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L'inculturation de la liturgie

Cloutier, Donald 16 April 2018 (has links)
Ce mémoire étudie et établit la relation entre l'inculturation, phénomène nouveau dans le processus d'évangélisation, et un domaine qui est au coeur même de la vie de l'Église : la liturgie. La réalité encore nouvelle de l'inculturation de la liturgie suscite une certaine espérance quant aux retombées possibles qu'elle peut entraîner dans le secteur de la mission de l'Église et de la liturgie. Considéré comme étant un des premiers fruits de l'inculturation liturgique, le Missel romain pour les Diocèses du Zaïre est à ce titre très significatif. Les notions d'incarnation et d'évangélisation imprègnent de manière importante le processus d'inculturation de la liturgie, apparaissant en réalité comme les fondements sur lesquels reposent sa réalisation et son efficacité.
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Voir sans regarder, montrer sans laisser voir : l'élévation de l'hostie et son rapport visuel avec les fidèles en Europe occidentale, du milieu du XIIe siècle à la fin du XIVe siècle

Laprise, Maxime 24 April 2018 (has links)
Au milieu du XIIe siècle, l'Occident chrétien assiste à l'apparition d'un nouveau rituel liturgique au cours duquel le prêtre élève au-dessus de sa tête l'hostie qui vient d'être consacrée et transformée en corps du Christ. Selon l'historiographie, ce que l'on nomme « élévation de l'hostie » doit permettre aux fidèles de voir et d'adorer l'objet pour pallier la diminution progressive de la fréquence des communions depuis la Réforme grégorienne dans le dernier quart du XIe siècle. Or, cette thèse apparait problématique dans la mesure où les textes liturgiques ainsi que les conciles synodaux ordonnent aux fidèles de s'incliner, de s'agenouiller, de baisser les yeux et même de se prosterner. De plus, une multitude d'obstacles physiques comme des jubés, des clôtures, des rideaux ou un certain nombre de clercs ne peut que limiter la visibilité de l'objet. Ensuite, du point de vue théologique, on ne cesse de rappeler qu'il est impossible de voir Dieu par les yeux du corps et que la visio dei, qui relève des yeux spirituels, ne peut se réaliser en cette vie. Une foi réelle doit d'ailleurs se passer de la vision, de la science ou de la connaissance, car comme le disent les Écritures, « heureux ceux qui ont cru sans voir ». Il en résulte une certaine ambivalence, voire parfois une dévalorisation de la vision corporelle. Sens le plus spirituel, il est aussi le plus dangereux lorsque mal utilisé. La présente recherche porte sur l'apparition, l'évolution et la fixation du rituel de l'élévation de l'hostie du milieu du XIIe siècle à la fin du XIVe siècle et tente de démontrer que sa fonction n'est pas de montrer l'hostie aux fidèles qui sont largement découragés, par une multitude de moyens, de la regarder et qu'elle possède une fonction sociale et liturgique indépendante de leur regard.
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L'Encens et le luminaire dans le haut Moyen Age occidental: liturgie et pratique dévotionnelles / Incense and lighting in high Middle Ages: liturgy and devotional uses

Gauthier, Catherine 13 May 2008 (has links)
Cette recherche étudie l'importance de la liturgie et de la paraliturgie dans la société médiévale par le biais des utilisations et de la symbolique de l'encens et du luminaire dans la liturgie romano-gallicane (VIe-Xe s.)et dans les pratiques dévotionnelles du haut Moyen Age occidental.<p><p>L’importance de l’Église dans tous les aspects de la vie au Moyen Âge est indéniable. Pourtant l’on connaît encore mal la place qu’y occupe la liturgie ;or, la liturgie est au cœur de l’Église puisque elle est définie comme l’ensemble des rites et principes mis en place par une religion – ici chrétienne – pour établir le déroulement des actes cultuels et de la relation au sacré. Elle est dès lors fondamentale à une époque où la majorité du corps social se reconnaît comme chrétien, elle est l’expression de la religion et rythme toute la société médiévale. <p>Depuis plusieurs années, elle suscite l’intérêt justifié de quelques médiévistes. Ceux-ci ont souligné l’importance de considérer la liturgie dans sa globalité, c'est-à-dire de dépasser la simple étude des livres liturgiques pour s’intéresser également à la façon dont la liturgie était perçue, reçue et vécue par les fidèles notamment au travers de leurs pratiques dévotionnelles, c’est ce que l’on appelle la paraliturgie. <p><p>La liturgie se caractérise par la récurrence des rites qui sont des suites ordonnées de gestes, de sons, d’objets mis en œuvre par un groupe social à des fins symboliques. À ce titre, l’étude des éléments constitutifs de la liturgie se justifie pleinement, puisque le rite ne s’accomplit et n’est efficace que dans la permanence de tous ses éléments. <p><p>L’encens et le luminaire ont ceci de particulier que leurs fonctions utilitaires, pour éclairer et désodoriser, les rendent indispensables à la liturgie. Par ailleurs, le propre du rituel est de donner sens, or, l’encens et le luminaire, par leurs propriétés naturelles se sont vus conférer un sens symbolique dans toutes les cultures où ils sont utilisés. Ce sont des éléments bénéfiques utilisés particulièrement dans la religion car ils permettent de matérialiser la communication entre le monde terrestre et le monde céleste. Toutefois, dans la religion chrétienne, l’encens et le luminaire ont un statut inférieur ou secondaire par rapport au calice ou à l’hostie par exemple. <p><p><p>L’ensemble de ces caractéristiques augurait de l’existence d’un rapport particulier entre ces objets et le fidèle ;leur étude constitue dès lors un outil efficace pour connaître l’impact de la liturgie sur la société médiévale. Sans compter que l’étude des éléments constitutifs de la liturgie n’en est qu’à ses débuts, et si le luminaire a suscité quelques publications récentes, l’encens n’a que peu été abordé ;l’étude de leur couple est, en tous les cas, inédite. Par ailleurs, l’étude de l’encens et du luminaire s’inscrit dans des débats historiographiques plus larges notamment celui des relations commerciales, puisque l’encens est un produit oriental et l’huile d’olive méditerranéen, ce qui en renforce encore l’intérêt. <p><p>Pour connaître les utilisations de l’encens et du luminaire dans la liturgie, préalables indispensablse à la connaissance de leurs emplois dans la paraliturgie, il faut se tourner vers les sources liturgiques ce qui consitute la première partie du travail. <p>L’analyse de ces différentes sources liturgiques a permis de mettre en évidence les usages officiels et les symboliques donnés à l’encens et au luminaire dans les différents rituels de la liturgie romano-gallicane (la messe, la liturgie pascale, la dédicace, l’office divin, le temps de Noël, les funérailles et les rituels d’admission). <p>En définitive, l’encens et luminaire sont des médiateurs entre le monde terrestre et le monde céleste, ils matérialisent et réifient ce lien réciproque. Ils ont un caractère propitiatoire important, intimement lié à leurs vertus apotropaïques et basé sur leurs propriétés naturelles. <p>Les sources liturgiques ne fournissent pas d’information sur le fonctionnement de l’encens et du luminaire, sur leur économie ou sur la façon dont ils étaient utilisés par les fidèles pour manifester leur dévotion ;même si elles laissent entrevoir de riches possibilités. <p>Le champ des recherches à été élargi par l'étude de « dossiers ». Les recherches ont été focalisées autour de centres religieux bien connus dans l’historiographie grâce à des sources remarquables par leur qualité et/ou leur quantité qui ont suscité une bibliographie conséquente. Toutes les sources relatives au centre religieux ont ensuite été dépouillées et analysées systématiquement. Les dossiers de Tours,Reims, Auxerre et Saint-Riquier ont livré beaucoup d’éléments tant sur les questions de la fourniture et du fonctionnement que sur celles des pratiques dévotionnelles liées au luminaire. Les sources "non-liturgiques" de ces quatre dossiers ont ainsi révélé des pratiques communes pour assurer l’approvisionnement en luminaire, qui constitue une dépense importante. L’approvisionnement en encens est plus difficile à déceler. <p>Les sources non-liturgiques, en particulier les récits hagiographiques, apportent de la densité et de l’atmosphère aux sources liturgiques particulièrement froides et factuelles. Elles donnent incidemment des informations sur la forme et le fonctionnement du luminaire principalement, et elles complètent et corroborent les éléments de la première partie. Les éléments concernant le culte des saints sont nombreux. <p>Les pratiques dévotionnelles relevées (culte des saints, donations pour le luminaire, offrandes de cierges, utilisations apotropaïque du luminaire et de l'encens, etc.) témoignent donc que les symboliques du cierge, plus largement du luminaire, et de l'encens sont communes aux pratiques liturgiques et dévotionnelles. <p><p>Le travail montre que la cire, l’huile et l’encens sont utilisés de façon régulière par les églises et qu’ils étaient disponibles sur les marchés locaux pour les ecclésiastiques. Il faut vraisemblablement distinguer plusieurs niveaux de qualité conditionnant l’utilisation de ces matières. <p><p>L’encens et le luminaire sont des outils pertinents pour apprécier la façon dont la liturgie était vécue dans la société médiévale, notamment grâce à leurs usages dans les pratiques paraliturgiques. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le rite institutionnalisé : la gestion des rites religieux par l'Église catholique du Québec, 1703-1851 / Gestion des rites religieux par l'Église catholique du Québec, 1703-1851

Perron, Alain 24 April 2018 (has links)
En histoire religieuse la pratique officielle a généralement été considérée comme un indice utile à la mesure de tendances d'adhésion plutôt qu'en elle-même. Cette recherche postule, au contraire, que le rite est un objet culturel fondamentalement historique, multiplement appréhendé, employé, investi. Elle propose d'étudier la manière dont il est utilisé par l'Église, dans la construction de sa propre identité comme institution sociale d'une part, et comme outil privilégié pour la diffusion de normes comportementales dans le corps social d'autre part. Du point de vue de la méthode, on s'écarte du partage figé entre une «religion d'élite» et une «religion populaire», pour proposer une analyse dynamique des modes de représentation du monde, de normalisation des pratiques et de définition des groupes. Le rite offre l'occasion de pénétrer en profondeur les mécanismes qui ordonnent ces phénomènes, non pas uniquement au travers des idéologies dévoilées, mais par l'analyse du fonctionnement des dispositifs rituels. Les rites sont envisagés comme un ensemble d'énoncés qui portent avec eux des stratégies de pouvoir. La démarche est double, cherchant à la fois à déterminer la manière dont fonctionnent concrètement les dispositifs de contrôle, mais aussi à révéler les représentations, construites et partagées, qu'ils véhiculent. Les travaux anthropologiques fournissent l'essentiel de l'appareillage conceptuel. Sans proposer une application trop immédiate de modèles définis pour décrire la ritualité d'autres univers culturels, la recherche utilise en particulier les travaux de Clifford Geertz, Emile Durkheim, Claude Lévi-Strauss. L'analyse est conduite selon trois axes. Dans un premier temps, il s'agit de dégager, par un examen des discours ecclésiastiques auxquels le rite a donné lieu, les contours d'une idéologie cléricale du rite qui fait la plus grande place au concept d'efficacité. Une seconde étape identifie les principales structures qui portent le contrôle que l'Institution exerce sur le rite: le rôle du prêtre, l'inspection des lieux et des choses, la création et l'utilisation des livres liturgiques. Enfin, la troisième et dernière phase de l'analyse cherche à cerner la manière dont l'Institution exerce concrètement un contrôle sur les représentations culturelles par la médiation du rite au travers des trois pôles fondamentaux que sont le temps, l'espace et le corps. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Epigraphie et histoire culturelle: apport des inscriptions médiévales à l'histoire de la liturgie et des mentalités religieuses (espace belge, v. 500-v. 1300) / Epigraphy and cultural history: contribution of the medieval inscriptions to history of the liturgy and of the religious mentalities (Belgian space, c. 500-c. 1300)

Lambot, Stéphanie 03 April 2009 (has links)
Cette thèse de doctorat offre deux aspects de la recherche en épigraphie médiévale, à savoir la réalisation d'un corpus des inscriptions médiévales conservées et/ou concernant les diocèses d'Arras, de Cambrai, de Liège, de Thérouanne et de Tournai, et l'étude de ces inscriptions dans une perspective historique. Pour cela, les épigraphes ont été classées en quatre groupes: les inscriptions sur les objets archéologiques mérovingiens, les inscriptions funéraires (épitaphes, endotaphes et authentiques de reliques), les inscriptions relatives à l'histoire des bâtiments religieux et les inscriptions sur les objets liturgiques. Pour chaque catégorie, les formulaires des textes ont été analysés pour eux-mêmes, puis les uns par rapport aux autres. Ils ont ensuite été étudiés en tenant compte du contexte d'insertion (emplacement dans les édifices de culte, rapport avec d'autres textes ou avec des images, etc.). Le but de cette démarche est de déterminer la fonction des inscriptions médiévales et d'enrichir notre connaissance de l'histoire de la mort et de la liturgie au Moyen Age. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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