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Approche de la réalité socio-économique par une théorie des structures et des systèmes: analyse de la problématique du développementHendaoui, Afif January 1981 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Essays on herding, strategic waiting and cheaptalkMelissas, Nicolas January 2000 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Étude sur l'économie et ses représentations sociales à travers deux cadres théoriques : exploration des lieux de détermination d'un débatRizkallah, Élias 13 April 2018 (has links)
Dans le domaine des représentations sociales (Moscovici, 1961), surtout dans les recherches dites quantitatives, il existe deux courants de recherche qui se sont érigés en écoles: l'école d'Aix-enProvence (EA) et l'école de Genève (EG). Toutes les deux prétendent étudier les représentations sociales (RS), la structure et l'évolution de la pensée sociale ou le sens commun, mais chacune suivant son modèle théorique. Pour EA (Abric, 1994), une RS est formée d'éléments reliés entre eux suivant une structure double: un noyau central, relativement consensuel dans un groupe, et un système périphérique traduisant les variations individuelles et contextuelles. Pour EG (Doise, 1990), les RS sont des principes organisateurs de prises de position, par rapport à un enjeu, traduisant des insertions spécifiques de rapports sociaux. Depuis les années 1990, un débat relativement animé entre ces deux écoles s'est installé dans la communauté scientifique sans qu'un chercheur dans le domaine puisse déterminer d'une manière impartiale lequel des deux modèles est le plus adéquat pour son étude. Cette thèse, d'ordre ± méthodo-Iogique ¿ avec une application pratique, vise à éclaircir les termes de ce débat à partir d'une recherche sur un même objet, les RS de l'économie chez une population estudiantine, objet déjà traité par les tenants des deux écoles, suivant une perspective comparative. La recherche a été effectuée selon les canons des méthodes des deux écoles afin de pouvoir dégager les différences des deux approches surtout à l'égard de ce qui a été appelé le ± découpage de l'objet ¿ effectué par chacun des modèles. Sur le plan de l'application de l'étude aux RS de l'économie, d'une part les résultats de l'EA prennent la forme d'une structure (noyau central et système périphérique) non-autonome et nondimensionnelle mais organisée par des groupements de thèmes pouvant se recouvrir partiellement et où un même thème acquiert une signification différente selon autant les thèmes auxquels il s'associe que le contexte groupaI particulier dans lequel il apparaît. En effet, le thème ± argent ¿, central, prioritaire et non-négociable acquiert des significations distinctes autant lors de comparaisons inter-sexes (Homme vis Femme) qu'en fonction de ses associations à d'autres thèmes centraux adjoints (Salaire, Épargne, Banque, Emploi, Bourse) lors des comparaisons intra-sexes. Le noyau central est aussi constitué de sept autres thèmes qui, en interaction, forment les groupements suivants: Rémunération-Thésaurisation, Acteurs du circuit économique, Cycle , économique. D'autre part, pour EG, l'ensemble des analyses internes/externes (AFC, CAH, Classification mixte, description des classes, INDSCAL, variables supplémentaires) montrent que les différentes significations individuelles attribuées aux éléments du savoir commun sur l'économie se sont organisées autour de deux axes principaux: 1) l'axe Économie domestique vis Macroéconomie; 2) l'axe de l'investissement: ses conditions vis ses risques. Deux variables d'ancrage, la condition économique et l'âge, et dans une moindre mesure, l'appartenance à l'UQAM ou à l'UdeM, rendent compte des prises de position à propos des RS de l'économie. Sur le plan ± méthodo-Iogique ¿, il en ressort plusieurs points distincts mais dépendants: 1) une différence dans la conception des outils de collecte de données (i.e., épreuves de questionnement) dans la majorité des étapes d'une recherche: EA cherche des données majoritaires dénotant un consensus alors que EG provoque les différences entre les individus; 2) Une différence de modèle mathématique à la base des techniques d'analyse de données: mathématique combinatoire et topologisation de la relation entre les éléments d'une RS pour EA vis mathématique continue et géométrisation de l'espace du sens commun pour EG; 3) une différence dans la manière d'intervenir sur les données pour les rendre ± pertinentes¿: chez EA l'intervention est minimale et elle est constamment à justifier d'autant plus que le lien entre une étape et une autre n'est pas compilable dans une même représentation synthétique comme c'est le cas chez EG où l'intervention est plus ouverte et passe souvent par des algorithmes nettement moins intuitifs et explicites. Bref, chacune des deux écoles conçoit différemment son objet et implante un dispositif d'observation et d'analyse correspondant à cette différence de telle sorte qu'une même donnée peut être très informative pour l'un alors qu'elle passerait totalement inaperçue pour l'autre. Il est donc peu pertinent de se limiter à chercher une correspondance entre le noyau central d'une RS et ses principes organisateurs vu que la division semble aussi se situer à un autre niveau que celui du simple discours théorique. Les limites inhérentes à la présente étude et à l'emboîtement de ses deux objectifs, empirique et méthodo-Iogique, sont discutées en usant de réflexivité et en ouvrant des pistes vers des questionnements plus approfondis dans le domaine des recherches empiriques dont l'objet de recherche est la méthode.
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Contributions to the empirical analysis of convergence in the European UnionFuss, Catherine January 1997 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Technological diffusion, foreign direct investment and convergenceSiotis, Georges January 1997 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Analyse des relations entre le secteur ouvert et le secteur protégé d'une petite économie ouverte et incidences sectorielles des politiques économiques: application au cas de la Belgique au moyen d'une analyse de déséquilibreDeville, Hervé January 1993 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Essais en économie dynamique appliquéeLiégeois, Philippe January 2001 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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An economic analysis of price behaviour in the market for paintings and printsCzujack, Corinna January 1997 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Economic and technological performances of international firmsCincera, Michele 29 April 1998 (has links)
The research performed throughout this dissertation aims at implementing quantitative methods in order to assess economic and technological performances of firms, i.e. it tries to assess the impacts of the determinants of technological activity on the results of this activity. For this purpose, a representative sample of the most important R&D firms in the world is constituted. The micro-economic nature of the analysis, as well as its international dimension are two main features of this research at the empirical level.<p><p>The second chapter illustrates the importance of R&D investments, patenting activities and other measures of technological activities performed by firms over the last 10 years.<p><p>The third chapter describes the main features as well as the construction of the database. The raw data sample consists of comparable detailed micro-level data on 2676 large manufacturing firms from several countries. These firms have reported important R&D expenditures over the period 1980-1994.<p><p>The fourth chapter explores the dynamic structure of the patent-R&D relationship by considering the number of patent applications as a function of present and lagged levels of R&D expenditures. R&D spillovers as well as technological and geographical opportunities are taken into account as additional determinants in order to explain patenting behaviours. The estimates are based on recently developed econometric techniques that deal with the discrete non-negative nature of the dependent patent variable as well as the simultaneity that can arise between the R&D decisions and patenting. The results show evidence of a rather contemporaneous impact of R&D activities on patenting. As far as R&D spillovers are concerned, these externalities have a significantly higher impact on patenting than own R&D. Furthermore, these effects appear to take more time, three years on average, to show up in patents.<p><p>The fifth chapter explores the contribution of own stock of R&D capital to productivity performance of firms. To this end the usual productivity residual methodology is implemented. The empirical section presents a first set of results which replicate the analysis of previous studies and tries to assess the robustness of the findings with regard to the above issues. Then, further results, based on different sub samples of the data set, investigate to what extent the R&D contribution on productivity differs across firms of different industries and geographic areas or between small and large firms and low and high-tech firms. The last section explores more carefully the simultaneity issue. On the whole, the estimates indicate that R&D has a positive impact on productivity performances. Yet, this contribution is far from being homogeneous across the different dimensions of data or according to the various assumptions retained in the productivity model.<p><p>The last empirical chapter goes deeper into the analysis of firms' productivity increases, by considering besides own R&D activities the impact of technological spillovers. The chapter begins by surveying the alternative ways proposed in the literature in order to asses the effect of R&D spillovers on productivity. The main findings reported by some studies at the micro level are then outlined. Then, the framework to formalize technological externalities and other technological determinants is exposed. This framework is based on a positioning of firms into a technological space using their patent distribution across technological fields. The question of whether the externalities generated by the technological and geographic neighbours are different on the recipient's productivity is also addressed by splitting the spillover variable into a local and national component. Then, alternative measures of technological proximity are examined. Some interesting observations emerge from the empirical results. First, the impact of spillovers on productivity increases is positive and much more important than the contribution of own R&D. Second, spillover effects are not the same according to whether they emanate from firms specialized in similar technological fields or firms more distant in the technological space. Finally, the magnitude and direction of these effects are radically different within and between the pillars of the Triad. While European firms do not appear to particularly benefit from both national and international sources of spillovers, US firms are mainly receptive to their national stock and Japanese firms take advantage from the international stock.<p> / Doctorat en sciences économiques, Orientation économie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les politiques du marché du travail: analyse et comparaisons européennes :procédures d'évaluation (micro et macro-économiques) :évaluation des politiques de résorption du chômage et des politiques du temps de travail en BelgiquePlasman, Robert January 1994 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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