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Gabrielle Roy et les classes défavorisées dans la société canadienne-françaiseBaptiste, Annie January 1974 (has links)
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Juvenile street gang members and ethnic identity in Montreal, CanadaDe Iaco, Gilda Assunta. January 2006 (has links)
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Modelling and measurement of urban albedo over MontréalBrown, Ross Donald. January 1980 (has links)
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Adaptation of anglophone Montreal youth to prolonged periods of unemploymentFoley, Kathleen January 1989 (has links)
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Occupational mobility and achievements of post-war Chinese immigrants in MontrealChiang, Frances Shiu-Ching. January 1978 (has links)
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Montreal, a city built by small builders, 1867-1880Hanna, David B., 1951- January 1986 (has links)
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La représentation médiatique des gangs dans le journal La Presse de 1980 à 2010 : la mise en discours d’une « problématique sociale »Laramée, Geneviève 13 January 2012 (has links)
Les médias occupent une place importante au sein des sociétés occidentales, notamment en raison de l’accessibilité des « nouvelles technologies de l’information ». Le marché de la nouvelle en subit des conséquences en ce qui a trait à la création de la nouvelle entourant des phénomènes sociaux ou plutôt, aux yeux des médias, des problèmes sociaux. La présente thèse jette un regard sur le discours médiatique à l’égard de l’une de ces « problématiques sociales », celle des gangs à Montréal. En observant la sélection des faits qui sont rapportés, commentés et interprétés dans la presse, notre recherche montre comment le phénomène des gangs est représenté dans le journal La Presse entre 1980 et 2010. 348 articles ont été analysés durant ces trente années où les gangs sont évoqués. Nous avons pu en dégager trois grands axes. D’abord, la définition du concept de gang n’est pas plus claire dans les médias qu’elle ne l’est dans la littérature scientifique. D’ailleurs, la ligne entre les gangs et les groupes criminels traditionnels n’est pas toujours facile à tracer dans la représentation médiatique. Ensuite, les membres des gangs ne sont pas seulement présentés comme des Autres au sens criminologique, mais généralement comme des ‘Autres étrangers’, les minorités visibles étant implicitement ou explicitement associées à cette problématique sociale tout au long de notre période à l’étude. Finalement, les gangs sont dépeints comme étant plus présents et plus dangereux chaque jour, et ce, dès 1989. Cette dimension alarmiste du discours médiatique sur les gangs semble liée au fait que, très souvent, les journalistes relaient les dires des policiers sans leur ajouter des faits explicatifs, qui auraient favorisé une meilleure compréhension de ce phénomène complexe.
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La représentation médiatique des gangs dans le journal La Presse de 1980 à 2010 : la mise en discours d’une « problématique sociale »Laramée, Geneviève 13 January 2012 (has links)
Les médias occupent une place importante au sein des sociétés occidentales, notamment en raison de l’accessibilité des « nouvelles technologies de l’information ». Le marché de la nouvelle en subit des conséquences en ce qui a trait à la création de la nouvelle entourant des phénomènes sociaux ou plutôt, aux yeux des médias, des problèmes sociaux. La présente thèse jette un regard sur le discours médiatique à l’égard de l’une de ces « problématiques sociales », celle des gangs à Montréal. En observant la sélection des faits qui sont rapportés, commentés et interprétés dans la presse, notre recherche montre comment le phénomène des gangs est représenté dans le journal La Presse entre 1980 et 2010. 348 articles ont été analysés durant ces trente années où les gangs sont évoqués. Nous avons pu en dégager trois grands axes. D’abord, la définition du concept de gang n’est pas plus claire dans les médias qu’elle ne l’est dans la littérature scientifique. D’ailleurs, la ligne entre les gangs et les groupes criminels traditionnels n’est pas toujours facile à tracer dans la représentation médiatique. Ensuite, les membres des gangs ne sont pas seulement présentés comme des Autres au sens criminologique, mais généralement comme des ‘Autres étrangers’, les minorités visibles étant implicitement ou explicitement associées à cette problématique sociale tout au long de notre période à l’étude. Finalement, les gangs sont dépeints comme étant plus présents et plus dangereux chaque jour, et ce, dès 1989. Cette dimension alarmiste du discours médiatique sur les gangs semble liée au fait que, très souvent, les journalistes relaient les dires des policiers sans leur ajouter des faits explicatifs, qui auraient favorisé une meilleure compréhension de ce phénomène complexe.
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Média citoyens : une étude de cas de la radio communautaire à Montevideo (Uruguay) et à Montréal (Québec)Light, Evan January 2007 (has links) (PDF)
L'usage des médias, dans les conceptions populaires, est historiquement restreint à des formes commerciales de médias dans une optique de consommation. Cependant, les médias communautaires abordent l'usage des médias et la communication sociale d'une manière qui peut s'incorporer à l'intérieur des superstructures normatives de la société démocratique. Notre sujet d'étude, la radio communautaire, nous permet d'aborder cette problématique. Alors que nos ondes radiophoniques sont reconnues internationalement comme patrimoine social, les systèmes de réglementations actuels donnent des privilèges d'utilisation aux entreprises privées et commerciales plutôt qu'aux citoyens. Pour aborder cette problématique, nous considérons le rôle des systèmes nationaux des médias selon leurs relations communicationnelles avec le corps social. Ce mémoire explore les rôles, les potentiels et les limitations de la radio communautaire. Notre objectif est de faire une évaluation extensive de l'état actuel de la radio communautaire à Montréal au Québec et à Montevideo en Uruguay, et de proposer des étapes concrètes et pratiques pour développer ce genre de média à un niveau optimal. Notre travail se présente comme une étude de cas comparative dans laquelle nous employons la méthode qualitative d'analyse. L'essentiel de notre corpus se compose d'entrevues, d'observation participante et de textes de chercheurs spécialisés, ainsi que d'entretiens réalisés au sein d'associations de radios communautaires, de l'ensemble des radios communautaires à Montréal, d'une douzaine de diffuseurs communautaires à Montevideo et auprès de représentants du gouvernement.
L'ensemble du temps consacré à cette recherche nous a révélé des faits intrigants. D'abord le potentiel du chercheur en communication comme élément catalyseur autant que son rôle possible d'acteur intermédiaire dans la réforme des politiques de la communication. Notre recherche s'appuie donc sur une perspective critique et pratique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Alternatif, Politiques de la communication, Communautaire, Espace public, Réforme, Uruguay.
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Où en sommes-nous avec l'art féministe? : analyse de la programmation de la Centrale Galerie Powerhouse (1973-1978 et 2007-2010)Rondeau, Kim 01 1900 (has links) (PDF)
Au cours des 10 dernières années, de nombreux évènements en arts visuels se sont penchés sur la question du féminisme, malgré l'annonce de la mort de ce courant politique par plusieurs discours populaires. Effectivement, l'avènement, à la fin de la décennie 1980, des champs d'études queer et postcoloniales reconceptualise et complexifie le sujet du féminisme, la femme. Les fondements de l'identité femme, la fixité de cette catégorie, se voient maintenant interroger. De ce fait, les prémisses misent de l'avant par les féministes des années 1970, moment fort du mouvement de libération des femmes, reçoivent un lot important de critique. Dans un tel contexte, nous souhaitons questionner l'art féministe actuel et comment il se manifeste. Plus spécifiquement, nous voulons analyser de quelle façon il diffère des pratiques féministes inaugurés dans la décennie 1970. C'est sur cette problématique que s'attarde ce mémoire prenant pour corpus d'études les expositions présentées, de 1973 à 1978 et de 2007 à 2010, au centre d'artistes féministes montréalais La Centrale Galerie Powerhouse. Ce lieu de diffusion, fondé par des femmes désirant avoir un endroit pour exposer leur art à un moment où elles étaient exclues des institutions, est un témoin privilégié des relations qu'entretiennent le discours artistique et les théories féministes. La Centrale Powerhouse a d'ailleurs modifié son mandat en 2008 dans le but de demeurer pertinent face aux changements ayant lieu au sein du courant féministe. À travers notre étude comparative de la programmation du centre d'artistes, nous voulons démontrer des démarches politisées, enrichies par de nouvelles préoccupations queer et postcoloniales, demeurent possible ainsi qu'une lecture féministe des œuvres.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Art féministe, art contemporain, La Centrale Galerie Powerhouse
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