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Elisabethville and Lubumbashi the segmentary growth of a colonial city, 1910-1945 /Fetter, Bruce. January 1900 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin--Madison, 1968. / Typescript. Vita. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references.
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Lubumbashi and Mayotte:Geider, Thomas 15 October 2012 (has links) (PDF)
Book Review of: Johannes Fabian (ed.), History from below. The vocabulary of Elisabethville. By Andre Yav. Text, Translations and interpretive essay (Creole Language Library, Vol.7). Edited, translated and commented by Johannes Fabian with assistance from Kalundi Mango. With linguistic notes by W. Schicho. Amsterdam- Philadelphia: John Benjamins, 1990. 236 pp.
Review of Noel-Jacques Gueunier (ed.), La chroniques Swahilie du Cad/Umari de Mayotte. Edition critique. (Recherches et Documents, 2).(Madagascar\'): Etablissement d\'Enseignement Superieur des Lettres (CEDRATOM),1989.
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ReviewTraoré, Flavia Aiello 30 March 2016 (has links) (PDF)
Review
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Ménages et pratiques de la solidarité à Lubumbashi: transfert des parents, stratégies de cohésion et vie conjugale / Households and practical solidarity in Lubumbashi: transfer of parents, cohesion strategies and conjugal life.Kahola Tabu, Olivier 15 March 2013 (has links)
Le transfert des parents est considéré à Lubumbashi comme une manifestation des solidarités familiales. Cependant, l’échange des parents n’est pas extensif comme le véhicule les discours sur la solidarité. L’hébergement est électif et s’exerce en fonction de certaines modalités. Je constate que les conjoints rendent prioritairement les bienfaits aux parents qui les avaient aidés dans le parcours de leur vie. Cette logique contredit les discours sur la spontanéité et la gratuité d’entraide. Elle s’inscrit par contre dans le principe du don et contre-don. <p>Aussi, la valorisation excessive de la solidarité cache plusieurs récriminations dans le vécu des ménages. En privé, les conjoints ne tarissent pas des dénonciations contre l’hébergement des parents. Certains informateurs disent que l’insertion est une charge supplémentaire (ni charge). Ils déplorent également des violences verbales et physiques dont sont victimes les parents hébergés et les conjoints. D’autres, décrient les frustrations conjugales. L’exiguïté du logement et le confinement des parents font que les conjoints n’ont presque pas d’espace intime. Les solutions au logement des parents sont trouvées dans la promiscuité. Pour leurs rapports sexuels, les conjoints recourent à plusieurs tactiques de dissimulation. De même, la proximité des parents de sexe opposé occasionne des rapports sexuels interdits par la coutume. Je relève aussi entre les conjoints des pratiques d’entraide souterraine qui posent la question des limites entre la moralité et l’immoralité dans l’assistance des proches parents/ The transfer of parents is considered to Lubumbashi as a manifestation of family solidarity. However, the exchange of the parents is not as extensive vehicle discourse on solidarity. Accommodation is elective and is exercised in accordance with certain rules. I find that spouses make priority benefits to parents who had helped in the course of their lives. This contradicts the logic of speech spontaneity and free support. It fits in with against the principle of gift-giving and cons.<p>Also, the excessive value of solidarity hides many recriminations lived in households. In private, spouses are full of denunciations against hosting parents. Some informants say that integration is an additional charge (or charges). They also complained of verbal and physical abuse suffered by parents and spouses hosted. Others decry the marital frustrations. The cramped housing and containment of parents do that spouses have almost no private space. Solutions to the housing Parents are found in promiscuity. Their sex, spouses use several tactics of concealment. Similarly, the proximity of the parents of the opposite sex causes sex forbidden by custom. I would also between spouses practices support underground raise the question of boundaries between morality and immorality in assisting relatives.<p> <p><p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Lubumbashi and Mayotte:: Two recent editions of Swahili-written chronicles. Book ReviewsGeider, Thomas January 1994 (has links)
Book Review of: Johannes Fabian (ed.), History from below. The vocabulary of Elisabethville. By Andre Yav. Text, Translations and interpretive essay (Creole Language Library, Vol.7). Edited, translated and commented by Johannes Fabian with assistance from Kalundi Mango. With linguistic notes by W. Schicho. Amsterdam- Philadelphia: John Benjamins, 1990. 236 pp.
Review of Noel-Jacques Gueunier (ed.), La chroniques Swahilie du Cad/Umari de Mayotte. Edition critique. (Recherches et Documents, 2).(Madagascar\''): Etablissement d\''Enseignement Superieur des Lettres (CEDRATOM),1989.
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Relationships between environmental risk factors, parasitic infections and health outcomes in an urban African settingTshikuka Mulumba, Jose-Gaby January 1995 (has links)
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Relationships between environmental risk factors, parasitic infections and health outcomes in an urban African settingTshikuka Mulumba, Jose-Gaby January 1995 (has links)
The relationships between parasitic infections, environmental and living conditions, and health outcomes were studied in subdivisions of lower (LSES) and higher (HSES) socio-economic status Lubumbashi, Zaire. The two LSES subdivisions had higher prevalences of Plasmodium infection and higher rates of stunting, abdominal pain and low packed cell volume (PCV) than the HSES subdivision. The prevalence and intensity of Ascaris lumbricoides and Trichuris trichiura was not associated with socio-economic status. Maternal education was a significant predictor of A. lumbricoides intensity in both LSES and HSES subdivisions. Factors related to poor sanitation were risk factors for A. lumbricoides in LSES subdivisions, whereas a high ratio of relatives to immediate family members per household predicted high intensity infection in the HSES subdivision. The risk of stunting was higher in children with A. lumbricoides, that of wasting was higher in children with A. lumbricoides or T. trichiura whereas the risk of kwashiorkor was high with T. trichiura but very reduced in those with A. lumbricoides. The four most common clinical conditions were diarrhea, abdominal pain, fever and low PCV. Hookworm infection, T. trichiura infection, young age and residence in LSES subdivisions were determinants of diarrhea. T. trichiura infection, young age and living in a LSES subdivision were risk factors for abdominal pain. Plasmodium infection and young age were associated with fever. LSES was predictive of low PCV. No combination of parasites had antagonistic or synergistic effects on clinical indicators examined. Based on this study, it is suggested that one parasite will increase the risk of infection with another. Although maternal education should be improved in all subdivisions, attention to sanitation, crowding and diet in the LSES subdivisions, and to the role of relatives and visitors in parasite transmission in the HSES subdivision should be priorities.
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ReviewTraoré, Flavia Aiello January 2015 (has links)
Review
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"Sendwe Mining". Socio-anthropologie du monde social de l'hôpital à Lubumbashi (RD Congo)Kakudji, Aime 27 October 2010 (has links)
Cette étude s’appuie sur une recherche ethnographique commencée en octobre 2006, dans le cadre d’un doctorat en anthropologie. C’est une étude qui vise à comprendre la façon dont les relations sociales, qui articulent le continuum accueil-soins des malades, contribuent ou non à l’accès aux soins à l’hôpital Sendwe.
La plupart des études qui ont abordé la problématique de l’accès aux soins, et de l’utilisation des services de soins dans les hôpitaux publics des pays en développement, ont envisagé cette problématique davantage en termes de carence en matériel ; et réduit souvent l’essentiel des problèmes à une question financière.
Et pourtant, comme le témoignent des études récentes conduites dans les hôpitaux africains au cours de la dernière décennie, soutenues notamment par une méthodologie qualitative, alliant observations intensives et entretiens approfondis (cf. Jawkes & al., 1998 ; Gobbers, 2002 ; Jaffré & Olivier de Sardan, 2003 ; Vidal & al., 2005 ; Jaffré & al., 2009), l’accès ou non aux soins et l’utilisation des services hospitaliers recouvrent des champs plus vastes et plus complexes qui englobent à la fois des questions, bien sûr, économiques que des problèmes comportementaux d’exclusion, des violences, des humiliations… bref, des questions liées à la relation inégalitaire des pouvoirs due à la distance sociale qui s’observe entre soignant et soigné. Dans le cadre de l’hôpital Sendwe, cette inégalité de la relation soignant-soigné est particulièrement exacerbée par un contexte de misère sociale à laquelle se conjugue une bureaucratisation des tâches dont l’exécution vient ici redoubler au statut du fonctionnaire un pouvoir de soigner. C’est face à cette tension permanente entre partie en interaction favorisée par le décalage entre l’offre médicale et la demande des soins que je me suis interrogé comment les soins hospitaliers sont-ils négociés à l’hôpital Sendwe. Avec quelles ressources les parties s’engagent dans le processus d’accès aux soins ? Quelles sont les pratiques effectives qui s’observent dans les interactions avec le patient et ses proches ? Comment les patients catégorisent-ils le personnel médical, et vice-versa ? Quelles sont les règles, pratiques et morales, qui régissent leurs interactions ? C’est donc à toutes ces questions que cette étude tente de répondre.
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Optimisation de la couverture opérationnelle de la prévention de la transmission mère-enfant du VIH à Lubumbashi, République Démocratique du Congo: quelle stratégie adopter ou renforcer ? / Optimization of operational coverage of prevention of mother-child transmission of HIV in Lubumbashi, Democratic Republic of Congo: what strategy to adopt or building?Mwembo Tambwe-a-nkoy, Albert 20 June 2012 (has links)
Position du problème: <p>La majorité des enfants contaminés par le VIH se retrouve dans les pays en développement. Pour prévenir la transmission verticale les femmes doivent d’abord connaître leur statut sérologique au VIH. En République Démocratique du Congo, le problème posé par la transmission mère-enfant est préoccupant. Pour lutter contre cette transmission verticale, la Prévention de la Transmission du VIH de la Mère à l’Enfant (PTME) est intégrée dans le paquet minimum d’activités de la CPN. Comme dans d’autres pays, la couverture reste toujours insuffisante.<p>Objectifs :<p>Spécifiquement ce travail visait à :(1) déterminer la proportion des femmes qui n’ont pas fait l’objet du dépistage du VIH parmi les accouchées des maternités de Lubumbashi ;(2) évaluer le niveau de connaissance du personnel travaillant dans des maternités en matière des recommandations de la PTME à Lubumbashi ;(3) déterminer l’acceptabilité du dépistage rapide du VIH en salle de travail ;(4) Mettre sur pieds une stratégie pouvant contribuer à atteindre une couverture opérationnelle optimale de la PTME dans des contextes similaires à la ville de Lubumbashi.<p>Méthodologie:<p>C’est une approche de recherche-action réalisée au niveau du système de santé, des prestataires de soins, parturientes et accouchées dans les maternités de Lubumbashi. Pour ce faire deux études transversales et une intervention ont été réalisées à partir d’avril 2010 à février 2011 :les études transversales ont permis de déterminer la proportion des accouchées avec du statut sérologique VIH inconnu et d’évaluer le niveau de Connaissances, Attitudes et Pratiques (Niveau de CAP) des prestataires de soins de salles de travail face aux recommandations de la PTME. L’intervention a consisté à faire le dépistage rapide du VIH chez les parturientes admises en salles de travail.<p>Résultats: <p>Parmi les accouchées, 52,5 % ignoraient leur statut sérologique. Parmi elles, 62,9 % accepteraient de faire le test VIH à la maternité. La proportion des femmes avec un statut sérologique inconnu au VIH était significativement plus élevée chez celles qui n’avaient pas suivi de CPN (Odds Ratio ajusté [ORa] = 5,8; Intervalle de Confiance [IC] 95 % :1,7-19,0) et chez celles qui avaient un bas niveau d’instruction (ORa = 1,5 ;IC 95% :1,1-2,1).<p>Le niveau de CAP de la PTME des prestataires des maternités à Lubumbashi etait suffisant dans seulement 8,5 % des cas. La proportion de prestataires avec un niveau CAP suffisant était significativement plus élevée chez les universitaires que chez les non universitaires (ORa = 8,6; Intervalle de Confiance [IC] 95 % :1,6-47,5) et dans les maternités où la PTME était intégrée (OR = 4,5 ;IC 95 % :1,3-18,4).<p>Sur 474 parturientes, 433 (91,4 % ;IC 95 % :88,4-93,7 %) ont bénéficié d’un dépistage du VIH en salle de travail après counseling. La prévalence du VIH chez les parturientes examinées était de 4,8 %. L’acceptabilité du dépistage rapide du VIH était significativement plus élevée lorsque la durée du counseling était inferieure ou égale à 5 minutes (ORa = 5,8 ;IC 95 % :2,6-13); chez les parturientes qui avaient déclaré ne pas avoir l’objet de dépistage aux CPN (ORa = 3,8 ;IC 95 % :2-7,8) et chez celles qui étaient en début de travail d’accouchement (ORa = 2,3 ;IC 95 % :1,2-4,7). <p>Conclusion :<p>La proportion de femmes qui accouchent sans connaître leur statut sérologique au VIH est encore importante, malgré le fait que le dépistage du VIH soit proposé lors des CPN. C’est un besoin non couvert et une deuxième opportunité manquée. Etant donné qu’il existe à Lubumbashi des structures sanitaires offrant le service de PTME, nous proposons l’approche opt out du dépistage rapide du VIH en salle de travail pour cette catégorie de femmes. Cette stratégie contribuerait à optimiser la couverture opérationnelle du service au moindre coût.<p> <p>Background:<p>The majority of children infected with HIV are found in developing countries. To prevent vertical transmission women must first know their HIV status. In the Democratic Republic of Congo, the problem of mother to child transmission is a concern. To fight against vertical transmission, national policy has included the Prevention of HIV Transmission from Mother to Child Transmission (PMTCT) in the package of activities of the Antenatal care. As in other countries, coverage is still insufficient.<p>Objective:<p>Specifically this study aims to: (1) determine the proportion of women who did not receive HIV testing among women who gave birth in maternity units in Lubumbashi, (2) assess the level of knowledge of staff working in maternity units in the recommendations of PMTCT in Lubumbashi, (3) determine the acceptability of rapid HIV testing in the labor room, (4) develop a strategy to improve the operational coverage of PMTCT in similar contexts to the city of Lubumbashi.<p>Methods:<p>This is an approach to action research conducted at the health system, care providers and parturients and women gave birth in maternity birth in the maternity Lubumbashi. To get two successive cross-sectional studies and intervention was conducted from April 2010 to the end of February 2011: cross-sectional studies have determined the proportion and determinants of birth with unknown HIV status and to evaluate the Level of Knowledge, Attitudes and Practices (KAP level) providers care delivery room in the PMTCT recommendations.<p>The intervention consisted in the rapid HIV testing in parturient admitted to labor wards.<p><p>Results:<p>The analyses of our results showed that among mothers, 52.5% were unaware of their HIV status. Among them, 62.9 % would be tested for HIV to motherhood. The proportion of women with unknown HIV status to HIV was significantly higher in those who had not attended ANC (adjusted odds ratio [aOR] = 5.8, Confidence Interval [CI] 95%: 1.7 - 19) and among those with a low education (aOR 1.5, 95% CI: 1.1 to 2.1).<p>The level of CAP PMTCT providers of maternity was sufficient to Lubumbashi in only 8.5% of cases. The proportion of claimants with a sufficient level CAP was significantly higher among academics than among non-academic (aOR = 8.6, confidence interval [CI] 95%: 1.6 to 47.5) and in maternity wards where PMTCT was integrated (OR = 4.5, 95% CI: 1.3 to 18.4).<p>Among 474 parturients, 433 (91.4% confidence interval [CI] 95%: 88.4 to 93.7%) were voluntary testing for HIV in the labor ward after counseling. HIV prevalence among parturients examined was 4.8%.The acceptability of rapid HIV testing was significantly higher when the duration of counseling was less than or equal to 5 minutes (aOR = 5.8, 95% CI: 2.6 to 13) in parturients who reported not doing this testing for EIC (aOR = 3.8, 95% CI: 2 to 7.8) and among those who were in early labor delivery (aOR = 2.3, 95% CI: 1.2 - 4.7). By cons, it was lower among adolescents than among adults (aOR = 0.1; [CI] 95%: 0.0-0.7).<p>Conclusion:<p>The proportion of women who give birth without knowing their HIV status is still important, despite the fact that HIV testing be made available when the antenatal care. This is an unmet need and would be a missed opportunity. Since there Lubumbashi health facilities offering PMTCT service, we offer the opt-out approach of rapid HIV testing in the labor ward for such women, to optimize coverage of operational service at the lowest cost.<p> <p> <p><p> / Doctorat en Santé Publique / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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