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Marcel Mauss, savant et politique /

Dzimira, Sylvain. January 2007 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Sociologie politique--Paris 10, 2006. Titre de soutenance : La preuve par le don : Marcel Mauss et son héritage MAUSSien. / Bibliogr. p. 229-235.
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Redes sociais e dádiva: a construção dos vínculos sociais entre lideranças na Transamazônica-Pará.

ALVES, Juliete Miranda 27 November 2017 (has links)
Submitted by Johnny Rodrigues (johnnyrodrigues@ufcg.edu.br) on 2017-11-27T15:29:08Z No. of bitstreams: 1 JULIETE MIRANDA ALVES - Tese PPGCS - 2015..pdf: 2318624 bytes, checksum: f6ca852173b4fa50df54421905611193 (MD5) / Made available in DSpace on 2017-11-27T15:29:08Z (GMT). No. of bitstreams: 1 JULIETE MIRANDA ALVES - Tese PPGCS - 2015..pdf: 2318624 bytes, checksum: f6ca852173b4fa50df54421905611193 (MD5) Previous issue date: 2015-09-04 / O objetivo central deste trabalho consiste em analisar, através das redes sociais, os vínculos e as formas de retribuição constituídas na carreira de militantes das lideranças da Transamazônica e Xingu-Estado do Pará. Centralizamos nossa análise nas lideranças que construíram sua militância em movimentos sociais e se projetaram em entidades de classe, como a Federação dos Trabalhadores na Agricultura (FETAGRI regional) e o Sindicato dos Trabalhadores na Educação Pública do Pará (SINTEPP regional). O periodo selecionado para essa análise foi a partir da década de 1980, culminando com o momento de reorganização dos movimentos sociais na Transamazônica e Xingu. Consideramos, nestes vínculos, os sistemas de troca e retribuição, compreendidos como as alianças tecidas, as trocas realizadas e as formas de retribuição ao longo de suas trajetórias de militantes. Para tal análise, fundamentamo-nos na concepção de dádiva de Marcel Mauss (1872-1950) e sistematizada em sua obra Essai Sur le Don: Forme et Raison de l’Échange dans les Sociétés Archaiques, de 1925. A dádiva foi escolhida como perspectiva teórica porquanto ela é dotada de poder analítico capaz de explicar um dos aspectos mais significativos da tese: as noções de “aliança” e “vínculo” presentes nas redes tecidas por essas lideranças. A metodologia adotada se baseia na análise das trajetórias de lideranças vinculadas à noção de carreira. Esta noção pretende dar conta de um modelo processual ou sequencial da ação militante, considerando as redes sociais tecidas nas trajetórias das lideranças. Compreendemos, nesta pesquisa, que a adesão, engajamento, longevidade e extensão da militância dessas lideranças são fundadas mediante variadas formas de reconhecimento, baseadas, sobretudo, na obrigação moral de retribuição. / This study’s main objective is to examine compensation links and forms made in militant career of Transamazônica and Xingu leaders (Pará, Brazil) through social networks. Our analysis is focused on leaders who built his/her activism in social movements and they are designed in professional associations such as Agricultural Workers Federation (regional FETAGRI) and Public Education Workers Union (SINTEPP from Pará state). The period selected for this analysis since the 1980, culminating with the moment from reorganization of social movements Transamazônica e Xingu. We conceive such bonds, exchange and retribution systems as woven alliances, exchanges carried out and retribution ways over their trajectories as militants. This analysis is grounded in Marcel Mauss (1872-1950)’ donation concept, which has been and systematized in his essay Essai Sur le Don: Forme et Raison de l’Échange dans les Sociétés Archaiques, from 1925. The gift was chosen as theoretical perspective because it is endowed with analytical power able to explain one of this thesis’ most significant aspects: “covenant” and “link” notions present in the networks woven by such leaders. Methodology is based on leaders’ trajectory analysis linked to career concept. This concept aims to realize a procedural or sequential militant action model when it comes to social networks woven in leaders’ trajectories. In this research, we understand that such leaders’ militancy adherence, engagement, longevity and extent are based upon various recognition forms, mainly related to the moral obligation to return.
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La responsabilité sociale des entreprises est-elle sociale?

Dandurand, Guillaume 11 January 2012 (has links)
La thèse de maîtrise écrite dans le cadre du programme de Mondialisation et développement international a pour sujet la Responsabilité sociale (ou sociétale) des entreprises (RSE) et le rôle social joué par ces dernières. Alors que la conceptualisation de la RSE et la théorisation du sujet sont nombreuses et divergentes, en raison notamment de la pluralité de regards et de perspectives sur la question, le projet de recherche est développé de manière à balayer les divers théories et concepts pour en soutirer les failles et les forces. Cette thèse répond à l'invitation d'Elizabet Garriga et Domènec Melé (2004, 66) de trouver un courant théorique qui pallie les faiblesses des approches de leur taxonomie en plus d'en catalyser les forces. Dans cette partie, les théories politiques présentent un cadre d'analyse permettant d'aborder la RSE sous une perspective de relations de pouvoir entre une entreprise, les stakeholders et l'État. Puis, les théories éthiques recensent tour à tour le développement durable et les droits humains avant de souligner leur apport implicite à l'approche du bien commun afin de présenter la particularité de guider les entreprises à respecter et honorer un ensemble de normes. Puis finalement, la théorie des stakeholders apporte une dimension descriptive, systématique, des échanges potentiels entre l'entreprise et les stakeholders, contrastant avec les autres approches, qui sont principalement, et éminemment normatives. Après une conceptualisation et une revue de littérature sur le sujet, la RSE est alors théorisée sous une perspective de l'anthropologie française du don de Marcel Mauss. En considérant les outils d'analyse laissés par Marcel Mauss et son legs sur le don et le contre-don, la RSE peut être comprise comme un ensemble de relations sociales dynamiques entre une communauté et une entreprise au sein desquelles les deux agents sociaux s'échangent des biens et services – par le biais de la RSE – dans le but d'assurer une certaine cohésion sociale. Le principe généré par le du don et contre-don est en soi consternant de simplicité. Une personne X représentant un groupe d'individus donne à un autre agent Y, représentant lui aussi un groupe d'individus. En acceptant le don, l'agent Y se place dans une position où il se trouve obligé de redonner à la personne X. C'est le contre-don, qui résulte de la triple obligation : celle de donner, de recevoir et de rendre. À travers ces échanges matériels irréductibles, les deux agents s'engagent l'un à l'autre, ils créent, recréent et perpétuent cet engagement social. Un lien est tissé; leur relation est donc sociale. C'est sous ce schème analytique que le cadre théorique s'inscrit, en utilisant le don de Mauss comme assise afin de déterminer si la RSE est sociale. Le cadre théorique ainsi développé est finalement analysé par une étude de cas localisée au Nigéria, mettant sur la sellette les activités de RSE de l'entreprise pétrochimique Royal Dutch Shell.
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La responsabilité sociale des entreprises est-elle sociale?

Dandurand, Guillaume 11 January 2012 (has links)
La thèse de maîtrise écrite dans le cadre du programme de Mondialisation et développement international a pour sujet la Responsabilité sociale (ou sociétale) des entreprises (RSE) et le rôle social joué par ces dernières. Alors que la conceptualisation de la RSE et la théorisation du sujet sont nombreuses et divergentes, en raison notamment de la pluralité de regards et de perspectives sur la question, le projet de recherche est développé de manière à balayer les divers théories et concepts pour en soutirer les failles et les forces. Cette thèse répond à l'invitation d'Elizabet Garriga et Domènec Melé (2004, 66) de trouver un courant théorique qui pallie les faiblesses des approches de leur taxonomie en plus d'en catalyser les forces. Dans cette partie, les théories politiques présentent un cadre d'analyse permettant d'aborder la RSE sous une perspective de relations de pouvoir entre une entreprise, les stakeholders et l'État. Puis, les théories éthiques recensent tour à tour le développement durable et les droits humains avant de souligner leur apport implicite à l'approche du bien commun afin de présenter la particularité de guider les entreprises à respecter et honorer un ensemble de normes. Puis finalement, la théorie des stakeholders apporte une dimension descriptive, systématique, des échanges potentiels entre l'entreprise et les stakeholders, contrastant avec les autres approches, qui sont principalement, et éminemment normatives. Après une conceptualisation et une revue de littérature sur le sujet, la RSE est alors théorisée sous une perspective de l'anthropologie française du don de Marcel Mauss. En considérant les outils d'analyse laissés par Marcel Mauss et son legs sur le don et le contre-don, la RSE peut être comprise comme un ensemble de relations sociales dynamiques entre une communauté et une entreprise au sein desquelles les deux agents sociaux s'échangent des biens et services – par le biais de la RSE – dans le but d'assurer une certaine cohésion sociale. Le principe généré par le du don et contre-don est en soi consternant de simplicité. Une personne X représentant un groupe d'individus donne à un autre agent Y, représentant lui aussi un groupe d'individus. En acceptant le don, l'agent Y se place dans une position où il se trouve obligé de redonner à la personne X. C'est le contre-don, qui résulte de la triple obligation : celle de donner, de recevoir et de rendre. À travers ces échanges matériels irréductibles, les deux agents s'engagent l'un à l'autre, ils créent, recréent et perpétuent cet engagement social. Un lien est tissé; leur relation est donc sociale. C'est sous ce schème analytique que le cadre théorique s'inscrit, en utilisant le don de Mauss comme assise afin de déterminer si la RSE est sociale. Le cadre théorique ainsi développé est finalement analysé par une étude de cas localisée au Nigéria, mettant sur la sellette les activités de RSE de l'entreprise pétrochimique Royal Dutch Shell.
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La responsabilité sociale des entreprises est-elle sociale?

Dandurand, Guillaume 11 January 2012 (has links)
La thèse de maîtrise écrite dans le cadre du programme de Mondialisation et développement international a pour sujet la Responsabilité sociale (ou sociétale) des entreprises (RSE) et le rôle social joué par ces dernières. Alors que la conceptualisation de la RSE et la théorisation du sujet sont nombreuses et divergentes, en raison notamment de la pluralité de regards et de perspectives sur la question, le projet de recherche est développé de manière à balayer les divers théories et concepts pour en soutirer les failles et les forces. Cette thèse répond à l'invitation d'Elizabet Garriga et Domènec Melé (2004, 66) de trouver un courant théorique qui pallie les faiblesses des approches de leur taxonomie en plus d'en catalyser les forces. Dans cette partie, les théories politiques présentent un cadre d'analyse permettant d'aborder la RSE sous une perspective de relations de pouvoir entre une entreprise, les stakeholders et l'État. Puis, les théories éthiques recensent tour à tour le développement durable et les droits humains avant de souligner leur apport implicite à l'approche du bien commun afin de présenter la particularité de guider les entreprises à respecter et honorer un ensemble de normes. Puis finalement, la théorie des stakeholders apporte une dimension descriptive, systématique, des échanges potentiels entre l'entreprise et les stakeholders, contrastant avec les autres approches, qui sont principalement, et éminemment normatives. Après une conceptualisation et une revue de littérature sur le sujet, la RSE est alors théorisée sous une perspective de l'anthropologie française du don de Marcel Mauss. En considérant les outils d'analyse laissés par Marcel Mauss et son legs sur le don et le contre-don, la RSE peut être comprise comme un ensemble de relations sociales dynamiques entre une communauté et une entreprise au sein desquelles les deux agents sociaux s'échangent des biens et services – par le biais de la RSE – dans le but d'assurer une certaine cohésion sociale. Le principe généré par le du don et contre-don est en soi consternant de simplicité. Une personne X représentant un groupe d'individus donne à un autre agent Y, représentant lui aussi un groupe d'individus. En acceptant le don, l'agent Y se place dans une position où il se trouve obligé de redonner à la personne X. C'est le contre-don, qui résulte de la triple obligation : celle de donner, de recevoir et de rendre. À travers ces échanges matériels irréductibles, les deux agents s'engagent l'un à l'autre, ils créent, recréent et perpétuent cet engagement social. Un lien est tissé; leur relation est donc sociale. C'est sous ce schème analytique que le cadre théorique s'inscrit, en utilisant le don de Mauss comme assise afin de déterminer si la RSE est sociale. Le cadre théorique ainsi développé est finalement analysé par une étude de cas localisée au Nigéria, mettant sur la sellette les activités de RSE de l'entreprise pétrochimique Royal Dutch Shell.
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La responsabilité sociale des entreprises est-elle sociale?

Dandurand, Guillaume January 2012 (has links)
La thèse de maîtrise écrite dans le cadre du programme de Mondialisation et développement international a pour sujet la Responsabilité sociale (ou sociétale) des entreprises (RSE) et le rôle social joué par ces dernières. Alors que la conceptualisation de la RSE et la théorisation du sujet sont nombreuses et divergentes, en raison notamment de la pluralité de regards et de perspectives sur la question, le projet de recherche est développé de manière à balayer les divers théories et concepts pour en soutirer les failles et les forces. Cette thèse répond à l'invitation d'Elizabet Garriga et Domènec Melé (2004, 66) de trouver un courant théorique qui pallie les faiblesses des approches de leur taxonomie en plus d'en catalyser les forces. Dans cette partie, les théories politiques présentent un cadre d'analyse permettant d'aborder la RSE sous une perspective de relations de pouvoir entre une entreprise, les stakeholders et l'État. Puis, les théories éthiques recensent tour à tour le développement durable et les droits humains avant de souligner leur apport implicite à l'approche du bien commun afin de présenter la particularité de guider les entreprises à respecter et honorer un ensemble de normes. Puis finalement, la théorie des stakeholders apporte une dimension descriptive, systématique, des échanges potentiels entre l'entreprise et les stakeholders, contrastant avec les autres approches, qui sont principalement, et éminemment normatives. Après une conceptualisation et une revue de littérature sur le sujet, la RSE est alors théorisée sous une perspective de l'anthropologie française du don de Marcel Mauss. En considérant les outils d'analyse laissés par Marcel Mauss et son legs sur le don et le contre-don, la RSE peut être comprise comme un ensemble de relations sociales dynamiques entre une communauté et une entreprise au sein desquelles les deux agents sociaux s'échangent des biens et services – par le biais de la RSE – dans le but d'assurer une certaine cohésion sociale. Le principe généré par le du don et contre-don est en soi consternant de simplicité. Une personne X représentant un groupe d'individus donne à un autre agent Y, représentant lui aussi un groupe d'individus. En acceptant le don, l'agent Y se place dans une position où il se trouve obligé de redonner à la personne X. C'est le contre-don, qui résulte de la triple obligation : celle de donner, de recevoir et de rendre. À travers ces échanges matériels irréductibles, les deux agents s'engagent l'un à l'autre, ils créent, recréent et perpétuent cet engagement social. Un lien est tissé; leur relation est donc sociale. C'est sous ce schème analytique que le cadre théorique s'inscrit, en utilisant le don de Mauss comme assise afin de déterminer si la RSE est sociale. Le cadre théorique ainsi développé est finalement analysé par une étude de cas localisée au Nigéria, mettant sur la sellette les activités de RSE de l'entreprise pétrochimique Royal Dutch Shell.
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René-Yves Creston (1898-1964) : l’artiste, l’ethnologue, le théoricien / René-Yves Creston (1898-1964) : artist, ethnologist, theorist

Creston, Saphyr 20 January 2017 (has links)
Cette étude aborde la carrière et l’oeuvre de René-Yves Creston, artiste qui dans les années vingt, fonde le groupe Ar Seiz Breur. Impliqués dans la vie culturelle locale, les artistes du groupe participent au renouveau des arts décoratifs en Bretagne. Gravure, peinture, faïence, meuble sont autant de domaines dans lesquels ils influencent l’esthétique régionale de la première moitié du XXe siècle dans l’esprit des Arts and Crafts, de l’école de Zakopane et d’autres mouvements européens. Fréquentant les milieux intellectuels parisiens, René-Yves Creston devient un organisateur hors pair et permet à Ar Seiz Breur de participer à des expositions internationales d’envergure. Dans les années trente, son attrait pour le milieu maritime lui permet de participer à la campagne de 1933 au Groenland. Découvrant la pratique ethnographique, il s’inscrit à l’Institut d’ethnologie à la fin des années trente pour y suivre les cours de Marcel Mauss et intègre le musée de l’Homme pour lequel il effectue une mission aux Féroé. Durant la Seconde Guerre mondiale, il participe à la création du réseau du musée de l’Homme et continue ses recherches autour de l’ethnographie bretonne. Après guerre, Georges Henri Rivière l’introduit dans le milieu des musées de société. René-Yves Creston est à l’origine de nombreuses collections dans les musées bretons et au musée des Arts et Traditions populaires. Attaché à l’étude de la région bretonne, il continue néanmoins à s’investir dans l’ethnologie maritime européenne. De la fin du XIXe siècle à la deuxième moitié du XXe siècle, cette étude revient sur le parcours d’un artiste ethnologue dont les préoccupations se tournent sur l’étude de l’homme, de l’utilisation du réalisme dans sa pratique artistique à l’étude des peuples en ethnologie. / This study approaches the career and work of René-Yves Creston : this artist, who, in the twenties co-created the group of Seiz Breur. Strongly involved in local cultural life, the group-artists took part in the revival of decorative crafts in Brittany: engraving, painting, earthenware, furniture, so many areas in which they affect the regional aesthetics of the first mid-twentieth century, in the same spirit as Arts and Crafts or Zakopane school or other european movements. Taking part in parisian intellectual life, René-Yves Creston became a leader, without equal organiser so he leaded Seiz Breur to take part in famous international exhibitions. In the thirties, his own interest for the maritim world leads him to take part in 1933 in a trip to Greenland. He then discovered the ethnographic practice. He joins then the ethnological institute and at the end of thirties follows Marcel Mauss’s lessons and fit in “musée de l’Homme” for which he was involved in a mission in Feröe islands. During the world war two, he took part in setting up the “Réseau du musée de l’Homme”. He then follows on his searches about breton ethnography. After the war, Georges Henri Rivière introduced him in thesociety-museums circles. René-Yves Creston leaded to many collections in breton museums and Arts and popular Traditions museum. Deeply involved in the study of brittany, he carries on taking part in european maritim ethnology studies. From the end of 19th century to second part of 20th, this work reads the process of this man, starting as an artist, who becomes an ethnologist using his realism in art as a tool for his study of man.
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Lectures contemporaines du symbolisme maussien dans la socio-anthropologie française

Létourneau, Kateri 26 September 2012 (has links)
Les travaux de Marcel Mauss connaissent au tournant des années 1980 un renouveau d’intérêt, notamment avec la revue du MAUSS. Cet intérêt serait attribuable à la conception originale du social comme symbolisme qui s’esquisse chez ce durkheimien hétérodoxe. Cette thèse compare les perspectives de quatre lecteurs contemporains du symbolisme maussien issus de la socio-anthropologie française, soit Camille Tarot, Bruno Karsenti, Alain Caillé et Jacques T. Godbout. Si ces derniers s’entendent sur l’importance des travaux de Mauss, le sens à donner aux concepts de fait social total et de don diffère sensiblement selon les auteurs : Tarot et Karsenti, en accordant plus d’importance à la découverte du fait social total, décèlent chez Mauss une conception sociale accordant une place à la totalité symbolique, alors que Caillé et Godbout, en insistant davantage sur la découverte maussienne du don, y trouvent les prolégomènes d’un tiers paradigme se situant entre l’holisme et l’individualisme.
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Lectures contemporaines du symbolisme maussien dans la socio-anthropologie française

Létourneau, Kateri 26 September 2012 (has links)
Les travaux de Marcel Mauss connaissent au tournant des années 1980 un renouveau d’intérêt, notamment avec la revue du MAUSS. Cet intérêt serait attribuable à la conception originale du social comme symbolisme qui s’esquisse chez ce durkheimien hétérodoxe. Cette thèse compare les perspectives de quatre lecteurs contemporains du symbolisme maussien issus de la socio-anthropologie française, soit Camille Tarot, Bruno Karsenti, Alain Caillé et Jacques T. Godbout. Si ces derniers s’entendent sur l’importance des travaux de Mauss, le sens à donner aux concepts de fait social total et de don diffère sensiblement selon les auteurs : Tarot et Karsenti, en accordant plus d’importance à la découverte du fait social total, décèlent chez Mauss une conception sociale accordant une place à la totalité symbolique, alors que Caillé et Godbout, en insistant davantage sur la découverte maussienne du don, y trouvent les prolégomènes d’un tiers paradigme se situant entre l’holisme et l’individualisme.
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Lectures contemporaines du symbolisme maussien dans la socio-anthropologie française

Létourneau, Kateri January 2012 (has links)
Les travaux de Marcel Mauss connaissent au tournant des années 1980 un renouveau d’intérêt, notamment avec la revue du MAUSS. Cet intérêt serait attribuable à la conception originale du social comme symbolisme qui s’esquisse chez ce durkheimien hétérodoxe. Cette thèse compare les perspectives de quatre lecteurs contemporains du symbolisme maussien issus de la socio-anthropologie française, soit Camille Tarot, Bruno Karsenti, Alain Caillé et Jacques T. Godbout. Si ces derniers s’entendent sur l’importance des travaux de Mauss, le sens à donner aux concepts de fait social total et de don diffère sensiblement selon les auteurs : Tarot et Karsenti, en accordant plus d’importance à la découverte du fait social total, décèlent chez Mauss une conception sociale accordant une place à la totalité symbolique, alors que Caillé et Godbout, en insistant davantage sur la découverte maussienne du don, y trouvent les prolégomènes d’un tiers paradigme se situant entre l’holisme et l’individualisme.

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