facteurs prédisposants à l’invalidité

Houle, Manon 09 1900 (has links)
L’invalidité attribuable à la douleur représente un problème important en raison de ses coûts personnels, financiers et sociétaux. L’effort scientifique mène à l’identification des facteurs de risque pour l’évolution de la douleur vers un état qui mine la capacité de la personne affligée à vaquer à ses occupations fondamentales. Cet effort met en relief le rôle déterminant que jouent les facteurs psychosociaux à chaque stade de l’évolution vers l’invalidité en raison de la douleur. Parmi les facteurs mis en cause, se trouvent les difficultés psychologiques (dépression, anxiété, somatisation, trouble de la personnalité, catastrophisme et évitement de l’activité), l’insatisfaction au travail et le contexte de réclamation. Forts de cette connaissance, les pays industrialisés se dotent de lignes directrices pour la prise en charge de la douleur aiguë dans le but de réduire les coûts, tant pour la personne que pour la société. Vingt ans après la parution des premiers guides de pratique, et la publication subséquente de dizaines d’autres guides véhiculant essentiellement les mêmes informations, les médecins peinent toujours à appliquer les recommandations. À partir des données probantes issues de la littérature scientifique, le présent ouvrage propose une synthèse critique des résultats pour pousser la réflexion et faire avancer la démarche dans le sens d’une réduction des coûts personnels, financiers et sociétaux. / Disability due to pain is a significant problem owing to its personal, financial and societal costs. Scientific efforts are aimed towards the identification of the risk factors for the development of pain leading to a state which undermines the afflicted person’s ability to attend to his/her basic functions. These efforts highlight the key role that psycho-social factors play in each stage of the progression towards disability due to pain. Among the influencing factors are psychological difficulties (depression, anxiety, somatization, personality disorder, catastrophization and activity avoidance), dissatisfaction at work and the compensation context. In light of this awareness, industrialized countries have instituted policies for the management of acute pain with the aim of reducing costs, both for the patient and for society. Twenty years after the appearance of the first clinical practice guidelines and the subsequent publication of numerous other guides propounding essentially the same information, physicians are still struggling to apply the recommendations. Relying on the evidence from the scientific literature, this study proposes a critical synthesis of the results to provoke thought and to advance the process towards a reduction in the personal, financial and societal costs of pain.

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