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Le statut philosophique de l'enseignement chez Emmanuel Levinas / The philosophical status of "enseignement" in Emmanuel Levinas

Hiraishi, Koki 29 September 2016 (has links)
Les recherches que nous présenterons dans cette thèse ont pour principal but de mettre en lumière le statut philosophique de l'« enseignement » chez Emmanuel Levinas. Nous essayerons de montrer que le concept d'enseignement est mis en oeuvre - bien que de façon souvent latente et implicite - dans l'ensemble de sa pensée philosophique. Comme nous l'examinerons tout au long de notre travail, ce concept d'enseignement se détermine chez Levinas d'une manière assez différente de celle habituelle. À savoir que l'enseignement désigne, non par la transmission des connaissances d'une personne à l'autre, mais, avant tout, l'épreuve consistant à « être mis en question » dans la relation avec autrui, que le philosophe qualifie d'« éthique ». C'est du point de vue du croisement de l'enseignement et de l'éthique que notre thèse envisage d'aborder les divers problèmes fondamentaux de la philosophie de Levinas et, par-là, de jeter une nouvelle lumière sur celle-ci. / This thesis aims primarily to clarify the philosophical status of '"enseignement" in the philosophy of Emmanuel Levinas. As we will show, the concept of "enseignement" is to be located at the very heart of Levinas' philosophy, and it is defined by him in a different way than usual. Namely, "enseignement" does not mean transmission of knowledge from one person to another, but it means instead passive experience of "being called into question (être mis en question)" in the ethical relation with the Other. It is at this intersection between "enseignement" and ethics that our thesis intends to interpret various fundamental problems of the philosophy of Levinas and to cast a new light on it.
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Temps et individuation : le sens du transcendantal dans la philosophie de Kant et de Husserl : métaphysique, ontologie, phénoménologie / Time and individuation : the meaning of the transcendental in the philosophy of Kant and Husserl : metaphysics, ontology, phenomenology

Masselot, Nathanaël 21 November 2015 (has links)
La notion d’individu fait l’objet d’une intuition triviale. Notre expérience nous la livre si naturellement qu’elle semble constituer le socle élémentaire de toute ontologie naïve. Mais en philosophie, le problème de l’individuation ouvre un vaste champ de problèmes métaphysiques traités dans la postérité scolastique d’Aristote. Dénoncée et ré-élaborée dans l’ontologie fondamentale de Heidegger comme métaphysique du Dasein à la faveur d’une critique de Kant, prolongée et dépassée dans la phénoménologie de la donation, la métaphysique semblerait évacuée de la pensée moderne post-kantienne, a fortiori de la phénoménologie, si Husserl ne lui restituait pas un problème évincé par l’ensemble des phénoménologies du sujet : l’individuation. Faisant de l’individuation le problème de « la constitution de l’être individuel (donc “factuel”) en général et d’après ses formes fondamentales essentielles » accompagné de « la résolution de la problématique transcendantale la plus profonde », Husserl, en 1918, porte cet enjeu à son paroxysme. Rédigeant les Manuscrits de Bernau, il se livre à un projet ambitieux et doublement étonnant en ce qu’il sonne comme une résurgence métaphysique au cœur de sa phénoménologie et invite à une lecture phénoménologique de Kant alternative à celle de Heidegger. La première partie de cette étude s’emploie à faire apparaître le sens transcendantal du problème de l’individuation par rapport à l’approche métaphysique traditionnelle. Cette mise au jour invite à établir, deuxièmement, en quel sens il existe bien un problème d’individuation au cœur de la Critique de la raison pure, mobilisant la synthèse et l’imagination dans la constitution du phénomène kantien. Une troisième partie analyse la manière dont le temps se présente chez Kant et Husserl comme un opérateur transcendantal adapté à la résolution de ce problème. Elle s’efforce de présenter à la fois l’affinité de leur traitement et ce qui les distingue l’un de l’autre. Une quatrième et dernière partie montre de quelle manière le problème de l’individuation jette, chez Husserl, une lumière nouvelle sur l’eidétique et sur le concept de constitution. / The notion of the individual is the object of a trivial intuition. It is so naturally delivered by our experience that it seems to constitute the basic core of any kind of naïve ontology. But in philosophy, the problem of individuation opens up a wide range of metaphysical issues that have been tackled in the wake of Aristotle’s scholastic posterity. Denounced in Heidegger’s fundamental ontology and recast as the metaphysics of Dasein which is critical of Kant, then extended and exceeded within the phenomenology of givenness, Metaphysics would appear to have been abandoned by the modern post-kantian (especially phenomenological) legacy until Husserl came to restore an issue pushed aside by every kind of subjective phenomenology : namely, individuation. By making individuation the issue of “the constitution of the individual human being (thus “factual”) in general and according to its essential fundamental forms” along with “the resolution of the deepest transcendental problem”, Husserl, in 1918, made this central issue reach its height. While writing the Bernau Manuscripts, he undertook a project which is ambitious and remarkable for two reasons : first, because it appears to be a metaphysical resurgence within his phenomenology, and then second, because it engages a phenomenological reading of Kant, yet not Heidegger’s. The first part of this analysis aims at highlighting the transcendental meaning of the issue of individuation in comparison with the traditional metaphysical approach. Secondly, this invites us to see to what extent there is indeed an issue of individuation at the core of the Critique of Pure Reason, relying on synthesis and imagination in the constitution of the Kantian phenomenon. The third part accounts for time in Kant and Husserl as the transcendental operator fitted to the solving of this problem. It endeavours to analyse what makes them similar and what sets them apart. The fourth and last part reveals how the problem of individuation sheds a new light on eidetics and Husserl’s concept of constitution.
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Nietzsche ou la métaphysique de la séduction / Nietzsche or the metaphysics of seduction

Mérieau, Antoine 30 September 2015 (has links)
Tout est force, or la force agit comme séduction : elle est une relation qui modifie et se modifie. Dionysos est le dieu de la séduction, que Socrate tente de renverser par la modification de la tragédie. Socrate, Platon et les philosophies traditionnelles sont des individus et des pensées réactifs : ils refusent la séduction, mais pour cela doivent séduire le monde pour le figer, et séduire d’autres individus pour qu’ils adhèrent à leur pensée. Ce refus du devenir et de la transformation inaugure cependant toute une histoire humaine. Nietzsche veut renverser cette histoire, c’est-à-dire la séduire, afin de produire le surhomme. Pour ce faire, il faut inverser le langage, le défaire de l’identité pour le faire renouer avec la métaphore : sortir du figement pour retrouver la métamorphose. Le style et l’art permettent cela, ainsi que la sophistique. De cette façon, Nietzsche trouve un langage et une logique permettant une forme de connaissance ne trahissant pas la séduction, mais au contraire l’affirmant : sa pensée agit comme une force, transformant ce qu’elle « connaît ». La séduction est le système métaphysique décrivant le monde comme un jeu de séduction, autrement dit de forces en lutte. Cette métaphysique se décrit elle-même comme une force parmi les autres, luttant contre les autres. La pensée nietzschéenne est féminine : elle est double, contradictoire, stylée et masquée. Elle révèle la contradiction inhérente à toute pensée, et particulièrement dans celles qui rejettent la contradiction en se fondant sur l’identité, comme c’est le cas des métaphysiques traditionnelles. Elle reconnaît même la possibilité de sa propre inversion, c’est-à-dire qu’elle peut elle aussi devenir réactive en figeant par sa description le monde du devenir. / Everything is force. Now, force acts as seduction : it is a relation that modifies and is modified. Dionysus is the god of seduction, that Socrates attempts to topple by modifying tragedy. Socrates, Plato and traditional philosophies are reactive individuals and forms of thinking : they refuse seduction, but to do so, they have to seduce the world to freeze it, and seduce other individuals for them to embrace their line of thought. This refusal of becoming and transformation nevertheless opens up a whole human history. Nietzsche intends to topple this history, that is to say, to seduce it, in order to produce the superman. In order to do so, language needs to be reversed and parted from identity, for it to revive metaphor : break the freezing to renew with metamorphosis. Such a process is allowed by style and art, as well as sophistics. Thus, Nietzsche finds a language and logic allowing a form of knowledge which doesn’t betray seduction, but on the contrary, asserts it : his thinking acts as a force transforming what is « known » by it. Seduction is the metaphysical system which describes the world as a game of seduction, that is to say of struggling forces. Such metaphysics describes itself as a force among the others, struggling against the others. Nietzschean thinking is feminine : it is double-sided, contradictory, stylish and masked. It reveals the inherent contradiction in all forms of thinking, particularly in those rejecting contradiction on the basis of identity – and such is the case in traditional metaphysics. His thinking even acknowledges the possibility of its own inversion, that is to say that it can also become reactive, freezing the world of becoming by its description.

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