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Politische Sprachberatung als Symbiose von Linguistik und Sprachkritik : Zu Theorie und Praxis einer kooperativ-kritischen Sprachwissenschaft /Roth, Kersten Sven. January 2004 (has links)
Dissertation--Freiburg/Breisgau, 2003. / Bibliogr. p. 285-307.
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Anthropologie im Sprachdenken des 18. Jahrhunderts : die Berliner Preisfrage nach dem Ursprung der Sprache (1771) /Neis, Cordula, January 2003 (has links)
Diss.--Institut für romanische Sprachwissenschaft--Potsdam--Universität, 2001. / Bibliogr. p. [605]-648. Index.
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Religiöse Rede von Gott /Dalferth, Ingolf Ulrich, January 1981 (has links)
Les parties I et II de ce vol. constituent le texte remanié de : Diss. : Evangelische Theologie : Tübingen : 1977. - Bibliogr. p. 713-737. Index. -
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L'acte de parler comme acte métaphysiqueColin, Marcel 30 November 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2018
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Écriture et connaissance, le lent gage des mots tels qu'aileCourcy, Rodolphe 18 April 2024 (has links)
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Questions and quantifiers : an inquiry in natural language metaphysicsShimelman, Wendy Aviva 13 April 2018 (has links)
Cette thèse traite des questions quantifiées (QQs) et, plus spécifiquement, de trois phénomènes : « Pair-List Readings » (PLRs), « Weak Islands » (WIs) et « Intervention Effects » (IEs). Nous observons que, dans plusieurs cas, il existe contraintes sur l’interprétation des QQs qui s’avèrent purement linguistiques. Par exemple, ni la logique ni la pragmatique n’empêche de répondre à la question Who did few girls see? par l’usage d’ une « pair list »; néanmoins, on ne le ferait pas spontanément. La question fondamentale qui sous-tend cette thèse est la suivante : quelles présuppositions ontologiques soutiennent le mieux une sémantique explicite des langues naturelles? Cette recherche contribue à l’ensemble de preuves que la langue naturelle quantifie sur au moins deux domaines, celui des individus et celui des évènements. Nous avons conçu une méthode novatrice pour tester les intuitions des locuteurs quant aux « conditions de réponse » des questions. Elle nous a permis de constater que des phrases interrogatives quantifiées peuvent être ambigües et avoir a la fois une lecture dite « d’objet » et une autre dite « d’événement ». Nous démontrons que les conditions de vérité de la réponse PL à une QQ sont celles de sa lecture événement. Nous postulons est que les possibilités d’interprétation d’une QQ dépendent de l’interaction des valeurs de deux paramètres : le domaine de quantification, (celui des événements ou celui des individus, E or D) et le type sémantique de la phrase sujet, (référentiel ou quantificatif, < d> ou < < dt> t> ). Une lecture PL résulte de la combinaison [E, < d> ]. Les WIs se produisent de la combinaison *[ E, < < dt> t> ]. Nous avançons l’hypothèse que les langues naturelles ne génèrent pas cette combinaison, et qu’elle est exclue à cause d’un « type mismatch ». Les combinaisons [D, < d> ] et [D, < < dt> t> ] donnent lieu toutes les deux a une lecture « objet ». Les IEs sont dus à la combinaison de celle-ci avec un autre élément (« WH-AGENT ») qui s’interpose. Nous proposons deux alternatives pour la sémantique des QQs. La première est algébrique et emploie des « alternative sets »; la deuxième est dynamique. Ici, nous suggérons que l’opérateur interrogatif, Q, fonctionne à la manière d’un quantificateur adverbial comme généralement ou toujours. Cette approche permet un traitement plus uniforme des phrases déclaratives et interrogatives et elle contribue à l’unification de la sémantique des expressions nominales et verbales. / This dissertation looks at quantified questions (“QQs”) and, specifically, at Pair-List readings, Weak Islands and Intervention Effects (“PLRs, ” “WIs” and “IEs”). In many cases, we observe that there are constraints on the interpretation of QQs that are irreducibly linguistic. Although no logical or pragmatic constraint precludes understanding, say, Who did few girls see? as a request for a pair-list, that interpretation is unavailable. The “big question” that structures this project is: What ontological presuppositions best support an explicit semantics for natural language? We contribute to the growing body of evidence that natural language quantifies over at least two basic domains, viz., individuals and events. We develop a somewhat novel method of testing speakers’ intuitions with regard to the “answerhood conditions” of questions. We found, first, that some quantified interrogatives can be ambiguous between an object- and an event-related reading. The truth conditions of the PL response to a quantified question are those of its event-related reading. The truth conditions of responses to non-quantified in-situ questions are also those of the event-related reading; the truth conditions of responses to raised quantified questions are those of the object-related reading. We hypothesize that the interpretive possibilities in QQs are a function of the values of two parameters: the domain being quantified over (events or individuals, E or D) and the type of the subject phrase (referential or quantificational, < d> or < < dt> t> ). A PL reading results from the combination [E, < d> ]. WIs are the product of the “combination” *[E, < < dt> t> ]. We hypothesize that there are no extant examples of this combination in natural language – a type mismatch precludes it. Both the combinations [D, < d> ] and [D, < < dt> t> ] yield object-related readings. IEs result from the combination of the combination [D, < < dt> t> ] and an intervener, “WH-AGENT.” We develop two proposals for the semantics of QQs. The first is algebraic and makes use of “alternative sets.” The second is dynamic. Here, the question operator, Q, is treated like an adverbial quantifier of the ilk of usually or always. This approach permits a more uniform treatment of the semantics of nominal and verbal expressions and of declaratives and interrogatives.
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Le discours et la construction du sujet chez Michel FoucaultBeausoleil, Marie-Hélène 18 October 2021 (has links)
Depuis le début du XIXième siècle, les théories dominantes qui réfléchissent le langage (la linguistique, l'histoire des discours, la philosophie du langage, les sciences humaines) conçoivent ce dernier comme un instrument neutre (un signifiant) qu'un sujet manipule. Cette conception du langage se fonde sur l'existence d ·un sujet transcendantal, dont les dérivés que constituent le sujet psychologique et l'homme gardent l'essentiel des traits. Or, nous appréhenderons plutôt le langage en termes de discours, dans le sens où la globalité des figures discursives constituerait le fruit d'un ensemble de relations discursives organisées en un système réglé. Ce complexe relationnel qui produit des objets discursifs détermine du même coup des positions subjectives et engendre un mode général de subjectivation. Dès lors, aucun sujet ne se trouve plus au fondement du discours. Aussi, l'homme, en tant qu'il s'inscrit dans une logique de la finitude, advient dans le mouvement même par lequel il affronte sa propre mort.
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Essai sur les causes, les formes et les limites de l'inflation du langage dans la philosophie contemporaineHottois, Gilbert January 1976 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Autour du principe de réalité en physique quantique : études sur Planck, Bohr et HeisenbergRhéault, Paul. 13 October 2021 (has links)
Ce mémoire s'inscrit à l'intérieur d'une réflexion systématique et critique portant sur le concept de réalité, à partir des recherches de Planck, Bohr et Heisenberg qui permirent le développement de la physique quantique; celle-là même qui allait bouleverser les fondements scientifiques acquis, sur lesquels reposait notre connaissance du monde. Cependant, la quête pour la connaissance du réel, par le biais de la physique quantique, en tant que langage sur le réel, pose le problème de ce qu'il conviendrait de nommer la réalité, vue à partir d'un langage mathématique essentiellement abstrait. Le problème de l'"accessibilité" au réel, par le biais de telles constructions mentales, est en fait une question de légitimité de l'investigation théorique dans la quête du réel et ce, en tant qu'organisation spécifique d'un langage beaucoup plus vaste sur lequel elle revient constamment s'appuyer, celle de sa raison même de penser le monde existant, de le pressentir à travers la multiplicité de ses manifestations.
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L'indissociabilité de la pensée et du langageSimard, Yanik 18 December 2021 (has links)
Les écrits semblent poser en principe un lien étroit entre langage et pensée. Autant on semble affirmer le principe de l'indissociabilité de ce lien entre le langage et la pensée, autant on explique peu comment s'établit ce lien. L'objectif de ce mémoire est d'étudier de plus près comment certains auteurs expliquent ce lien indissociable. L'objet second constitue une critique de cette indissociabilité. A l'aide de certains ouvrages, dont ceux de Gusdorf, Sapir et Wittgenstein, j'ai observé que les liens entre la pensée et le langage ont des similitudes et des divergences. Par exemple, par des chemins différents, Gusdorf et Sapir ont des positions qui se ressemblent. La réciprocité et le mutualisme semblent les principaux liens qui expliquent, selon ces auteurs, l'indissociabilité entre la pensée et le langage. Dans Investigations philosophiques, Wittgenstein suggère, pour sa part, l'indissociabilité entre la pensée et le langage. Pour cet auteur, le langage est antérieur à la pensée. Et c'est le langage qui fait apparaître la pensée. Dans Tractatus logico-philosophicus, de même que dans Remarques philosophiques, la pensée et le langage semblent dissociables. La pensée est plutôt affirmée comme étant antérieure au langage. Ce n'est pas le langage qui rend nécessairement manifeste la pensée; celle-ci doit se rendre manifeste d'elle-même. Si les philosophes semblent plutôt d'accord pour affirmer l'indissociabilité entre la pensée et le langage, je suis surpris de constater que les argumentations sont peu élaborées pour expliquer cette sorte de lien. L'indissociabilité entre la pensée et le langage serait-il un principe premier? Se peut-il que la culture, l'éducation aient indirectement fait en sorte que ce principe de l'indissociabilité du langage et de la pensée ne puisse être remis en question?
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