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Les mémoires de Louis XIV dans l'historiographie : l'absolutisme au fil de ses relectures

Chagnon, Jean 11 1900 (has links) (PDF)
J'ai entrepris ce mémoire de maîtrise afin de mieux faire connaître le Mémoires de Louis XIV. Mon mémoire porte le titre suivant : «Quelle interprétation de l'absolutisme de Louis XIV peut-on tirer de ses Mémoires?». Le titre originel des Mémoires de Louis XIV était Mémoire pour l'éducation du dauphin et leur objectif était également de former à son métier de roi le fils aîné du roi Louis XIV (le dauphin).Ce texte dont la paternité fut longtemps déniée à Louis XIV, lui est dorénavant reconnue par la grande majorité des historiens. Toutefois la signification, ou si l'on préfère leur interprétation, suscite toujours des opinions divergentes. Par contre, il nous est apparaît manifeste que Louis XIV a traité à l'intérieur de ses Mémoires de l'art de régner, de son «métier de roi» ; ce qui signifie régner et gouverner sans premier ministre. Ces Mémoires sont donc ceux d'un souverain qui a voulu le pouvoir, l'a exercé, et qui explique ce qui a guidé ses décisions. En effet, une certaine définition de l'absolutisme est offerte dans les Mémoires du Roi-Soleil. Celle-ci n'est pas entièrement claire, mais elle révèle une intention véritable malgré tout. L'intention de montrer qu'un roi doit seul tenir les rênes de L'État. Nous avons procédé par un premier chapitre consacré à la nature des Mémoires du Roi-Soleil, leur authenticité et leur teneur. Le deuxième chapitre portera sur l'historiographie de notre problématique. Cette historiographie et son évolution du XVIIIème jusqu'à aujourd'hui fait voir le rôle de Louis XIV, quant à l'édification de l'État-Nation, et surtout le lien existant entre la perception de celui-ci et le nationalisme français. Le troisième chapitre, quant à lui, dévoile comment Louis XIV a appris son «métier de roi», et comment a-t-il pu s'emparer du pouvoir. L'instauration de ce pouvoir personnel ayant exigé une reconfiguration de l'État (ainsi que l'élimination du surintendant Nicolas Fouquet), et le recours à la guerre comme instrument d'exercice de l'autorité souveraine. Pour ce qui est du quatrième chapitre, il est consacré au contexte littéraire ayant entouré la rédaction des Mémoires de Louis XIV, des thèmes dominants qui prédomine à l'intérieur de ces Mémoires; et principalement de la manière que le Roi-Soleil concevait l'absolutisme, et de la façon que celui-ci est défini dans les Mémoires du Grand Roi. Cet absolutisme qui ne fut pas inventé par Louis XIV, mais bien résultant d'une œuvre séculaire; reçu du Roi-Soleil une impulsion particulière, à l'origine de la création d'un système de gouvernement destiné à régir la façon de gouverner des rois Bourbons, jusqu'à la Révolution française. Notre mémoire procède également à une meilleure description de cet absolutisme. Il montre que Louis XIV a voulu instaurer un absolutisme de type personnel reposant sur une notion de propriété, une notion de propriété «dynastique», ayant pour objectif de valoriser une famille royale, la dynastie des Bourbons en l'occurrence. Ces Bourbons dont Louis XIV fait une famille appelée par le Très-Haut à régner sur la France. Car l'absolutisme du Roi-Soleil avait une origine divine pour celui-ci. Le roi de France étant seul habilité à régner sur la France et à la gouverner, car ayant été choisi par Dieu pour cette noble tâche. Ce qui fait en sorte que le Roi-Soleil ne pouvait tolérer qu'un premier ministre, si qualifié soit-il, ou que quiconque, puisse exercer la souveraineté à la place du monarque. Autrement dit, nous expliquons pour quelle raison Louis XIV ne voulut jamais d'un autre Richelieu auprès de lui. Le roi seul étant pourvu des lumières requises afin de comprendre les mystères de l'État, des arcanes secrets de la royauté. Et seul un roi ayant l'insigne prérogative de pouvoir divulguer, comment ne s'exerce cet art à nul autre pareil, celui de pratiquer le «métier de roi». En conclusion, notre mémoire explique de nouveau, comment cet absolutisme de Louis XIV est décrit à l'intérieur des Mémoires du Roi-Soleil. Il insiste sur les composantes fondamentales de cet absolutisme, ainsi que sur les aspects novateurs contenus à l'intérieur des Mémoires du Grand Roi. Louis XIV manifestant un sens aigu de l'importance de l'opinion publique, presque ahurissant pour un monarque se targuant de n'avoir aucun juge terrestre, et de relever uniquement de sa conscience et de Dieu. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : absolutisme, pouvoir royal, monarchie absolue, dynastie, souveraineté.
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Étude contemporaine de la cour de Louis XIV d'après le Journal du marquis de Dangeau 1684 à 1699

Roy, Mélanie January 2000 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L’icône royale : fabrications collectives et usages politiques de l’image religieuse du roi de France au Grand Siècle / The Royal Icon : collective Making and Political Uses of the Religious Image of the King of France in the Seventeenth Century

Lavieille, Géraldine 18 November 2016 (has links)
Les transformations qui interviennent en France à la suite des guerres de Religion modifient l’imbrication des sphères politique et religieuse. La scission entre protestants et catholiques, la triple reconstruction religieuse, nationale et étatique, les évolutions des pratiques et croyances religieuses ainsi que la nouvelle vigueur des gallicanismes induisent des mutations dans la dimension religieuse des conceptions du pouvoir royal entre le règne d’Henri IV et celui de Louis XIV, évolutions appréciables sur le plan symbolique. De 1589 à 1715, une iconographie abondante place le roi dans une situation religieuse, le met en rapport avec des personnages saints ou divins, ou souligne l’importance de son action en matière religieuse. Ces portraits du roi régnant ou de rois défunts, produits en des lieux disséminés sur le territoire métropolitain du XVIIe siècle, révèlent une autre image du pouvoir royal que l’iconographie plus amplement étudiée jusqu’ici. Elle intègre une sacralité héritée, fruit d’une longue construction médiévale dont l’importance se lit toujours au Grand Siècle, et des éléments neufs, qui passent en particulier par l’essor de cultes associant le roi et ses sujets, comme celui de saint Louis ou celui de Marie, marqué par le vœu de Louis XIII. Elle doit en outre se comprendre dans le cadre de l’évolution du droit divin, dans ses rapports avec l’autorité et le pouvoir du roi. L’image d’harmonie qui est élaborée témoigne de la place de cette iconographie dans la légitimation d’un ordre politique et social liant espace terrestre et monde céleste. La genèse de ces objets divers (peintures, sculptures, gravures, etc.), souvent éloignée de la cour, entretenant des relations parfois très ténues avec le pouvoir royal, ne peut être envisagée comme le fruit d’une propagande : elle souligne plutôt des fabrications collectives du portrait religieux du roi. Ainsi, cette thèse propose une histoire culturelle du politique, s’appuyant sur une approche iconographique intégrant les pratiques sociales et les théories politiques. / The transformations that occurred in France after the Wars of Religion altered the interweaving between the political and the religious spheres. The split between Protestants and Catholics, the rebuilding of the church, the nation and the state, the transformations of the religious beliefs and practices, and the new strength of the gallicanisms led to changes in the religious idea of the royal power between the reign of Henry IV and Louis XIV. These evolutions are assessable on a symbolic level. From 1589 to 1715, an abundant iconography places the monarch in a religious situation, puts him in touch with saints or God, or underlines the importance of his action in the religious field. These portraits of the reigning king or deceased kings, produced in dispatched places in the kingdom, reveal a different image of the royal power than the iconography that has most been studied up to now. It includes an inherited sacrality, built during the Middle Ages and still important in the 17th century, and new elements, which entail the growth of cults associating the monarch and his subjects, such as the cults of saint Louis and the Virgin Mary, marked by the vow of Louis XIII. It must furthermore be understood within the framework of the evolution of the divine right, in its links with the royal authority and power. It builds an image of harmony that shows the place of the iconography in the legitimization of a political and social order linking terrestrial and celestial spaces. The creation of these objects (paintings, sculptures, engravings, etc.), often far away from the court, often in loose relationships with the royal power, cannot be understood as propaganda: it rather emphasizes collective makings of the religious portrait of the king. Thus, this thesis offers a cultural history of the political field, leaning on an iconographic approach including social practices and political theories.

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