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Aʻmāl maǧmaʻ al-luġaẗ al-ʻarabiyyaẗ bi-al-Qāhiraẗ : manāhiǧ tarqiyyaẗ al-luġaẗ tanẓīrā wa-muṣṭalaḥā wa-muʻǧamā /Ḥamzāwī, Muḥammad Rašād al-, January 1988 (has links)
Texte trad. de: Thèse de doctorat--Etudes arabo-islamiques--Paris-Sorbonne, 1972. Titre de soutenance : L'académie de langue arabe du Caire : histoire et oeuvre. / Mention parallèle de titre ou de responsabilité : L'@Académie de langue arabe du Caire : histoire et oeuvre / Rached Hamzaoui. Bibliogr. p. 599-612. Index.
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La capitale de l'Égypte jusqu'à l'époque fatimide, al-Qāhira et al-Fusṭāṭ : essai de reconstitution topographique /Sayyid, Ayman Fuʼād, January 1998 (has links)
Texte remanié de: Th. / Mention parallèle de titre ou de responsabilité : ʻ@Āsimaẗ Miṣr ḥattá nihāyaẗ al-ʻaṣr al-fāṭimī, al-Qāhiraẗ wa al-Fusṭāṭ : dirāsaẗfī iʻādaẗ tah̲ṭīṭihā. Contient, en appendices, des documents en arabe, ainsi qu'un résumé de l'ouvrage également en arabe. Bibliogr. p. 693-716. Index. Glossaire.
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Al-Qāhiraẗ fī al-adab al-miṣrī al-ḥadīt̲ wa al-muʻāṣir min ḥulm al-madinaẗ al-kabīraẗ ilá ʻuzlaẗ al-ḍawāḥī /Hišmat, Dīnā, January 2006 (has links)
Texte traduit de: Thèse de doctorat--Langues, civilisations et sociétés orientales--Paris 3, 2004. Titre de soutenance : L'évolution des représentations de la ville du Caire dans la littérature égyptienne moderne et contemporaine. / Bibliogr. p. 281-297.
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The citadel of Cairo : a new interpretation of royal Mamluk architecture /Rabbat, Nasser Omar. January 1995 (has links)
Texte remanié de: Diss. Ph. D.--Cambridge, Mass.--Massachusetts institute of technology, 1991. / Bibliogr. p. 311-325. Index.
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Annäherung und Distanz : Schia, Azhar und die islamische Ökumene im 20. Jahrhundert /Brunner, Rainer. January 1996 (has links)
Modifié de: Diss.--Gemeinsame Aussschuß der philosophischen Fakultäten--Freiburg-im-Breisgau Universität, 1995. / Bibliogr. p. 303-319. Index.
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Yūḥannā al-Armanī al-Qudsī et le renouveau de l'art de l’icône en Égypte ottomane / Yūḥannā al-Armanī al-Qudsī and the renewal of icon art in Ottoman EgyptAuber, Julien 29 November 2018 (has links)
Actif de 1740 à 1786, année de sa mort, Yūḥannā al Armanī al-Qudsī fut l’un des plus prolifiques peintres d’icônes que l’Égypte ottomane ait pu connaître. Bénéficiant d’un renouveau politique et économique, les chrétiens d’Égypte ont pu restaurer et mettre en valeur leur patrimoine religieux, notamment en faisant réaliser de nombreuses icônes pour décorer les églises. Yūḥannā al Armanī et son proche collègue Ibrāhīm al-Nāsiḫ répondirent à cet appel en développant de grands ateliers prêts à répondre à ces commandes. Le résultat est si spectaculaire que, encore aujourd’hui, il est difficile de ne pas visiter une église copte du Caire sans voir un panneau réalisé par l’un ou l’autre de ces hommes. La réunion d’un corpus de plus de quatre cents icônes permet désormais d’envisager l’ampleur du travail qui résulta de ce tandem. Le style des peintres est également ce qui fait la grande originalité de cette production. Souvent indéfinissable, comme le remarquait déjà en son temps A. J. Butler à la fin du XIXe siècle, celui-ci illustre les multiples sources qui ont été utilisées. On y trouve à la fois, pêle-mêle, des inspirations des traditions chrétiennes locales, des évocations de tissus ottomans ou des compositions issues de tableaux européens. Cette particularité tient dans un fait bien concret. Yūḥannā al Armanī, comme son nom l’indique, est issu d’une famille arménienne. Bien qu’étant né en Égypte et ayant épousé une Égyptienne copte, il n’en demeure pas moins très attaché à ses racines, aussi bien par son lieu d’habitation au Caire – proche de l’église arménienne – que par la sociabilité qu’il développe. Afin de mieux cerner ce peintre atypique et son œuvre, il convient de cerner les réseaux qui existent au Caire dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Ses sources d’inspiration ont ainsi pu notamment être découvertes au détour d’ouvrages liturgiques imprimés en Europe ou à la Nouvelle-Djoulfa et retrouvés dans la bibliothèque des pères franciscains du Mūski au Caire. Comprendre l’art de Yūḥannā al Armanī permet ainsi de mieux cerner la diffusion des iconographies chrétiennes en Afrique et au Proche-Orient, voguant, au gré des courants de la mer Méditerranée. Son œuvre montre qu’il n’est pas simplement entre Orient et Occident, il est au croisement de circulations complexes qui font éclater cette problématique. / Active from 1740 to 1786, the year of his death, Yūḥannā al Armanī al-Qudsī was one of the most prolific icon painters that Ottoman Egypt has ever known. Benefiting from a political and economic renewal, the Christians of Egypt have been able to restore and enhance their religious heritage, in particular by having many icons made to decorate churches. Yūḥannā al Armanī and his close colleague Ibrāhīm al-Nāsiḫ responded to this call by developing large workshops ready to respond to these orders. The result is so spectacular that, even today, it is difficult not to visit a Coptic church in Cairo without seeing a panel made by one or the other of these men. The gathering of a corpus of more than four hundred icons now makes it possible to consider the extent of the work that resulted from this tandem. The style of the painters is also what makes this production so original. Often undefinable, as already noted in his time A. J. Butler at the end of the 19th century, this one illustrates the many sources that have been used. There are both, jumbled together, inspirations from local Christian traditions, evocations of Ottoman fabrics or compositions from European paintings. This particularity is based on a very concrete fact. Yūḥannā al Armanī, as its name suggests, comes from an Armenian family. Although he was born in Egypt and married a Coptic Egyptian, he remains very attached to his roots, both by his place of residence in Cairo - close to the Armenian church - and by the sociability he develops. In order to better understand this atypical painter and his work, it is necessary to understand the networks that existed in Cairo in the second half of the 18th century. His sources of inspiration have been discovered in liturgical works printed in Europe or New Julfa and found in the Franciscan's Library at Mūski in Cairo. Understanding the art of Yūḥannā al Armanī thus makes it possible to better understand the diffusion of Christian iconographies in Africa and the Near East, sailing, according to the currents of the Mediterranean Sea. His work shows that he is not simply between East and West, he is at the crossroads of complex circulations that make this problem explode.
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Der Amun-Re Hymnus des P. Boulaq 17 (P. Kairo CG 58038) /Luiselli, Maria Michela. January 2004 (has links)
Magisterarbeit--Facoltà di Lettere e Filosofia--Roma--Università degli studi di Roma "La Sapienza", [2003].
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Le Centre-ville du Caire à l'épreuve des évolutions politiques et socio-économiques: - Paysages, fonctions, accessibilité et pratiques des habitants -Abo Elela, Mohamed 31 January 2011 (has links) (PDF)
La métropole est directement gérée par les services de l'Etat. Les politiques économiques et urbaines lancées par les régimes politiques successifs, à partir des années 1952, ont profondément modifié la structure sociale des Egyptiens. Ces politiques étaient le moteur de la dynamique sociale, résidentielle et fonctionnelle. La mobilité des classes aisées vers les quartiers périphériques a créé le phénomène de polycentrisme. Par conséquent, une grande partie des services de luxe ont abandonné la zone centrale pour suivre leurs clients. Malgré la dégradation des services du noyau central, ce dernier a paradoxalement conservé sa position en tant que centre de pouvoir. En fait, le développement de grands centres commerciaux périphériques n'a pas entraîné la mort du centre-ville du Caire. Ce dernier s'est adapté grâce à ses propres modalités qui renforcent certains types de centralité. Cependant, l'abaissement de certaines substances affaiblit d'autres types de centralités.
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Le centre ville du Caire : émergence d'un centre d'affaires dans un cadre héritéRohard, Dominique 29 September 1995 (has links) (PDF)
Durant la deuxième moitié du XIXème siècle, la ville du Caire se dédouble sous l'impulsion urbanistique du Khédive Ismaïl. Ce cadre haussmannien a pu accueillir l'essentiel des fonctions du tertiaire supérieur jusqu'à la veille de la Seconde guerre mondiale. Depuis, il est devenu trop étroit pour répondre aux besoins d'espace sans cesse accrus de ces fonctions. La ville s'est très vite développée horizontalement d'une manière tentaculaire. La multiplicité des sites tertiaires a abouti à un polycentrisme. Le centre ville ne perd cependant pas sa primauté à l'échelle du Grand Caire. La dualité entre les deux rives du Nil se retrouve, à l'intérieur du Centre ville, entre les pôles financiers et touristiques des secteurs situés soit en contact avec la vieille ville soit sur la Corniche. Même si le Caire ne fait pas partie des grandes places financières internationales, le secteur financier reste très attaché à ce coeur urbain dont l'architecture ne correspond plus aux normes contemporaines des activités de bureau. Plutôt qu'une destruction systématique, une tendance se dégage pour conserver ce site en l'état. Plusieurs sièges sociaux sont maintenant reconstruits à la périphérie immédiate du centre ville. Celui-ci peut retrouver une vocation touristique en reliant la Corniche à la vieille ville.
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L'arraisonnement des milieux urbains : .analyse des flux cataboliques au Caire (Egypte) et à Lyon (France) / Enframinq urban milieus : .an analysis of catabolic flows in Cairo (Egypt) and Lyon (France)Desvaux, Pierre 14 December 2017 (has links)
Cette thèse propose une approche qualitative du métabolisme urbain à partir du cas des flux de déchets au Caire (Égypte) et à Lyon (France). Il s’agit de dépasser l’impossibilité présumée de la comparaison de cas d’études a priori très éloignés (selon un axe Nord/Sud) en proposant une grille de lecture centrée sur la multiplicité des infrastructures sociales et techniques permettant la circulation et la transformation de ces matières. Elle se penche plus particulièrement sur les flux dits cataboliques permettant de décrire l’ensemble des étapes de transformations et de circulation de la matière permettant la « mort sociale des objets » entendue comme une protection hygiénique et critique à l’égard de leur dangerosité. L’analyse du déploiement des flux cataboliques à travers les milieux urbains permet ainsi de mettre en avant les formes prises par le contrôle de ces flux. Cette formalisation est ici présentée comme un arraisonnement du milieu, pensé comme une mise en ordre des milieux par des pratiques hétérogènes de codage et de surcodage. Ces notions permettent d’identifier un modèle d’urbanisation occidental pensé comme une mise en ingénierie des milieux urbains (ingénierie mésologique). Cette grille de lecture se conçoit comme un « troisième terme » permettant de faire dialoguer des cas d’étude souvent considérés incommensurables en raison d’une approche tératologique des modèles de développement urbain du Sud. Cette approche est marquée par une volonté de justice épistémologique entrant dans le cadre de la refondation postcoloniale des études urbaines et par la volonté de participer au développement de ce que Souleymane Bachir Diagne nomme un « universalisme de traduction ». À partir de ce cadre théorique sont analysés le fonctionnement et les évolutions historiques et contemporaines des pratiques d’arraisonnement gouvernementales ou non des flux cataboliques au Caire et à Lyon dans le contexte du déploiement du métabolisme capitaliste contemporain. / This thesis intend to formulate a qualitative analysis of urban metabolism based on the study of waste circulations in Cairo (Egypt) and Lyon (France). I propose here an analytical framework centered on multiple social and technical infrastructures allowing the circulation and transformation of matter to overlook assumptions of incommensurability of Northern and Southern urban contexts. Catabolic flows are presented as a way of encompassing the whole of the process of the « social death of things » understood as a practice of protection from the hygienic and critic hazards of waste. Such flows are deployed by an effort of enframing urban milieus through heterogeneous practices of coding and overcoding. Those notions help me to identify an western form of urbanization relying on an engineering of urban milieus (mesologic engineering). This theoretical frame is thought as a « third term » allowing a discussion between cases oftenly considered as incommensurable because of teratological understanding of urban development in the South. The idea is to set up what Souleymane Bachir Diagne calls an « universalism of translation » in line with postcolonial inquiries of a necessary renewal of urban theories through the study of southern urban experiences. Starting there, catabolic flows are studied through the analysis of enframing practices in Lyon and Cairo in the context of contemporary capitalist metabolism.
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