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Communication dans le système éducatif martiniquais et exclusion sociale

Cidalise-Montaise, Marie-Dominique 07 May 2015 (has links)
Échec scolaire, délinquance, violence, exclusion, sont les fléaux de notre société moderne.À la Martinique dans les années 1950 un certain nombre de dispositifs furent mis en place pour tenter d’enrayer sinon de réduire l’ampleur du phénomène. Une maison de l’enfance et des dispositifs sanitaires et sociaux sont mis en place. Aujourd’hui face aux élèves en difficulté il existe également des structures diverses qui sont les classes spécialisées, les classes d’adaptation, les structures psycho-pédagogiques diverses. Et dans les deux cas sous couvert d’aide à l’enfance d’accompagnement et d’aides multiples des populations d’enfants ont vécu et vivent la marginalisation, l’exclusion car la différence affichée par la prise en charge de ces enfants constitue une représentation négative à leur encontre.Au cœur de notre problématique il y a la conviction que les choses peuvent changer. Il ne s’agit pas de prendre les acteurs sociaux pour des démiurges, de faire comme si ils pouvaient métamorphoser le monde à volonté, mais de bien comprendre ce qui se joue dans les interactions entre acteurs. Car il existe des forces dynamiques en présence dans les interactions d’enseignement, d’éducation, et d’assistance, ce sont les représentations.L’individu est habité par son capital culturel, il le porte en lui incorporé, inscrit dans son être biologique, dans son cerveau et son système nerveux, dans son être biologique, dans l’ensemble du corps pour un certain nombre de schèmes de perceptions et d’action, le capital culturel est l’une des variétés la moins détachable de son propriétaire. Chacun détient un capital culturel en même temps qu’il est ce capital, il lui doit sa singularité, son identité et tout ce qui lui permet d’entrer en relation avec le monde, et avec les autres.Par un retour réflexif, l’individu peut prendre conscience de son capital culturel, de ses représentations, d’une partie de son habitus, L’image qui résulte de cette prise de conscience enrichit l’ensemble des représentations, donc le capital culturel lui-même. L’image du capital culturel dont on dispose participe de l’image de soi et donc d’un processus complexe de valorisation ou de dévalorisation de soi.L’image de soi, de ce qu’on sait de ce qu’on sait faire se heurte de toute façon à l’image que nous revoient les autres, chacun apprend dès l’enfance à être jugé par sa famille puis par ses enseignants et les autres élèves. Chacun se sent jugé sur ce qu’il fait, et indirectement sur ce qu’il est ou paraît être, sur ce qu’il sait ou paraît savoir. Nul être ne peut se protéger complètement des jugements d’autrui, mais il peut essayer de les infléchir à son avantage, en particulier lorsque les jugements favorables lui vaudraient l’amour, et la reconnaissance des autres.Tel est l’enjeu fondamental de la relation éducative qui permettrait à l’élève dit en difficulté de majorer son ambition par une plus haute estime de lui même, et d’entrer ainsi dans une pédagogie de la réussite.Hier, certains élèves étaient condamnés par un système à quitter l’institution scolaire très tôt. Le regard du maître, les représentations qu’il avait des enfants pauvres ne leur permettait pas d’aller au-delà de l’école primaire et très vite ils intégraient le monde du travail. Aujourd’hui malgré une scolarité obligatoire jusqu’à seize ans les représentations que l’on a d’un élève peuvent avoir également des incidences sur son destin scolaire et l’amener à l’exclusion. C’est ce que nous allons tenter d’expliquer grâce à une expérimentation menée sur le terrain avec les différents acteurs du champ éducatif et les outils mis à leur disposition.Regard, représentations, réussite, échec sont les différents axes d’une problématique sur le jugement prédéterminé de l’enseignant et ses conséquences sur le destin de certains individus. La mission essentielle d'un enseignant étant de tout mettre en œuvre pour faire réussir tous ses élèves. / School failure, delinquency, violence, exclusion, are the scourge of modern society.In 1950s Martinique a number of devices were put in place to try and stop or at least reduce the magnitude of the phenomenon. Juvenile institutions, health and social systems were put in place. Nowadays additional options are available such as specialized classes and other special educational structures. These systems unfortunately have resulted in the further marginalization and exclusion of entire generations of children, putting them under a negative light, against the core principal of the very programs that were meant to help them. At the heart of the problem is the belief that things can change. Our goal is not to portray social actors as if they could change the world at will, but rather to try and understand the interaction between the different actors. There are dynamics at play within the educational interactions and available support systems, which lead to certain representations of some of the students. The individual is inhabited by its cultural back-ground or layer. It is part of the biological being, brain and nervous system, part of his or her entire body, interfering with a number of perception patterns and actions. The cultural layer of any individual is actually the least detachable of all layers. The individual gets his or her sense of uniqueness, identity and everything that allows him or her to interact with the world and others from this cultural layer.When getting into further analysis we notice that the individual can become aware of his or her cultural heritage, of his or her representations or habits. The self-image that results from this awareness makes for a richer representation of the cultural layer which can trigger either high or low self-esteem. Our idea of our image usually clashes with the image received from others. Each and every one of us has in some way or the other been judged by his or her respective family, by teachers or other students in the classroom. Everyone feels judged because of his or her own actions, his or her appearance, or what he or she appears to know. Nobody can fully protect him or her-self from judgements passed from third parties, and in some circumstances one might attempt to use these judgements to their advantages, especially when they could lead to more empathy or acknowledgement from a third party.This is the fundamental issue of the educational relationship that would, by allowing struggling students to increase their ambitions by the way of higher self-esteem, allow for better success.In the past, some students were condemned by the system and led to leave the school system early. The way the teacher would perceive the student and poorer children in general did not allow the said student to go beyond elementary school and he or she would very soon join the workforce. Nowadays, despite mandatory education through age sixteen, the representation we have of each student can still affect academic performance and lead to exclusion. This is what we will attempt to explain through an experiment conducted with the different actors in the education field and the tools at their disposal.Perception, performance, success, failure are the different axes of a problem that leads to the predetermined judgment of teachers and the consequences of said perception on the fate of some of the students, keeping in mind that an educator’s main task is to do everything in their power to pass all students.
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La réception sociale de l’urbanisme contemporain: le cas de la Pointe Simon, en Martinique

Depault, Kevin 11 January 2013 (has links)
L’exode la classe moyenne vers la périphérie urbaine en Occident dans les années 1960 a laissé les quartiers centraux de plusieurs villes abandonnés. À cause de leur attraction foncière, certaines classes ont commencé à reconquérir ces endroits abordables. Face à ce phénomène, plusieurs villes ont créé des politiques de renouvellement urbain pour ramener la classe moyenne et diversifier le tissu social. À Fort-de-France, en Martinique, cette tendance s’affiche dans le plan d’urbanisme de 2003, dont le complexe de la Pointe Simon, comprenant un centre d’affaires, un hôtel et des condominiums de luxe, est la figure dominante. Situé dans un quartier défavorisé, ce projet est loin de faire l’unanimité au sein de la population. Cette recherche s’est intéressée à la perception du projet chez les citoyens de Rive-Droite, aux effets que celui-ci aura sur la composition sociale du quartier et sa possible gentrification. Nous avons découvert que loin d’être contre le changement dans leur secteur, les résidents sont mécontents du processus politique lié au projet.
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La réception sociale de l’urbanisme contemporain: le cas de la Pointe Simon, en Martinique

Depault, Kevin 11 January 2013 (has links)
L’exode la classe moyenne vers la périphérie urbaine en Occident dans les années 1960 a laissé les quartiers centraux de plusieurs villes abandonnés. À cause de leur attraction foncière, certaines classes ont commencé à reconquérir ces endroits abordables. Face à ce phénomène, plusieurs villes ont créé des politiques de renouvellement urbain pour ramener la classe moyenne et diversifier le tissu social. À Fort-de-France, en Martinique, cette tendance s’affiche dans le plan d’urbanisme de 2003, dont le complexe de la Pointe Simon, comprenant un centre d’affaires, un hôtel et des condominiums de luxe, est la figure dominante. Situé dans un quartier défavorisé, ce projet est loin de faire l’unanimité au sein de la population. Cette recherche s’est intéressée à la perception du projet chez les citoyens de Rive-Droite, aux effets que celui-ci aura sur la composition sociale du quartier et sa possible gentrification. Nous avons découvert que loin d’être contre le changement dans leur secteur, les résidents sont mécontents du processus politique lié au projet.
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Que faire pour développer la Martinique /

Le Sausse, Alex, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse--Sc. écon.--Paris I, 1972. / Bibliogr. p. 265-268.
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La réception sociale de l’urbanisme contemporain: le cas de la Pointe Simon, en Martinique

Depault, Kevin January 2013 (has links)
L’exode la classe moyenne vers la périphérie urbaine en Occident dans les années 1960 a laissé les quartiers centraux de plusieurs villes abandonnés. À cause de leur attraction foncière, certaines classes ont commencé à reconquérir ces endroits abordables. Face à ce phénomène, plusieurs villes ont créé des politiques de renouvellement urbain pour ramener la classe moyenne et diversifier le tissu social. À Fort-de-France, en Martinique, cette tendance s’affiche dans le plan d’urbanisme de 2003, dont le complexe de la Pointe Simon, comprenant un centre d’affaires, un hôtel et des condominiums de luxe, est la figure dominante. Situé dans un quartier défavorisé, ce projet est loin de faire l’unanimité au sein de la population. Cette recherche s’est intéressée à la perception du projet chez les citoyens de Rive-Droite, aux effets que celui-ci aura sur la composition sociale du quartier et sa possible gentrification. Nous avons découvert que loin d’être contre le changement dans leur secteur, les résidents sont mécontents du processus politique lié au projet.
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L'art contemporain martiniquais de 1939 à nos jours : la naissance d'une histoire de l'art dans un contexte postcolonial / Martinique's contemporary art since 1939 to now : the birth of art history in an postcolonial context

Louis, Marie 06 November 2009 (has links)
En 1943, René Hibran artiste français récemment émigré en Martinique affirme que dans l’île « il n’y a pas d’art local ou si peu, si réduit dans ses manifestations ! ». Déjà quatre ans plus tôt, le père Delawarde, faisait le même constat. Pourtant, en 2009, le monde de l’art s’est considérablement développé. Une esthétique spécifique s’est constituée loin de l’académisme occidental, l’expression plastique ne cesse de s’étoffer. Des lieux de diffusion se sont ouverts et proposent des expositions de qualité. Un discours scientifique se construit légitimant la production locale. La transmission est, en outre assurée grâce notamment à des écoles, dont l’Institut Régional d’Arts Visuels de la Martinique (IRAVM). Notre thèse s’attache à expliquer comment une telle évolution est possible compte tenu d’un contexte difficile subissant encore les affres du postcolonialisme. Nous postulons donc que le dispositif « histoire de l’art » s’est largement développé en soixante-dix ans. Influencé par le contexte postcolonial qui impose une résistance, par un monde littéraire qui initie la quête d’une expression identitaire singulière, l’art martiniquais est aussi tributaire de l’engagement de ses acteurs, et notamment d’artistes meneurs. Notre thèse s’appuie donc sur une vision sociale de l’art. Nous considérons notamment le monde de l’art comme un dispositif « histoire de l’art », c'est-à-dire un ensemble de quatre éléments corrélatifs : la production, la diffusion, la transmission et la légitimation. Une première période s’étalant de 1939 – début de la Seconde Guerre mondiale – à 1956 – premier bilan de la départementalisation – permet de poser les bases de ce dispositif. Durant le conflit mondial, la Martinique endure la politique raciste et répressif de l’Amiral Robert, le représentant de Vichy aux Antilles, ainsi qu’un blocus aggravant une situation économique déjà précaire. L’attachement à la métropole se complexifie. Entre fidélité et désillusion, un nouveau statut s’impose. En 1946, la Martinique devient un département français d’outre-mer. D’un point de vue culturel aussi la situation évolue. Déjà dans les années 1930, une série de publications d’étudiants noirs à Paris remet en cause l’assimilation coloniale : Légitime Défense, en 1932, L’étudiant Noir, en 1936 où Aimé Césaire parle pour la première fois de Négritude. La Martinique qui, jusque-là, n’avait regardé que vers la France hexagonale se tourne vers un nouveau centre : l’Afrique, et découvre une nouvelle facette de son identité. Les arts plastiques essuient ce bouleversement. Le conflit mondial fait de l’île, une terre de refuge, ou une escale, pour les intellectuels fuyant l’Europe nazie : André Breton, Claude Lévi-Strauss ou l’artiste cubain Wifredo Lam y font ainsi des séjours plus ou moins longs. D’autres artistes moins célèbres débarquent. Ils inaugurent des ateliers ouverts à tous et importent une vision de l’art inédite dans l’île. Avec eux, l’art n’est plus une activité oisive pour la jeune bourgeoisie, mais un lieu d’expression. Dès lors, des artistes locaux émergent, des artistes qui souhaitent exprimer l’identité nouvelle que les littéraires ont détectée. Ils sèment les bases de l’histoire de l’art de l’île. En effet, ils ne se contentent pas de créer, mais s’investissent dans toutes les instances du dispositif. En 1956, le député maire de Fort-de-France, Césaire, démissionne du Parti Communiste Français, déçu par les exactions du stalinisme et l’incapacité du PCF à combattre le postcolonialisme. Cette démission amorce une longue période de lutte contre le postcolonialisme. La Martinique est touchée par une crise sociale et économique, la départementalisation a déçu. En outre, certains pieds-noirs arrivés des pays du Maghreb nouvellement indépendants et certains CRS ne cachent pas leur mépris pour les populations noires. La situation est de plus en plus tendue et de violents conflits éclatent. Pour éviter que les conditions ne se détériorent – le spectre de l’Algérie est bien présent –, la France instaure une politique de répression et de migration. L’objectif est de faire taire toute résistance et de vider le pays de sa jeunesse, jeunesse qui est souvent à l’origine des émeutes. Mais cette répression ne fait qu’attiser la résistance qui s’organise d’abord dans le monde politique, puis dans des associations. Progressivement le fait national est reconnu. Si la Martinique est une nation, il lui faut une nouvelle identité. Les réflexions d’auteurs comme Edouard Glissant, Patrick Chamoiseau, Raphaël Confiant et Jean Bernabé vont alimenter cette quête identitaire. L’évolution de la commémoration de l’abolition de l’esclavage de 1848 participe aussi à la formation d’un peuple martiniquais acteur de son histoire passée et à venir. Les artistes se nourrissent de ces multiples considérations. L’Ecole Négro-Caraïbe propose une esthétique caribéenne riche de l’importance de ses soubassements africains. Le groupe Fwomajé se concentre sur toutes les racines fondant l’arrière-pays culturel de l’île : l’Europe, l’Afrique, l’Amérique et l’Asie. Des artistes indépendants s’inscrivent aussi dans cette quête d’une identité et d’une esthétique l’exprimant. Parallèlement, le dispositif aussi se construit. Un discours universitaire s’élabore. Les institutions culturelles se multiplient et ce, d’autant plus que la culture devient un enjeu politique majeur. / In 1943, René Hibran, French artist who had recently moved to Martinique states : « il n’y a pas d’art local ou si peu, si réduit dans ses manifestations ! ». Already four years ago, Father Delawarde did the same comment. However, in 2009, the art world has expanded considerably. A specific aesthetic developed far away from Western academism, plastic expression not stopping to fill out. Places of diffusion have opened and offer expositions of quality. A scientific discourse builds up, thus legitimating local production. Transmission is also insured thanks to the work of schools, including the Institut Régional d’Arts Visuels de la Martinique (also known as IRAVM). Our thesis aims at explaining how such an evolution is possible given the difficult context still subject to the torments of postcolonialism. So, we postulate that “history of art” mechanism grew in seventy years. Influenced by the postcolonial context which imposes resistance, by a literary world which initiates an identity expression’s quest, Martinique’s art is also dependent on actor’s commitment, in particular leader artists. Our thesis relies on a social vision of art. We consider the art world as a “history of art” mechanism, as a whole of four interrelated elements: production, broadcasting, transmission and legitimization.A first period of time, spreading from 1939 – beginning of the Second World War – to 1956 – first statement of departmentalisation – allows to lay the bases of this mechanism. During the world conflict, Martinique had to face the racist and repressive politics of Admiral Robert, the Vichy government’s representative in the Antilles, as well as a blockade aggravating an already precarious economic situation. Attachment to the metropolis gets more complicated. Between fidelity and disillusionment, a new status emerges. In 1946, Martinique becomes an overseas French department. The situation also evolves from a cultural point of view. Already in the 1930’s, a series of publications from black students in Paris questions the colonialist assimilation: Légitime Défense, in 1932, L’étudiant Noir, in 1936, where Aimé Césaire talks for the first time of Negritude. Martinique, which had only looked so far in the direction of France, turns now to a new centre: Africa, and discovers a new aspect of its identity. Plastic arts follow this upheaval. The world conflict makes the island a place of safety, a call for all the intellectuals fleeing from Nazi Europe: André Breton, Claude Lévi-Strauss or Cuban artist Wifredo Lam stayed there for sojourns of varied lengths. Less famous artists also land on the island. They unveil workshops open to all and import a vision of art that is completely original. With them, art is no longer an idle activity for young bourgeois, but rather a place of expression. Local artists therefore emerge, artists wishing to express the new identity detected by literary people. Indeed, they do not just create, but invest themselves in all the mechanism’s elements. In 1956, Césaire, deputy mayor of Fort-de-France, resigns from the French Communist Party, disappointed by the exactions of Stalinism and the FCP’s incapacity to fight postcolonialism. This resignation starts a long period of time marked by a fight against postcolonialism. Martinique is affected by a social and economic crisis, departmentalisation disappointed many. Moreover, some pied-noirs arriving from newly independent Maghreb countries and some CRS do not hide their disregard from black populations. The situation gets even tenser and violent conflicts burst out. In order to avoid an aggravation of these conditions – the spectre of Algeria is well present in minds – France sets up a new politic focusing on repression and migration. The objective is to shut up any resistance and to empty the country from it youth, youth that is often at the origin of riots. However this repression, only strengthens the resistance, which organises itself firstly in the political world and secondly in the associative world. The national fact is progressively acknowledged. If Martinique is a nation, it then needs a new identity. Authors such as Edouard Glissant, Patrick Chamoiseau, Raphaël Confiant and Jean Bernabé will feed this quest for identity. The evolution of the celebrations related to the 1848 abolition of slavery also participates to the formation of the Martinique people actors of their past and their future. Such considerations nourish artists. The Negro-Caribbean School offer a Caribbean aesthetic that is rich from the importance of its African bases. The Fwomajé group concentrates its attention on all the roots funding the island’s cultural hinterland: Europe, Africa, America and Asia. Independent artists also join this hunt for an identity and an aesthetic that expresses this identity. In parallel, the mechanism builds up. An academic discourse is developing. Cultural institutions multiply, and even more since culture becomes a major political stake.
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Ethnoéthique à la Martinique : une analyse des discours locaux portant sur le rapport à la responsabilité en contexte postcolonial

Gagnon, Susie 13 April 2018 (has links)
Ce mémoire présente les résultats d'une enquête ethnographique réalisée à la Martinique à l'été 2006. L'intérêt de cette recherche repose sur une analyse des discours locaux portant sur le rapport à la responsabilité en contexte postcolonial antillais. La démarche ainsi entreprise procède d'une ethnoéthique, soit la mise à jour des repères moraux sous-jacents aux discours populaires portant sur les représentations de la responsabilité. Ainsi, cette étude démontre qu'il existe à la Martinique un rapport difficile à la responsabilité, influencé par des facteurs sociopolitiques historiques et contemporains. Les discours des acteurs locaux portant, entre autres, sur les responsabilités parentales, familiales et professionnelles, de même que les principaux modèles explicatifs de la maladie et des infortunes sont utilisés par certains Martiniquais en tant qu'outils permettant de légitimer et de donner un sens à la déresponsabilisation personnelle. Ces divers lieux d'expression alimentent ainsi tout autant ces difficiles rapports à la responsabilité. Cette recherche met également en lumière que la construction socioculturelle du rapport à la responsabilité en contexte postcolonial antillais est en pleine mouvance, ce qui reflète les processus de créolisation tout aussi dynamiques des sociétés caribéennes contemporaines.
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The changing plant associations of Martinique from pre-Columbian times to the present day.

Beaulieu, Andrée. January 1965 (has links)
En Amérique tropicale et aux Antilles, le milieu naturel a déjà été l'objet d'une dégradation première de la part des populations précolombiennes: Incas et Mayas sur la terre ferme, Arawaks et Carafbes dans les îles. Cette dégradation n'a fait que s'accentuer lors de la découverte du Nouveau Monde et surtout à la suite de l'introduction des méthodes culturales européennes, il y a trois siècles, par les colons espagnols, portuguais, hollandais, anglais ou français. [...]
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The changing plant associations of Martinique from pre-Columbian times to the present day.

Beaulieu, Andrée. January 1965 (has links)
No description available.
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Moralité et responsabilité : cas de la pratique des quimboiseurs et des prêtres catholiques martiniquais

Lacroix, Geneviève 13 April 2018 (has links)
Ce mémoire vise à identifier et analyser les définitions populaires des Martiniquais sur les notions de moralité et de responsabilité pour ensuite les transposer dans le contexte plus précis des pratiques de soins de santé. La société martiniquaise, par ses croyances et pratiques particulières, préconise certaines valeurs morales et condamne certains comportements. Ces normes établies seront à la base des règles qui régissent les rapports entre les thérapeutes {quimboiseurs, prêtres catholiques) et leurs patients. Le concept de responsabilisation permet quant à lui de déterminer l'origine de maladies ou d'infortunes que subit un individu. Il est alors important d'explorer les différents schèmes de responsabilisation ou de déresponsabilisation existant à la Martinique afin de mieux comprendre comment et à qui sont attribuées les causes des problèmes que peuvent subir les Martiniquais. Cette dernière analyse permettra également de comprendre de quelle façon, dans le contexte de soins de santé, sont traduites et sanctionnées les pratiques immorales des thérapeutes.

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