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Remembering the Holocaust and the Jewish past in Kraków, 1980-2013Gryta, Jan January 2016 (has links)
This thesis examines the ways in which the Holocaust and the Jewish past have been remembered in Kraków, investigates the impact local memory work has had on Polish collective memory, and problematises the importance of the 1989 threshold for that memory work. Looking at Kraków, an exceptional and exceptionally important case study, between 1980 and 2013, the thesis investigates heritage creations in Kazimierz, the old Jewish Town, and traces the genealogies of Holocaust exhibitions presented in Kraków. It also traces the emergence of urban critical narratives about the past, pertaining both to the city and to Poland as a whole. Created in opposition to the mainstream ethno-nationalist narrative, which was often supported by both the Communist and the democratic governments, the interpretation of the past laid out in Kraków gradually incorporated the Jewish past into the narrative on Polish history. The thesis demonstrates how, over the course of thirty years, Jews came to be presented as rightful members of the Polish national community, and the Holocaust as an integral part of Polish war history, albeit still distinct to other sufferings. At the forefront of the process of excavating and presenting Kraków’s Jewish past were local memory activists. In particular, this thesis highlights the pivotal role played by mid-ranking officials from municipal administration and by fictive kinships in the process of urbanisation of memory. These individuals and groups translated the ideas of critical engagement with the nation’s history, propagated by some sections of the national elite, into a form that could be consumed by a mass audience. In addition, the thesis demonstrates that memory work on a local level persisted almost uninterrupted through the transition to democracy. Activists responsible for the creation of inclusive narratives in the 1980s, and the Krakowian intelligentsia in general, carried those ideas forward through the collapse of Communism – no radical reformulation of representations of the Jewish past or the Holocaust took place in the early 1990s. The local narratives grew progressively more critical and increasingly more cosmopolitan from the 1980s onward, but this process only truly accelerated after 2010. The present thesis argues that this post-2010 intensification was only possible after local activists had embraced new forms of commemoration and new modes of authentication within museum exhibitions. In particular it points toward the espousal of ‘complementary authenticities,’ a mode of authentication of narratives strongly anchored in history that at the same time aimed to incite an emotional response. This incorporation of ‘complementary authenticities’ allowed for the creation of narratives that sensitised audiences to the suffering of Poles regardless of their ethnic background. Thus the thesis relates the developments of memory work in Kraków to broader changes in culture, rather than solely to changes in political life.
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La sécession dans l'architecture à Cracovie, 1897-1914: un costume national, moderne et européenNowara, Malgorzata T. 27 March 2007 (has links)
La Sécession dans l’architecture à Cracovie (1897-1914) Un costume national, moderne et européen<p><p>A la fin du XIXe et au début du XXe siècle, l’Art nouveau envahit la majeure partie de l’Europe. Dans chaque pays, ce mouvement artistique prit des appellations et des physionomies différentes. Mélangé souvent aux traditions locales, ce style international développa un langage original jusqu’à devenir parfois synonyme de style national, revêtant selon le cas un costume national, moderne et européen. <p>Dans ce contexte international et de promotion de l’identité nationale, le cas très particulier de la Pologne est révélateur, puisqu’elle avait disparue des cartes de l’Europe et était partagée entre trois puissances :la Prusse, la Russie et l’Autriche. Pourtant si l’Etat polonais n’existait plus, la nation n’a jamais cessé d’exister à travers la culture et la religion. A ce titre l’étude de l’architecture de Cracovie, - ancienne capitale de la Pologne, sous occupation austro-hongroise, en Galicie - est significative.<p>A Cracovie, le style sécessionniste - expression utilisée dans l’Empire austro-hongrois et repris pour l’ensemble de la Pologne - influença le développement de tous les arts. Cependant de nos jours, ces traces sont surtout visibles sur les façades des édifices. De ce fait, notre analyse s’est limitée aux différents costumes sécessionnistes décoratifs dans l’architecture de Cracovie, pendant la période de la Sécession, c’est-à-dire de 1897 à 1914, dans huit quartiers, les plus anciens de la ville.<p>Au tournant du siècle, Cracovie devint très vite le berceau du mouvement sécessionniste en Pologne, le centre de la modernité, une ville européenne novatrice dans tous les domaines artistiques. Lieu de naissance de la « Jeune Pologne », les premières innovations apparurent grâce à de nombreuses personnalités artistiques marquantes, d’abord en peinture, ensuite en littérature et dans les arts plastiques, enfin en architecture. <p>La Sécession a laissé une quantité impressionnante de traces dans l’architecture cracovienne, décorant les plus importants monuments de tous les quartiers, s’illustrant dans les immeubles à appartements privés et laissant derrière elle également quelques chefs-d’œuvre.<p> <p>Le premier chapitre intitulé « La ville de Cracovie », brosse un aperçu du cadre général. Il vise à préciser dans ses grandes lignes le caractère spécifique de la tradition culturelle polonaise à Cracovie.<p><p>Le deuxième chapitre « La Sécession et la ville de Cracovie » intègre le rapport de la Sécession à l’intérieur de la ville et ce sous différents angles de vue. C’est doté de cet héritage que les écrivains, les artistes, les architectes et les constructeurs de la fin du siècle vécurent la crise qui remettait en question la fonction et le sens de leur activité par rapport à leur identité nationale. Leur dilemme est illustré par les plus grandes figures de la littérature et des arts plastiques. Nous avons pu mettre en évidence leur difficile tâche d’adaptation de cet héritage culturel, chacun à sa manière, aux problèmes liés aux nouvelles tendances modernes.<p><p>Le troisième chapitre intitulé « La Sécession dans l’architecture » constitue le cœur de notre thèse. Il est une analyse rétrospective du système sécessionniste dans l’architecture à Cracovie, accompagné d’un inventaire détaillé de la Sécession dans l’architecture de la ville. Il intègre ensuite ce thème dans le contexte national et le compare avec la situation dans d’autres métropoles européennes.<p>Le quatrième chapitre, « La Sécession dans les rues de la ville » donne de la perspective à notre inventaire en intégrant la Sécession dans le paysage urbain. <p>Le cinquième chapitre « L’Homme et la Sécession » s’intéresse à l’interaction entre l’homme et la Sécession et mettra en évidence les propriétaires, les commanditaires, les architectes et les constructeurs.<p>Enfin, le sixième chapitre intitulé « La Sécession et les juifs de Cracovie » met en relation l’apparition du nouveau style avec une partie de la population polonaise, les juifs de la ville.<p>De nos jours, il est difficile d’avoir une vue d’ensemble de l’intégration de la Sécession sur les territoires polonais sous occupation au tournant du XIXe et du XXe siècle et dans une plus large mesure en Europe. Il est cependant indéniable qu’elle fit sa première apparition à Cracovie et qu’elle y a marqué de son empreinte une quantité considérable de constructions, avant de s’étendre sur les territoires polonais sous occupation, et prétendre être le berceau de la Sécession en Pologne. <p>A la différence des autres pays européens, la Sécession cracovienne ne fut pas fondée sur des principes théoriques, sur un programme, résultant de l’évolution socio-historique du pays dont la situation était des plus complexes. En effet, elle a subi l’influence de différents courants européens, surtout de la Sécession viennoise, en revêtant différents costumes :national, moderne et européen. <p>Résultat de la convergence de facteurs culturels, politiques, économiques, sociaux, démographiques et esthétiques, Cracovie fin de siècle fut un lieu d’expérimentation et constitue encore aujourd’hui, le foyer vivant de cette dynamique culturelle et artistique née à la fin du XIXe siècle.<p>Si durant l’histoire, la Sécession dans l’architecture de Cracovie n’a pas toujours été appréciée à sa juste valeur, de nos jours un regain d’intérêt se fait sentir notamment par de nouvelles restaurations.<p>A présent, il est possible de cerner l’ampleur du phénomène sécessionniste à Cracovie. Une analyse de la présence du style dans tous les quartiers de la ville, ainsi que des constructions détruites, est nécessaire afin de mettre en évidence la véritable diffusion du nouveau style dans la ville au tournant du XIXe et du XXe siècle.<p>La présente thèse constitue un premier pas dans la compréhension du phénomène. Les résultats des travaux en cours au niveau européen permettront d’intégrer davantage la Sécession cracovienne dans un contexte international et de tisser des liens éventuels entre les différents foyers artistiques.<p><p><p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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"Even the thing I am ..." : Tadeusz Kantor and the poetics of beingLeach, Martin January 2012 (has links)
This thesis explores ways in which the reality of Kantor’s existence at a key moment in occupied Kraków may be read as directly informing the genesis and development of his artistic strategies. It argues for a particular ontological understanding of human being that resonates strongly with that implied by Kantor in his work and writings. Most approaches to Kantor have either operated from within a native perspective that assumes familiarity with Polish culture and its influences, or, from an Anglo-American theatre-history perspective that has tended to focus on his larger-scale performance work. This has meant that contextual factors informing Kantor’s work as a whole, including his happenings, paintings, and writings, as well as his theatrical works, have remained under-explored. The thesis takes a Heideggerian-hermeneutic approach that foregrounds biographical, cultural and aesthetic contexts specific to Kantor, but seemingly alien to Anglo-American experience. Kantor’s work is approached from Heideggerian and post-Heideggerian perspectives that read the work as a world-forming response to these contexts. Read in this way, key writings, art and performance works by Kantor are revealed to be explorations of existence and human being. Traditional ontological distinctions between process and product, painting and performance, are problematised through the critique of representation that these works and working practices propose. Kantor is revealed as a metaphysical artist whose work stands as a testament to a Heideggerian view of human being as a ‘positive negative’: a ‘placeholder of nothing’, but a ‘nothing’ that yet ‘is’ …
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Les élites dans les villes polonaises : étude de géographie sociale / Elites in Polish cities : a study in social geography / Elity w polskich miastach : studia w ramach geografii społecznejBouloc, Caroline 07 December 2013 (has links)
Le passage d’un système politique socialiste à un système capitaliste a engendré de grands bouleversements structuraux dans les espaces urbains polonais après 1989. Les élites, grandes gagnantes dans ce processus, redéfinissent les distances sociale et spatiale entre elles et les autres catégories sociales. Pour cerner les nouvelles dynamiques spatiales des élites polonaises, cette thèse s’appuie à la fois sur une analyse quantitative des changements dans la répartition spatiale des classes supérieures dans les trois plus grandes villes polonaises (Varsovie, Cracovie et Łódź), ainsi que sur des entretiens réalisés avec des représentants de cette catégorie plus particulièrement à Varsovie. Elle présente en premier lieu les résultats sociaux et urbains de la transition politique et économique démontrant que les élites ont réussi à se redéfinir dans ce nouveau contexte. Ensuite, une comparaison à macro-échelle de l’évolution des concentrations des classes supérieures dans ces trois villes de la moitié du XIXe siècle à 2002 a permis de prouver la persistance des mécanismes sociaux de distinction dans l’espace aux différentes époques. Les beaux quartiers d’avant-guerre n’ont ainsi jamais réellement disparu durant le socialisme, malgré une homogénéisation relative à l’échelle intra-urbaine. L’espace social en 2002 présente néanmoins une baisse des concentrations des classes supérieures s’expliquant en partie par la diffusion de ce groupe dans l’espace urbain après 1989. Enfin, l’analyse des comportements et des préférences résidentielles, ainsi que des représentations et des pratiques sociales des élites varsoviennes, a permis de mettre en relief différents comportements spatiaux suivant les élites, une constance des représentations mentales, mais aussi une évolution des pratiques sociales dans la ville. / After 1989, the transition from a socialist to a capitalist economic system created major structural changes in Polish urban areas. Élites, great winners in this process, are redefining social and spatial distances between themselves and other social groups. This thesis combines quantitative approaches in the analysis of the three largest cities of Poland (Warsaw, Cracow and Lodz) with qualitative analysis (interviews with representatives of Warsaw’s élites) in order to identify the new spatial dynamics of Polish élites. Firstly, this study presents the social and urban changes due to the political and economic transition of Poland, and explains how the élites are able to redefine themselves in this new environment. A comparison of the concentrations of the upper classes in the three cities (from the mid-nineteenth century to 2002) helps to prove the persistence of social mechanisms of distinction in space at different times. Despite the homogenization of social space during socialism, pre-war good neighbourhoods never really disappeared. Against all expectations, social space in 2002 presents lower concentrations of the upper classes than before 1989, due to social dispersion. Finally, the analysis of élites’ residential preferences and behaviours, together with the analysis of élites’ representations and social practices in Warsaw, helps to highlight different spatial practices according to the type of élite. Changes in social practices within the city occurred against a background of stable mental representations. / Przejście od systemu socjalistycznego do systemu kapitalistycznego przyczyniło się do poważnych zmian strukturalnych w polskich miastach po 1989 roku. Elity, jako wielcy wygrani tego procesu, na nowo ustanawiają dystansy społeczne i przestrzenne między sobą a innymi grupami społecznymi. Poniższa rozprawa doktorska opiera się zarówno na analizie ilościowej, przeprowadzonej w trzech największych miastach w Polsce (Warszawa, Kraków i Łódź) jak i jakościowej, w postaci wywiadów z przedstawicielami tej kategorii w Warszawie. Zastosowanie metod ilościowych i jakościowych umożliwiło identyfikację nowej dynamiki przestrzennej polskich elit. W rozprawie doktorskiej przedstawiono zmiany tkanki miejskiej oraz przemiany społeczne, będące wynikiem procesu transformacji systemowej oraz wyjaśniono w jaki sposób elity definiują się ponownie w nowym środowisku. Porównanie koncentracji wyższych kategorii społecznych w skali makro w trzech miastach od połowy XIX wieku do 2002 r. potwierdziło trwałość społecznych mechanizmów wyróżnianiania się tej grupy w przestrzeni w różnych okresach. Przedwojenne prestiżowe dzielnice nie znikły w okresie socjalizmu, pomimo homogenizacji społecznej w skali miasta. Niemniej jednak, koncentracja klasy wyższej w 2002 r. była niższa niż w 1988 r., z powodu rozpraszania się tej kategorii w przestrzeni miasta. Przeprowadzona analiza zachowań i preferencji mieszkaniowych, jak również analiza percepcji i praktyk społecznych warszawskich elit, uwypukliły odmienność zachowań społecznych elit. Poza tym, zmianie uległy również praktyki społeczne elit w mieście, podczas gdy percepcja społeczna i przestrzenna pozostały niezmienione.
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The music of Jeffrey LewisJones, David Kenneth January 2011 (has links)
The present thesis investigates the music and career of Jeffrey Lewis (born 1942). The thesis is broadly divided into three sections. First is an account of the composer’s life, told mainly through an overview of his works, but also through a sketch of his early years in South Wales, his studies in Cardiff, Darmstadt, Kraków and Paris, his academic career in Leeds and Bangor, and his subsequent early retirement from academia. There follows a more detailed study of six works from the period 1978 – 1985, during which certain features of Lewis’s musical language came to the fore, perhaps most notably a very individual and instantly recognisable use of modal language. After an Epilogue, the thesis concludes with an Appendix in the form of a Catalogue in which all Lewis’s known compositions are listed, together with details of performances, broadcasts and recordings. Lewis’s music often plays with our temporal expectations; the close interrelationship between texture, structure, harmony and melody, and its effect upon our perception of the passage of time, are explored in the main analyses. These are conducted partly by means of comparison with other works by Lewis or his contemporaries. Memoria is examined in relation to a similarly tranquil score, Naaotwá Lalá, by Giles Swayne. The following chapter discusses the extra-musical inspiration for Epitaph for Abelard and Heloise, whose relationship to Tableau is then explored in the next. The difficulties of creating a large-scale structure that unifies the work’s various harmonic elements are also investigated. The analysis of Carmen Paschale considers it in relation to Lewis’s other choral music, whilst the final analytical chapter compares and contrasts two three-movement works, the Piano Trio and the Fantasy for solo piano. Lewis’s melodic writing in the Piano Trio is discussed in relation to that of James MacMillan, and the origins of the first movement of Fantasy in Oliver Knussen’s Sonya’s Lullaby are explored. In the Epilogue, the possible reasons for Lewis’s current neglect are explored, various influences on Lewis’s musical thinking are laid out, and his achievements are assessed.
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