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Historia critica de la filosofia racionalista y empirista /

Alvarez Torres, Antolín. January 1991 (has links)
Diss.--Facultad de filosofía y letras--Valladolid--Universidad, 1989.
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Erfahrungsbezung und Bedeutung Untersuchungen zur empiristischen Sprachphilosophie bei Carnap und Quine /

Brüstle, Walter, January 1979 (has links)
Thesis (doctoral)--Albert-Ludwigs-Universität, Freiburg im Breisgau. / Description based on print version record.
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Realismus und Wissenschaft /

Engler, Fynn Ole. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Universität Rostock, 2006.
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Empirisme et remèdes populaires.

Lebrun, Alcïne-Armand. January 1906 (has links)
Th.--Méd.--Paris, 1905-1906. / Paris, 1905-1906, tome 28, n ° 113.
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J.L. Austin et le problème du réalisme

Al-Saleh, Christophe 05 December 2003 (has links) (PDF)
La pratique de l'empirisme s'appuie sur des propensions réalistes sans les questionner, et tout particulièrement la propension réaliste contenue dans des attitudes comme la connaissance ou la perception. En effet, tout empirisme propose une forme de connaissance et se base sur la perception. Mais, dés lors que la connaissance et la perception sont prises comme objet de l'analyse, et envisagées comme porteuses d'une propension réaliste intéressante pour qui veut questionner l'adéquation du schème conceptuel à la réalité, alors le problème de la connaissance et celui de la perception ne peuvent plus être envisagés dans le cadre d'une simple enquête empirique. Ils doivent être envisagés dans le cadre d'une enquête qui veit rendre compte de la propension réaliste elle-même.
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Le statut des qualités dans la philosophie moderne

Bressler, Sonia Tiercelin, Claudine January 2005 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Philosophie : Paris 12 : 2005. / Titre provenant de l'écran-titre.
7

Moralische Institutionen : empiristische Theorien ihrer Evolution /

Kliemt, Hartmut, January 1900 (has links)
Diss. : Philosophie : Frankfurt. - Bibliogr. p. 266-272. Index. -
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Deleuze et Whitehead : une étude comparative de leur métaphysique, empirisme transcendantal et empirisme spéculatif / Deleuze and Whitehead : a comparative study of their metaphysics, transcendental empiricism and speculative empiricism

Lee, Moon Kyo 15 May 2015 (has links)
Cette recherche est une comparaison des métaphysiques de Deleuze et de Whitehead. Deleuze et Whitehead ont en commun une approche philosophique où un certain empirisme, qu’il soit « transcendantal » ou « spéculatif », cherche à élucider la nature de l’expérience en tant que telle. Dans les deux cas il s’agit de rendre compte de l’expérience réelle en elle-même, pas seulement de ses conditions de possibilité. Les tâches de l’empirisme transcendantal comme de l’empirisme spéculatif peuvent être définies comme un essai pour expliquer la genèse de l’expérience ou d’une nouvelle sorte de subjectivité, qui remonterait bien plus haut et qui serait bien plus universelle que celle du sujet kantien. Ainsi, dans les philosophies de Deleuze et de Whitehead, ce n’est pas plus un sujet transcendantal et conscient qui est placé au fondement ou au commencement de toute expérience réelle, car chez l’un comme chez l’autre l’expérience humaine n’est plus qu’un cas qui peut être dérivé d’un processus beaucoup plus général, qui est le processus de la réalité elle-même. Pour Deleuze et Whitehead, ce qui est important devient alors d’expliquer la genèse ou l’individuation, par laquelle une expérience se produit. Empirisme transcendantal et empirisme spéculatif peuvent être caractérisés tous deux, chacun à sa façon, d’ « ontologies univoques », où l’intensité est liée à l’individuation / This research is a comparative study of the metaphysics of Deleuze and Whitehead. Deleuze and Whitehead share a common philosophical approach in which a certain empiricism, whether "transcendental" or "speculative", tries to elucidate the nature of experience as such. In both cases what matters is to explain the real experience for itself, not its conditions of possibility. The tasks of their empiricism, be it transcendental or speculative, may be defined as an essay to explain the genesis of experience or of a new kind of subjectivity which could be traced back to a much higher and universal stand than the Kantian subject’s one. Thus, in the philosophies of Deleuze and Whitehead, neither are a transcendental subject nor a conscious subject which is situated at the foundation or the start of any real experience, since, for both of them as well human experience is but a case or a result which can be derived from a much more general process, which is the very process of reality itself. For Deleuze as well as Whitehead, what was thus important was to explain the genesis or the process of individuation, by which experience is produced. Both transcendental empiricism and speculative empiricism can be characterized, each one in its own way, as "univocal ontologies", wherein intensity is linked to individuation.
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Le réductionnisme dans le Traité de la nature humaine de David Hume

Noisette, Kim January 2016 (has links)
Résumé : À l’aube des études humiennes, Norman Kemp Smith appelait à représenter Hume « suivant toutes ses nombreuses activités », comme s’il pressentait que l’étude de la pensée humienne pouvait s’avérer un labyrinthe dans lesquels les commentaires pouvaient s’égarer et se perdre de vue. Ce pressentiment, on peut le dire aujourd’hui, s’est avéré juste, et il porte avec lui une clé de lecture : pour dépasser la représentation parcellaire, fragmentée et ultimement incohérente d’un Hume kaléidoscopique, le mieux est peut-être de s’intéresser à ses activités. La présente thèse vise à circonscrire la pratique humienne de la philosophie, ou, pourrait-on dire, du travail épistémologique et conceptuel, dans l’espace de son magnum opus, et cela à l’aide d’une clé de lecture : celle du réductionnisme. Si le Traité est une oeuvre que l’on peut qualifier d’empiriste, on ne saurait la lire seulement par ce biais ou par celui de questions localisées, et nous montrons que le projet du Traité ne peut se comprendre qu’en voyant comment Hume tente d’y réduire la et les connaissances à des dépendances ou à des parties de sa propre théorie de la nature humaine. Pour cela, nous procédons via quatre chapitres. D’abord, nous tentons de circonscrire les caractéristiques les plus importantes du projet humien, c’est-à-dire de ce que Hume avait l’intention de développer à travers les contenus particuliers du Traité ; ensuite, nous nous concentrons sur la base dont Hume part et dont il se servira pour accomplir des réductions, base que l’on peut appeler une théorie des perceptions doublée d’une théorie de l’esprit (principes, facultés, relations) ; ces deux théories, couplées à un standard strict pour obtenir le statut de « vraie idée » ou d’idée intelligible, semblent amener de par leurs prémisses assez directement au scepticisme, et c’est pourquoi on traitera du scepticisme avant d’évoquer les aspects « naturalistes » du Traité au-delà des éléments de base de la théorie des perceptions et de l’esprit, soit une manoeuvre qui ne suit pas tout à fait l’ordre humien d’exposition mais nous semble suivre un certain ordre des raisons ; enfin, la quatrième partie nous permettra de passer en revue diverses réductions opérées par Hume, celles qui mènent au scepticisme pyrrhonien mises à part, ce qui nous permettra de voir quelles sont les limites et les problèmes afférents à son réductionnisme particulier. Refondateur, systématique et totalisant dans ses intentions, le Traité suit bien plus qu’un projet simplement empiriste, et on verra que dans la démarche humienne l’empirisme apparaît davantage dans les conclusions qu’au point même de départ. En le lisant comme le lieu et la conséquence d’une orientation que l’on peut dire réductionniste, on peut trouver dans le Traité un fil conducteur qui, en dépit de problèmes plus ou moins importants rencontrés en cours de route, ne se rompt pas. / Abstract : At the dawn of Hume studies, Norman Kemp Smith called to study the philosopher “in all his manifold activities,” as if he foresaw there a serious risk for the comments to lose themselves as well as each other. Today, it can be said that Kemp Smith’s foreseeing was legitimate. Fortunately, it is possible to find here a reading key: in order to go beyond fragmented and ultimately incoherent readings of Hume, the better way to proceed may consist into focusing on his activities. The present dissertation aims at delineating Hume’s practice of philosophy, or rather his conceptual and epistemological work, in his magnum opus, by focusing on why, how and when he makes reductions. As well-known, the Treatise is an empiricist work, but can never be fully understood if one focuses only on that aspect or on local and tangential questions, and we aim at showing that the Hume’s project and development of said project can only be understood by following how the philosopher tries to reduce most (if not all) knowledge to dependencies of his own theory of human nature. In order to do that, we proceed through four chapters. First, we circumscribe the most important features of the project before and behind the Treatise, which is, what Hume intended to develop through the particular contents of the work. Second, we focus on the conceptual basis from where Hume accomplishes reductions, a basis we call his theory of perceptions, on which is grafted a theory of mind (principles, faculties, relations). These theories, associated to an intention to boil down everything into perceptions as well as to a strict standard to give a mental content the status of a “true idea,” seem to lead straight to skepticism, and this is why the third chapter will focus on the skeptical overtones of the Treatise before looking into aspects commonly referred to as “naturalist.” Though this maneuver does not exactly follow Hume’s own order of exposition, it follows, we think, a specific order of reasons. Finally, on the fourth chapter we review various reductions Hume proceeds (apart from those that lead to a Pyrrhonian skepticism), which will allow us to highlight the limits and problems that stem from his particular breed of reductionism. Following a foundationalist, systematic and totalizing project, Hume’s Treatise is much more than simply empiricist, and as we will see the empiricist aspect appears more as a set of conclusions than as a starting point. Read as both a place and an effect of a reductionist orientation, the Treatise shows a common threat which, in spite of sometimes important problems met on the spot, never breaks.
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Du phénomène d'extériorisation de la perception à l'émergence des pôles corporels : un essai d'analyse et d'articulation théorique du corps spectaculaire

Blanchet, Antoine January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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