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Analyse des processus de recherche et de modélisation du patrimoine à partir de deux cas : l’écluse Saint-Gabriel du canal de Lachine et la gare Montreal and Southern Counties Railways Co.

Gosselin, Louis Pierre January 2014 (has links)
Depuis deux décennies, des chercheurs et des diffuseurs utilisent des modélisations 3D pour rendre compte d'espaces et de structures du passé. Cependant, les historiens demeurent généralement réticents envers cette manière de représenter l'histoire. Pourtant, la science historique peut tirer parti du 3D de plusieurs façons. Une modélisation peut servir de laboratoire, une approche déjà utilisée en archéologie. Par exemple, à partir d'un modèle 3D du Colisée, les historiens pourraient s'intéresser aux interactions entre la population romaine et le bâtiment, aux techniques de construction, à l'impact de cette architecture monumentale sur l'évolution urbaine. La modélisation ne doit pas non plus se limiter aux grands monuments du passé. L'évolution de l'architecture vernaculaire, d'un quartier populaire, d'un complexe industriel ou d'un village aborigène peut tout aussi bien se prêter à une analyse tirant profit d'une modélisation. Mais avant d'intégrer une telle approche à la discipline historique, il faut assurer les chercheurs du caractère scientifique d'une maquette 3D. Un tel environnement doit pouvoir répondre aux mêmes critères scientifiques que toute autre production historique de nature académique. De tels systèmes – incorporant des objets virtuels, des sources et des éléments narratifs – sont présentement en développement, et je porterai donc mon attention sur l'élaboration d'une procédure efficace pour créer des environnements virtuels pertinents respectant les pratiques historiennes.
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Analyse des processus de recherche et de modélisation du patrimoine à partir de deux cas : l’écluse Saint-Gabriel du canal de Lachine et la gare Montreal and Southern Counties Railways Co.

Gosselin, Louis Pierre January 2014 (has links)
Depuis deux décennies, des chercheurs et des diffuseurs utilisent des modélisations 3D pour rendre compte d'espaces et de structures du passé. Cependant, les historiens demeurent généralement réticents envers cette manière de représenter l'histoire. Pourtant, la science historique peut tirer parti du 3D de plusieurs façons. Une modélisation peut servir de laboratoire, une approche déjà utilisée en archéologie. Par exemple, à partir d'un modèle 3D du Colisée, les historiens pourraient s'intéresser aux interactions entre la population romaine et le bâtiment, aux techniques de construction, à l'impact de cette architecture monumentale sur l'évolution urbaine. La modélisation ne doit pas non plus se limiter aux grands monuments du passé. L'évolution de l'architecture vernaculaire, d'un quartier populaire, d'un complexe industriel ou d'un village aborigène peut tout aussi bien se prêter à une analyse tirant profit d'une modélisation. Mais avant d'intégrer une telle approche à la discipline historique, il faut assurer les chercheurs du caractère scientifique d'une maquette 3D. Un tel environnement doit pouvoir répondre aux mêmes critères scientifiques que toute autre production historique de nature académique. De tels systèmes – incorporant des objets virtuels, des sources et des éléments narratifs – sont présentement en développement, et je porterai donc mon attention sur l'élaboration d'une procédure efficace pour créer des environnements virtuels pertinents respectant les pratiques historiennes.
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Impacts sécuritaires de l’adoption du cloud computing dans les petites et moyennes entreprises

Bouaynaya, Wafa 07 December 2017 (has links)
Ce travail doctoral s’intéresse aux impacts sécuritaires de l’usage du cloud computing dans les petites et moyennes entreprises (PME). Il repose sur une méthodologie de recherche mixte, à la fois qualitative et quantitative, en adoptant une posture épistémologique orientée réalisme critique (Mingers, 2002,2004). Son objectif est de mettre en lumière les éléments d’une théorie d’explication et de prédiction (Gregor, 2006) de la portée sécuritaire de l’adoption du cloud computing dans les petites et moyennes entreprises. Les résultats de notre recherche se matérialisent au travers la présentation et la publication de quatre travaux académiques : Un premier article publié (un modèle d’acheminement des données depuis les PME vers ses fournisseurs cloud potentiels), deux articles acceptés pour publication (un modèle du transfert des risques SI dans un écosystème cloud computing, une mise en lumière de la délégation du rôle du DSI) et un dernier article en cours d’évaluation (la caractérisation de la réversibilité d’un service cloud). La thèse contribue à une meilleure compréhension des conséquences sécuritaires inter- et intra-organisationnelles, entre autres à travers la mobilisation des théories de la firme et la modélisation mathématique. Elle propose, en outre, un nouveau coefficient d’estimation de la concordance pour des hypothèses indépendantes, / This doctoral work focuses on security impacts of the cloud computing use in SMEs. It is elaborated through a mixed research methodology by adopting a critical realism position (Mingers, 2002, 2004). Its objective is to implement a theory of explanation and prediction (Gregor, 2006) applied to the safe scope of the cloud computing adoption in small and medium enterprises. The results of our research are materialized through the publication of an article (a model of data transmission from SMEs to its potential cloud suppliers) two articles accepted for publication (a model of the transfer of risks SI in a cloud computing ecosystem, highlighting the delegation of the role of the CIO) and an article under evaluation (the characterization of the reversibility of a cloud service). The thesis contributes to a better understanding of the inter- and intra-organizational security consequences, among others through the mobilization of firm theories and the mathematical modeling. It also proposes a new coefficient of agreement estimation for independent assumptions.
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Les écueils méthodologiques dans la confrontation des hypothèses évolutionnistes de Voland et Voland concernant l'anorexie mentale

Bleau, Huguette January 1997 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Proposition d'un cadre de recherche opérationnelle pour l'étude de la ségrégation résidentielle ethnique dans la région métropolitaine de Montréal

Bérubé, Sylvain January 1995 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Vers une sociologie historique de la sociologie : de l'alienation originelle de la sociologie comme "science positive" à son opérationnalisation contemporaine comme "science tout terrain"

Villeneuve, Rémi de January 2007 (has links) (PDF)
Notre objectif principal est de démontrer que c'est à cause d'un mauvais départ, de ce que nous appelons plus exactement une aliénation originelle, que la sociologie se voit aujourd'hui menacée de se dissoudre dans la mesure où elle se réclamerait encore de ce qu'elle fut déjà, victime de ce que nous appelons en retour son opérationnalisation contemporaine. Une opérationnalisation qui relève donc essentiellement de l'abandon de sa légitimité première que constitue sa participation à l'histoire de la pensée, au profit de la nouvelle légitimité bien plus efficace du « travail de terrain » qui, pour sa part, bien loin de continuer à se rapporter à la méthode scientifique ou à la « méthodologie » de l'ethnologie, relève désormais de ce que nous considérons être une pure « méthodologistique ». Et si une « pensée » subsiste alors, ce n'est effectivement plus celle qui correspond à la liberté humaine de faire l'histoire, mais celle qui se rapporte au contraire à la nécessité naturelle de la pure réactivité à l'environnement. C'est-à-dire non plus tant celle qui correspond à la recherche de vérité portée par la raison philosophique aux prises avec le pouvoir politique, que celle qu'exige le seul constat de validité garanti par l'efficience expérimentale immédiatement intégrée au contrôle gestionnaire autonomisé. L'origine du problème, l'aliénation originelle, pourrait alors être résumée de la manière suivante : au lieu de soumettre la science à la société, la science de la société a subordonné la société à la science. Au lieu d'avoir été à elle-même son propre commencement en travaillant à établir une légitimité qui lui serait propre, la sociologie s'est asservie à celle qui était déjà disponible et qu'on lui imposait à moins de lui refuser toute raison d'être. Ce mauvais départ, plus largement, est donc celui d'une discipline appelée par la lutte qui, en retour, n'aurait pas su l'assumer et encore moins la renforcer. Notre travail vise ainsi à expliciter le passage de l'aliénation originelle de la sociologie comme science positive à son opérationnalisation contemporaine comme science tout-terrain, qui, autrement dit, est celui du règne explicatif de la scientificité des « faits sociaux » et de leur récolte, au nouveau règne productif de l'efficacité des « interactions sociales » et de leur mise sous contrôle. Mais dans cette perspective, dans la mesure de l'unité ontologique de la théorie et de la pratique issue du rapport dialectique qui les fonde réciproquement, il va de soi que la mise en relief d'une transformation de la sociologie entendue comme activité théorique suppose en retour certaines considérations relatives à la transformation de la société en tant qu'elle est elle-même à la racine de la pratique humaine dans ce qu'elle a de plus essentiel. Sans parler pour l'instant de la dissolution progressive de cette « unité dialectique » de la théorie et de la pratique au profit de leur pure « coïncidence immédiate » -selon laquelle la sociologie tend de plus en plus à ne connaître qu'une réalité qu'elle produit immédiatement et vis-à-vis de laquelle elle n'entretient donc plus aucune distance ni objectivité -, ce qu'il faut surtout souligner ici, c'est que de la même manière qu'une rupture dans l'ordre de la réalité sociale et historique est toujours également celle de la discipline qui la prend pour objet, une rupture dans l'histoire de la sociologie constitue d'abord et avant tout une rupture sociologique et historique. Et si c'est donc effectivement une certaine rupture dans l'histoire de la sociologie qui nous intéresse ici le plus directement, nous sommes pour autant forcés de nous tourner vers la rupture sociologique et historique à laquelle elle correspond, à savoir celle qui se voit le plus souvent rapportée à la « post-modernité ». Une rupture « post-moderne » qui, en ce sens, devrait logiquement nous permettre d'éclairer le passage de l'aliénation originelle de la sociologie à son opérationnalisation contemporaine -pour autant qu'en retour, sur la base de sa propre historicité, la sociologie serait en fin de compte le phénomène qui révèle peut-être de la manière la plus explicite cette rupture « post-moderne ». « Un phénomène social, disait fort justement Karel Kosik, est un fait historique dans la mesure où il est examiné comme élément d'un tout déterminé, de sorte qu'il remplit une double tâche grâce à quoi seulement il devient vraiment un fait historique: d'une part, se définir soi-même; d'autre part, définir l'ensemble, en étant à la fois producteur et produit, à la fois déterminant et déterminé, à la fois révélateur et déchiffrement de lui-même, en apportant sa signification propre en même temps que celle d'autre chose. » (Kosik 1970 [1962] : 33). Le phénomène social qui nous concerne ici n'est donc rien d'autre que la sociologie, en tant qu'elle constitue bel et bien une porte d'accès à la compréhension de la réalité socio-historique, humaine, à laquelle elle appartient en même temps qu'elle la détermine. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, Ontologie, Épistémologie, Méthodologie, Sociologie.
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Prolégomènes à un cadre définitionnel pour une ritographie religieuse empirique

Aguirre, Oscar Reinaldo 27 February 2021 (has links)
No description available.
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Intervenir pour résoudre les problèmes environnementaux : essai sur la compréhension et la méthodologie de l'intervention

Lhémery, Mélanie January 2006 (has links) (PDF)
Depuis la moitié du XXe siècle, les écrits alarmistes n'ont cessé de se multiplier, avertissant des innombrables problèmes environnementaux qui menacent l'ensemble de la biosphère. Cinquante ans plus tard, ces écrits restent d'actualité. En effet, en dépit d'une certaine volonté de changer la situation (par exemple la signature du protocole de Kyoto sur les changements climatiques ou le développement de la gestion environnementale en entreprise), les changements demeurent trop lents par rapport à la rapidité de l'accroissement des problèmes environnementaux. De plus, la connaissance de la nature de ces problèmes demeure partielle du fait de leur complexité. Ajoutons que la complexification croissante des systèmes dans lesquels l'humain évolue (systèmes sociaux, systèmes écologiques, systèmes économiques) met au défi les scientifiques d'étudier et d'approfondir des phénomènes où interagissent une multitude de facteurs, où se combinent des principes de régulation et de déséquilibre, où se mêlent contingence et déterminisme, création et destruction, ordre et désordre. Dans un tel contexte, il semble difficile de résoudre un problème environnemental, sa complexité ne pouvant -par définition -être parfaitement connue. Le but de cette recherche était d'accélérer et daméliorer le processus de résolution de problèmes environnementaux. L'objectif était de développer une méthodologie spécifique à la résolution des problèmes environnementaux en intégrant de nouvelles connaissances et en mettant l'accent sur l'élaboration d'un outil d'aide à la décision. Pour ce faire, nous avons tout d'abord défini la notion de problème environnemental en intégrant un ensemble de connaissances qui lui sont liées, à savoir la complexité. Nous avons, ensuite, développé une méthodologie de la résolution des problèmes environnementaux en se basant, d'une part, sur la littérature existante de la résolution de problèmes (issue majoritairement des sciences de la gestion), et d'autre part, en intégrant les connaissances requises de l'approche et de la méthode systémique. Enfin, l'élaboration de cet outil s'est faite en développant et en confrontant une typologie des problèmes environnementaux et une typologie des interventions. Nous avons pu construire une grille de synthèse qui permet, ainsi, de faciliter la prise de décision en fonction de l'évolution d'un écosystème dans le temps et en fonction de la solution la plus adéquate. Ces résultats montrent que l'élaboration d'une méthodologie apparaît essentielle pour améliorer le processus de résolution des problèmes environnementaux, de même que l'outil d'aide à la prise de décision, qui demande, néanmoins, à être amélioré. De plus, certaines solutions seraient à privilégier parmi d'autres, puisqu'elles engendreraient une faible incertitude quant aux risques de conséquences non désirées sur le long terme. Ces résultats mettent également en avant la nécessité d'adopter une attitude plus prospective pour résoudre les problèmes environnementaux futurs, plutôt que de simplement réagir aux évènements dans le présent. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Problèmes environnementaux, Complexité, Méthodologie, Prospective, Résolution de problème.
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Moyennage de modèles pour l'estimation d'effets causaux avec la méthode de pondération par les probabilités inversées

Chabot-Blanchet, Malorie 03 1900 (has links) (PDF)
Pour estimer un effet causal dans les études d'observation en épidémiologie, les méthodes de pondération par les probabilités inversées et les méthodes doublement robustes sont couramment utilisées. Il n'est toutefois pas facile de spécifier correctement le modèle de traitement et les estimateurs associés sont particulièrement sensibles à un choix de modèle incorrect. Le but principal de ce projet est de déterminer si le fait de prendre une moyenne sur plusieurs modèles pourrait améliorer la performance des estimateurs par pondération par les probabilités inversées, en comparaison à une estimation basée sur un seul modèle. Pour ce faire, nous utilisons les critères d'ajustement AIC et BIC pour associer un poids (probabilité) à chacun des modèles. Nous nous intéressons plus particulièrement à deux façons d'utiliser ces poids 1) soit la pondération externe qui considère une moyenne des estimations obtenues sous chacun des modèles de l'ensemble des modèles considérés, et 2) la pondération interne qui effectue une moyenne des scores de propension obtenus sous chacun des modèles pour ensuite obtenir l'estimation correspondante. Nous comparons les résultats obtenus sons chacun des modèles individuellement, puis sous les différentes façons proposées de considérer un ensemble de modèles. Nous regardons la performance des techniques lorsque le vrai modèle fait ou ne fait pas partie des modèles considérés. Nous obtenons que la pondération apporte un compromis intéressant pour pallier l'incertitude reliée à la sélection du modèle de traitement. Nous observons que l'estimateur basé sur la pondération interne semble avoir une variance plus petite que l'estimateur basé sur la pondération externe et que l'estimateur par pondération par les probabilités inversées employé sur les modèles individuellement, surtout lorsqu'ils sont appliqués sur des échantillons de petite taille. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : estimation causale, sélection de modèle, moyennage de modèles, étude d'observation, pondération par probabilités inversées.
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Histoire des méthodologies de l'enseignement du français en Chine (1850-2010) / History of methodologies of teaching French in China (1850-2010)

Xu, Yan 18 December 2014 (has links)
Par la présente étude, nous nous proposons d’étudier la notion de « méthodologie chinoise » réclamée par les acteurs chinois qui travaillent dans l’enseignement des langues étrangères en général et dans celui du français en particulier. Depuis des années, le terme est formulé et répété, sans qu’une recherche sérieuse soit menée sur sa légitimité ni sur sa définition. Pour l’élucidation de cette vision floue, nous tâchons d’adopter une approche à la fois historique et didactique en creusant les méthodologies qui ont été adoptées dans l’enseignement du français en Chine dès son origine, c’est-à-dire de l’an 1850 jusqu’à nos jours. Par cet effort de reconstitution chronologique, nous cherchons à révéler si une « méthodologie chinoise » a été bien constituée sur le terrain à un moment donné de l’histoire, et le cas échéant, à clarifier son sens. Durant la recherche, nous avons réussi à repérer les précieuses idées et pratiques pédagogiques qui sont nées du terrain en les concrétisant par d’innombrables documents historiques précieux. Et par ce « passage au méta », nous essayons, même si c’est pour une part modeste, de combler le vide regrettable à la conceptualisation des expériences locales dont souffre la discipline du FLE en Chine, et de là, d’apporter quelques réflexions personnelles sur la question de l’identité d’une méthodologie quelconque de l’enseignement des langues étrangères dans un contexte mondialisé. / For this study, we propose to study the concept of “Chinese methodology” demanded by Chinese actors working in the teaching of foreign languages in general and the French in particular. For years, the term is made and repeated, without any serious research is conducted on its legitimacy and its definition. For the elucidation of this blurred vision, we strive to adopt an approach that is both historical and didactic by digging methodologies that have been adopted in the teaching of French in China since its origin, that is to say, the year 1850 to today. By this time rebuilding effort, we seek to reveal whether a “Chinese methodology” was well formed on the ground at some point in history, and if necessary, to clarify its meaning. During the research, we were able to identify valuable ideas and teaching practices that are born of the land by translating them into countless precious historical documents. And by this “pass meta”, we try, even if it is for a small part, to fill the empty damaging to the conceptualization of local experiences suffered by the discipline of the ELF in China, and than to empty, to make some personal reflections on the question of the identity of any particular method of teaching foreign languages in a globalized world.

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