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Où en sommes-nous avec l'art féministe? : analyse de la programmation de la Centrale Galerie Powerhouse (1973-1978 et 2007-2010)

Rondeau, Kim 01 1900 (has links) (PDF)
Au cours des 10 dernières années, de nombreux évènements en arts visuels se sont penchés sur la question du féminisme, malgré l'annonce de la mort de ce courant politique par plusieurs discours populaires. Effectivement, l'avènement, à la fin de la décennie 1980, des champs d'études queer et postcoloniales reconceptualise et complexifie le sujet du féminisme, la femme. Les fondements de l'identité femme, la fixité de cette catégorie, se voient maintenant interroger. De ce fait, les prémisses misent de l'avant par les féministes des années 1970, moment fort du mouvement de libération des femmes, reçoivent un lot important de critique. Dans un tel contexte, nous souhaitons questionner l'art féministe actuel et comment il se manifeste. Plus spécifiquement, nous voulons analyser de quelle façon il diffère des pratiques féministes inaugurés dans la décennie 1970. C'est sur cette problématique que s'attarde ce mémoire prenant pour corpus d'études les expositions présentées, de 1973 à 1978 et de 2007 à 2010, au centre d'artistes féministes montréalais La Centrale Galerie Powerhouse. Ce lieu de diffusion, fondé par des femmes désirant avoir un endroit pour exposer leur art à un moment où elles étaient exclues des institutions, est un témoin privilégié des relations qu'entretiennent le discours artistique et les théories féministes. La Centrale Powerhouse a d'ailleurs modifié son mandat en 2008 dans le but de demeurer pertinent face aux changements ayant lieu au sein du courant féministe. À travers notre étude comparative de la programmation du centre d'artistes, nous voulons démontrer des démarches politisées, enrichies par de nouvelles préoccupations queer et postcoloniales, demeurent possible ainsi qu'une lecture féministe des œuvres. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Art féministe, art contemporain, La Centrale Galerie Powerhouse
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La stratégie ironique comme militance féministe : le cas des Guerrilla Girls, des Fermières Obsédées et de Dana Wyse

Savignac-Rousseau, Sara 01 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur la présence de l'ironie comme stratégie esthétique et politique. Les œuvres analysées le sont dans l'objectif de connaître comment cette figure s'articule à l'intérieur de créations à contenu féministe et quels indices de l'ironie apparaissent de façon parfois récurrente. Ne prétendant pas universaliser le mode fonctionnel de l'ironie dans la militance féministe, ni dans les arts visuels, ce mémoire cherche plutôt à saisir de quelle manière l'ironie, en tant que méthode rhétorique, agit à l'intérieur de pratiques artistiques précises et distinctes les unes des autres. Le concept d'ironie est analysé principalement à partir des définitions qu'en donnent Catherine Kerbrat-Orecchioni, Linda Hutcheon et le Groupe MU, c'est-à-dire une figure avançant une affirmation et qui, à l'aide de certains éléments, en suggère à la fois la négation. Ce paradoxe qui conduit à la notion d'ambiguïté permet d'éliminer ce qui peut être perçu telle une attitude totalitaire, menant de force ou forcément le récepteur ou la réceptrice vers une Vérité. En fait, la stratégie ironique oblige à la réflexion et exerce l'esprit critique dans la mesure où le public oscille entre deux lectures contradictoires. Cette incitation à faire preuve d'une pensée critique à l'égard de thèmes fondamentaux à l'étude, notamment la notion de genre, révèle le type particulier d'engagement que propose la stratégie ironique. Ce travail se concentre sur divers courants féministes et conceptions du genre. Parmi les écoles de pensée abordées, une attention particulière est portée à l'égard de la philosophe et féministe Judith Butler. Celle-ci propose d'ouvrir les possibilités identitaires et de miser sur les différences, au-delà de la pensée binaire contraignante. Son concept de pratiques parodiques du genre a été retenu afin d'analyser subséquemment ce que la psychanalyste Joan Riviere qualifie de "mascarade de la féminité". À partir de ces concepts, les pratiques artistiques de deux collectifs d'artistes, soit les Guerrilla Girls et Les Fermières Obsédées, ainsi que de l'artiste Dana Wyse seront abordées de sorte à faire voir des variantes postmodernes qui élargiraient la définition d'un art militant. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : art et féminisme, ironie, genre, pratiques parodiques, Guerrilla Girls, Les Fermières Obsédées, Dana Wyse.
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Danse contemporaine, genre et féminisme en France (1968-2015) / Contemporary dance, gender and feminism in France (1968-2015)

Boivineau, Pauline 18 December 2015 (has links)
Cette thèse porte sur un objet complexe liant danse contemporaine, genre et féminisme dans l’espace français de 1968 à 2015. La danse partage les préoccupations des militantes féministes à l’égard des problématiques d’identité, de sexualité, d’émancipation,de déconstruction du genre et des binarismes, de recherche universaliste ou de féminitude. Nous analysons comment le féminisme informe les artistes qui, quelle que soit l’époque, peinent à se dire féministes ou à penser leur art comme l’expression de leur engagement. Considérer le potentiel subversif de la danse implique une analyse de son rapport au genre et en particulier au genre féminin, doublée par celle de la place réelle et symbolique des femmes. Les idées reçues et les stéréotypes se confrontent à la réalité.L’année 1968 marque un tournant social qui concorde avec celui de la danse, y compris d’un point de vue politique. L’art chorégraphique prend son essor au moment où la seconde vague féministe arrive sur le devant de la scène. En 50 ans les rapports qu’entretiennent la danse et le féminisme sont reconfigurés, ce qui permet d’évaluer les influences réciproques et de postuler l’existence d’une danse féministe. La confrontation aux langages des chorégraphes hommes permet de comprendre les constructions genrées et leur potentiel de remise en cause du système hétéronormé et androcentré.Comment les grandes mutations politiques (mise en place des CCN, turn-over des directions, parité, etc.),féministes (apparition d’une troisième vague, etc.),esthétiques et médiatiques nourrissent-elles la danse en tant que moyen d’expression du genre et du féminisme ? La généralisation de la nudité et la queerisation de la danse soulèvent l’enjeu du passage de la transgression du genre à sa subversion. Il s’agit de comprendre comment la troisième vague féministe, plus ouverte à la dimension culturelle et intersectionnelle, permet à la danse d’être féministe. / This thesis analyses a complex question linkingcontemporary dance, gender and feminism in Francefrom 1968 to 2015. Dance shares the concerns offeminist activists regarding issues of identity, sexuality, emancipation, the deconstruction of gender andbinarisms, of universalist research and femaleness. Thisstudy examines how feminism informed artists who,whatever the era, had difficulty admitting that they werefeminists or seeing their art as an expression of theircommitment. Considering the subversive potential ofdance implies an analysis of its relationship with gender,in particular the female gender, as well as the real andsymbolic place of women. Preconceived ideas andstereotypes thus confront reality. The year 1968 markeda turning point for society and for dance, including froma political point of view. Dance came into its own at thesame time that second-wave feminism came to the fore.The reconfiguration of the relationships between danceand feminism that occurred over this 50-year periodallows one to assess reciprocal influences and topostulate the existence of a feminist dance. Comparingfemale choreographers' modes of expression with thoseof men, facilitates the understanding of genderedconstructions and their potential for challengingheteronormativity and androcentrism. How do the majorpolitical changes (establishment of the NCCs,management changes, parity, etc.), feminists(appearance of a third wave, etc.), aesthetics andmediatisation nurture dance as a means of expressionof gender and feminism? The generalisation of nudityand the queerisation of dance suggest the passage fromthe transgression of gender to its subversion. Thisthesis aims to understand how third-wave feminism,more open to cultural and intersectional dimensions,enabled dance to be feminist.
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Mary Seton Watts : artist, activist, feminist

Audette Sabourin, Camille 08 1900 (has links)
Mary Seton Watts (1849–1938) était une artiste et une activiste importante de la fin du 19e siècle et du début du 20e en Angleterre. Bien qu’elle ait connu un grand succès de son vivant, l’histoire n’a su assurer l’héritage de cette femme. Le Royal Victoria College de l’Université McGill à Montréal abrite Our Lady of the Snows, une bannière en soie brodée par l’artiste, accrochée dans l’anonymat dans un couloir. La bannière fut commandée par le gouverneur général du Canada Lord Grey, en 1907, dans un effort d’assurer dans le système universitaire canadien une présence impériale. Il a ainsi fait la commande d’une série de bannière à des dames de la société anglaise, leur demandant spécifiquement l’inclusion d’une image de Saint George et le dragon. Seulement, des deux bannières envoyées par Mary Seton Watts, aucune ne présentait cette imagerie. Alors que Our Lady of the Snows a été envoyée à l’institution féminine Royal Victoria à Montréal, l’autre, Spirit of the Flowers of the Nation, n’a pas été incluse dans les envois du gouverneur général. Ce mémoire vise à positionner Our Lady of the Snows à l’intersection de l’activisme féministe et de l’activité artistique de Mary Seton Watts. Tout au long de sa carrière, l’artiste a démontré que sa vision personnelle et son occupation professionnelle existaient en symbiose dans son esprit. Elle a, à la fois, utilisé son art dans ses efforts d’améliorer le monde autour d’elle et a puisé inspiration dans ses valeurs personnelles afin de construire un langage symbolique qui lui est propre. Peintre, potière, brodeuse, designer, entrepreneure, activiste et suffragiste, Mary Seton Watts a laissé un vaste héritage qui se caractérise par son habileté d’adaptation et son refus de se plier aux normes artistiques et sociales. L’artiste a produit cette bannière à un moment crucial du suffrage des femmes, où des bannières de nature similaire étaient utilisées comme outils de revendication. Par une analyse technique et symbolique détaillée de Our Lady of the Snows, ce mémoire démontre que l’œuvre est inscrite dans la foulée de ces bannières suffragistes, et comme un objet caractéristique du mariage entre art et activisme chez Mary Seton Watts. / Mary Seton Watts (1849-1938) was an important artist and activist of late nineteenth-century and early twentieth-century England. Although she was successful in her lifetime, her legacy has been forgotten through time. McGill University’s Royal Victoria College in Montreal houses Our Lady of the Snows, a banner designed and embroidered by Seton Watts. The banner is hung unidentified in the hallways of the building which now serves as university housing. Our Lady of the Snows was part of a commission from the then governor general of Canada, Lord Grey in 1906. This project was in accordance to Lord Grey’s wish to instill an imperial presence within Canadian universities. He ordered a series of embroidered banners from English gentlewomen and specifically requested they depict Saint George and the Dragon. However, of the two banners he received from Seton Watts, neither included the theme he had asked for. While Our Lady of the Snows was sent to Montreal, Spirit of the Flowers of the Nation was never displayed as part of his project. This thesis sets out to position Our Lady of the Snows at the intersection of Seton Watts’s feminist activism and artistic activity. Throughout her career, she exhibited how her art and values formed a symbiotic relationship. She used art in service of her social engagement and let her political beliefs transpire in her extensive symbolic language. Painter, potter, needleworker, designer, entrepreneur, activist and suffragist, Mary Seton Watts left a legacy that is extraordinary in its refusal to submit to artistic and societal expectations. She created this banner at a crucial moment in the history of the movement for women’s suffrage. Banners were becoming an iconic symbol of suffragist processions and were used to reclaim needlework while fighting for women’s rights. A close technical and symbolic reading of the banner positions the object as in direct dialogue with suffragist banners, as well as an emblematic demonstration of the union of art and activism in the work of Mary Seton Watts.
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L'eau de l'art contemporain : une dynamique d'une esthétique écosophique / Water of Art : a dynamic of ecosophical aesthetics

Marty, Patrick 19 December 2014 (has links)
L’eau est porteuse d’aspects différents de consciences, tout en étant un espéranto planétaire. Doit-on parler des artistes de l’eau ? ou bien de l’eau des artistes ? Quel que soit le point de vue que l’on considère, il se dégage une synergie de pensées oeuvrant à une réflexion consensuelle et paradigmatique. Cette recherche propose une nouvelle lecture de l’interaction de l’élément naturel avec la place qu’il occupe dans l’art contemporain ; comment l’eau dans l’art contemporain devient, grâce à sa puissance évocatrice, l’Eau de l’Art, une source inépuisable d’adaptabilité transculturelle qui se fait l’écho d’une nécessaire métamorphose. L’eau est devenu un médium parmi tant d’autres. L'eau, matière naturelle par excellence, se retrouve utilisée indifféremment par un peu tous les courants artistiques actuels notamment dans des vidéos, des performances, des sculptures, en architecture ou dans des expériences à la frontière de l’art et des sciences cognitives. On peut examiner trois aspects de la culture de l'eau : en tant que vecteur à la fois d'une culture enracinée, et d'une éthique de l'Universel commun, la force symbolique de l'eau dans l'histoire de l’art, et l'actualité écologique, scientifique et psychologique. L’eau couvre tous les champs du possible, et rend accessible les moindres recoins de la pensée, aussi bien la part d’ombre que la lumière de la psyché humaine. Elle accompagne et interagit sur les non dits des sociétés, car elle contient leurs savoirs ; elle est la matrice de leur philosophie, leur sociabilité, leur géographie (compréhension de l’espace et des milieux de vie), leur communication, leur histoire, leur langage. L’Eau de l’Art dynamise ainsi une esthétique écosophique en puisant dans la poésie du temps. / Water is a messenger of various aspects of consciousness, while being a global Esperanto. Should we talk about artists of water? Or the water of artists? Whatever point of view one considers, a synergy of thoughts emerges involving a consensual and paradigmatic vision. This research proposes a new reading of the interaction of the natural element with its role in contemporary art; how water in contemporary art becomes, with its evocative power, Water of Art, an inexhaustible source of crosscultural adaptability that echoes a necessary metamorphosis. Water has become a medium among many others. Water, a natural material par excellence, is used interchangeably by almost all the current artistic trends, including video, performance, sculpture, architecture and experiences on the frontier of art and cognitive science. There are three aspects of the culture of water: as a vector of both an ingrained culture and the Universal ethic; the symbolic force of water in art history; and the ecological, scientific and psychological information. Water covers all possible fields, and allows access to every corner of the mind, the dark side as well as the light of the human psyche. It supports and interacts on the unspoken aspects of society because it contains their knowledge; it is the matrix of their philosophy, their sociability, their geography (understanding of space and living environments), communication, history, language. Therefore, Water of Art adds a dynamic to ecosophical aesthetics in drawing from the poetics of time.

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