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Lucretius on atomic motion : a commentary on "De rerum natura", book two, lines 1-332 /Fowler, Don, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Doct. th.--Oxford, 1984. Titre de soutenance : Commentary on Lucretius, "De rerum natura", book two, lines 1-332. / Bibliogr. p. 453-489. Index.
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Het wijsgeerig verleden der atoomtheorie ...Melsen, Andreas Gerardus Maria van, January 1941 (has links)
Proefschrift--Utrecht. / "Litteratuurlijst": p. [193]-197.
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Het wijsgeerig verleden der atoomtheorie ...Melsen, Andreas Gerardus Maria van, January 1941 (has links)
Proefschrift--Utrecht. / "Litteratuurlijst": p. [193]-197.
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L'atomismo dei Democritei / L'atomisme chez les Démocritéens / The Atomism among the DemocreteansLepri, Ivan 26 March 2018 (has links)
Le travail présente une analyse systématique des témoignages et des fragments concernant les philosophes atomistes, «élèves» de Leucippe et Démocrite de Abdère. L'objectif poursuivi dans cette thèse est de fournir une définition adaptée et dans la mesure du possible cohérente de ce qu'on entend par «Democritéens» ou «atomiste antique» après Démocrite, mais également de montrer que une définition pareille ne peut pas être séparée de l'analyse de la diffusion de l'atomisme dans la Grèce orientale et les territoires de la Syrie, de l'Égypte et probablement de la Phénicie. Séparée du milieu thrace originaire que, à part Leucippe et Démocrite, inclut vraisemblablement également Métrodore de Chio, la « phase » historique de l'atomisme du IV-Ill siècle av. J.-C. présente des caractères inédits pour la spéculation de Leucippe et Democrite. Il n'est pas seulement nécessaire d'examiner la vie et la pensée de ces atomistes à la lumière de la position aux cours d'Alexandre et de ses épigones dans le IV siècle av. J.-C., mais aussi par rapport à la culture égyptienne de matrice alchimique qui «reçoit» l'atomisme de Democrite. Par rapport aux « plusieurs voix » qui la théorie de l'ancien atomisme prendra dans un cadre bien transformé, il est nécessaire de garder la définition de «atomisme» et «Democritéens» en contrepartie d'une exigence méthodologique et historico-philosophique. L'analyse de la pensée de ces philosophes présente, en effet, des caractères compréhensibles à la lumière du lien existant chez Démocrite entre éthique et physique. Encore : la théorie de la connaissance de type «obscure» (σκοτίη) est un concept qui se révèle essentiel pour le chercheur qui veuille comprendre certains passages de la spéculation de ces atomistes postérieurs. / The work is a systematic analysis of the testimonies and the fragments about the ancient atomists, “pupils” of Leucippus and Democritus. The aim of the thesis is to propose an appropriate meaning of the “democriteans” or “ancient atomist” after Democritus, also considering that these terms cannot be separated by the diffusion of this philosophy in the areas of Eastern Greece, Syria, Egypt and, probably, Fenicia. In the 4th-3rd c. BC the historical phase of the atomism is different from the original Thracian context, that includes Leucippus, Democritus and also Metrodorus of Chios, and it shows unprecedented aspects for the leucippean and democritean speculation. The study of these atomists’ life and theory has to consider their role within the court of Alexander and his Epigeons in the 4th c. BC, and the alchemic Egyptian culture “receiving” the atomism. In this new and mutated context the leucippean-democritean theory will have "many voices", otherwise the terms 'atomism' and “democritean” still need to be used according to methodological, hystorical and philosophical demands. The theory of these philosophers, in fact, can be understood only in the light of the democritean connection between physics and ethics. Furthermore the epistemological theory of Democritus concerning the obscure knowledge (σκοτίη) represents a fundamental concept for the scholars to understand many aspects of the speculation of these later ancient atomists.
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Le vide physique dans l'Antiquité : analyse du débat, de ses influences et de son dénouementGirard, Guillaume 12 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire a pour but d'analyser le débat sur l'existence du vide dans la matière. Il n'existe présentement aucune étude récente qui effectue la synthèse de ce débat, qui présente les philosophes qui y ont participé et l'évolution des arguments des uns et des autres. De plus, les études antérieures traitant du sujet ont près d'un siècle et n'incluent pas les dernières théories d'analyse des débats scientifiques, savants ou philosophiques. Pour pallier à ce manque historiographique, différentes méthodologie d'analyse sont utilisées. En premier lieu, une présentation des acteurs du débat et de leurs arguments est effectuée pour établir les bases de l'analyse. L'approche de Kuhn a l'avantage d'identifier cette crise comme une « crise de la connaissance ». Le débat commence effectivement avec la disparition du courant philosophique moniste et la naissance de l'atomisme et de la théorie des quatre éléments, ce qui correspond à la description que fait Kuhn des périodes de crise. Ensuite, on s'inspire de Collins et de Bourdieu pour expliquer comment le débat antique s'est terminé. Le débat s'est naturellement essoufflé à la fin de l'Antiquité puisqu'il n'y avait plus assez de philosophes s'y intéressant pour le soutenir. Ceci porte à conclure que le débat antique n'a essentiellement servi qu'à jeter les bases qui traversent le Moyen Âge et la période moderne sans connaître de dénouement avant le XVIIIe siècle.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Antiquité, Vide, Débat, Atomisme, Pluralisme, Monisme
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Epicurus and democritean ethics : an archaeology of "ataraxia /Warren, James Ian, January 2002 (has links)
Extr. de: Diss. Ph. D.--Philosophy--Cambridge University, 1999. Titre de soutenance : An archaeology of "ataraxia" : Epicurus and democriteanism. / Bibliogr. p. 201-223. Index.
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Atome und Kräfte die Entwicklung des Atomismus und der Affinitätstheorie im 18. Jahrhundert und die Methodologie Imre Lakatos' /Carrier, Martin, January 1984 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Westfälische Wilhelms-Universität zu Münster, 1984. / Vita. Includes bibliographical references (p. 471-499).
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Le réductionnisme dans le Traité de la nature humaine de David HumeNoisette, Kim January 2016 (has links)
Résumé : À l’aube des études humiennes, Norman Kemp Smith appelait à représenter Hume « suivant toutes ses nombreuses activités », comme s’il pressentait que l’étude de la pensée humienne pouvait s’avérer un labyrinthe dans lesquels les commentaires pouvaient s’égarer et se perdre de vue. Ce pressentiment, on peut le dire aujourd’hui, s’est avéré juste, et il porte avec lui une clé de lecture : pour dépasser la représentation parcellaire, fragmentée et ultimement incohérente d’un Hume kaléidoscopique, le mieux est peut-être de s’intéresser à ses activités. La présente thèse vise à circonscrire la pratique humienne de la philosophie, ou, pourrait-on dire, du travail épistémologique et conceptuel, dans l’espace de son magnum opus, et cela à l’aide d’une clé de lecture : celle du réductionnisme. Si le Traité est une oeuvre que l’on peut qualifier d’empiriste, on ne saurait la lire seulement par ce biais ou par celui de questions localisées, et nous montrons que le projet du Traité ne peut se comprendre qu’en voyant comment Hume tente d’y réduire la et les connaissances à des dépendances ou à des parties de sa propre théorie de la nature humaine. Pour cela, nous procédons via quatre chapitres. D’abord, nous tentons de circonscrire les caractéristiques les plus importantes du projet humien, c’est-à-dire de ce que Hume avait l’intention de développer à travers les contenus particuliers du Traité ; ensuite, nous nous concentrons sur la base dont Hume part et dont il se servira pour accomplir des réductions, base que l’on peut appeler une théorie des perceptions doublée d’une théorie de l’esprit (principes, facultés, relations) ; ces deux théories, couplées à un standard strict pour obtenir le statut de « vraie idée » ou d’idée intelligible, semblent amener de par leurs prémisses assez directement au scepticisme, et c’est pourquoi on traitera du scepticisme avant d’évoquer les aspects « naturalistes » du Traité au-delà des éléments de base de la théorie des perceptions et de l’esprit, soit une manoeuvre qui ne suit pas tout à fait l’ordre humien d’exposition mais nous semble suivre un certain ordre des raisons ; enfin, la quatrième partie nous permettra de passer en revue diverses réductions opérées par Hume, celles qui mènent au scepticisme pyrrhonien mises à part, ce qui nous permettra de voir quelles sont les limites et les problèmes afférents à son réductionnisme particulier. Refondateur, systématique et totalisant dans ses intentions, le Traité suit bien plus qu’un projet simplement empiriste, et on verra que dans la démarche humienne l’empirisme apparaît davantage dans les conclusions qu’au point même de départ. En le lisant comme le lieu et la conséquence d’une orientation que l’on peut dire réductionniste, on peut trouver dans le Traité un fil conducteur qui, en dépit de problèmes plus ou moins importants rencontrés en cours de route, ne se rompt pas. / Abstract : At the dawn of Hume studies, Norman Kemp Smith called to study the philosopher “in all his manifold activities,” as if he foresaw there a serious risk for the comments to lose themselves as well as each other. Today, it can be said that Kemp Smith’s foreseeing was legitimate. Fortunately, it is possible to find here a reading key: in order to go beyond fragmented and ultimately incoherent readings of Hume, the better way to proceed may consist into focusing on his activities. The present dissertation aims at delineating Hume’s practice of philosophy, or rather his conceptual and epistemological work, in his magnum opus, by focusing on why, how and when he makes reductions. As well-known, the Treatise is an empiricist work, but can never be fully understood if one focuses only on that aspect or on local and tangential questions, and we aim at showing that the Hume’s project and development of said project can only be understood by following how the philosopher tries to reduce most (if not all) knowledge to dependencies of his own theory of human nature. In order to do that, we proceed through four chapters. First, we circumscribe the most important features of the project before and behind the Treatise, which is, what Hume intended to develop through the particular contents of the work. Second, we focus on the conceptual basis from where Hume accomplishes reductions, a basis we call his theory of perceptions, on which is grafted a theory of mind (principles, faculties, relations). These theories, associated to an intention to boil down everything into perceptions as well as to a strict standard to give a mental content the status of a “true idea,” seem to lead straight to skepticism, and this is why the third chapter will focus on the skeptical overtones of the Treatise before looking into aspects commonly referred to as “naturalist.” Though this maneuver does not exactly follow Hume’s own order of exposition, it follows, we think, a specific order of reasons. Finally, on the fourth chapter we review various reductions Hume proceeds (apart from those that lead to a Pyrrhonian skepticism), which will allow us to highlight the limits and problems that stem from his particular breed of reductionism. Following a foundationalist, systematic and totalizing project, Hume’s Treatise is much more than simply empiricist, and as we will see the empiricist aspect appears more as a set of conclusions than as a starting point. Read as both a place and an effect of a reductionist orientation, the Treatise shows a common threat which, in spite of sometimes important problems met on the spot, never breaks.
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L'atomisme, le holisme et la quête d'une tierce alternative viableChampagne, Marc January 2007 (has links) (PDF)
Selon John McDowell, l'atomisme et le holisme sont chacun incapables de porter fruit. Plutôt que d'osciller futilement entre ces deux pôles, il croit que nous devrions repenser notre façon de concevoir la relation liant l'esprit et le monde. Inspiré par certains passages de Kant, il nous invite donc à reconsidérer l'expérience de telle sorte qu'on y admette d'entrée de jeu l'exercice d'une liberté distinctement humaine-l'étendue de l'esprit devenant ainsi dénuée de toute contrainte externe. À notre avis, McDowell a plus de succès lorsqu'il dépeint le va-et-vient entre l'atomisme et le holisme que lorsqu'il propose une façon d'échapper à ce mouvement. Nous croyons que la fusion qu'il cherche à développer ne tient pas la route dans la mesure où, d'un point de vue naturaliste, il y a bel et bien lieu de distinguer la réceptivité empirique et la spontaneité conceptuelle. À l'encontre de McDowell, nous soutenons qu'il n'y a oscillation entre ces facultés que si l'on endosse une inférence allant du statut non-atomique des représentations au holisme, saut inductif qui repose sur une approche spéculative que nous rejetons. Le premier chapitre cherche à démontrer comment les théories holistes de filière quinéenne se fondent sur des présupposés spéculatifs et comment les éléments plus louables de la philosophie de McDowell à cet égard sont rendus impuissants par son assentiment à la critique que fait W. Sellars du "mythe du Donné". Le second chapitre reconstruit méticuleusement l'argument fort complexe qu'étale McDowell dans Mind and World, pour ensuite critiquer sa suggestion que la culture et l'éducation induisent chez l'être humain une attitude critique pouvant remplacer la friction produite par l'expérience. Le troisième chapitre soutient que la thèse de Sellars voulant que l'expérience peut causer mais non justifier nos représentations détruirait non seulement la connaissance empirique mais aussi la capacité de tirer des inférences. Enfin, le quatrième chapitre présente une nouvelle vision "constrictive" qui, par l'entremise des notions de coercition et de complexité, reconnait que la représentation du monde met en jeu une échelle plus large que l'atome mais plus petite que le tout. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Atomisme, Holisme, Représentation, John McDowell.
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Edition and Translation of the Arabic Manuscript Collection Belonged to Fakhr al-din al-Razi on Kalam Atomism / Edition et traduction d'un recueil manuscrit en langue arabe de Fakhr al-dis al-Razi Sur ’atomisme dans le KalamEftekhari, Banafsheh 17 March 2017 (has links)
Fakhr al-Din al-Razi is a significant philosopher who is famous for his critics on Avicenna. He also made effective dialogues between two rival doctrines (namely Kalam and Peripateticism) in the Islamic world in Middle Ages. He defended Kalam Atomism in last decades of his life. This thesis is working on his two treatises as manuscripts and translating it into English. One of the treatises is about proving atom and another one is rejecting Hylomorphism. These two treatises are attached together as a manuscript book titled as Proving Atomism. / Au Moyen Âge, dans le monde islamique, il y avait deux groupes d'érudits qui avaient deux indications différentes sur l'existence. Le premier groupe était des philosophes, ḥukamā, qui ont approuvé falsafah ou ḥikmah. Cette doctrine avait des bases aristotéliciennes. Un autre groupe était des théologiens, mutikalimūn qui était pour la plupart atomistes. Les théologiens constituaient le kalām qui se traduisait parfois par théologie islamique.Fakhr-e-Razi ou Fakhr al-Din al-Razi était un philosophe et théologien important au 12ème siècle qui a fait des dialogues et des débats entre ces deux doctrines. Il a écrit des critiques sur les livres d'Avicenne et a défendu la doctrine de l'atomisme de Kalam. Bien qu'il ait défendu l'atomisme de Kalam dans beaucoup de livres, il a écrit un traité indépendant sur ce sujet. Cette thèse est l'édition et la traduction d'un livre manuscrit qui comprend deux traités indépendants, dont l'un, prouve atomisme et un autre réfute Hylémorphisme.Cette thèse inclut des commentaires sur l'atomisme et l'hylémorphisme (l'introduction du livre). L'atomisme comme vue générale et l'atomisme de Kalam en particulier sont étudiés. L'histoire de l'atomisme est brièvement passée en revue en tant que racines de l'atomisme de Kalam. Puis la vue de Razi sur l'atomisme est étudiée selon ce livre présent et ses autres livres. Le contraste entre la vision de Razi et la doctrine d'Avicenne comme son rival sont également analysés.
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